MACRON PRÉSIDENT DE L’ISLAMOSPHÈRE
(L’Imprécateur)

 

Le discours prononcé par Macron au Qatar, disponible sur le site de l’Élysée, montre une connivence intellectuelle, religieuse, culturelle et bien sûr économique évidente, entre le président de la République et l’islam le plus rétrograde, sectaire, rigoriste, fondamentaliste et djihadiste : l’islam sunnite wahhabite. L’islam des Frères Musulmans, d’al-Qaïda et d’al-Nosra (« les petits gars qui font du bon boulot » de Fabius) et d’une grande partie des musulmans en France qu’il flatte pour obtenir leurs voix, comme il flatte les émirs pour obtenir leurs commandes.

Est-il sincère ? − Évidemment non. La question à poser est alors : “pourquoi ces discours flagorneurs ? Dans quel objectif politique et stratégique ?” L’objectif économique est, lui, évident. Les Arabes sont riches, très riches, même. Et Macron aime ceux qui, comme eux, réussissent à devenir milliardaires. Ce ne sont pas les pauvres qu’il va voir, les Arabes ruraux des déserts, les Sri Lankais, les Philippins qui triment comme des esclaves sur les chantiers de Riyad ou de Doha, ou comme, les femmes, esclaves domestiques et sexuelles dans les cuisines et les chambres des riches arabes. Ceux-là, qui ne « sont rien », ne l’intéressent pas.

Il ne se pose pas non plus la question de savoir comment ils sont devenus riches en prélevant leurs dividendes sur le travail des sociétés pétrolières et gazières occidentales qui ont découvert et exploitent ce que les Arabes avaient sous leurs pieds et qu’ils n’ont su ni découvrir ni exploiter.

Sur les autres questions, il ne vous répondra pas, et non plus ses amis Frères musulmans, les frères violeurs comme les Ramadan ou ceux de Cologne, ou même le grand maître de la finance arabe en France Dalil Boubakeur.

La réponse est que Macron est l’agent actif du multiculturalisme international pour l’effacement de notre histoire qu’il ignore, de notre culture dont il nie l’existence (« Je ne vois pas de culture française »), et de la religion dont les principes imprègnent notre république laïque, même beaucoup ne sont pas pratiquants.

Il met le christianisme sur un plan d’égalité avec le judaïsme et l’islam, tout en manifestant une préférence évidente pour l’islam. Comme un bonne majorité de l’intelligentsia française de gauche, les Plenel, Joffrin, Autain, Mélenchon et autres imbéciles sectaires de la Libre Pensée, à condition qu’elle soit d’extrême-gauche, anti-chrétienne, antisémite, immigrationniste et marxiste.

Dans son discours au Qatar, il ne prononce pas les mot « islamisme » ou « islamiste », bannis du vocabulaire élyséen depuis que les cinq membres permanents de l’ONU, les Émirats du Golfe et la Turquie, les grands pays du sunnisme, fers de lance de l’expansion islamiste dans le monde se sont entendus avec les pays occidentaux présents pour que le terme « islamiste » n’apparaisse plus. C’est depuis que le discours officiel ne parle plus de l’État Islamique, remplacé par « Daesh », belle tartuferie qui arrange tout le monde.

Barak Obama avait donné l’exemple en déclarant, après la décapitation du journaliste américain James Folley, que « L’État Islamique ne parle au nom d’aucune religion. Aucune religion ne dit de massacrer des innocents. Leur idéologie est creuse ». Or pour le coran, seuls les musulmans sont innocents, tous les autres peuvent être tués.

Sur le site sunnisme.com on commente les versets 89-90 de la 4ème sourate, dans lesquels Allah ordonne aux musulmans, en deux occasions différentes, de tuer les non-croyantsiis juifs et chrétiens. Et on vous y explique que nous les interprétons mal puisque le verset 48 précise « tant qu’ils n’auront pas émigré pour la cause de Dieu ». Conclusion : il suffit de se convertir à l’islam pour ne pas être une victime désignée aux sunnites djihadistes par le coran !

Le problème est venu de ce que, jusqu’ici, jusqu’à l’apparition du sunnisme ultra-radical de l’EI, les sunnites radicaux étaient unis contre le chiisme incarné par l’Iran, seul pays diabolisé par les Arabes du Golfe et l’Occident. Et l’on en revient à la question du début : pourquoi cette volonté des mondialistes, et de leur agent en France, Macron, de vouloir à tout prix développer l’islam et l’unifier sous la bannière du sunnisme radical ?

C’est que, pour la première fois, les sunnites, composante la plus forte du monde islamique, sont divisés entre eux. L’EI, battu militairement par Assad et par les Russes, mais dont les métastases se répandent en Afrique et en Europe, comme al-Qaïda, sont tous les deux des mouvements sunnites. Et c’est bien là que le bât blesse en Irak et en Syrie où ces deux pays comptent de fortes minorités chiites très proches du pays des ayatollahs, et aussi des minorités chrétiennes. L’Iran est la grande puissance chiite qui monopolise la haine de tous les autres états du Proche-Orient et plus particulièrement de l’Arabie Saoudite et du Qatar, temples du sunnisme, grands alliés de l’Occident en général et de la France de Macron en particulier.

