POINT DE DÉPART DU RAISONNEMENT GLOBAL SUR LE MONDIALISME 〈 1 〉
– émaillé de réflexions philosophiques –
AVANT-PROPOS
Je souhaitais initialement écrire un papier sur le racisme, sur ma Race (que l’on me reproche de défendre) et surtout, sur la perversité extrême des juges autoproclamés de la « Bienpensance ».
Mon raisonnement est sous-tendu par deux idées fixes. Jetons-nous à l’eau sans craindre la provocation. Je pense en toute sincérité que :
- la Guerre est SALUTAIRE / la Paix est MALÉFIQUE ;
- ce que l’on dit souvent être “bien” est MAL / ce que l’on dit souvent être “mal” est BIEN.
Pour arriver à cette double démonstration apparemment digne d’un cerveau malade, j’ai emprunté des voies détournées et usé non pas de la provocation, mais de la démonstration.
Bien sûr, et c’est là la vocation de Minurne, mes propos sont émaillés de références et d’allusions politiques d’actualité ou appartenant déjà à l’histoire, dans un esprit polémique et sans concession comme à mon habitude.
Ce papier pris dans son ensemble est un MÉMOIRE EN DÉFENSE DE L’INTERDIT.
Eu égard à la longueur du texte, je le livrerai à votre critique en plusieurs parties. In fine, je prendrai la liberté de vous l’adresser en entier en format « .pdf » téléchargeable avec table des matières automatique.
Je me permets en outre de rappeler ce qui est pour moi essentiel : un MOT signifie QUELQUE CHOSE ET RIEN D’AUTRE. Ou alors, on doit user d’un AUTRE MOT. Mais la dialectique politicienne — ou plutôt politicarde — entretient savamment la confusion des esprits, ce que j’ai tenté de souligner l’an passé dans un article intitulé LE MAL DES MOTS que vous pouvez consulter si vous le souhaitez en cliquant sur ce lien.
INTRODUCTION
Souvenez-vous. Voici un mois environ, « La Voix du Minotaure » nous rabâchait avec la régularité métallique d’un zombi-instructeur que Monsieur Robert Ménard, Maire de Béziers, est un vilain garçon. Eh bien… nous voilà informés !
Il était ouvertement reproché à Robert Ménard d’avoir dressé des statistiques ethniques dans la commune dont il a la charge alors même que le but de son étude était de désenclaver les enfants issus de l’immigration, dont nombre d’entre eux se plaignent de n’avoir aucune relation de camaraderie avec nos enfants, qui eux, ne demanderait pas mieux que de connaître davantage leurs petits camarades nouvellement installés. Avec nos enfants… je veux dire avec les enfants blancs. Allez ! Le vilain mot est lâché. Encore que… les enfants arabes, issus de Peuples sémitiques sont aussi, ethniquement parlant, blancs. Aïe ! ça se complique, pas vrai ? Disons pour faire simple, que les enfants arabes ont été généralement élevés dans le cadre de croyances religieuses sensiblement différentes des nôtres. Vous voyez que je peux être politiquement correct ?
Mais… horreur ! M. Ménard (politiquement non-inscrit) est soutenu par Philippe de Villiers et surtout par le FN. Quelle est donc la longueur de la cuiller dont il use pour souper avec le Diable ? – Je l’ignore. Mais in fine, c’est bien de ça dont il s’agit.
QUI, MIEUX QUE LE DIABLE, EST HABILE À DIABOLISER CELUI QUI LUI RÉSISTE ?
Car enfin, Monsieur Valls, alias Monsieur le Maire d’Évry (ville qui nous rappelle quelque souvenir chez Minurne…), alias Monsieur le Premier Ministre, alias Don Manuel, alias ce-que-vous-voudrez, n’avait-il pas (en off – hors micro croyait-il à tort) demandé à ce que l’on fasse venir des figurants dans le champ de la caméra – « quelques blancs, quelques white, quelques blancos » – dit-il lors du tournage d’un reportage par la chaîne Direct 8 sur une brocante à Évry en juin 2009 ? Faisant sien le vocabulaire de la racaille la plus vulgairement méprisante à l’endroit de nos compatriotes, Don Manuel aurait-il trouvé que le paysage de sa ville s’était si assombri qu’il s’y sente obligé d’y ajouter une touche « white » ?
Oubliant cet incident, notre preux chevalier ibérique de chausser ses éperons en serrant fermement un écu aux couleurs de Sainte Bienpensance, et de lancer son destrier dans une joute grandguignolesque contre le Capitoul de la cité biterroise !
Don Manuel se prendrait-il pour Arnaud Amaury, légat du Pape de triste mémoire qui, à la tête d’une armée de ribauds, prit Béziers en 1209 et massacra ses habitants lors de la première Croisade des Albigeois ? Comme le sinistre prélat l’avait glapi selon le chroniqueur cistercien Césaire de Heisterbach, Don Manuel penserait-il secrètement mais très fort : « Massacrez-les, car le seigneur connaît les siens ! » (QUEL seigneur ?), parole que la tradition historiographique nous a transmise sous la forme de « Tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens ! » (QUEL Dieu ?) Tiendrait-il, notre beau Manuel, le tyran hollandais pour Philippe-Auguste ? Un nouvel Innocent III présiderait-il depuis maintenant un siècle aux destinées du Federal Reserve Board (Directoire de la Réserve Fédérale) ? – Rien n’est moins sûr…
De nos jours, je ressens de plus en plus l’entreprise mondialiste comme la reconstitution du massacre des Chevaliers du Temple, non sans rapport avec la Résistance cathare pour qui sait lire entre les lignes de l’Histoire. Les mêmes causes produisent souvent les mêmes effets. Eux aussi se battaient contre la Pensée Unique d’alors, celle d’une Papauté impérialiste et dévoyée : Satan s’était installé au Vatican. On dit qu’il a déménagé depuis. Pour Wall Street à New-York ou Constitution Avenue à Washington ? – Qui sait ?
