Les couacs de la communication présidentielle se multiplient au milieu d’une avalanche de « fake-news », pour utiliser l’anglicisme à la mode. Que fait Decodex, le censeur franco-mondialiste ?
L’une des fake-news (désinformation) les plus voyantes actuellement est l’incroyable amalgame sur le peuple rohingya que les Birmans accusent de nombreux crimes. Ce peuple originaire du Bangladesh, parle le chittagonien, la langue du Sud du Bangladesh et non le birman. Le chitaggonien est la langue du grand port de la Birmanie, Chittagong, et de l’état du même nom. C’est aussi la langue du prix Nobel de la paix bangladeshi Mohammed Yunus qui, pas plus que Aung San Suu Kyi, ne défend les Rohingyas.
Les Rohingyas sont-ils de pauvres musulmans persécutés par ces salauds de généraux birmans ? Ces derniers ont pourtant accepté démocratiquement des élections qui ont porté au pouvoir l’opposition incarnée par Aung San Suu Kyi.
Un « peuple paisible et pacifique qui vit pauvrement dans les montagnes où il est installé depuis des siècles », affirme sans honte de son ignorance une journaliste (France 24, 12/09/2017). Un mythe repris par toute la presse.
Peuple « paisible et pacifique » connu surtout pour ses actes islamo-terroristes, certes installé dans les montagnes, mais toujours pas intégré à la nation birmane. La presse peut-elle nous expliquer pourquoi aucun d’entre eux n’a la nationalité birmane ? − Parce que les Rohingyas la refusent et que les Birmans ne veulent pas d’eux. Il faut savoir qu’à chaque conflit opposant la Birmanie à l’Angleterre aux XIXème et XXème siècles, les Rohingyas, colons en Birmanie, se sont rangés du côté du côté du colonisateur anglais, se mettant même à leur service dans l’armée et la police anglaise pour réprimer les Birmans lors des guerres anglo-birmanes de 1824, 1852, 1886 et 1947 qui se terminèrent par l’assassinat du général Aung San, commandant les troupes birmanes d’indépendance, le père de la Prix Nobel de la Paix Aung San Suu Kyi. Dans l’esprit des Birmans, les Rohingyas sont des envahisseurs, des ennemis et des traîtres.
Pourquoi la Birmanie n’en veut-elle pas ? Pourquoi le Bangladesh refuse-t-il de les laisser rentrer dans leur pays ? Pourquoi l’Inde veut-elle expulser les Rohingyas qui tentent de s’y réfugier, comme l’a annoncé le Premier Ministre indien qui a demandé un sévère renforcement des contrôles aux frontières (Times of India, 13/09/2017) ? Et pourquoi la Thaïlande, la Malaisie et l’Indonésie n’en veulent-elles pas non plus ? Et pourquoi enfin, les Prix Nobel de la Paix, la birmane Aung San Suu Kyi et le bengladeshi (banquier parlant la langue des Rohingyas et musulman comme eux, Mohammed Yunus) ne prennent-t-ils pas leur défense ? − Par pure méchanceté ? Par racisme ? Posez-vous la question et renseignez-vous donc un peu, chers journalistes, au lieu de moutonner derrière les dépêches de l’AFP idéologiquement orientées vers la défense des islamistes envers et contre tout !
Colonisée par les Anglais pendant presque deux cents ans, la Birmanie a repris son indépendance en 1948 sans adhérer au Commonwealth. Elle était tombée après l’indépendance dans un état de grande misère. L’Armée au pouvoir depuis 1990 a multiplié le PIB par trois entre 2005 et 2010 avec une bonne gestion de l’économie qui a accompagné l’accroissement rapide de la population passée de 20 à 55 millions d’habitants, signe aussi d’une bonne gestion sociale et sanitaire. Mais elle a, c’est vrai, exercé une répression dure, dénoncée par la bien-pensance occidentale, contre les communistes et les minorités religieuses comme les Karen catholiques. À partir de 2010, les militaires estimant leur tâche de redressement accomplie, acceptent le rétablissement de la démocratie sous la pression occidentale. Barack Obama vient les en féliciter en 2012. En 2016, l’opposition gagne les élections, au moment où les Rohingyas infiltrés du Bangladesh et devenus un micro-peuple d’un million d’habitants environ, recommencent à faire parler d’eux. Ayant colonisé clandestinement les montagnes de l’ouest-birman, ils ne respectent pas les lois birmanes pour vivre selon la charia et se cachent dans les montagnes en raison de leur entrée clandestine en Birmanie.
Leurs leaders veulent un état musulman. Il est vrai que la constitution birmane interdit de donner la nationalité birmane aux étrangers entrés illégalement dans le pays ainsi qu’à leurs enfants nés sur place. Pas de droit du sol en Birmanie. Le simple fait d’y entrer ne vous y donne pas droit la nationalité.
