L’industrie française de l’armement se porte bien et c’est tant mieux : 14 000 emplois directs y auraient été créés en 2013, 40 000 si l’on y ajoute les sous-traitants. Si cela continue, l’armée finira par s’autofinancer ! Mais ne rêvons pas, on en est encore loin.
En septembre 2014, France 2 avait énuméré les meilleures ventes : « Satellites, sous-marins et missiles, ce sont les meilleures ventes de l’industrie militaire française, qui ont connu un boom spectaculaire en 2013. » Boom renouvelé en 2014. Voici l’image illustrant l’article de France 2 :
Maintenant, revenons à l’enquête sur le crash du vol Air Malaysia MH17 en Ukraine. Souvenez-vous de la polémique médiatique quant au fait de savoir si cet avion avait été abattu par un missile soviétique tiré par une batterie Buk M2, ou par la même batterie mais avec des opérateurs de l’armée ukrainienne, l’OTAN défendant la thèse d’un tir russe pour accabler Poutine. Puis, l’analyse des débris de l’avion avait montré qu’il avait été abattu en l’air, les perforations dans la cabine de pilotage étant horizontales.
Abattu par des chasseurs soviétiques ou ukrainiens ? Nouvelle polémique.
J’avais expliqué à l’époque (1) qu’il s’agissait d’un missile de conception nouvelle explosant à quelques mètres de la cabine de pilotage et projetant des billes d’acier qui détruisaient tout dans la cabine et tuaient les pilotes en la traversant de part en part. D’où les impacts de sortie de projectile qui avaient intrigué les enquêteurs au début de leur enquête.
Cette thèse a été confirmée par les enquêteurs indépendants néerlandais et reprise par France 2 qui illustre l’article cité par Pujadas de la photo suivante, expliquant que le lanceur du missile est russe, donc Poutine serait le coupable.
L’ennui, c’est que si l’on retire le floutage et l’étoile rouge surajoutée, on retrouve la même photo que précédemment, celle d’un matériel qui serait français. D’ailleurs France 2 le reconnaît dans un autre article passé inaperçu ou presque, qui ironise sur le risque qu’il y a à vendre nos matériels de guerre français à des gens qui vont inévitablement s’en servir un jour ou l’autre dans des opérations qui ne vont pas dans le sens de la politique étrangère française.
Gêne en haut lieu politique, instruction donnée aux médias aux ordres de ne plus parler de l’affaire.
Le vol M17 abattu par un missile français, ça fait désordre !
Mais si l’on a la curiosité de glisser et déposer la photo de France 2 sur le bureau de son ordinateur, on voit apparaître la légende de la photo :
Si l’on poursuit la curiosité en allant sur un moteur de recherche, on trouve
M167 Vulcan – Military Factory www.militaryfactory.com/armor/detail.asp?armor_id… 21 août 2014 – The M167 was in use with all American forces up until 1994 at which point conventional ground-based guns were given up in favor of missiles …
Ce que confirme l’Encyclopédie des forces armées américaines dans laquelle il est expliqué que ce missile peut être installé sur touts types de matériels : en batterie sur des châssis automoteurs, à l’unité sur tanks, hélicoptères, sous-marins, avions… et qu’il en existe même une version qui peut être portée par un tireur à pied.
La photo de lance-missiles montrée par France 2 est donc celle d’un Vulcan M 167, matériel fourni par l’OTAN à l’armée ukrainienne. Comment s’appelle la diffusion d’une fausse information illustrée par une photo truquée ? On comprend mieux pourquoi les pays ayant participé à l’enquête ont conclu un accord de confidentialité qui permet à l’Ukraine d’interdire la publication des résultats.
Vol MH17 : L’Australie confirme l’existence d’un accord …ilfattoquotidiano.fr/vol-mh17-laustralie-confirme-lexistence-dun-accord-… 20 janv. 2015 – … l’existence d’un accord secret de confidentialité sur les résultats de l’enquête.
