ADIEU à 2019-nCoV, BONJOUR à COVID-19 !
Pourquoi ce changement d’appellation décidé par l’OMS ? Parce que le coronavirus semble avoir muté.
Et la mauvaise nouvelle est que 2019-nCOv a évolué en plus grave et non en plus « soft » comme espéré, sous le nom de COVID-19 (COronaVIrus Disease-19).
LA SITUATION A CE JOUR…
Quelques centaines d’experts réunis à Genève (siège de l’OMS) sous la direction du professeur Nan-shan Zhong, placé par Pékin à la tête du groupe pour étudier le nouveau coronavirus, annoncent donc que l’épidémie sera plus dure, plus mortelle et plus longue que prévu. Ils espèrent qu’elle commencera à diminuer en Chine en avril. Mais ne savent pas encore pour quoi le virus nouveau est devenu beaucoup plus contagieux.
En prolongeant la courbe montant doucement du 22 janvier au 4 février, vous rejoignez le « pic » du 12 février. La décroissance du 4 au 11 février est due à la volonté du PCC de faire croire qu’il maîtrisait la situation. Quand il a compris que la courbe accélérait sa progression qu’il le veuille ou non, il devenait impossible de continuer à dissimuler la vérité. L’apparition du nouveau coronavirus mutant lui permit de sauver la face : si la courbe bondit à partir du 12 février, « ce n’est pas parce que les chiffres donnés par la propagande du PCC étaient mensongers, c’est à cause du nouveau coronavirus » !
La courbe suivante, celle des morts, confirme la fraude. Et cette courbe est bien l’amorce d’une courbe de Gauss dite « en chapeau melon », caractéristique des épidémies, qui s’inversera un jour, mais dont la date est difficilement prévisible. L’OMS pense qu’elle se stabilisera en avril pour la Chine et en juin pour l’Europe et commencera à redescendre le mois suivant.
Pour le moment c’est une croissance exponentielle, le cap des 1000 morts par jour pourrait être dépassé dans un mois en Chine.
Il est difficile de dire maintenant si la courbe aura le même profil ailleurs dans le Monde. En théorie oui, mais les conditions sanitaires ne sont pas les mêmes.
LES PARAMÈTRES DE DANGEROSITÉ REVUS À LA HAUSSE
Le taux de transmissibilité R0
Le taux de transmissibilité R0 (R zéro) qui indique la probabilité qu’un individu transmette le virus était, selon les autorités française, de R0=2, soit 2 contaminés par le précédent contaminé, donnée répétée sur toutes les chaînes du service public, « un contaminé ne transmet le virus qu’à 2 personnes ».
C’était un mensonge. En réalité, c’était – et on le savait depuis plus d’un mois – entre 3,5 et 4. Et maintenant, ce pourrait plus élevé.
La durée maximale d’incubation
La durée maximale de l’incubation était fixée par les autorités sanitaires françaises à 12 jours. Donc, avec 14 jours d’isolement elles pensaient que le risque était écarté. Et elles pensaient aussi que leur test de positivité ou négativité au virus était bon.
Pas de chance, un Belge arrivé de Wu Han à l’aéroport militaire d’Aix et contrôlé négatif a été, deux ou trois jours plus tard, contrôlé positif en arrivant en Belgique. À la décharge des autorités et des médecins, il faut dire qu’à ce moment-là ils ne pouvaient pas le savoir, croyant avoir toujours affaire à 2019-nCoV. En fait, CoViD-19 incube pendant 22 à 24 jours.
Le taux de mortalité
Le taux de mortalité était donné comme faible, voire très faible. En réalité il est maintenant en Chine de 1 pour 3 : trois contaminés confirmés, 1 meurt et 2 guérissent.
L’OMS ne s’est pas contentée des quelques cas survenus en France, elle a pris la décision de valider la mutation du virus et sa plus grande dangerosité après l’étude de 1099 cas en Chine.
Plusieurs commentateurs sur les chaînes nationales ont affirmé que l’épidémie en France resterait très limitée parce qu’elle était déjà presque à son pic qui arriverait fin février.