La colère des Birmans est née avec les attaques de postes de douane régulièrement faites pour permettre des entrées massives de migrants Rohingyas-bangladeshi supplémentaires. Faut-il rappeler que la répression actuelle résulte de l’attaque à l’arme lourde, par les Rohingyas, d’une vingtaine de commissariats de police, provoquant rien qu’en 2016 la mort de 89 birmans dont 12 policiers dans l’état de Rakhaing (ou Arakan) sur la côte nord-ouest (La Croix, 25/08/2017) ? Et que Le Monde du 12/10/2016 avait justement observé que ces attaques commencées en 2016 avaient porté à son paroxysme la colère des Birmans excédés par les Rohingyas et risquaient de provoquer des représailles ?
En Birmanie, on n’a pas crié aux Rohingyas terroristes islamistes « vous n’aurez pas ma haine », ni mis de fleurs, de nounours et de bougies sur les lieux des massacres qu’ils commettaient. La Birmanie a fait la seule chose raisonnable : décider de renvoyer chez eux ces étrangers squattant dans leur pays qui viennent agresser et tuer.
On nous montre à longueur de journaux ces files de Rohingyas qui fuient la Birmanie. Ils racontent aux journalises les atrocités commises par l’armée. Seulement, les journalistes se contentent trop facilement de leur seule parole, d’où la désinformation qui en résulte. Imaginez que la France décide d’expulser toutes les familles des terroristes qui ont sévi sur son sol, de Merah à Salah Abdeslam, et que les journalistes n’interrogent que leurs femmes hurlant en débarquant à Alger qu’on les expulse injustement après avoir tué leurs hommes et leurs bébés alors qu’elles vivaient pauvrement depuis des décennies dans nos banlieues ! Vous poseriez la question « et leurs crimes, et les familles des victimes de l’école juive de Toulouse et celles des militaires et policiers assassinés, et celles des victimes du Bataclan » ? Pourquoi ne leur demande-t-on pas ce qu’elles pensent des islamistes ?
Alors pourquoi les journalistes ne vont-ils pas demander aux familles des victimes du terrorisme rohingya habitant l’état du Rakhaing ce qu’ils pensent des Rohingyas ? Pourquoi ne demandent-ils aux militaires ou au gouvernement birman des explications ? Pourquoi ne demandent-ils pas aux Rohingyas eux-mêmes et à leurs chefs de justifier leurs attaques terroristes contre des bâtiments publics birmans et pourquoi ils veulent absolument un mini califat islamiste en Birmanie ? Par peur des réponses ?
Il y a certainement de braves gens parmi ces expulsés Rohingyas, comme il y en a aussi chez les musulmans en France et on doit avoir de la compassion pour eux. Mais la répression peut-être excessive de l’armée birmane n’exonère pas les Rohingyas des crimes islamistes qu’ils commettent. Que l’on cesse cet amalgame qui voudrait faire croire à un peuple rohingya victime, si l’on veut que soit crédible l’affirmation selon laquelle l’islam est les musulmans seraient partout innocents des crimes commis au cri d’Allahou akbar.
Pourquoi la haine des autres pays de la région contre les Rohingyas ? La cause est la même qui fait que l’Occident en voie d’islamisation rapide prend leur défense avec une mauvaise foi incroyable dissimulée sous de l’humanisme pleurnichard : les Rohingyas sont des musulmans sunnites dont la majorité radicalisée veut une province islamique en Birmanie. Puisqu’ils sont issus du Bangladesh, la Birmanie veut les y renvoyer. L’Inde n’en veut pas parce que ce sont des fauteurs de trouble permanents à l’ordre public partout où ils passent, comme l’a expliqué le Premier Ministre indien La Thaïlande, la Malaisie et l’Indonésie n’en veulent pas. Et le Bangladesh n’en veut plus non plus pour la même raison. Les quatre pays veulent préserver leur identité bouddhiste, au premier rang la Birmanie avec 90% de bouddhistes, et les deux pays musulmans ne veulent pas d’agitateurs radicalisés islamistes. Tous refusent ce qu’ils considèrent comme une contamination islamique.
La seule région où les Rohingyas pourraient vivre en paix serait un pays déjà radicalement islamisé : Qatar, Arabie saoudite ?
Et QUI retrouve-t-on derrière les camarades Rohingyas ? − Soros-le-Diable. Voir : http://breizatao.com/2017/09/08/birmanie-comment-soros-alimente-les-terroristes-musulmans-rohyngias-pour-priver-la-chine-denergie/
Un hasard sans doute…
L’Imprécateur
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