La France est actuellement soumise à un système politique délétère au point de mettre en danger la pérennité de notre pays. Sous un vernis démocratique, qui s’écaille de plus en plus au fil des ans, se montre en effet un pouvoir sans merci, qui se fait malgré le peuple et contre le peuple, dans une dérive de régime totalitaire. Tous les acteurs politiques, quel que soit le mouvement ou le parti politique auxquels ils appartiennent, font partie intégrante de ce système. Aucune opposition sérieuse et digne de ce nom ne peut en effet être envisagée avec des personnes pour lesquelles les bénéfices et privilèges qu’ils s’octroient tout au long de leur carrière politique priment sur leur engagement à servir la France. Le système sélectionne des responsables politiques qui se distinguent souvent par un mélange de corruption, d’incompétence, d’esprit borné par telle ou telle idéologie et de soumission à des instances supranationales composées de membres non élus. Il favorise l’émergence d’hommes politiques n’ayant plus d’attachement loyal à la France et de ce fait encore moins enclins à se soucier du devenir du peuple français. De plus, l’évolution démographique en cours en France risque à l’avenir d’avoir un impact majeur avec l’émergence probable d’un vote de plus en plus ethnique, tel que ceux observés par le passé dans des pays sur le chemin de la guerre civile.
L’abolition complète d’un tel système apparaît donc comme le mot d’ordre de toute réelle opposition crédible. Elle sous-entend, dans le cadre d’une action révolutionnaire, la restauration d’un pouvoir politique légitime, d’essence réellement démocratique (le pouvoir par le peuple et pour le peuple), soucieux de protéger en priorité le peuple français et de le libérer de sa servitude. Cette légitimité politique nécessite de reposer sur des principes politiques susceptibles de faire adhérer une majorité des Français en dépit d’inévitables divergences d’opinions et permettant d’éviter tout retour du système en cours et d’une façon générale toute dérive totalitaire. Ils ont vocation à rassembler les Français dignes de ce nom dans un mouvement de réconciliation nationale.
Ces 9 principes sont les suivants :
1 – Le principe de préservation de l’identité française
Il convient de mener une politique permettant de préserver au mieux le peuple français et l’avenir des générations futures. Elle passe par la mise en place de critères stricts pour l’acquisition de la nationalité française :
- personne dont la langue maternelle est le français et/ou personne parlant français couramment.
- personne portant un prénom français ou historiquement enraciné dans l’histoire et la culture européennes et/ou dont les descendants directs portent un prénom français ou historiquement enraciné dans l’histoire et la culture européennes.
- personne dont les ascendants directs et décédés sont enterrés en France, sauf exception légitime (par ex : Français décédé à l’étranger et dont la famille n’avait pas assez de ressources pour faire rapatrier le corps).
- personne n’ayant pas d’autre nationalité que la nationalité française.
L’identité française se fonde sur un attachement naturel respectivement à la langue française, aux terres de France ainsi qu’aux racines spirituelles, culturelles et civilisationnelles de la France.
Dans la continuité de ce principe, un Français ne peut pas disposer d’autre nationalité que la nationalité française. Par ailleurs, une personne dont le comportement et le mode de vie impose la mise en œuvre de lois spécifiquement dédiées à ce comportement ou mode de vie ne peut prétendre à disposer ou acquérir la nationalité française.
Toute personne de nationalité autre que la nationalité française (au regard des critères précédemment cités) et de séjour en France, quel que soit le motif du séjour (professionnel, tourisme, personne ayant le statut de réfugié), est tenue de respecter les lois françaises en vigueur, qui seront conformes aux principes politiques fondateurs, sous peine d’être immédiatement reconduite aux frontières.
L’action politique de préservation du peuple français implique de développer dans la communauté française et ce dès le plus jeune âge le sens du sacré, le rejet de toute forme d’idolâtrie, le goût de l’effort, le respect du patrimoine, l’acceptation du passé tel qu’il est sans aucun filtre idéologique, l’appétence pour le Beau, l’esprit critique et la solidarité intra et intergénérationnelle.
