Lettre au Baron GOULLET de RUGY
(Cédric de Valfrancisque)

                                                                                                                      « Monsieur, ce que j’admire en vous, c’est que vous avez le courage d’être vous-même ; avec tout ce que cela comporte de ridicule ! »
(Raymond Devos)

 


Nous savions, depuis 2017, que le gouvernement était composé de paltoquets, d’amateurs et d’incapables, mais Jupiter-Micron, conseillé par Bayrou, le crétin des Pyrénées, nous avait promis une « moralisation de la vie politique ».

On allait voir ce qu’on allait voir : des députés, des ministres honnêtes, intègres, irréprochables. Bref, la France ne serait plus une république bananière et l’un des pays les plus corrompus du monde civilisé (si tant est que la France soit encore un pays civilisé !)

Depuis, Ferrand, Bayrou-les-grandes-oreilles et la sorcière Cruella de Sarnez ont dû quitter le gouvernement avec des casseroles tintinnabulantes aux fesses…

Et voilà que « Média-Porc » nous apprend que l’aristo-pastèque (vert à l’extérieur, rouge à l’intérieur), le Baron de Rugy aurait allégrement tapé dans la cave de l’Hôtel de Lassay quand il était au perchoir, poste qui convenait parfaitement à sa vanité de paon.

Voyez-vous, Baron, nous avons UN point commun ; pas deux, pas trois, UN SEUL : nous sommes l’un et l’autre des petits hobereaux de province.

Votre famille reçut en avril 1785 des lettres d’anoblissement « en tant que de besoin ».

D’Hozier donne copie des dites-lettres accordées par le roi Louis XVI à Jean Melchior Goullet de Rugy en avril 1785. La famille Goullet de Rugy a accédé à la noblesse en 1765 par l’exercice d’une charge au parlement de Metz. D’Hozier mentionne en effet un membre de la famille Goullet de Rugy qui fut conseiller au parlement de Metz mais la charge de conseiller, au sein de ce parlement, ne donnait la noblesse qu’au terme de la deuxième génération d’exercice successif de la dite charge (anoblissement graduel).
Noblesse récente donc mais qui devrait vous imposer des valeurs, des principes moraux, des devoirs et, surtout, un minimum de dignité.

Feu mon père, qui était un seigneur, disait souvent: « porter un nom (ou un titre) ne donne aucun droit mais un devoir : celui de s’en montrer digne. »

Aristocratie, Baron, vient  du grec aristokratia (aristos, excellent, le meilleur, le plus brave et kratos, pouvoir). Ceci ne veut pas dire que nous soyons les meilleurs. Les fins-de-race de mon espèce ont bien peu de talent et pour ma part, sans fausse modestie, je n’en ai aucun susceptible de me démarquer de la médiocrité ambiante. Mais l’aristocrate doit avoir du panache, une posture, un comportement, des prises de position qui n’enfreignent pas les règles les plus élémentaires du savoir-vivre et de la morale chrétienne. C’est en cela qu’il peut, qu’il doit, être un modèle ou un exemple.

Bon, je vous concède bien volontiers des circonstances atténuantes : né en 1973 à Nantes, vous êtes le fils de Dominique de Rugy et de Maryvonne Fritz, tous deux enseignants, donc, je présume, de gauche ?

Vous avez fait des études correctes de « fils de profs » au lycée Guist’hau de Nantes, puis l’Institut d’Etudes Politiques (IEP) à Paris, dont vous sortez diplômé en 1994.
Mais, avant même d’avoir fini vos études, vous entamez une carrière de girouette politique : dès 1991, vous adhérez à « Génération Ecologie », le parti de Brice Lalonde, que vous trouvez « plus cohérent et plus pragmatique qu’Antoine Waechter ». Mais vous quittez  le mouvement en 1994.

En 1997, vous voilà chez les Verts, et vous vous présentez aux élections législatives de mai 1997 dans la 3e circonscription de Loire-Atlantique. Vous réalisez un score lamentable : 3,87 % des suffrages.

