LA MANIPULATION FINALE − III : http://www.minurne.org/?p=5332
III – L’ENNEMI
1/ Les Islamistes ne sont pas des « terroristes »
Les sourates [1] du Coran de Médine compilées par le 1er calife abû-Bakr al-Siddiq et codifiées par le 3ème calife Othmân ibn-Affân sont des articles intangibles et insusceptibles de révision, posant les bases fondamentales d’une société nouvelle où les louanges vont à ceux qui combattent et meurent dans le djihad. À cela faut-il ajouter les nombreux hadiths [2], sorte de code de lecture rédigé par les exégètes du Coran, principalement Sahîh Muslim et Sahîh al-Boukhari.
La codification d’Othmân et l’imposition de l’Arabe comme langue unique de l’Islam sont le fait de la rapide expansion des armées mahométanes au début de l’Hégire [3] jusqu’en Irak et dans l’actuelle Syrie, soumettant et convertissant par la force des populations qui ne parlaient pas l’Arabe. Le Coran étant considéré par les Musulmans comme la seule et unique source de Droit, pour éviter toute mésinterprétation de la loi, il leur fallait établir une sorte de « Code-Civil-Religieux unique » pour cette nouvelle nation qui n’en n’est pas une au sens occidental du terme : l’Oumma [4].
Le Coran de Médine présenté par… Recep Tayyip Erdoğan (à gauche)
intéressant, non ?
On peut considérer que les sourates de La Mecque (avant l’Hégire) constituent « l’ancien testament » de l’Islam, tandis que celles de Médine (après l’Hégire) forment son « nouveau testament ». Encore faut-il préciser que de nombreuses sourates de La Mecque ont été abrogées à Médine où fut donnée une orientation bien moins théologique mais nettement plus politique, sociétale et législative. L’exemple le plus souvent cité de l’évolution des prescriptions en fonction de la règle de l’abrogation est celui des « Versets du Sabre » (Coran 9:5) ayant aboli 114 versets antérieurs qui prônaient une tolérance religieuse relative désormais disparue.
La négation de la notion de « race » contenue dans le Coran est un concept très intéressant à étudier : les Occidentaux bienpensants s’en font aujourd’hui les apôtres sans le savoir (manipulation subtile). Mais le rapprochement est fondé.
2/ Les Islamistes sont des « ennemis »
C’est là toute la différence. Contre des terroristes, on envoie les Forces de Police et de Gendarmerie spécialement formées et entraînées pour répondre aux menaces qu’ils génèrent. Mais en cas d’attaque extérieure ou infiltrée provoquée par un superorganisme étranger qui se déclare « ennemi », on envoie l’Armée. C’est ce qui se passe aujourd’hui sur le théâtre des opérations extérieures. C’est ce qui va se passer demain sur le théâtre des opérations intérieures : la France. [5]
Les Islamistes sont les soldats de l’Islam. Ils forment des unités cohérentes obéissant à une structure pyramidale volontairement protéiforme pour tromper l’ennemi. À entendre les Occidentaux parler d’« Islamistes modérés », ils doivent mourir de rire avant de rejoindre leurs 72 vierges au Paradis d’Allah, parés d’une belle ceinture d’explosifs damasquinée et ornée de pierres précieuses. Ben oui… au Paradis, on peut tout se permettre ! Mais Dieu sait que ces gens-là n’ont pas un sens de l’humour très développé…
Pour combattre un ennemi il faut savoir sa structure psychique d’ensemble et ses articulations sociétales internes. Le terme « ennemi » est en effet le seul mot sémantiquement employable en l’espèce : si « X » déclare que vous êtes son ennemi, il devient automatiquement le vôtre. Que vous le vouliez ou non.
La motivation des soldats islamistes est double :
- Étendre le territoire de la charia, le « Dar al-Islam » (دار الإسلام = textuellement maison de la soumission) ce qui les amène à partir à la conquête des terres non-musulmanes : le « Dar al-Harb » (دار الحرب = maison de la guerre) ;
- Combattre ceux qui peuplent le « Dar al-Harb » : les harbi (<harbī> ou حربي = guerriers). Mais pas n’importe quels harbi : ceux d’en-face, c’est-à-dire « nous », considérés comme kuffār (pluriel de kāfir ou كافر = incroyant ou mécréant) que le Coran commande d’exterminer. Sauf ceux des non-musulmans qui accepteraient la domination islamique et d’endosser le statut de citoyens de seconde zone ou « dhimmis » [6] (ذمّي) à savoir des non-musulmans tolérés qui payent l’impôt : la djizîa ou jizya جزية) [7] en contrepartie de la conservation de certains droits secondaires. C’est clair ? – Good !