2 – Le principe de liberté qui consacre à la fois la liberté totale de conscience et la liberté totale d’expression, à la fois orale et écrite.
La liberté de conscience sous-entend notamment la liberté de penser ainsi que la liberté d’apostasier une religion, quelle que soit sa nature. Toute idéologie politique ou religieuse ayant des tendances totalitaires cherche à brider dans un premier temps la liberté d’expression, orale et écrite, puis dans un deuxième temps la liberté de penser. Toute entrave à ce principe de liberté est un signe de totalitarisme en marche.
L’existence de délits d’opinion en France témoigne de la nature totalitaire du système. Cette absence de liberté totale d’expression est soulignée par les mesures de censure mises en place dans les médias et de façon plus sournoise d’autocensures, un mot malheureux pouvant avoir des conséquences majeures pour celui qui s’en est rendu coupable, l’exposant à un risque de mort sociale. Il est par ailleurs significatif que des délits adoptent une dénomination propre au vocabulaire psychiatrique (avec le terme de phobie décliné à l’envi), ce qui rappelle le traitement des dissidents sous le régime soviétique.
Ce principe de liberté consacre le remplacement du devoir de mémoire par le devoir de vérité.
3 – Le principe d’une action politique fondée sur la raison
Toute décision politique doit suivre exclusivement les voies de la raison. En aucun cas, l’action politique ne peut être fondée sur l’émotion du moment, ou sur toute croyance irrationnelle, qu’elle soit idéologique ou religieuse, en particulier :
- Les croyances égalitaristes et universalistes contraires aux lois de la Nature.
- Les croyances centrées sur l’homme au détriment de son environnement (animal et végétal).
De même, l’action politique doit être dégagée de toute idéologie religieuse ou politique prônant la supériorité d’un groupe humain sur un autre.
4 – Le principe d’une action politique exclusivement exercée dans le cadre d’une mission à durée déterminée.
Selon ce principe, l’action politique est une mission à durée déterminée, au service de la France et des Français. Elle doit se substituer à l’action politique le plus souvent menée dans le cadre d’une carrière au sein d’un parti ou d’un mouvement, emblématique du système actuel.
Tout Français doit pouvoir s’engager à son niveau en politique, sur la base du volontariat. Il convient de créer les conditions d’une société permettant à un Français ayant une activité professionnelle de se mettre en disponibilité afin qu’il puisse s’investir dans l’administration d’une commune, d’un département, d’une région ou d’un ministère. La seule contrepartie se limite à percevoir pendant la durée de son mandat un salaire strictement identique à la rémunération de son activité professionnelle et à disposer des moyens pour accomplir sa mission.
L’action politique doit être portée par des hommes à la fois compétents, intègres, désintéressés et responsables, quelles que soient leurs origines sociales. Le peuple français doit avoir à nouveau confiance dans les hommes qui sont au gouvernement. Pour gagner cette confiance ne doivent être aptes à gouverner que des personnes qui adhérent sans réserve aux principes politiques fondateurs de la Nouvelle France.
5 – Le principe de subsidiarité
Ce principe doit prévaloir au maximum afin d’éviter un pouvoir actuellement trop centralisé qui légifère en permanence avec des lois rédigées par des personnes qui n’auront pas à en subir les conséquences ou par des personnes qui n’ont pas les compétences nécessaires, faute d’une connaissance réelle du terrain où ces lois seront mises en application. La rédaction des lois, lorsqu’elles relèvent d’un domaine spécialisé, doit être confiée à des personnes ayant les compétences requises dans le domaine considéré.
6 – Le principe de primauté de l’intérêt des Français et de la France dans toute décision politique.
