Nous avons en France une élite parasite qui n’a jamais rien construit de ses mains, coupée des réalités, qui trompe son ennui par une quête perpétuelle de jouissance affichée et sans complexe, ladite jouissance étant renforcée par le mépris de classe et la satisfaction d’en imposer le spectacle au peuple sans qu’il ne puisse rien dire, voir la dernière fête de la musique à l’Élysée avec des pédés blacks.
La dégénérescence des mœurs dans une société s’est manifestée chez les Grecs par le passage d’Ulysse aux éphèbes, dans la noblesse d’ancien régime des chevaliers guerroyant sans cesse aux mignons poudrés et couverts de dentelle, et dans la société française moderne de la Résistance à LGBT, ou de de Gaulle à Macron.
Le glissement en cours de l’homosexualité à la pédophilie
Après le stade « gay » et ses déclinaisons, toléré chez l’élite (mais condamné par le peuple et la Justice) le signe que la fin est proche est la normalisation de la pédophilie portée par l’idée que l’amour universel que la nature a prévu entre hommes et femmes, peut être remplacé par la copulation entre hommes et hommes ou femmes et femmes, adultes et petits enfants. Le sexe est supprimé par le transgenre, le bi-genre, le queer, etc. Le stade ultime étant comme dans toute société moribonde le développement de la pédophilie comme tendance urbaine à la mode, portée par l’élite politique, juridique et administrative. Il lui suffit d’imposer l’esprit LGBT en utilisant la méthode dont ce mouvement a usé pour imposer sa gangrène : confusion du langage et des valeurs dites « républicaines » dévoyées (le droit au crime sexuel devenant une condition de l’égalité républicaine), absence totale de morale et culot monstre, inversion des valeurs. Aujourd’hui, vous vous retrouvez au tribunal si vous émettez la moindre critique contre ces pauvres déficients de l’amour qui ont bien le droit de s’aimer comme ils veulent puisqu’ils ne peuvent pas, ou ne veulent pas le faire conformément aux lois naturelles. Il devient « in » d’être gay, ça devient même un atout professionnel comme l’a montré le film Le Placard.
Seuls les prêtres sont montrés du doigt, pas les autres
Un prêtre lance ces jours-ci une pétition pour demander la démission de Mgr Barbarin, accusé de ne pas avoir dénoncé il y a plusieurs années un prêtre accusé de pédophilie. Accuser les prêtres, l’épiscopat et le pape de pédophilie, c’est tendance, la religion catholique, contrairement à la musulmane, exigeant un homme et une femme, leur consentement mutuel et l’âge de la puberté pour les deux. À quand une pétition pour demander la démission du ministre de l’Éducation nationale parce qu’il ne dénonce pas publiquement le demi-millier d’enseignants qui, chaque année, font l’objet par les parents d’une accusation de pédophilie ? Parce qu’il va mettre en application à l’école une loi récente exigeant la préparation des enfants des deux sexes à l’acte sexuel dès l’âge de 8-10 ans (CM 1) ? Des parents auxquels l’Éducation nationale consacre beaucoup de moyens pour les convaincre de ne pas déposer plainte ? Un effort est fait, mais très insuffisant : 30 radiations d’enseignants en 2016, 27 en 2017, 30 en 2018. C’est insuffisant, mais tout de même beaucoup plus que UN prêtre de temps en temps.
Et côté islam, à quand #dénoncetonimam ?
Le législateur veut-il dépénaliser et protéger la pédophilie ?
Le législateur s’engage actuellement, en matière de pédophilie, sur la voie qu’il a suivie pour dépénaliser et protéger l’homosexualité.
On mélange les notions de mineur et de pubère, de soumission et de consentement volontaire. Si une fillette de 12 ans qui en paraît 16 a couché avec un homme de 40 ans qui avait autorité sur elle, c’est bien sûr parce qu’elle le voulait, et si la Justice pardonne à son agresseur, pourquoi ne pardonnerait-elle pas au malade qui a violé une fillette de 3 ans puisque les deux victimes étaient également mineures ?
Les tribunaux, pour dépénaliser le viol de garçonnets, s’enquièrent de savoir jusqu’où a été la pénétration anale, parce que s’il n’est pas prouvé qu’elle a été complète, ils peuvent déclasser l’affaire et la faire passer des Assises au Tribunal correctionnel où les peines sont beaucoup moins lourdes.
La loi Schiappa supprime l’âge du consentement des mineurs
Une loi a été votée récemment après le viol de deux fillettes de 11 ans par des « extra-européens » (!), après que les deux fillettes n’avaient pas pu prouver par des écrits ou des témoignages qu’elles n’étaient pas consentantes, si bien que les deux criminels, pourtant assez âgés, ont été relâchés. Cette loi a zappé au dernier moment sur l’âge minimum pour qu’il y ait consentement. Bravo à celui qui a convaincu les élus de la majorité de voter cette ignominie, et à la Secrétaire d’État aux droits des femmes qui n’est pas intervenue pour défendre les droits des jeunes mineures et mineurs, puisque cette loi entérine de fait que l’enfant violé est automatiquement consentant. En échange, ils espèrent bien récolter les votes aux Européennes des LGBT, des migrants nationalisés français et des musulmans. D’ailleurs, les LGBT sont en train d’ouvrir un nouveau piège, celui de « la souffrance des pédophiles qu’il est inhumain de priver de leur plaisir sexuel ». Ont-ils pensé à la souffrance des cannibales, cruellement privés par la civilisation occidentale de chair humaine ?