Notre classe politique bienpensante offre de bien nombreux exemples de candidats à la dhimmitude.
Au plan de la stricte observance théologique, l’Islam a conservé volontairement et logiquement 1.300 ans de “retard” sur notre civilisation en fonction du principe de l’intangibilité du Coran et des hadiths. Les Islamistes sont donc demeurés scotchés aux pratiques de la guerre en vigueur à l’époque coranique. L’immuabilité est doctrinale. Ils n’ont pas signé la « Convention de Genève » et ne reconnaissent pas ce qu’on appelle niaisement les lois de la guerre, locution droitdelhommiste absurde aux effets pervers qui se retournent contre ceux qui prétendent les appliquer. (Je pense aux pitreries hypocrites du Tribunal Pénal International.)
En aparté, notons quand même que, si le massacre des populations civiles sans défense était pratique courante au VIIème siècle, les tapis de bombes anglo-américaines déversées en 1945 sur Hambourg, Dresde et Berlin et les bombes atomiques lancées sur Hiroshima et Nagasaki (où les alliés savaient de source sûre qu’aucune force militaire ennemie ne stationnait) y ressemblaient furieusement…
3/ Islamistes et Musulmans
Voilà un distinguo bien sommaire !
Les Musulmans ne sont pas des terroristes. Chacun connaît, fréquente et apprécie la gentillesse de l’épicier-du-coin-de-la-rue qui tient boutique jusqu’à minuit passé. De chauffeurs de taxi complaisants. D’ingénieurs aussi, ou même de médecins qui ne se reconnaissent nullement dans la barbarie islamiste et mettent leurs enfants en école privée (parfois même catholique) pour éviter que leurs rejetons subissent de mauvaises influences.
Très bien. De Mélenchon à l’agent Philippot, on les caresse dans le sens du poil pour s’attirer leurs voix aux prochaines élections. Ce qui est énervant en démocratie c’est qu’il y a toujours « des prochaines élections » ! Mis à part les incurables bobos-benêts-dhimmis, nos hommes politiques sont-ils des ânes bâtés ou des traîtres pervers ? – à mon avis, un peu les deux. Les cas les plus inquiétants s’observent chez les hommes politiques intellectuellement brillants. N’est-ce pas Monsieur Soral ? Rassurez-vous : vous n’êtes pas le seul…
Les « Musulmans modérés » : mythe ou réalité ?
Si les « Islamistes » constituent l’armée de l’Islam, les « Musulmans modérés » forment la société de l’Islam : l’Oumma.
Évidement, les « Musulmans Modérés » (civils) ne peuvent-ils et ne doivent-ils pas être assimilés aux Islamistes (militaires). Aussi voit-on fleurir dans le monde entier des protestations sincères de nombreux « Musulmans Modérés » qui twittent en langue impie « #NotInMyName ».
Ah, ces hashtags !
Cette manifestation imbécile est à prendre en considération. La société n’est pas multiculturelle mais multiacculturée. Quand elle incite le peuple à s’exprimer, La Voix du Minotaure lui fournit des éléments de langage volontairement truqués. Preuve en fut donnée après les attentats de Charlie-Hebdo où l’on vit fleurir des « #JeSuisCharlie » en-veux-tu-en-voilà, expression qui ne signifie strictement rien. Dire « #JeSuisMoi » est déjà difficile dans une société où l’on ne sait plus très bien qui on est, mais « #JeSuisMachin » est une marque de schizophrénie endémique galopante. Cette manœuvre d’intox générale conforte une fois de plus le Système dans sa toute-puissance : on peut faire dire au gens n’importe quelle ineptie sans percevoir le moindre rejet de leur part. Aussi aujourd’hui, voit-on fleurir des « #JeSuisBataclan » à foison.
Ce type de slogan collectif a pour but de canaliser les réactions d’une foule selon un critère unique. On lui fait endosser un uniforme. Il est bien plus simple de dicter sa conduite à un peuple sous contrôle. « #JeSuisAuxOrdres » eut été plus pertinent. Le principe de l’égalité par nivellement est une monstruosité. Tout le monde il obéit, tout le monde il est gentil.