Alors… aujourd’hui ? – Bientôt chassés d’isolat en isolat, nous retrouverons-nous à défendre un nouveau château de Montségur ? Sommes-nous tous voués à périr sur le bûcher du « Camp dels Cremats » (le Champ des Brûlés) ? L’avenir nous le dira. Mais de lourds nuages noirs s’amoncellent à l’horizon, poussés par un vent violent venu d’Atlantique, encadrant les Quatre Cavaliers de l’Apocalypse.
Alors… si Don Manuel est la réincarnation d’Arnaud Amaury ou de Simon de Montfort, fassent les Dieux que Robert Ménard soit celle de Raimond-Roger Trencavel. Et que le Vicomte écrase les armées du Légat !
Dernière minute (enfin, presque) : le TGI de Montpellier vient de débouter la C.R.I. (“Coordination contre le racisme et l’islamophobie”, excusez du peu !) de l’action en Justice que cette association avait intentée contre Monsieur Ménard au motif qu’elle n’avait pas qualité pour le faire.
Je tiens ici à rendre un hommage sincère aux Juges du Siège qui, partout en France et de plus en plus, résistent aux pressions du pouvoir politique et dénient le droit d’exister aux juges autoproclamés de la « Bienpensance ». Ceci est de la plus haute importance et mérite d’être souligné.
INTERMÈDE COMIQUE VALANT SON PESANT D’ÉCOLOS
La manipulation de ce qui reste d’esprit à nos compatriotes, goutte-à-goutte politiquement correct du mainstream médiatique, me fait penser à un incident burlesque dont j’ai été témoin pendant la dernière campagne des élections départementales à Conflans-Sainte-Honorine, en Yvelines. Me présentant au suffrage des électeurs sous les couleurs du Front National (couleurs bleu, blanc et rouge : ça commençait mal !) les écolo-gaucho-verdâtres ont cherché, fouiné, fureté… Fouillant mon passé avec fébrilité, ils espéraient découvrir dans mes écrits quelque indice, même minime, de racisme, d’antisémitisme, d’apologie de crimes de guerre, de négationnisme – que sais-je encore ? – bref : ils rêvaient d’humer quelque effluve nauséabonde émanant de la bête immonde. Vous savez ? – celle qui se faufile sournoisement par nuits et brouillards entre les heures les plus sombres de notre histoire… Ils cherchaient aussi bien sûr des traces du plus grand des crimes à la mode : l’« islamophobie », mot qui ne veut strictement rien dire en soi et ne saurait surtout pas revêtir le sens que veut lui attribuer de force La Voix du Minotaure. Mais on n’en n’est pas à un contresens ou à un barbarisme près dans la sphère politiquement abjecte correcte. Bien vite, mes écolos yvelinois se sont aperçus que, divorcé par deux fois à l’amiable, ma première épouse était de confession juive et ma seconde était musulmane… Ah m. !
Qu’à cela ne tienne. Ils crurent découvrir le pot-aux-roses en tombant sur un vieux papier où je clamais haut et fort mon attachement aux Miens, à ma Civilisation, à ma Terre, à ma Race. Ah la belle affaire !
Certes, sachant la Race blanche menacée d’extinction, attaquée de toutes parts en tant que telle par des hordes de Gremlins incultes bavant de cupidité et de haine pour ceux qui les nourrissent (bêtement) j’en défends la noblesse passée et suis fier de me reconnaître dans l’histoire de sa civilisation, souhaitant participer à sa reconstruction. – C’est grave, Docteur ?
À Conflans, les Verts avaient longtemps cherché quelque chose à dire pendant la campagne électorale. Ils ont enfin trouvé ! J’essuyai donc un tract vindicatif personnel pour ce que dit plus haut et un article complaisamment publié par Le Parisien en date du 13 mars 2014 (voir ci-contre). En outre, j’attirais singulièrement des marques récurrentes de désobligeance de la part d’un grand dépendeur d’andouilles écolo-rougeâtre au QI de gastéropode, toujours juché sur son vélocipède – de couleur verte, s’il vous plaît ! Un soir qu’il me vit avec un ami distribuer des tracts à la sortie de la station du RER, il éructa en regardant vers moi en baissant la tête comme à l’accoutumée « race blanche » sans autre commentaire. Sans doute éprouvait-il quelque difficulté à former une phrase cohérente ; ces deux mots accolés devaient refléter pour lui la marque d’un racisme des plus radioactifs. Soit ! If it makes him happy (si ça le rend heureux) diraient les Britiches… Eh bien figurez-vous que notre vaillant écolo-cycliste, quittant sur son deux-roues le lieu maudit où nous diffusions la mauvaise parole, ne prit garde qu’une pierre (une grosse pierre… blanche) se trouvât devant la roue de son vélocipède et contrecarrât sa route, le faisant s’étaler de tout son long, le nez en plein sur… un tract du Front National tombé à terre !
Que voulez-vous ! Je suis un homme simple. Cet incident sans gravité me remplit d’une joie enfantine… 🙂
Suite : « La Race blanche… et les autres ».