POINT DE DÉPART DU RAISONNEMENT GLOBAL SUR LE MONDIALISME 〈 3 〉
– émaillé de réflexions philosophiques –
rappel 2ème partie : LA RACE BLANCHE… ET LES AUTRES.
LE LANGAGE & LE SILENCE
Une chose me frappe quand je repense à ces trois anecdotes. Je n’entends rien au M’pongwé, dialecte fang usité par le Chef de La Pointe Denis au Gabon. Je ne suis pas expert en Aymara non plus, que parlait Willka en Bolivie. Pas davantage en Pāli, l’idiome sacré des prières bouddhistes dites en Thaïlande.
Je pense au Latin utilisé autrefois par les prêtres catholiques pour célébrer la messe et au Grec ancien toujours en vigueur dans les offices orthodoxes, langues que peu de fidèles connaissent et comprennent bien sûr, mais qui produisent le même effet. Je reconnais là l’intelligence et la sagesse – au sens du « savoir » – des Catholiques dits “traditionalistes” qui ont conservé l’usage du Latin. Je pense aussi à l’Arabe classique utilisé par les Musulmans pour la lecture du Coran, qui n’est pas celui de leur naissance, au Pāli, langue sacrée des prières bouddhiques, à l’Hébreux chez les Juifs, etc.
Je pense aussi au silence et parfois à l’ascétisme imposé par les rituels d’Ordres monastiques et autres de par le monde.
J’ACCUSE L’ÉGLISE DE ROME DE COMPLICITÉ AVEC LE DIABLE quand ce dernier fut reçu en grande pompe au concile Vatican II. En réformant la messe pour “rapprocher l’Église du peuple” à la manière de vulgaires sergents-recruteurs, les cardinaux et les évêques conciliaires ont désacralisé la liturgie en tirant les fidèles vers le bas, vers la facilité, se faisant complice de l’acculturation programmée de l’humanité et sacrifiant à la mode perverse de la fausse-humilité. Dans le cadre de ce pseudo-populisme mièvre et geignard, les prélats ont aussi retourné la position du prêtre officiant pour qu’il soit tourné vers les fidèles alors que la direction naturelle vers laquelle il doit regarder est l’orient. A-t-on jamais vu un pasteur — pour reprendre le terme liturgique consacré — marcher à reculons pour conduire son troupeau ? Les manifestations de soumission au Diable mondialiste se font aujourd’hui de plus en plus marquées, comme la position du Vatican à l’endroit des migrants sauvages qui envahissent notre Terre (en réalité, de pauvres gens exploités et manipulés avec la complicité active de « Washington »). Jean Raspail l’avait bien souligné dans son livre prophétique Le Camp des Saints dont je vous recommande vivement la lecture et la relecture. Quand j’écrivais plus haut que « Satan s’était installé au Vatican », ajoutant « On dit qu’il a déménagé depuis », je pense plutôt qu’il a conservé les clefs de sa première demeure. Que ces prélats-là aillent au Diable puisqu’ils y ont déjà fait leur nid, rejoignant les hordes de barbares emmitrés de la clique d’Innocent III.
Bien sûr Rome a-t-elle conservé ses « Fondamentaux » : les Dogmes, pour ne pas faire fuir les fidèles du canal historique. On se croirait au Front National new look !
Certes, tous les Hommes d’Église ne sont pas à mettre dans le même panier. Mais quand on étudie de très près les causes réelles de la mort du Pape Jean-Paul Ier et les raisons réelles de la démission du Pape Benoît XVI, les plus candides d’entre les Chrétiens devraient se poser des questions réelles. Au reste, qui se souvient que la foudre (divine ?) a frappé le dôme de Saint-Pierre-de-Rome au moment même de l’abdication de Benoît XVI, la première depuis 1415 ?
Voir aussi l’article de Le Parisien.
Certains comprendront maintenant pourquoi je suis fier d’avoir “apostasié” pour rejoindre le Paganisme de l’Ancienne Tradition où le Mal est mal et où le Bien est bien.
Tous ces mots prononcés ou psalmodiées en langue sacrée sont pour moi des codes signifiants dont on doit se détacher, désignant des concepts signifiés sur lesquels on doit se concentrer. Je ressens ces ondes sonores au cœur même du plexus, messages à déchiffrer en me « rectifiant » comme disent les Rose-Croix. Mon intellect s’en trouve sollicité – ou plutôt activé – car débarrassé de toute idée reçue avec facilité et assimilée ainsi au monde profane. Il faut tout simplement, une fois adulte, pouvoir et savoir traverser la deuxième Porte Étroite du Milieu. Tout comme le nouveau-né franchit la première à sa naissance : le col de l’utérus. La troisième Porte ? – C’est la mort.
La barrière du langage ouvrirait-elle le chemin de l’âme ? Forcerait-elle l’homme à se projeter au-delà de la parole dans le mystère du non-dit ? Le mot « mystère » vient du Grec μυστήριον < mustèrion > qui désigne un culte auquel on n’est admis qu’après des initiations successives ; exemples chez les Chrétiens : le baptême, la confirmation et autres sacrements. Il est d’autres initiations plus dures. Cette question me taraude toujours l’esprit.
On observe que dans nos civilisations occidentales modernes, le Diable du Mondialisme s’évertue à couper l’homme de ses racines, donc de sa Race qu’il renie en bloc. Il parle même de « race humaine », ce qui est un non-sens absolu, LE DÉTOURNANT DE SON PASSÉ pour CONTRÔLER SON FUTUR.
Avant, on enseignait à l’école la logique, la rhétorique, la sémantique, la littérature. La musique, même. Le dessin aussi. Et bien sûr la géométrie, la mathématique, les sciences naturelles, l’histoire et la géographie. Sans compter la morale et l’éducation civique. On y apprenait le Grec et le Latin, langues qui ont présidé à la naissance de la nôtre, qui ont structuré notre esprit et construit notre mode de pensée. Oui. Mais ça… c’était avant.
N’est-ce-pas, Madame Vallaud-Belkacem ? Vous êtes bien Ministre de l’Acculturation Nationale, n’est-ce-pas ? Au fait, votre prénom est-il Najat ou Lilith ? Pardonnez ma question : votre jeu – ou plutôt le rôle qu’on vous a assigné – est si « malin »…
Suite : « Les 4 étapes de l’existence terrestre ».
(fécondation — naissance — vie — mort)