Pour autant, le nombre de Musulmans – ou plutôt de personnes issues de culture musulmane – qui obéissent à La Voix du Minotaure est révélateur.
Or, de même qu’on ne peut se dire « Chrétien modéré », on ne peut prétendre être « Musulman modéré » : on est Musulman ou on ne l’est pas. À la limite peut-on concevoir qu’on est « Musulman modérément religieux » à l’image des sociétés occidentales issues de culture chrétienne qui (à part ceux qui se déclarent athées sans trop savoir ce que ça veut dire) ne renient pas vraiment le Christianisme mais ne pratiquent pas davantage le culte. Mais ceux qui prêchent « l’Islam de France » (j’ai même entendu parler « d’Islam civilisé » !) ne l’entendent pas de cette oreille. Toute la subtilité taqiyyesque d’Othmân consiste à avoir laissé dans le Coran certaines sourates écrites à La Mecque. Un Musulman « faussement modéré mais expert en Taqiyya » vous récitera, si jamais vous vous aventurez à mettre en doute la religion de paix et d’amour, les versets suivants :
- 2.256 : Nulle contrainte en religion ! Car le bon chemin s’est distingué de l’égarement. Donc, quiconque mécroît au Rebelle tandis qu’il croit en Allah saisit l’anse la plus solide, qui ne peut se briser. Et Allah est Audient et Omniscient.
- 109.9 : à vous votre religion, et à moi ma religion.
NE VOUS LAISSEZ SURTOUT PAS ABUSER ! Le Coran est un palimpseste [8]. Sachons que les sourates de La Mecque (rédigées avant l’Hégire, entre 610 et 622) sont antérieures à celles de Médine (rédigées après l’Hégire, entre 622 et 632). Or la règle de l’abrogation (sans la connaissance de laquelle le Coran est incompréhensible) est la suivante : si deux versets se contredisent le verset révélé en dernier abroge le verset révélé en premier. Or les versets 256 (s. 2) et 9 (s. 109) précités ont été rédigés à La Mecque, donc antérieurement aux « Versets du Sabre » qui le furent à Médine. Vous en tirerez les conclusions qui s’imposent.
♦ QUESTION : Pourquoi les Musulmans qui se prétendent modérés ne dénoncent-ils pas le « Coran de Médine » ? (Posez toujours cette question le plus innocemment possible.)
Pour donner le “la”, lisons d’abord quelques versets [9] :
- 002.191 : Et tuez-les, où que vous les rencontriez ; et chassez-les d’où ils vous ont chassés ; l’association est plus grave que le meurtre. […] S’ils vous y combattent, tuez-les donc. Telle est la rétribution des mécréants.
- 002.217 : […] Et ceux parmi vous qui abjureront leur religion et mourront Infidèles, vaines seront pour eux leurs actions dans la vie immédiate et la vie future. Voilà les gens du Feu : ils y demeureront éternellement.
- 004.74 : Qu’ils combattent donc dans le sentier d’Allah, ceux qui troquent la vie présente contre la vie future. Et quiconque combat dans le sentier d’Allah, tué ou vainqueur, Nous lui donnerons bientôt une énorme récompense.
- 004.76 : Les croyants combattent dans le sentier d’Allah, et ceux qui ne croient pas combattent dans le sentier du Tagut [10]. […]
- 004.89 : Ils (les Infidèles, « nous ») aimeraient vous voir mécréants, comme ils ont mécru : alors vous seriez tous égaux ! Ne prenez donc pas d’alliés parmi eux, jusqu’à ce qu’ils émigrent dans le sentier d’Allah. Mais s’ils tournent le dos, saisissez-les alors, et tuez-les où que vous les trouviez ; et ne prenez parmi eux ni allié ni secoureur.
- 004.91 : Vous en trouverez d’autres qui cherchent à avoir votre confiance […] Alors saisissez-les et tuez-les où que vous les trouviez. Contre ceux-ci, Nous vous avons donné autorité manifeste.
- 004.95 : Ne sont pas égaux ceux des croyants qui restent chez eux – sauf ceux qui ont quelques infirmité – et ceux qui luttent corps et biens dans le sentier d’Allah. Allah donne à ceux qui luttent corps et biens un grade d’excellence sur ceux qui restent chez eux. Et à chacun Allah a promis la meilleure récompense ; et Allah a mis les combattants au-dessus des non-combattants en leur accordant une rétribution immense.
