Céline, l’écrivain diabolisé du Voyage au bout de la nuit, disait que Charles Martel n’avait « rien vu« . Un million d’africains attendent sur les côtes Sud de la Méditerranée de venir vivre chez nous. Il y a déjà plus de 50 millions de musulmans en Europe selon les statisticiens et démographes européens, qui ne sont pas comme les nôtres astreints par l’interdiction des statistiques ethniques et communautaires, il en prévoient cent millions pour 2050. Mais dormez tranquilles braves gens, notre caste politique nous assure que tout se passe bien, « l’immigration n’est pas plus importante aujourd’hui qu’il y a cinquante ans« , disaient les intervenants (tous clairement de gauche) d’Yves Calvi à C dans l’air il y a quelques jours.
Comment peuvent-ils l’affirmer puisque les compter est en France passible des tribunaux, demandez à Robert Ménard. Mais dans d’autres pays européens, on compte, et notamment en Italie où l’on constate que de 17 000 par an en 1970 les « migrants » sont passés à 170 000 en 2014 et que depuis quelques semaines on tend vers les 350 000, voire plus si le mouvement continue à s’amplifier comme le calife Al Baghdadi l’a annoncé.
Les Français, les Européens, ont eux les yeux ouverts et commencent à s’en inquiéter. Ils ont peur, mais ils ne se révolteront que lorsqu’ils auront vraiment mal, et ils auront bientôt mal. Nos gouvernants tolèrent, favorisent même pour un grand nombre cette immigration, pensant qu’avec sa fertilité, sa religion d’amour et de paix et sa civilisation merveilleuse elle va régénérer la vieille Europe. Pourtant, ce qu’apportent les migrants, ils l’ont déjà sous les yeux : incivilités, refus de s’intégrer, d’apprendre la langue du pays qui les accueille, violence urbaine, exigences sociales et financières, polygamie, mariages forcés, excision et autres pratiques bafouant les droits de l’Homme que l’administration entérine faute de volonté politique pour les interdire et les combattre.
L’extrême violence que l’on voit autour de l’Europe, au Sud de la Méditerranée, aux portes de la Turquie, nous inquiète mais ne nous affole pas encore. La grande majorité des Français croient de bonne foi quelle s’arrêtera à nos portes, que les gouvernements feront le nécessaire pour empêcher qu’elle n’entre dans nos pays.
Mais ils ne feront rien ! Qu’ont-ils fait pour empêcher la prise de Palmyre sur les pierres de laquelle ils versent des larmes de crocodile ? Rien ! Où étaient les Rafale les F 16 et les hélicoptères d’assaut de la prétendue coalition ? Il fallait laisser Palmyre, ses ruines du patrimoine mondial de l’Humanité, ses champs pétroliers et gaziers à l’E.I. qui va se charger de régler son compte à Bachar el-Assad. El-assad, c’est la priorité des priorités. Et la population de Palmyre ? Quoi, vous parlez de quoi là ? On s’en fout à Washington et à l’Elysée ! Ils vont être torturés, égorgés, mitraillés par paquets de 50, chargés à la pelleteuse dans des camions à ordures et jetés dans des charniers ? Les femmes et les petites filles vont être violées, mises en esclavage sexuel, excisées de force si elles ne l’étaient pas déjà, leurs bébés écrasée à coups de pierre pour faire la place à d’autres bébés, issus des copulations bestiales des djihadistes, qui seront de bons petits musulmans sunnites à qui l’on apprendra le Coran et à égorger dès la maternelle, puis à utiliser kalachnikovs et produits incendiaires dès 7 ou 8 ans ? Et alors ? On s’en fout ! Palmyre était restée fidèle à Bachar ? Ils n’ont qu’à crever ces sales arabes qui n’ont pas compris que le progrès c’est le califat sataniquement islamique d’E.I.
On est comme ça à la Maison blanche, à l’Elysée et au Quai d’Orsay, on a ses amis, les sunnites wahabites et salutistes d’Arabie et du Qatar, antisémites qui tuent, égorgent, pendent, crucifient, excisent, violent, mettent en esclavage mais sont très riches de pétrole et de gaz, et ses ennemis, les dictateurs, oui c’est vrai, des dictateurs, mais laïcs, souvent socialistes, qui font cohabiter races et religions sous une poigne de fer mais amènent ainsi les peuples au vivre ensemble que l’on glorifie chez nous en Europe et en France où grâce à la politique sociale Valls-Cazeneuve il se dégrade à grande vitesse. À ces dictateurs, il faut prendre leur gaz et leur pétrole s’ils en ont. Parce que ceux qui n’en ont pas, comme en Erythrée, où la population fuit le régime musulman et sa terreur, inutile d’aller y intervenir, il n’y a rien à récupérer vous diront Obama, Hollande et Fabius.
Les djihadistes d’E.I. et d’Al Qaïda (les amis de Fabius qui trouve qu’ils « font du bon boulot« ) ont besoin de femmes. C’est normal, à la vitesse où ils les tuent après s’en être servis, ce qui est normal aussi puisque ce ne sont que des Yézidies, des Alaouites, des Chrétiennes, des Kurdes, des Sunnites, mais Syriennes et assadistes, que le Coran autorise à mettre en esclavage et à tuer puisqu’elles ne sont pas plus humaines que les chèvres et les chamelles dans lesquelles les djihadistes, comme le faisait le prophète dans sa jeunesse autrefois, assouvissent leurs glandes. C’est juste et légitime puisque c’est écrit dans le Coran. Donc ils font appel à la générosité internationale.