C’est la méthode Coué ! L’épidémie n’en est en Europe qu’à son début, l’OMS prévoit que, en France, le pic arrivera en juin, au mieux. D’ici-là, la courbe des contaminations ne cessera de grimper. Mais, en France, pas forcément celle des décès, alors qu’elle continuera à monter en Chine.
Pourquoi ?
AVERTISSEMENT PREALABLE A CE QUI SUIT :
Quand fin décembre 2019 j’ai annoncé que l’épidémie était beaucoup plus grave que ce qu’en disaient les autorités chinoises et françaises soucieuses, disaient-elles pour justifier leurs mensonges, de ne pas créer de panique dans la population, Minurne a reçu des commentaires disant que j’étais un menteur, un complotiste, que « la grippe est beaucoup plus grave », que « des coronavirus il y en a partout »…
Qui a eu raison finalement ?Considérez donc que ce que je vais vous dire, et qui est surprenant, est peut-être faux, mais qu’il y a une forte probabilité pour que ce soit exact. Non que je sois un expert, mais parce que j’ai étudié la démographie, que je connais les méthodes des militaires pour dissimuler leurs projets et l’histoire des épidémies : durée rarement inférieure à un an, « pic » ne voulant pas dire fin de l’épidémie, mais atteinte du maximum des morts par jour. Bien entendu, il s’agit de déductions, de suppositions et je ne peux pas tout prouver.
Mais, entre ne rien dire pour ne pas aggraver les peurs de la population ou parler pour prévenir en se disant qu’on se trompe peut-être, mais que ça aidera les gens à faire face, je choisis toujours « je parle ».
LES COÏNCIDENCES BIZARRES SE MULTIPLIENT
On apprend qu’au dernier Forum économique de Davos en janvier 2019, le président Klaus Schwab a conseillé discrètement aux quelques présidents présents de se préparer à une épidémie mondiale qui pourrait être imminente ; un « séminaire » international (le chef de la sécurité civile chinoise y était invité) de préparation à une épidémie à coronavirus a eu lieu à New York en octobre 2019.
Emmanuel Macron doit en conclure que l’échéance se rapproche, puisqu’il demande aux sénateurs LREM de préparer une loi sur les mesures à prendre en France en cas d’épidémie coronavirus, et le projet de loi a été remis au président du Sénat le 5 décembre pour examen.
Aux chefs d’états-majors, Macron – toujours lui – a demandé plus récemment de renforcer la logistique de nos trois armes de « se préparer à un engagement majeur ». Quel engagement n’est pas dit.
De plus, les États-Unis vont envoyer 20 000 hommes aux manœuvres de l’OTAN en juin 2020, un chiffre exceptionnellement élevé, alors que l’épidémie sera, si les experts de l’OMS ne se trompent pas, à son pic en Europe.
Une partie des dirigeants mondiaux savaient qu’une épidémie pourrait avoir lieu avant que l’on comprenne à partir de la fin décembre qu’elle était bien là en Chine.
Information confirmée, par la diffusion sur les sites internet chinois dissidents des discours de généraux chinois au comité central du PCC, que le laboratoire P4 de WuHan (offert par la France !) préparait une guerre bactériologique visant en premier lieu les États-Unis.
Il est difficile de trouver des preuves pour tous ces faits, chacun (PCC, Davos, gouvernement) se retranchant derrière des pratiques de secret, mais qui peu croire qu’un discours « secret » prononcé devant des centaines de personnes aussi disciplinées soient-elles peut rester longtemps secret, d’autant plus qu’il y a toujours dans les coulisses du petit personnel qui tend l’oreille ?
L’accumulation de ces « coïncidences » laisse présager qu’il pourrait y avoir prochainement… Quoi ?
Des troubles nationaux en Occident et Asie du fait de la colère des peuples qui monte partout et serait exacerbée par l’épidémie ?
Une opération de punition de la Chine dont le projet impérialiste mondial apparaît de plus en plus visiblement ?
Et finalement, un conflit majeur ?
Un scénario m’est venu à l’esprit mais, honnêtement, je ne peux pas certifier que ce soit le bon.