Comment les autorités veulent-elles que les citoyens aient la moindre confiance dans les déclarations officielles concernant les accidents d’avions, qu’elles viennent du président en personne, du BEA ou de tout autre personnalité ou organisme agréé ?
La vérité sur les mensonges d’État est toujours longue à apparaître tant les menaces sont lourdes sur ceux qui seraient tentés de la révéler et qui attendent trop souvent que tous les porteurs du mensonge soient morts avant de parler. Mais on apprendra bien un jour prochain que le vol malais perdu dans l’océan indien se trouve du côté de l’atoll américain de Diego Garcia et que le vol Air Algérie perdu au Mali se trouve où le disent les Touaregs, non loin de la frontière algérienne entre Gao et Tessalit. En attendant, ce n’est pas une, mais deux stèles qui ont été érigées à la mémoire des 117 victimes et que les familles ont été invitées à aller voir le 26 avril dernier. On a vu celle érigée au centre ville de Gao, voici celle qui se trouve sur le site présumé
D’autres photos du site ont été prises à cette occasion et avec de nouveaux morceaux d’avion qui ont dû être rajoutés, puisqu’ils ne sont pas sur les premières photos publiées par les militaires en juillet 2014, comme celle-ci
Souvenez-vous qu’à l’époque, la thèse officielle était que l’avion avait été pulvérisé par une onde de choc en retour si violente que l’on ne pouvait en trouver que des morceaux minuscules et des parcelles infimes de chair (en l’absence de dents !) qu’il avait fallu récolter à la pince à épiler avant de tenter d’en identifier l’ADN.
Qu’y a-t-il donc dans les cercueils présentés aux familles ?
Cela dit, l’Elysée a raison, quand on ment, il faut aller jusqu’au bout de l’habillage du mensonge.
Maurice D.
(1)
Maurice évoque certains articles consacrés en 2014 au crash du vol MH 17 au dessus de l’Ukraine.
Ils avaient été publiés sur l’ancien site Minurne.fr, fermé le 3 décembre 2014 par la police politique du gouvernement français, sans motif, sans décision de justice, et sans avertissement préalable.
Nous en reproduisons l’essentiel ci-dessous, afin que les lecteurs intéressés puissent s’y référer. Malheureusement, seuls les textes ont pu être récupérés, notre ancien hébergeur blog4ever ayant refusé, sans doute sous la pression du gouvernement, de nous restituer les fichiers photos.
Un sérieux faisceau de présomptions nous incite à penser que les articles argumentés de Minurne.fr consacrés à certains crashes bizarres sont bel et bien à l’origine de la fermeture panique du site.
Nous devrions donc raisonnablement nous attendre à une attaque virale massive prochainement, la tyrannie du gouvernement Valls ne lui permettant pas (encore) de fermer un site helvétique…
Marc Le Stahler
ARTICLE PARU SUR MINURNE LE 25 JUILLET 2014 (« L’ETE MEURTRIER »)
On a compris assez vite que le vol MH 17 Amsterdam-Kuala Lumpur avait été abattu par un missile. Les premiers jours, un quarteron de « spécialistes » sont venus expliquer doctement dans la presse et les télés qu’abattre un missile à 10 000 mètres nécessite un matériel perfectionné et surtout, surtout « une dizaine de servants, au moins ! » (C dans l’air, iTélé, BFMTV, etc.). Conclusion subliminale confirmée dans les jours qui ont suivi par la C.I.A. et reprise par Obama et ses toutous Cameron et Hollande : la Russie a fourni l’Ukraine en matériel pendant des années, elle fournit encore les dissidents pro-russes, elle seule a les techniciens formés à l’usage des lance-missiles sol-air de longue portée, c’est Poutine le coupable.