Toute décision politique doit se faire dans l’intérêt premier et à long terme des Français (dont l’identité est définie dans le premier principe) et de la France, à la fois en matière de politique intérieure et de politique étrangère.
La soumission actuelle de l’Etat français à des instances politiques supranationales conduit la France en matière de politique économique et de politique étrangère à agir contre les intérêts de la France. En matière économique a ainsi été mis en œuvre un véritable asservissement économique du peuple français sur le long terme avec le mécanisme pernicieux de la dette.
Selon ce principe, les lois instaurant des droits à une minorité (quelle que soit sa nature) pour être reconnus juridiquement valables ne doivent pas porter préjudice à la collectivité ou à l’ensemble de la communauté française.
7 – Le principe d’indépendance
Ce principe conditionne la réalisation du principe de primauté de l’intérêt des Français dans toute décision politique. Il implique un rétablissement effectif des frontières et une refonte des traités internationaux signés par les gouvernements français par le passé. Il consacre le devoir de non-ingérence dans tout autre pays du monde. Ce principe d’indépendance n’empêche pas les échanges commerciaux, culturels et scientifiques de la France avec les autres pays du monde. Ces échanges sont toutefois privilégiés avec les pays partageant les mêmes principes politiques.
En vertu de ce principe d’indépendance, les personnes jugées aptes à occuper un poste au gouvernement doivent être des personnes sans casier judiciaire, saines de corps et d’esprit, et pouvant faire preuve à la fois de leur intégrité et de leur indépendance. Elles doivent notamment pouvoir prouver qu’elles ne sont soumise à aucun lobby, quelle que soit la nature de ce lobby.
Elles ne doivent pas non plus faire partie :
- d’un parti, mouvement, organisation ou association à caractère politique qui soit opposé aux principes politiques fondateurs ;
- d’une instance politique supranationale qui soit opposée aux principes politiques fondateurs ;
- d’un syndicat ;
- d’une société secrète ;
- d’une secte ;
Les acteurs politiques sont passibles de sanctions sévères s’ils dérogent à ce principe d’indépendance, en raison des conséquences graves et préjudiciables qui peuvent s’en suivre.
En vertu du principe d’indépendance, les médias et les associations à caractère politique ne recevront plus aucune subvention de l’Etat.
8 – Le principe de primauté du réel sur le virtuel
Ce principe prône la valeur économique réelle d’un produit au détriment de sa valeur spéculative afin de réduire autant que possible le pouvoir de l’argent et des banques. Il lutte contre toutes les formes d’asservissement économique de l’être humain et interdit la marchandisation de l’être humain, quelle que soit la forme de cette marchandisation. Il lutte de même contre tout asservissement de l’homme par les machines. Il combat l’idéologie égalitariste d’essence totalitaire et respecte les hiérarchies dès lors qu’elles sont naturelles et non artificielles.
9 – Le principe de primauté de la qualité sur la quantité
Il prône un nouveau modèle de société où toute production, qu’elle soit économique, technique, scientifique, artistique doit systématiquement viser la qualité avant la quantité, afin de mettre un terme notamment aux effets délétères de la consommation de masse.
Par ailleurs, en phase avec le principe d’une action politique fondée sur la raison, il affirme que cette dernière ne procède pas forcément de la majorité.
L’ensemble de ces principes ont vocation à être débattus dans le cadre d’une assemblée constituante, dans l’idée d’une constitution rénovée pour une Nouvelle France, validée ensuite par référendum au suffrage universel. La déclaration universelle des droits de l’homme et du citoyen est dans le même temps remplacée par la déclaration nationale des devoirs envers l’être vivant (humain, animal, végétal). Elle comportera l’interdiction formelle de l’abattage rituel d’animaux et la criminalisation de la circoncision rituelle chez le mineur (qui correspond à un acte de maltraitance).