- 004.102 : Les Infidèles sont pour vous un ennemi déclaré.
- 004.104 : Ne faiblissez pas dans la poursuite du peuple [ennemi]. […]
- 005.33 : La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et Son messager, et qui s’efforcent de semer la corruption sur la terre, c’est qu’ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient coupées leur main et leur jambe opposées, ou qu’ils soient expulsés du pays. Ce sera pour eux l’ignominie ici-bas ; et dans l’au-delà, il y aura pour eux un énorme châtiment.
- 005.38 : Le voleur et la voleuse, à tous deux coupez la main, en punition de ce qu’ils se sont acquis, et comme châtiment de la part d’Allah.
- 006.123 : Croyants, combattez les incroyants qui sont dans vos parages et qu’ils vous trouvent durs.
- 009.30 : Les juifs ont dit : Ozaïr est fils d’Allah. Les chrétiens ont dit : le Messie est le fils d’Allah. Tel est ce qu’ils disent. Qu’Allah les anéantisse !
- 048.29 : Mahomet est l’apôtre d’Allah. Ceux qui sont avec lui sont violents à l’égard des Infidèles et compatissants entre eux.
♦ RÉPONSE : tout simplement parce que le Coran est un et indivisible. Renier les versets médinois reviendrait à renier le Coran tout entier. Donc à apostasier. Or…
- Le Prophète a dit : “Celui qui quitte sa religion, tuez le !” (Sahîh al-Bukhari, 6.411).
- L’Envoyé d’Allah a dit : “Il n’est pas permis de verser le sang d’un Musulman qui témoigne qu’il n’y a d’autre divinité qu’Allah et que je suis l’Envoyé d’Allah, sauf dans ces trois cas : l’époux adultère, le coupable d’un meurtre et l’apostat qui abandonne la communauté musulmane.” (Sahîh Muslim, 3.175).
De plus, l’armée musulmane – les Islamistes – veille… Imaginez un instant qu’à l’occasion de troubles civils graves comme nous allons peut-être vivre (la météo n’est pas optimiste) un département entier ou même une ville soit « pris » par les Islamistes qui font allégeance à un Émir [11]. Que deviendraient nos braves Musulmans modérés qui-ne-feraient-pas-de-mal-à-une-mouche ?
De trois choses l’une :
- Une très infime minorité apostasie et prend les armes. Contrairement aux migrants que l’UE veut faire passer pour des « réfugiés », ils entrent en Résistance. Les plus chanceux se seront déjà réfugiés hors le périmètre déstabilisé mais auront perdu tout ce qu’ils n’auront pu emporter.
- Certains qui n’auront pu fuir, font de la résistance passive : leurs bureaux, magasins, voitures et appartements seront pillés, leur femme et leurs filles seront violées, eux-mêmes égorgés. Il n’y aura pas beaucoup de candidats.
- D’autres enfin (l’immense majorité) collaborent avec les Islamistes de gré ou de force. Mais ils vont avoir à donner des gages car les Islamistes qui auront pris le pouvoir local vivaient à trois pâtés de maison au temps de la République et les connaissent bien. Un par un, ils les mettront à l’épreuve. Le gentil épicier-du-coin-de-la-rue qui tient boutique jusqu’à minuit passé va aiguiser son grand couteau. S’il vous rencontre, il vous coupera le cou. Comment lui en vouloir ? C’est vous ou lui. Vous, vous choisissez « vous ». Lui, il choisit « lui » ! – Logique.
À cela s’ajoute qu’entre les personnes originaires d’Afrique du Nord ou du Moyen-Orient et les Gaulois, existe une disparité importante : « les acquis génétiques culturo-spirituels ».
Ces acquis se modifient diversement selon deux variables :
La « Déspiritualisation » des populations
- L’énergie spirituelle des Occidentaux a été anéantie à petit-feu par la société de consommation depuis la prise du pouvoir par le Peuple des Marchands (fin XIXème, début XXème). Je ne parle même pas de religion, qui est l’une des manifestations de l’esprit et de l’âme, mais de spiritualité pure. Privés de leurs ressources énergétiques intérieures, ils sont devenus amorphes comme cette grenouille qui cuit doucement mais sûrement dans son bocal sans avoir fait l’effort d’en sortir car la montée en température a été régulière mais lente. Ils ne trouvent plus que difficilement cette « ressource de régénération intérieure ». La déchristianisation de l’Europe est une partie du problème.