Pas de chance, on apprend que le lance-missile en question est un Buk-M1. C’est bien un matériel soviétique de fabrication récente, mais voilà le détail qui tue : un site polonais, Defence24.pl, spécialisé dans le matériel militaire, affirme que Buk-M1 est complètement informatisé, système de visée, positionnement, etc. et que « Malheureusement, aujourd’hui, quiconque qui sait faire démarrer un ordinateur est capable de faire marcher un lanceur de missiles rien qu’en suivant les procédures. » Autrement dit, n’importe quel crétin se trouvant seul (ou avec des amis) avec un Buk-M1 sous la main, à condition bien sûr que celui-ci soit chargé et alimenté en courant électrique, peut déclencher le tir sur un avion donné, à condition encore qu’il dispose de l’un des logiciel qui donne en temps réel le code et la position de n’importe quel avion en circulation (facile à télécharger et gratuit, http://www.flightradar24.com/48.71,3.52/6 et qu’il sache lire sur son GPS ou autre androïd, sa position GPS au sol. « Le système Buk-M1 est un peu comme un fusil : un sniper peut s’en servir aussi bien qu’un « analphabète » en matière de tir, il suffit de lui montrer quelle cible il faut viser« , poursuit Defense24. » Rien ne permet donc d’affirmer que l’armée russe est impliquée dans le meurtre des 298 passages du vol, comme l’a affirmé le Daily Mail qui, à sa une, accuse Poutine de meurtre sans apporter la moindre preuve. De plus, on apprend qu’un Sukoï SU25 de l’armée ukrainienne était à environ 3 km du Boeing et des journalistes cameramen ont filmé des impacts de balles sur plusieurs des débris du Boeing retrouvés au sol.
Le Boeing se serait crashé « dans un champ« . Or, Flightradar montre bien la positon à proximité de la frontière à 13 h 21au moment précis où le Boeing cesse d’émettre, mais un grossissement de la vue satellite montre qu’il est tombé dans une zone peut-être rurale, mais urbanisée.
Autre point d’interrogation, il y aurait eu à bord une personnalité scientifique d’envergure internationale dont le nom n’a pas été révélé. Les Polonais pensent que les séparatistes ukrainiens pro-russes sont les coupables : « Sans être formés et sans expérience, ils ne pouvaient que manipuler le système, peut-être incomplet, de manière « grossière », en tirant sur tout ce qui bougeait, pensant que tout avion devait faire partie de l’armée ukrainienne« , explique Defense24. « Un chefaillon cosaque, dont la conversation téléphonique a été interceptée par les forces spéciales ukrainiennes, semble ne pas comprendre ce qu’est le trafic aérien : « Ça veut dire qu’ils transportent des espions ?… Pourquoi ces cons se fourrent ici ? C’est la guerre, putain » dit-il, selon Defence24. La C.I.A. semble avoir été convaincue par cette explication et convient que « L’explication la plus plausible c’est qu’il s’agit d’une erreur… d’une équipe de séparatistes pro-russes mal entrainés« . Cela est confirmé par le fait que le MH17 s’était déporté à 180 km environ au sud de son couloir théorique de vol, visible en pointillés rouges sur la première des deux photos de Flight radar ci-dessus. Or, peu avant de quitter le ciel polonais, il avait infléchi son vol vers le nord pour retrouver ce couloir, puis il change d’avis et repart plus au sud. Pourquoi ? Pour éviter des orages ? Ou parce qu’il en a reçu l’ordre du contrôle aérien ukrainien ?
ARTICLE PARU SUR MINURNE LE 14 AOUT 2014 (« 3 CRASHES, 3 MENSONGES »)
Pour le crash du Boeing malais MH17 immatriculé 9M-MRD en Ukraine, nous avons maintenant des témoignages précis, notamment celui de Michael Bociurkiw, l’un des premiers enquêteurs de l’OCSE (Organisation pour la Coopération et la Sécurité en Europe) arrivé sur le lieu du crash, en limite d’une zone pavillonnaire proche de Donets.