HYPOTHESE : ET SI L’ÉPIDÉMIE EN CHINE ETAIT UNE MESURE PRÉVENTIVE DE DÉFENSE DE L’OCCIDENT ?
L’Occident, USA en tête, découvre la montée en puissance économique et politique de la Chine dans les années 1980-2000. Bientôt elle sera la première puissance mondiale économiquement mais aussi militairement. Acceptable si c’était une concurrence loyale, mais elle ne l’est pas. Ils en ont eu la confirmation en écoutant les discours « secrets » au Comité central du PCC du général Chi Haotian (en 2003 et 2005)*, qui annonçait l’attaque bactériologique des États-Unis pour les affaiblir énormément et les conquérir ensuite, puis le Canada et l’Australie, la Nouvelle-Zélande… bref, partout où il y a de l’espace possible pour absorber la croissance démographique chinoise.
L’Occident comprend alors que la Chine veut provoquer une épidémie mondiale. Comment comptait-elle en limiter les effets, en fermant ses frontières ? Objectif : affaiblir durablement l’Occident et le dominer. Les Occidentaux décident d’une attaque préventive selon le vieux principe: la meilleure défense, c’est l’attaque. Le projet criminel de la Chine étant révélé et celle-ci affaiblie, le monde non communiste sera sauvé.
Il est possible aussi que Xi Jinping ait commis une erreur en annonçant en octobre dernier que la Chine achevait la mise au point de drones, fusées, etc. équipées de propulsions nucléaires, capables d’atteindre de 10 à 24 fois la vitesse du son, ne pouvant être arrêtées par les boucliers de défense aérienne classiques et susceptibles de transporter partout des armes nucléaires ou bactériologiques. Cela a pu accélérer la décision d’une manœuvre pour neutraliser les projets belliqueux de la Chine.
Les Occidentaux prévoyant qu’il sera difficile de contenir le coronavirus en Chine uniquement, les chefs d’État concernés ont été prévenus à Davos d’avoir à se préparer à une épidémie. Un séminaire de formation à la gestion des épidémies a été organisé à New-York en octobre 2019, la France a préparé des mesures sur l’isolement. Il reste à espérer les Occidentaux ont mis au point des vaccins. Ce qui expliquerait l’optimisme de la ministre de la Santé.
Cela dit, pour le moment tout se passe « plutôt bien » (façon de parler !) pour l’Occident, 99 % des cas restent confinés en Chine.
Le parti communiste chinois est affaibli, les Chinois ont des doutes sur sa compétence et celle de son président. Si la colère des Chinois, amplifiée par l’épidémie, pouvait débarrasser la Chine de son dictateur et de son parti unique et totalitaire qui entretient des camps de concentration et pratique des prélèvements d’organes (pour les revendre) sur les prisonniers, surtout les politiques, sans anesthésie, ce serait une bonne chose à la fois pour la Chine et pour le Monde.
L’Imprécateur
15 février 2020
https://lumieresurgaia.com/la-trace-de-la-soi-disant-pandemie-de-covid-19-remonte-jusqua-un-scenario-monte-par-la-banque-mondiale-datant-de-1976/
à propos du « Discours Secret du général Chi Haotian »
Alors Fripounet, tu fermes quand ta frontière avec l’Italie ?
Puisqu’on en est aux hypothèses, pourquoi ne pas imaginer que ce virus ait été introduit par l’opposition chinoise pour abattre le gouvernement actuel. Solution radicale mais unique.
Auriez-vous raison ? depuis 2 jours Infowars dit presque la même chose que vous…et pire.
Ça a l’air d’être un accident. Il est arrivé que des laborantins vendent (pour leur propre compte) les cobayes au lieu de les éliminer. Les hôpitaux si rapidement construits sont des camp de concentration, des abattoirs où personne ne soigne personne. Autres joyeusetés pas piquées.
https://www.youtube.com/watch?v=lxEFL5KC9Xc
Une belle guerre bactériologique …ça reste très vraisemblable …En plus ça correspond avec les objectifs des lobbies franc-maçons qui veulent rabattre la population mondiale à 500 millions d’habitants .. On a encore de beaux jours d’angoisse et d’horreurs devant nous ! Pauvres petits pions que nous sommes …