- Les extra-européens furent touchés beaucoup plus tard. Affectés depuis peu par le matérialisme, ils en usent encore comme d’un jouet. Leurs acquis génétiques culturo-spirituels sont toujours à vif. Leur contact avec la consommation a été trop rapide, ce qui les a préservés de l’endormissement progressif. Preuve en est leur fort attachement à la religion, même si nombre d’entre eux prennent conscience de la perversité intrinsèque de l’islam de Médine, qui est l’Islam « officiel ». Mise brusquement dans l’eau très chaude de la société de consommation, la grenouille peut réagir et sortir de la marmite.
Avantage indéniable aux extra-européens.
La rupture du dogme
À l’évidence, les dogmes furent établis par la main de l’homme (hadiths pour les Musulmans, encycliques pour les Chrétiens). Devant l’exercice impropre voire satanique de leur pouvoir temporel par les autorités religieuses, certains ont ouvert les yeux. Partout où sévissent les Religions du Livre. Un vaste et fort mouvement de régénérescence spirituelle s’opère pourtant en Occident, que ce soit chez les Chrétiens ou chez ceux qui ont abandonné l’Église de Rome comme Votre Serviteur.
3/ Il y a en France 3 catégories de Musulmans et quelques formations politiques
Il faut noter, à propos des élections Régionales en cours, le score alarmant de l’UDMF dans certaines communes d’Île-de-France. Keskecéksa, UDMF ? − Attendez-vous à savoir comme aurait dit Geneviève Tabouis, que si le parti Chrétien-Démocrate lecanuetiste a pudiquement caché son nom sous la pression de Sainte Bienpensance tout comme le journal La Croix a abandonné son logo en page de couverture, nos « Chers Musulmans de France », eux, avancent à visage découvert à la conquête du pouvoir en France sous l’étiquette de l’Union des Démocrates Musulmans Français. “Démocrates” ! Un bel exemple de taqiyya, à l’image des Fils de France de l’olivâtre Camel Bechikh qui fait encore illusion dans les salons de Candide auprès des dames à voilette qui prennent le thé.
Scores de l’UDMF au 1er tour, dimanche 6 décembre :
- 5,90% : Mantes-la-Jolie
- 4,71% : Villetaneuse
- 4,58% : Chanteloup-les-Vignes
- 4,38% : Les Mureaux
- 4,40% : La Courneuve
- 4,20% : Trappes
- 3,72% : Villeneuve-la-Garenne
- 3,70% : Stains
- etc.
L’UDMF de Nizarr Bourchada fait suite au PMF (Parti des Musulmans de France) fondé à Strasbourg par l’Algérien Mohamed Latrèche.
Rien de plus normal. Si l’Islam fut une religion à l’époque du Coran de La Mecque, le Coran de Médine en fit un mouvement politique subversif. Ce ne sont pas les Occidentaux qui ont abrogé le Coran mecquois mais Mahomet lui-même, chef de guerre des Musulmans. La religion Islam a été tuée dans l’œuf par ce « bédouin immoral » dont parlait Atatürk. Les disputes internes entre Mecquois et Médinois ne nous concernent pas.
4/ Les apostats de l’Islam
Apostasier est une démarche intellectuelle extrêmement lourde qui remet l’homme en question de fond en comble. Chez les peuples de culture musulmane, outre les sanctions létales (réelles) que nous venons d’évoquer – hadiths à l’appui – la pression est démesurée. Cette pression est accentuée par leurs acquis génétiques culturo-spirituels, par leur histoire (« récente » du point de vue du modernisme) et bien entendu par toutes les réticences familiales et sociétales que vous imaginez aisément.
La conversion de Musulmans au Christianisme atteint aujourd’hui des proportions impressionnantes.
Pour en bien comprendre leurs motivations profondes, je vous invite à suivre très attentivement la vidéo que vous découvrirez ci-dessous.