Observez bien la photo du haut : c’est celle d’un avion qui vient de faire un chute de 10 300 mètres « avec un angle de près de 90° » autrement dit verticalement, les débris sont éparpillés sur moins de 300 mètres, et, malgré la violence du choc il y a de gros morceaux, les moteurs, le train d’atterrissage, de nombreux sièges, bagages et corps très abîmés mais le plus souvent identifiables, le sol est recouvert d’une épaisse couche de débris. Il y en a pour plus de 150 tonnes, l’avion est bien là, entier, bien que certaines zones aient brûlé à cause du carburant (photo du train d’atterrissage).
À comparer avec celles du vol d’Air Algérie tombé lui aussi de 10 000 mètres sur lesquelles il n’y a rien, que quelques miettes au milieu d’arbustes à peine brûlés malgré la sécheresse du pays.
La presse, Hollande et son gouvernement nous racontent n’importe quoi.
MH17 est tombé le 17 juillet. On nous a seriné pendant un mois que les Russes étaient coupables, puis les séparatistes russes à l’Est de l’Ukraine (« si ce n’est toi, c’est donc ton frère »).
Il fallait impliquer Poutine pour justifier les mesure d’embargo totalement débiles, qui ne gênent pas beaucoup Poutine, mais vont coûter une fortune à nos exportations agricoles.
Le New Straits Times, journal de référence en Malaisie, vient de faire sa une sur les premières conclusions des experts au sujet du crash du vol MH 17 de la Malaysia Airlines dans l’Est de l’Ukraine. Elles mettent hors de cause les rebelles et pointent le doigt sur les forces armées du gouvernement de Kiev. Selon l’examen des débris, le Boeing 777 n’a pas été la cible d’un missile parti du sol (« sol-air ») mais d’un engin tiré par un avion (« air-air »). En prime, des impacts d’obus tiré par des canons de 30 mm ont été relevés sur la carlingue de l’avion.
L’OCSE, les services secrets US et un ancien pilote de ligne arrivent à la même conclusion : le vol MH17 n’a pas été abattu par un tir venant du sol mais par un missile tiré depuis un avion, il est ensuite parti en vrille avant que deux avions tirent au canon en direction du cockpit.
Notons cependant que les résultats des boites noires n’ont toujours pas été publiées. Ensuite, que les médias continuent massivement à faire leur propagande antirusse commencée alors qu’ils ne savaient rien. Si le coupable est le gouvernement ukrainien (qui a pris le pouvoir par un coup d’État), pourquoi prend-t-on des sanctions contre la Russie ?
L’armée ukrainienne a-t-elle confondu le vol MH17 avec celui du Président Poutine ? D’où son acharnement à vouloir éliminer tout éventuel témoin survivant en tirant sur le cockpit ? Dans ce hypothèse, les sanctions contre la Russie perdraient leur « justification », et l’UE (comme Hollande et Fabius) se retrouveraient une fois de plus piégés par leur allégeance à Washington !
Pour ceux que la technique intéresse :
La censure imposée par les médias occidentaux, n’a pas pu empêcher de découvrir que le fuselage du côté droit du poste de pilotage de l’avion est percé par des éclats, avec les bords repliés vers l’extérieur, ce qui indique que de petites explosions se sont produites à l’intérieur de la cabine de pilotage.
Mais les traces de projectiles parfaitement rondes qui sont entrés du côté opposé, ont traversé le poste de pilotage sans exploser. Alors que l’ogive d’un missile Buk-1M aurait explosé en une grosse boule de feu.
Les impacts dans le panneau du fuselage du côté droit du cockpit du vol MH-17 ont été produits par un projectile de type explosif-incendiaire visant à produire des foyers d’incendie à l’intérieur de la cabine. De petits éléments des cadres du pare-brise en alliage d’aluminium étaient fondus en raison de l’incendie.
Dans la bande de cartouches pour les canons embarqués à bord des avions de chasse, l’armurier insère quelques projectiles en alliage de tungstène (ayant une plus grande capacité de pénétration), similaire au système américain à base d’uranium appauvri.