Ont-ils surtout pensé à la souffrance des enfants violés que la télévision appelle à témoigner chaque fois qu’un prêtre est impliqué dans une accusation de pédophilie. Cependant, si c’est un enseignant, un imam, un haut fonctionnaire ou un élu, pas d’enfants pour témoigner. C’est le black-out.
La France, c’est l’eldorado des pédophiles (Me Marie Grimaud)
En mai 2018, une avocate spécialisée dans la défense des enfants mineurs, Me Marie Grimaud, a déclaré que « La France, c’est l’eldorado des pédophiles ». La pression et la sanction judiciaires sont bien moindres qu’ailleurs en Europe, affirme-t-elle, « en France mieux vaut violer un enfant que de vendre du shit dans la rue ».
Aux États-Unis, les noms, adresses et photos des pédophiles récidivistes sont publiés pour que les familles du voisinage prennent des précautions et en donnant son adresse sur GoogleMaps, une famille américaine est informée de la présence ou non de pédophiles dans son entourage ; cela n’existe pas en France où la Justice privilégie le droit à l’oubli pour les délinquants au droit de la protection de l’enfant.
La Justice dispose du FIchier Judiciaire automatisé des Auteurs d’Infractions Sexuelles ou Violentes (FIJAISV). Il y a un peu plus de 80.000 personnes enregistrées dedans en deux sections : les agresseurs sexuels d’adultes et ceux d’enfants. Les lois françaises ne sont pas moins dures, souvent, que celles de nos voisins, mais elles sont peu ou partiellement appliquées : plus de 90% des viols sont correctionnalisés, les sanctions y sont beaucoup plus faibles et souvent mises en sursis, ou pas appliquées si la peine est de courte durée.
Trop de juges estiment que le violeur a droit a une seconde chance
Beaucoup de juges, notamment les hommes et ceux affiliés au fameux « Syndicat de la Magistrature », considèrent qu’un violeur d’enfant mérite une seconde chance, ce qui est mal connaître la psychologie des violeurs d’enfants. Un pédosexuel actif récidive presque toujours, car pour lui c’est le premier passage à l’acte qui est difficile, pas les suivants. Quant à l’obligation du suivi psychiatrique de 20 ans prévue par la loi, elle est rarement prononcée ou ramenée à 5 ans. Donc, ce ne sont pas les lois qui manquent en France, c’est la volonté de combattre la pédophilie. Récemment, les violeurs de deux enfants (un garçonnet de 5 ans et une fillette de 8 ans) ont été relâchés parce que les juges ont estimé que les enfants n’avaient « pas suffisamment exprimé leur opposition à l’acte sexuel » !
Écoutez l’interview de M. Grimaud en cliquant sur ce lien.
De plus, les rares associations qui travaillent, soit à la protection des enfants, soit, comme L’Ange Bleu, à l’assistance et à la rééducation des pédophiles, ont beaucoup de mal à obtenir des subventions, alors que les associations de défense des LGBT obtiennent tout ce qu’elles demandent. Il y a en France une sorte de tabou sur la pédophilie, à l’exception de celle des ecclésiastiques et des chefs d’entreprises toujours dénoncée à grand fracas médiatique. Celle beaucoup plus importante et fréquente des agents de la fonction publique, des élus, des homos ou (surtout) des migrants est minorée ou carrément passée sous silence. Et n’oublions pas qu’il n’y a pas que des hommes pédophiles, des femmes aussi s’y adonnent, comme certaines professeurs de quarante ans qui couchent avec leurs élèves garçons de plus ou moins 15 ans.
Références Internet
- https://www.sudouest.fr/2014/06/08/une-jeune-fille-de-16-ans-saoulee-et-violee-par-deux-hommes-sous-l-oeil-d-une-camera-1579176-7.php.
- https://www.ladepeche.fr/article/2016/01/05/2249835-video-viol-presume-net-deux-jeunes-arretes-perpignan-victime-confuse.html?google_editors_picks=true
- http://www.leparisien.fr/yvelines-78/yvelines-deux-jeunes-filles-sequestrees-et-violees-a-limay-19-04-2018-7672215.php
- https://www.bfmtv.com/police-justice/relation-sexuelle-avec-une-fille-de-11-ans-malgre-la-plainte-le-parquet-ne-poursuit-pas-pour-viol-un-homme-de-28-ans-1264564.html
- https://www.rtl.fr/actu/justice-faits-divers/trappes-deux-jeunes-filles-violees-plus-de-400-fois-par-leur-beau-pere-7781820002
- https://senepeople.com/2018/03/16/video-il-viole-a-mort-ses-2-nieces-de-6-ans-et-7-mois-regardez-la-reaction-des-habitants/
- etc.
L’Imprécateur
23/08/2018