Il s’agit de l’enregistrement télévisé adressé à Barack Hussein Obama, Prédisent des États-Unis par le Frère Rachid, ancien Musulman apostat puis converti au Christianisme. De nationalité marocaine, Rachid a étudié l’Islam pendant 20 ans. Il prépare un diplôme sur le terrorisme. Fils d’un imam et théologien lui-même, il apporte la preuve par A + B que l’État Islamique (Daesh) agit bien an nom des préceptes de l’Islam originel, enseigné aujourd’hui partout dans le Monde et bien sûr en Occident notamment en France.
Le laxisme outrancier de nos Politiques est un CRIME CONTRE L’ESPRIT ET L’HUMANITÉ. Ceux des prétendus Patriotes qui continuent à courtiser les instances islamiques (particulièrement les nébuleuses islamistes liées à l’UOIF) à des fins électorales sont des inconscients ou des traîtres.
Cliquez sur l’image ci-dessus pour visionner la vidéo (08:35)
en Anglais − sous-titres en Français
Luc Sommeyre
Twitter : @l_sommeyre
luc.sommeyre@minurne.org
Transfert et publication autorisés en mentionnant « © www.minurne.org »
[1] Sourate (<sūraʰ> سورة ; pluriel : <sūwār> سور) signifie une « rangée de pierres » ou un « mur ». Ce mot désigne également une unité du Coran formée d’un ensemble de versets. Le Coran est composé de 114 sourates. Adjoint à d’autres textes fondateurs comme les hadiths, le tout forme un ensemble assez flou qui constitue la Sunna (سنة) signifiant cheminement ou pratique(s). Dans le Coran, le terme sunna est employé pour désigner la « loi immuable » de Dieu sous l’expression « Sunna Allah » (.سُنَّةَ اللَّهِ) qui signifie « règles de Dieu ». La Sunna est absolument immuable et insusceptible de révision.
[2] Les hadiths ou plutôt ʾaḥādīṯ (حديث ; pluriel : أحاديث) comprennent l’ensemble des traditions relatives aux actes et aux paroles de Mahomet et de ses compagnons, précédées chacune d’une chaîne de transmetteurs remontant jusqu’à Mahomet. Considérées comme des principes de gouvernance personnelle et collective pour les Musulmans, on les désigne généralement sous le nom de « tradition du Prophète ». Les hadiths auraient été rapportés par près de 50.000 compagnons.
[3] L’Hégire ou Hiǧra (هجرة = exil, rupture ou séparation) marque l’abandon par les compagnons de Mahomet de La Mecque pour l’oasis de Yathrib (ancien nom de Médine) où Mahomet arrive en dernier, le 24 septembre 622 selon notre calendrier actuel (grégorien).
[4] Oumma (كافر) = communauté des Musulmans dans le monde entier sans tenir compte ni de leur « race » ni de leur « nationalité », notions toutes deux étrangères à la loi coranique.
[5] « Puisque nous avons affaire [à l’étranger] aux mêmes terroristes, nous devons pouvoir recourir, le cas échéant, à des modes d’action qui s’inspirent de ceux utilisés à l’extérieur du territoire national » a estimé le général Pierre de Villiers, Chef d’État-major français, qui préconise « un renfort substantiel et durable des forces armées » [sur le territoire national].
[6] Le dhimmitude n’est envisageable que pour les « Gens du Livre » (<ahl al-kitāb> ou أهل الكتاب) c’est-à-dire pour les Juifs et les Chrétiens. Mais ça, c’est très, très théorique. Par contre, pour les Païens comme Votre Serviteur… on n’discute pas : couic !
[7] Cet impôt baisse en fonction de la progression de la conversion du dhimmi à l’Islam. No comment.
[8] Ici au sens figuré : œuvre dont l’état présent laissent apparaître des traces de versions antérieures. Au sens premier, un palimpseste est manuscrit d’auteurs anciens sur parchemin que des copistes ont effacé pour le recouvrir d’un autre texte : une espèce d’« ardoise magique ».
[9] Le premier nombre, avant le point, indique le numéro de la sourate. Le suivant est le numéro du verset.
[10] Tagut (طاغوت) : « Le Tagut est tout ce qui est adoré en dehors d’Allah » (imam Malik – 711-795).
[11] Si le cas est isolé ou si peu de territoires sont en état insurrectionnel, les Forces de l’Ordre et l’Armée auront tôt fait de les réduire. Si ce genre de situation se répète simultanément à de très nombreux endroits, nous serons en état de guerre civile. As simple as that!