C’est pourquoi les pays musulmans déstabilisés par les Occidentaux, qui y ont fomenté des « Printemps Arabes », sont comme par hasard les pays dont les régimes ont obtenu la paix sociale entre chiites et sunnites en passant par-dessus leurs différences. Les USA se sont d’abord servi de l’Irak de Saddam Hussein dans leur guerre contre l’Iran, qu’ils n’ont pas osé affronter directement. Puis, la guerre ayant été gagnée par l’Iran, ils se sont servis en 2001 des attentats contre le World Trade Center à New York pour agresser l’Irak et en faire leur base opérationnelle au Proche-Orient. Comme on sait, là encore, les choses ne sont pas allées d’elles-mêmes.

L’EI a été le second prétexte pour revenir en Irak achever le travail entrepris en 2003 et détruire la Syrie de Bachar el-Assad qui, lui aussi, avait réussi à faire cohabiter sunnites, chiites, Kurdes et chrétiens. Bien sur, Hussein était un dictateur, et Assad l’est aussi. Mais beaucoup moins “dictateurs” que ne le sont les Saoud en Arabie ou l’émir du Qatar. Dans leurs pays, il n’y a ni chrétiens (sinon clandestins) et bien entendu pas le moindre juif. Mais où, par contre, il y a des esclaves que des lois interdisent en théorie, ONU oblige. Seulement, jamais aucun tribunal islamique n’a condamné un trafiquant ou un employeur d’esclaves, tant qu’il paye les taxes. Et ils détruisent tout ce qui n’est pas musulman.

Bouddhas de Bamyiân – AVANT

Avant le passage des copains de Macron, il y avait un Bouddha gigantesque dans la niche et des petites statues de part et d’autre.

Bouddhas de Bamyiân – APRES

Après leur passage, plus de bouddha et plus de statues

En finançant al-Nosra, la France s’est rangée de fait dans le camp du sunnisme intégriste radicalisé. Le représentant de la Russie à l’ONU, Vitali Tchourkine, dans le langage très soft de la diplomatie, déclara à Moscou que c’était « un geste risqué ». Risqué, mais “politiquement correct” pour la France déjà partiellement islamisée.

C’est pourquoi Macron a pu déclarer sans rougir de honte que : « dans cette région tous les grands monothéismes sont nés, et l’islam est né de ce palimpseste de cultures et de civilisations qui font que, de manière indétricotable, irréductible, nos religions et nos civilisations sont liées… Ceux qui veulent faire croire, où que ce soit dans le monde, que l’islam se construit en détruisant les autres monothéismes sont des menteurs et vous trahissent ». On est en droit de s’inquiéter de la lucidité du président. Comme beaucoup d’énarques, il n’a aucune connaissance historique de l’islam : tous les pays sunnites punissent (au minimum cent coups de fouet) tout prosélytisme de quelques religion que ce soit envers les musulmans, interdisent aux musulmans de changer de religion (du fouet à peine de mort) et punissent de mort l’apostasie de l’islam. De plus, dès que l’islam sunnite est majoritaire quelque part, il interdit les autres religions, détruit les églises, les statues et les temples, les Bouddhas et autres symboles de mécréance qui “offensent Allah”.

Un pied et une main croisés (pied gauche et main droite par exemple) = un voleur. Si l’islam devient majoritaire en France comme le souhaite Macron, faudra-t-il amputer les voleurs de sacs à main et de voitures, les pilleurs de banques et d’appartements ?

Au lieu de promouvoir les valeurs d’origine chrétienne qui ont fondé la république et la civilisation occidentale, le respect de la personne humaine, le respect de la femme, la liberté de penser, la liberté de religion, la notion de progrès, etc., Macron défend la société multiculturelle où “tout se vaut”, une case en paille égale la Sainte Chapelle, une monstrueuse gonflure en plastique de Koons égale Michel Ange, une amputation égale une peine avec sursis, où la seule chose qui vaille mieux que tout le reste, c’est l’islam.

Macron est le pourvoyeur d’un projet de gouvernement mondial technocratique, et il veut l’islamisation de la France.

Il est patent que Macron et la gauche socialiste ont abandonné l’ouvrier et l’employé pour l’immigré musulman, le social pour le sociétal, le progrès qui améliore la qualité de vie et de l’environnement pour l’écologie réductrice et punitive, l’égalité pour la finance, en favorisant par exemple, les détenteurs de capitaux contre le propriétaire d’un bien immobilier, la France pour le monde américain.

Macron et les leaders politiques de la gauche et de LREM sont le protoclergé de l’islamisme radical en France.

Sources : Discours d’Emmanuel Macron sur la base al-Udeid au Qatar, discours d’Abu Dhabi, extraits de la presse française.

L’Imprécateur