En 2001, allié au PS, vous voilà élu conseiller municipal de Nantes, dans le groupe des Verts. Adjoint au maire, chargé des transports, vous êtes aussi l’un des vice-présidents de la communauté urbaine. Vous n’avez jamais travaillé, ce qui, en France, vous prédestine à une belle carrière politique.

Mal remis de votre claque aux législatives de 2001, en 2007 vous faites alliance avec le PS.

Le 17 juin 2007, le ticket formé avec le socialiste Pascal Bolo obtient 52,03 % des suffrages, battant  le député sortant UMP Jean-Pierre Le Ridant.

Affilié au groupe parlementaire de la « Gauche Démocrate et Républicaine », vous êtes élu secrétaire de l’Assemblée Nationale le 27 juin 2007.

Aux municipales de 2008, vous êtes le candidat unique de la gauche à Orvault, et vous êtes encore largement battu. Mais vous êtes réélu député en juin 2012, dans le cadre d’une candidature « Europe Écologie Les Verts », reconduisant le ticket de 2007 avec Pascal Bolo, du PS.

Pour la présidence du groupe parlementaire EELV, vous poignardez dans le dos ce vieil écolo-gaucho de Noël Mamère en vous faisant désigner coprésident du groupe écologiste, en tandem avec votre copine, la blondasse au sourire niais Barbara Pompili, « poupée Barbie » de l’écologie.   

Le 27 août 2015, nouveau revirement : dans le journal « Le Monde » vous annoncez que vous quittez EEVL, dont vous dénoncez « l’absence de débat interne ». Quelques jours plus tard, vous participez à la création de « l’Union des Démocrates et Ecologistes », mouvement de centre gauche.

Mais vous laissez à votre ancien parti 11 600 euros de cotisations impayées.

Le 19 mai 2016, nouveau coup tordu : avec cinq autres députés, vous quittez le groupe écologiste, provoquant sa dissolution, et vous rejoignez  le groupe socialiste.

Votre sourire carnassier dissimule mal vos dents à rayer le parquet. Imbu de vous-même, ne doutant pas de votre bonne étoile, on vous retrouve candidat aux primaires de gauche en 2017.

Vous avez pour ambition de mettre « l’écologie au cœur du projet de la gauche », à travers 66 propositions démagogiques détaillées sur votre site internet.

Sur les questions de société, vous souhaitez, entre autres, légaliser le cannabis, l’euthanasie et le suicide assisté, ouvrir la Procréation Médicalement Assistée pour toutes les femmes et encadrer la Gestation Pour Autrui. Dès 2011, vous vous prononciez déjà en faveur de la GPA, partisan du mariage homosexuel, et vous estimiez que « l’adoption d’enfants est un droit qui devrait être ouvert à tous ».
Par ailleurs, vous déclariez que l’IVG et la PMA sont des « étapes dans l’émancipation des individus ». Et vous ajoutiez « n’être croyant, ni pratiquant, d’aucune religion ».

Devant un tel programme, certains vous soupçonnent d’être Franc-maçon.

Une chose est certaine, le 14 décembre 2017, vous avez été reçu en grandes pompes par le GODF *, rue Cadet. Vous y éreintiez publiquement Jean-Luc Mélenchon qui fait pourtant partie de la maison, es qualité de frère du GODF.

Êtes-vous franc ? Oui, comme un âne qui recule. Êtes-vous maçon ? Assurément non, car vous avez passé votre vie à démolir plutôt qu’à construire. Mais votre programme ressemblait assez aux « avancées sociétales » prônées par le GODF. A vrai dire, on s’en fout que vous soyez ou non « frère la gratouille ». Vous en avez le mental et vous êtes – au mieux ou au pire ? – un « maçon sans tablier » et, assurément, un arriviste sans le moindre scrupule…

Mais revenons aux primaires : le 15 janvier 2017, lors du deuxième débat télévisé, devant 1 750 000 téléspectateurs, vous prenez publiquement l’engagement de soutenir le vainqueur des  primaires. Le 22 janvier 2017, nouvelle claque : vous obtenez …3,82 % des voix.