Jean-Philippe de la Ribausière
19 août 2019
Le problème de l’Europe est que l’union de l’Europe ne concerne que ses dirigeants et qu’ils ne font que ce qu’on leur dicte, les citoyens ne sont pas concernés. Pour une véritable union celle-ci doit se faire avec le peuple et non contre lui.
Pour que l’Europe survive elle doit avoir une langue officielle commune, comme l’on fait les États Unis, le monde Arabe…Imaginez une armée avec un traducteur dans la poche pour comprendre les ordres !
Si nos politiques favorisent l’invasion, l’armée n’est plus nécessaire faisons en l’économie !
Les États doivent choisir une langue officielle par référendum,
Vous semblez oublié que nous sommes Européens liés par le traité de Maastricht (bien que la majorité des Français l’avait refusé avec le référendum). C’est donc l’Europe qui nous impose des lois que nous ne voulons pas, que nous n’avons pas votées, mais votées par des gens que nous n’avons pas élus. Le traité nous impose la libre circulation des biens, des personnes, et des capitaux ce qui annihile totalement toutes vos recommandations . Et c’est toujours le même scénario évoquées des paroles que les français aiment entendre mais parfaitement irréalisables dans le contexte actuel. Sortons de l’Europe comme le font les anglais avec le Brexit aprés un référendum où le peuple à décider de sortir. Mais bien sur tout est mis en oeuvre pour ne pas respecter la volonté du peuple.
Les premiers sortis seront ceux qui s’en porterons le mieux. je vous invite à retrouver les analyse de François ASSELINEAU sur upr.fr pleines de vérités qui se révèlent des jours en jours.
Oui nous sommes Européens mais incapable de s’unir, l’Europe c’est la tour de Babel à l’envers ! Pour disperser les habitants de la tour de Babel qui avait une langue unique Dieu leur a imposé une langue différente pour qu’ils ne se comprennent plus et finissent par se disperser. C’est l’inverse que doit faire l’Europe. Pour une véritable union celle-ci passe par l’union des peuples qui ne peut se faire qu’a l’aide d’une langue officielle commune et unique ! Suivez et rejoignez l’Union des Citoyens Européens Francophones « ucef » ici : ucef5302@gmail.com
Hé bien , Avant toute chose …un ENORME NETTOYAGE ….Rien ne pourra être entrepris , tant que tout ce beau monde sera dans nos pattes …De l’air et du courant d’air ..!!! Aux Armes Citoyens …Paralysons le pays entier pour se débarrasser de ce millier d’incapables , voleurs, menteurs ,qui nous asservissent , nous privent de notre culture , et même de nos pensées !! Alors ..républicains , royalistes , chrétiens , bouddhistes… unissons et ne soyons que FRANCAIS pour nous libérer ….Après seulement ..nous pourrons reprendre nos habitudes …’ Il n’est pas frais mon poisson … » ?
Je remarque que les pires tyrans, les crapules les plus immondes comme cette canaille de Chavez qui précipita le peuple vénézuélien dans la misère la plus noire, n’avait que le mot « démocratie » à la bouche. Il est vrai qu’il en avait un autre de mot, un mot qu’il vociférait à tout bout de champ, en permanence cependant qu’il détroussait sans vergogne la veuve et l’orphelin et c’était le mot « socialisme ». Loup déguisé en brebis, cette ordure pratiquait la sorcellerie, le satanisme et n’avait en vérité qu’un seul but dans sa maudite vie, voler, dépouiller, s’enrichir, se gaver comme un porc au détriment des petits pauvres qu’il prétendait aimer et défendre.
Le plus grave est que des porcs comme ça pullulent en toute impunité. Des tueurs à gage abattent des gens honnêtes, loyaux et sincères mais pas les crapules. Allez comprendre…
On voit des gens devenir tueurs de masse et s’en prendre aux citoyens lambda mais jamais aux dirigeants ripoux. Allez comprendre…
Cependant que le salaire minimum mensuel vénézuélien est tombé fin d’aout à 2 dollars par mois, cependant que les fonctionnaires de ce narco-état criminel demandent 400 et 600 dollars par mois pour seulement vivre, et bien Maria Gabriela Chavez – la fifille préférée de papitito Chavez – possède 4 milliards de dollars sur deux comptes seulement.