Mais pas au point d’exploser, perforer l’enveloppe de l’avion, traverser la cabine de pilotage et de sortir de l’autre côté.
Les tirs ont été effectués par un pilote de chasse expérimenté, qui a visé uniquement la cabine de pilotage.
Cela est démontré par le fait que la section de fuselage à l’arrière du poste de pilotage est restée intacte et ne comporte pas de trous qui auraient pu être causés par des éclats de projectiles.
La disparition est déterminée par la fin de l’émission du transpondeur du vol MH-17 et l’arrêt du fonctionnement de sa station de radio, alimentés tous les deux électriquement et montés dans le cockpit. Au moment où avaient lieu ces deux événements, l’avion est entré en plongée avec un angle proche de 90 degrés. Très probablement en raison de la déficience physique (tués ou blessés) de l’équipage à contrôler l’avion, et de la destruction des éléments de transmission des commandes avec le manche et le palonnier.
Personne dans les médias n’a parlé d’une chose élémentaire liée à un Boeing 777 : les commandes de vol du pilote sont transmises de la cabine par des circuits électriques de type fly-by-wire.
C’est pourquoi un court-circuit dans l’installation électrique dans la cabine désactive le transpondeur et la station de radio.
Lors de la conférence de presse du Ministère de la Défense de la Fédération de Russie du 21 Juillet 2014, le chef d’état-major général et le chef de l’aviation militaire, les lieutenants généraux Andrey Kartopolov et Igor Makushev ont démonté tous les mensonges concoctés par de hauts responsables américains et de l’OTAN, mensonges ensuite amplifiés par les médias occidentaux et notamment français.
Pour brouiller les pistes, les Ukrainiens ont abattu l’avion malaisien au moment du passage de relais avec les russes entre l’espace aérien ukrainien et le russe. J’ai tous les détails de la procédure, mais c’est très long, je vous en dispense ! Sachez cependant que dès que les Russes ont vu les deux chasseurs ukrainiens prendre le Boeing en chasse, ils ont mis leurs propres chasseurs en alerte. Mais ils devaient attendre que l’avion ait franchi la frontière pour pouvoir attaquer les chasseurs ukrainiens et protéger le Boeing, sous peine d’un incident international qui aurait un fois de plus été mis à la charge des Russes. Toutefois, prévoyant cette possible intervention russe, les Ukrainiens avaient mis en batterie au ras de la frontière non pas une mais quatre batteries de BUK-M1 prêtes à descendre les chasseurs russes.
On a déclenché des guerres mondiales pour moins que ça !
ARTICLE PARU SUR MINURNE LE 23 OCTOBRE 2014 (« CAFOUILLAGES, MENSONGES ET FARIBOLES »)
Au vu des trous dans la carlingue à hauteur du poste de pilotage, il a été dit qu’il s’agissait d’obus de 30 mm. Mais à peine l’article était-il publié sur Minurne, que je recevais un mail d’un spécialiste de l’armement aéronautique : le chasseur ukrainien était un Mig, et il n’a pas tiré des obus de 30, mais un missile programmé pour viser la cabine de pilotage et exploser à courte distance. Il projette alors des billes d’acier à 200 m/s, environ la moitié de la vitesse d’une balle de 357 Magnum (320 à 440 m/s suivant le type de balle et la longueur du canon). Elles font des trous de la taille d’une balle de golf jusqu’à la taille d’une boule de pétanque (en fonction de différents facteurs). Dépressurisation immédiate, mort des pilotes, instrumentation sérieusement endommagée. Les billes dont la plupart ressortent de l’autre côté du poste de pilotage y font des trous qui semblent avoir été le fait de tirs venant de l’intérieur de l’avion. Pas d’explosion à l’intérieur, ce qui complique l’identification de l’agresseur. Obus ou billes d’acier, le résultat final est le même l’avion tombe de 10 700 mètres dans un champ en limite d’un lotissement.