Et moins d’un mois plus tard, vous reniez votre engagement – pourtant public – de soutenir le vainqueur, Benoît Hamon, et vous vous engagez sans la moindre honte aux côtés de Micron pour la présidentielle. La haute autorité des primaires qualifie votre attitude de « contraire au principe de loyauté ». On pense à cet adage bien connu des maquignons : « La parole vaut l’homme ou l’homme ne vaut rien ».

Car vous ne valez RIEN, Baron, vous êtes un félon, un renégat et un traître !

Candidat à un troisième mandat de député, vous êtes réélu sous les couleurs macronistes le 18 juin 2017. Aussitôt élu, vous postulez à la présidence de l’Assemblée Nationale **.

Pour obtenir le perchoir, vous vous engagez à remettre en jeu votre présidence de l’Assemblée à mi-mandat (selon la règle édictée  par « La République en marche »). Quelques jours plus tard, vous invoquez l’article 32 de la Constitution qui vous autorise à aller au terme de votre mandat. Encore une volte-face !

Le 24 janvier 2018, vous faîtes adopter par l’Assemblée une instruction générale interdisant le port de signes religieux « ostensibles » et contraignant les députés à avoir une tenue vestimentaire « neutre ». Vous êtes décidément, Baron, un bien triste personnage !

Le 4 septembre 2018, après le départ du pleurnichard Hulot, vous êtes nommé ministre d’État, ministre de la transition écologique et solidaire. Mais cette nomination est, en réalité, une exfiltration car, au palais Bourbon, certains vous qualifient de « con prétentieux ».

De plus, les révélations de « Média-Porc » commencent à « fuiter » et, en ce début de grogne des « Gilets jaunes », le tandem Micron-Philippe veut éviter un nouveau scandale.

J’ai omis de dire, Baron, que vous êtes père de deux enfants, avec votre première compagne dont vous êtes séparé. On raconte que vous auriez eu ensuite des faiblesses pour « Barbie » Pompili.

Et, le 16 décembre 2017, vous épousiez, à la mairie du 7ème arrondissement, Séverine Servat, journaliste à « Gala », un torche-cul « people » pour shampoingneuses et garçons-de-bains.

Alain Delon était un homme à femmes ; vous, vous êtes, semble-t-il, un homme à blondasses idiotes. C’est avec (avec ou à cause de ?) votre épouse – dont la distinction de poissarde ne m’a pas échappé – que vous auriez organisé, selon « Média-Porc », de somptueuses soirées privées en réquisitionnant du personnel de l’Assemblée Nationale, ainsi que du matériel et des consommables (notamment « de grands crus directement issus des caves de l’Assemblée »). Ces révélations, parues plusieurs mois après votre départ de l’Hôtel de Lassay, provoquent une vive polémique.

Gageons que ce sera encore une tempête dans un verre d’eau ! Je n’ose pas écrire « dans un bénitier » de peur de froisser votre athéisme militant.

A l’heure où j’écris, certains demandent votre démission ce qui tendrait à prouver qu’ils n’ont rien compris à la ripoux-blique « exemplaire » voulue par Micron : on se gave entre voyous « et en même temps » on méprise la valetaille, ce populo qui fume et qui roule au diésel : CQFD !

Cédric de Valfrancisque
12 juillet 2019 

* Grand Orient de France

** Dans le cadre de cette fonction, François de Rugy avait pour résidence administrative le luxueux Hôtel de Lassay. Avec sa femme Séverine, journaliste « people » à Gala, ils y auraient organisé, selon « Média-Porc », de somptueuses soirées privées en réquisitionnant du personnel de l’Assemblée Nationale, ainsi que du matériel et des consommables (notamment « de grands crus directement issus des caves de l’Assemblée »). Ces révélations, parues plusieurs mois après votre départ de l’Hôtel de Lassay, provoquent une vive polémique. Gageons que ce sera encore une tempête dans un verre d’eau !