L’Europe, et surtout la France, y répond en laissant partir des jeunes femmes vers la Syrie, via la Turquie ou l’Algérie. Elles sont de plus en plus nombreuses, plusieurs centaines selon l’International Centre for the Study of Radicalisation basé à Londres. Quand elles quittent la France, les plus maladroites sont arrêtées et mises en examen pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste« , mais selon les ONG présentes à la frontière turco-syrienne, des dizaines arrivent quand même de France. L’État islamique a autant besoin de reproductrices que d’hommes pour construire sa nouvelle société musulmane dans la seule vraie foi, comme le prétend sa propagande. Les plus diplômées sont très recherchées car E.I. manque de cadres pour son administration, les moins diplômées sont mères porteuses ou prostituées aux djihadistes. Ce que la propagande islamiste appelle « participer à un rêve collectif romantique en exprimant le rejet de la société occidentale décadente« . On peut douter que leur rêve était vraiment de se faire sauter dix fois par jour ou plus par des mecs sales et brutaux, mais cela se fait dans la légalité la plus stricte, conformément à la charia.
Car, sachez-le, chez les musulmans on ne rigole pas avec la morale, comme chez suppôts du de Satan que sont les occidentaux de gauche. Pas de coucheries, pas de baise en état d’ivresse ou de shoot, pas d’homosexualité, tout ça est puni de lapidation ou pendaison. À l’entrée du bordel musulman, car il faut bien appeler les choses par leur nom, il y a une « salle des mariages » où les filles, voilées cela va de soi, attendent les maris. Ceux-ci choisissent en posant des questions à l’imam, un imam de service marie le couple, le mari paie à l’imam le coût de la cérémonie dont le montant varie en fonction de l’âge de la fille, les plus jeunes, dès six ou sept ans, et les plus blondes étant les plus recherchées.
Si elles son capturées, la fillette blonde vaudra au marché aux esclaves puis éventuellement au bordel musulman si l’acheteur en décide ainsi, près du double du prix de sa mère.
Le mari rentre dans un cagibi sans lavabo, juste une paillasse où il consomme le mariage sans attendre, sans douceur, sans préliminaires et sans précaution, car si la fille est enceinte, c’est tant mieux, une bonne pondeuse doit pouvoir donner 10 ou 12 marmots à l’islam « vrai ». Une demi-heure après le couple ressort, le même imam le divorce et la fille se rassied sur le banc en attendant le mari suivant.
Cela s’appelle le djihad-al-nikah (pas besoin de traduction) et contrairement à ce qu’affirment certains ulémas, ce n’est pas écrit noir sur blanc dans le Coran. C’est une invention récente des milieux fondamentalistes saoudiens qui, en 2013, ont émis une fatwa édictant que les femmes peuvent participer à l’effort de guerre avec leurs fesses et leur ventre dans des « mariages temporaires » d’une heure. Quand elle est malade ou usée, la fille plusieurs milliers de fois mariée et divorcée est jetée à la rue ou elle mendiera, ou bien abattue comme une vieille vache de réforme.
Ce n’est évidemment pas la description de cette vie réelle qui est faite aux candidates au djihad dans la propagande des sites comme ask.fm où on leur décrit une vie de femme épanouie au bras d’un mari prévenant et bien membré, pas comme ces occidentaux émasculés par l’apostasie, le vice et l’alcool, où elles rempliront une mission humanitaire exaltante. Et si leur mari, un homme courageux et pieux, tombe en martyr, elles seront des héroïnes de l’islam, seront envoyées au paradis d’Allah où re-virginisées elles seront à nouveau en groupes de 72, à la disposition des combattants de l’islam. À partir de ce premier site qui les a accrochées et fait rêver, elles sont orientées sur un site internet privé qui vérifie leur motivation et leur donne les indications pratiques pour effectuer le voyage vers Cythère, et éventuellement de l’argent. Mais dans ce dernier cas, elles doivent s’attendre à ce que l’investissement d’E.I. soit rentabilisé par le passage au bordel dans la salle des mariages.
À la différence du Hezbollah qui donne une vraie place aux femmes combattantes, E.I. recherche avant tout des reproductrices. Il y aurait même une école pour apprendre aux futures épouses à être de bonnes épouses musulmanes, toujours voilées, mais sans culotte, une invention occidentale répugnante, car le djihadiste n’a pas de temps à perdre en frivolités. Pour faciliter la prostitution musulmane, la fatwa a étendu le prétexte de la guerre au pèlerinage à La Mecque, et même aux voyages d’affaires et au tourisme. Ainsi le bon musulman qui nique reste partout hors du péché.
Les armées occidentales ont aussi leurs bordels objectent les autorités de l’islam. C’est vrai, mais la copulation ne s’y fait pas sous prétexte religieux et sans le consentement des filles qui, au moins, sont payées, alors que dans le bordel islamique, elles sont tout juste nourries et logées, et battues si elles manquent de docilité, ce qui, il est vrai, existe aussi avec les maquereaux occidentaux, surtout quand ils sont hongrois, bulgares ou arabes.
Les premiers témoignages des filles ainsi prostituées sont venus de Tunisiennes rentrant au pays, la Tunisie étant le premier pays où E.I. a recruté du cheptel féminin. Celles-là peuvent s’estimer chanceuses en comparaison des femmes considérées comme du butin de guerre par les djihadises, Yézidies, chrétiennes, chiites, alaouites, sunnites non salafistes, car là le Coran prévoit leur sort : elles sont à la disposition du djihadiste qui les a capturées, qui peut après les avoir violées les vendre ou les tuer, même en public, la police ne lui dira rien. De nombreux témoignages assurent que celles qui résistent sont exécutées sur place.
Maurice D.