Tout cela est très bien sur le principe. Mais la république est une perversion en elle-même dans ce qu’elle imite la royauté avec une inconscience et irresponsabilité exacerbées qui détruisent le pays. Je veux dire que la république n’est qu’une reproduction pervertie de la royauté avec des guignols qui ne font qu’amplifier les comportements tordus de certains de leurs prédécesseurs nobles qui ont pourri la royauté. Bref, une autre noblesse mais minable. Donc le système n’a jamais changé, c’est toujours le même depuis des siècles mais devenu archi pourri.
A mon avis, c’est ce système (royauté/république) qu’il faut remembrer de fond en comble et en penser un autre carrément différent, en s’inspirant un peu du système suisse, par exemple, plus près du peuple (et encore).
Les propositions de projet pour la France ne sont que des mesures d’assainissement, certes, mais qui traitent les conséquences, pas les causes. L’être humain est si versatile qu’il faut mettre sans arrêt des garde-fous, et plus on en met, moins il y a de libertés pour les gens honnêtes, sincères, loyaux et droits. En gros, il y a toujours une minorité pour faire suer les autres.
La seule chose qui pousse les humains à réformer drastiquement ce sont les guerres et le fait que des millions de gens perdent la vie. Là, les survivants traumatisés font fonctionner leurs méninges. Les seuls remèdes contre le mal de l’humanité sont les claques dans la gueule. Il n’y a que dans le malheur et les larmes que les gens comprennent que quelque chose doit changer. Je suis désolé de dire ça, mais c’est ainsi.
En ce qui concerne les projets sains comme le vôtre, quand un parti commencera à se les imposer et les instaurer dans le pays, les poules pourront aussi chanter la marseillaise et danser le french cancan.
Vous avez raison sur le fond, votre analyse est très bonne, néanmoins je ne crois plus qu’il soit encore possible de renverser la vapeur et de sauver au moins les meubles, via ce qu’il est convenu d’appeler la « démocratie », soit, le « pouvoir du peuple par le peuple ». Cette mauvaise blague n’a jamais marché nulle part et c’est toujours le malheureux peuple qui en a payé les pots cassés in fine, alors pourquoi cela changerait-il brusquement alors que jamais, au grand jamais, on ne vit peuple plus abruti, plus décérébré que celui d’aujourd’hui ? donc ca ne marchera pas et la voie « démocratique » me parait sans issue, ceci ne me réjouissant absolument pas, bien au contraire.
La république n’est pas la démocratie.
La république actuelle est une RIPOUBLIQUE.
Il ne faut pas tourner autour du pot à propos des religions. Il n’y en a qu’une qui fait CHIER TOUT LE MONDE. C’est celle-là qu’il faut interdire avec la dernière vigueur.
Les droits de l’homme sont devenus l’arme favorite des ceux qui nous privent de nos droits. Il faut avoir l’aplomb de dire qu’il existe des cas où un individu ou des individus se sont mis hors l’humanité et n’ont aucun droit à invoquer.
S’il faut le fer et le feu pour que ne meure pas l’occident, alors en avant !
Vous n’en sortez pas de votre république et de vos droits de l’homme, vous ne raisonnez que dans le système.
L’état de la France est grave et ceux qui font que le grave s’accentue d’année en année sont au pouvoir depuis 1789, et vous n’avez toujours pas compris. Vous êtes GRAVES, vous n’avez aucune largeur d’esprit.
http://www.allianceroyale.fr/reaffirmer-la-pertinence-du-principe-royal/
La république n’est qu’un principe royal perverti, avec d’autres acteurs que des gens de noble descendance.