24 Commentaires

  1. Citation de monsieur Coluche: «  » Ce sont les métiers dits sales comme éboueurs ou égoutiers qui contribuent le plus à la propreté. Et paradoxalement, ce sont dans les professions de prestige comme politiques, financiers, haut-responsables qu’on trouve le plus d’ordures. « 

  2. Quel palmarès! Voilà pourquoi les français ne croient plus à la ripoux…blique…. La France a perdu de sa superbe et ça se ressent à l’étranger… Combien de fois, je me suis entendu dire « attention vous représentez la France » alors que je voyais l’inverse se produire dans l’agissement de nos dirigeants… Nous naviguons à contre-sens et il n’y a plus personne à la barre…

  3. Merci pour cet excellent article . Selon notre Micron … « il y a des gens qui réussissent , et des gens qui ne sont RIEN » Celui ci fait donc parti des RIENS puisqu’il n’a pas « réussi » à camoufler ses ordures ..
    La  » malemort » que préconise ZGLB pour la 5ème république est bien en marche ,d’autant que le bon peuple de France est tellement écoeuré , lobotomisé et aseptisé , qu’il n’est plus capable de s’indigner , ni de réagir …
    L’a t-on vu se rebiffer au Panthéon ? s’indigner du fait que notre 14 juillet populaire et national nous soit volé par les forces de l’ordre pour un lâché de ballons jaunes , ou salopé par des hordes de drapeaux étrangers pour un match de foot qui ne concernait même pas notre Pays .. Et combien d’arrestations par nos glorieuses forces de l’ordre..?
    du pipi de chat par rapport aux gilets jaunes armés de ballons .. La malemort est bien là …

  4. Dormez tranquilles, car toute révolution ou guerre est forcément financée par la grande finance internationale, ce qui n’est pas le cas des gilets jaunes. Le peuple s’agite un peu, gueule puis s’écrase car il n’a pas la force de lutter.

    • @tirebouchon

      C’est bien Cédric de Valfrancisque l’auteur de cet excellent et meurtrier article qui est effectivement paru sur un autre site et sous la signature de José Castano, mais il s’agit tout simplement d’un pur plagiat.

    • sauf que josé castano a signé impunément un article écrit par un autre et il n’en n’est pas à son coup d’essai il a plagié bien d’autres auteurs : le Lieutenant colonel JF CERISIER (auteur de GUERRE A L OCCIDENT – GUERRE EN OCCIDENT et GUY ROLLAND dit VITUS) ce doit être une maladie….

      • le ridicule ne tue pas…..mais il atteint ceux qui en use…..car tout le monde est au courant et le dit , l’écrit pov castano,
        il a aussi déclaré être ancien de la LEGION ETRANGERE et même capitaine or il n’est ni de la MAISON D AUBAGNE : LA LEGION ETRANGERE, ni capitaine (renseignements pris à la source : Colonel Constantin LIANOS)

  5. En somme, de RUGY s’est comporté comme tous ses semblables sauf qu’il s’est fait pincer de son vivant, comme Cahuzac, Christian BLANC et ses cigares, Thevenoud et sa phobie administrative, etc. Barre a eu l’intelligence de crever avant qu’on trouve traces de son magot planqué en SUISSE et je suis intimement convaincu que tous, autant comme ils sont, cachent les mêmes travers. Mais si de RUGY se rend demain à TRIFOULLIS LES BRETELLES (Tarn et Meuse) la totalité de la population se bousculera pour être vue à la télé aux côtés du ministre et se  » selfier » avec lui pour faire trôner la photo sur la cheminée du salon :  » J’y étais, moi, Monsieur… »

  6. Je voudrais savoir QUI a copié sur l’autre : Cédric de Valfrancisque ou Joseph Castano reçue il y a trois jours ?

    • @Alain Cavaillé

      C’est bien Cédric de Valfrancisque l’auteur de cet excellent et meurtrier article qui est effectivement paru sur un autre site et sous la signature de José Castano, mais il s’agit tout simplement d’un pur plagiat.

