Cet article reprend le sujet et complète les informations livrées par L’Imprécateur dans son papier récemment publié : FAKE NEWS LARMOYANTES.
La semaine passée, les chaînes de télévision américaines réputées « mondialistes » (donc anti-Trump) passaient en boucle une séquence où on voyait – et surtout entendait – les cris insupportables de jeunes enfants, voire de bébés que le vilain président Donald Trump avait, au mépris de toute humanité, séparés de leurs parents.
En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, les chaînes d’info en-continu françaises se sont mises à l’unisson à l’instar de inénarrable Time (photo ci-contre). Tous les zélés commentateurs « politiquement corrects » (c’est à dire opposés à la politique de Trump) ne rataient pas une si belle occasion de monter au filet comme on dit au tennis, trop contents de pouvoir appuyer là où c’est censé faire mal.
La riposte de Trump
Pris au dépourvu dans un premier temps, Donald Trump n’allait pas en rester là.
En bon communicant, il sait qu’il faut réagir en deux temps. Tout d’abord, allumer un contre-feu. C’est Melania qui va s’en charger en se rendant sur place, en même temps que la Maison Blanche réagissait pour faire cesser cette situation au plus vite. La tempête médiatique se calma et la seconde phase s’enclencha tout naturellement. La contre-offensive se poursuivit et nous ne tardions pas à apprendre que la petite fille de quatre ans qui hurlait au désespoir n’avait jamais été, en réalité, séparée de sa mère.
Bien sûr, une erreur au niveau de la rédaction est toujours possible et peut être commise en toute bonne foi…
Mais l’affaire ne s’arrête pas là. Je vous recommande la vidéo de BFM-TV qui est un moment d’anthologie. Kate McKenna, républicaine débat avec Nicole Bacharan, dont le moins qu’on puisse dire est qu’elle n’est pas une « trumpiste » convaincue. Cette dernière, après avoir eu un discours de portée générale sur le traumatisme subi par les enfants séparés de leurs parents, admet cependant que la loi sur l’immigration datait de… George W. Bush !
La vérité apparaît
C’est finalement un article de Clémentine Jallais paru dans Réinformation TV qui porte le coup-de-grâce à cette « légende urbaine » qui est en réalité une fake-news de la plus belle eau dans le but évident de charger un peu plus la mule, déjà très alourdie, de Donald Trump. Car l’erreur n’est plus plaidable.
Il s’agit d’une tentative (de plus…) de déstabilisation du Président des États-Unis.
Vous noterez que le silence règne aujourd’hui partout sur cette affaire, qui n’est plus reprise, à juste titre, que par ceux qui sont accusés de colporter ces fameuses fake-news. On s’étonnera ensuite du crédit de plus en plus limité que l’opinion publique manifeste envers ces médias mainstream qui s’apparentent de plus en plus des organes de propagande.
Jean Goychman
28/06/2018
_____L’usage des fake news dans le domaine de la manipulation de l’information (en français : « propagande noire » − langage technique) est devenue monnaie courante dans le camp ennemi. Cette propagation de fausses nouvelles (fake news) est servilement relayée par les valets-de-chambre de la presse, devenus de simples garçons d’écurie aux senteurs de chacal, pompeusement appelés « journalistes ».
_____Je suggère d’ailleurs de faire introniser Jean-Michel Apathie Grand Maître de l’Ordre du Chacal.
_____Après avoir savamment acculturé et tenté d’abêtir les populations occidentales par les jeux du cirque comme la « coupe du monde » ou des pantomimes exhibitionnistes comme la gay-pride (qui n’est jamais que l’étalage tragicomique d’un troupeau de pédés et de gouinasses dégénérés), ils entendent faire pleurer dans les chaumières pour mieux faire avaler leurs couleuvres gluantes.
_____Leur dernier cheval de bataille : les petits enfants. Ce n’est pas sans rappeler la mise en scène de la découverte du corps du petit Aylan en septembre 2015 [voir image ci-dessus] qui fit sauter chez les Européens le verrou de la raison devant l’invasion migratoire orchestrée par la funeste Frau Merkel. Ni le sauvetage de ce petit garçon accroché à un balcon par Mamoudou, migrant malien fait citoyen français par le Président Macron. Là aussi, la mise en scène était parfaitement huilée (ce qui n’enlève rien à la prouesse physique de Mamoudou ni même à son courage).
_____Et toujours de petits enfants… Le cynisme pervers et la vulgarité de la Bête Immonde fait augurer d’attaques contre l’esprit bien plus funestes encore.
_____Attendez-vous au pire.
Luc Sommeyre