  7. Audiard, je ne t’aurai jamais autant cité : « Les cons (et j’ajouterai les salauds), ça ose tout et c’est même à çà qu’on les reconnaît…..

  8. L’état de la France est grave et ceux qui font que le  »grave » s’accentue d’année en année sont au pouvoir depuis 1789.

  9. On dirait un coup monté contre le baron rose cette histoire de diners fastueux. On l’accuse de quoi au juste ? d’avoir bouffé des homards ? ben, que celui parmi ses délateurs qui n’a jamais bouffé du homard lui jette la première pierre. D’avoir bouffé du homard sur mon compte, i.e., aux frais du contribuable ? ce ne sera pas le premier et il ne sera pas le dernier, vu que TOUTE la classe politique se goberge sur notre dos.D’avoir bouffé des homards géants, arrosés de grands vins, en compagnie de copains et de nous avoir vicieusement refilé la facture? les homards géants n’existent pas, les grands vins ne peuvent être bus que par nos seigneurs et maitres – c’est d’ailleurs comme cela qu’ils se font des copains, ces coquins – et ils nous refilent tous la douloureuse! Alors là, vraiment, il n’y a là rien de nouveau qui pourrait nous étonner, nous choquer. Le reste des accusations, c’est de la foutaise étant donné que PAS UN SEUL de ces beaux messieurs politiques ne sortirait indemne à la moindre enquête en ABS. Alors quoi, c’est quoi ce merdier ? A part – et pour une obscure raison que nous ne connaitrons jamais – un coup monté contre F. de Rugy, ce n’est rien, il n’y a rien à voir, rien, rien de rien excepté la p’tite vie normale, le p’tit train train quotidien des pharisiens corrompus de ce régime odieux: Puisse la 5ème crever très vite et de malemort si possible, c’est là notre dernier espoir et la seule conclusion à retirer de ce nième fait divers politique.

    • J’en ai mangé un cette semaine, pas aussi gros que ceux photographiés sur sa table.
      Et puis, c’est moi qui l’ai payé. Différence notable non ?

    • Vous avez raison il n’y a rien à voir…. Laissez-faire c’est accepter et subir le délitement de la France…

  10. Aux dernière nouvelles « ce » de la haute de je ne sais trop quoi, n’aurait pas payé d’impôts en 2015 (optimisation, fraude fiscale, on ne sait pas encore). Et il est « très en colère » parce que il a dit-il payé 1200€/mois à son parti… vraiment ? alors d’où sortent ces 11.600€ qu’il n’a pas cotisé? Macron et sa bande nous prennent pour des blaireaux (je suis poli) ET CA MARCHE !!! Pas de centaines de milliers de blaireaux dans la rue. Pas de têtes au bout de piques!

  11. Toujours courageux et ne pouvant nier les accusations, le baron de Rugy du Homard-flambé a dénoncé sa directrice de cabinet comme la coupable et l’a virée, ce doit donc être des copains à elle qui ont festoyé avec nos impôts

  12. Je n’aime pas Apathie, cet hypocrite qui fait semblant de regretter d’avoir été bouffer avec l’accusé. Le TDC du sud de la Loire prétend que, même si Rugy lui avait foutu des chips à becqueter, il aurait quand même regretté de s’être commis ce jour là avé le baron rosé. Ben tiens mon Apathie, tu vas la faire avaler à qui celle là espèce de tordu ? J’espère que quelque pharisiens de ce régime corrompu te prendra au mot ducon, qu’il te collera des chips et un jambon beurre, cependant que le reste de la compagnie se gavera à ton nez et à ta barbe de caviar et de homards bretons. Tiens, suggestion au pharisien qui se dévouera bien un jour pour t’humilier: Collez lui donc une facture démocratique à la sortie de la bouffe à l’Apathie, une facture pour son jambon-beurre et ses chips, ca lui fera les pieds.

  13. Vu le parcours de ce drôle de sire, dans son cas, je dirais, à la manière de Michel Audiard;  » les cons ça essaie tout, c’est à ça qu’on ….. « 

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