Je préfère le « Café du commerce » au journalisme de caniveau !
(Sacha Guitry)
Diantre, il ne se passe pas une journée sans que nous apprenions une nouvelle inquiétante, préoccupante, alarmante ou tout simplement irritante. Tout fout le camp dans le Royaume !
« Paris-Match », cette gazette pour shampouineuses illettrées – « le poids des mots, le choc des photos » – nous apprend que le vieille Marquise de Morveux d’Enarque – née Trogneux – a eu une idée fort généreuse pour venir en aide aux soignants, si dévoué dans nos hôpitaux, dispensaires et lazarets : vendre aux enchères, à leur profit, une partie du mobilier national.
C’est décidément une manie chez tous ces parvenus, imprégnés par l’humanisme issu des Lumières, que d’offrir des cadeaux avec l’argent des autres, ou pire encore, de vendre des biens qui ne leur appartiennent pas. Nous avons encore souvenance que la vieille Marquise a fait dépenser, il y a peu, 500 000 écus pour changer toute la vaisselle du Palais. On se demande encore pourquoi, sachant que la précédente vaisselle convenait à tous les prédécesseurs du Marquis, et ce, depuis Charles-le-Dérisoire, Seigneur de Colombey (et même bien avant sans doute ?).
Mais tout ceci n’est qu’une broutille au regard de cette terrible révolte des tribus négroïdes qui demandent justice pour un des leurs – condamné… 17 fois – et qui aurait été quelque peu brutalisé par les Argousins. S’agissant d’un fuyard qui refusait d’obtempérer aux injonctions des Gens d’Arme, il eut été plus normal que ces derniers ouvrissent le feu sans sommation ce qui aurait évité des discussions sans fin pour savoir comment ce nègre a été homicidé. Ce gredin appartenait à une tribu originaire du Soudan (1). Son père, polygame avec quatre épouses, a eu dix-sept enfants. Tous ces gens-là vivent chez nous grâce au « regroupement familial » instauré par le duo – mortifère pour le Royaume – formé par le Comte Giscard de Chamalières et le féal Baron Chirac d’Ussel.
Le Soudan est présentement en guerre – à la fois tribale et religieuse – et moult soudards de nos armées y risquent leur peau chaque jour. « Et en même temps » comme dirait le Marquis, des Soudanais, en âge d’aller se battre pour leur pays, préfèrent vivre sur notre sol, de prébendes et d’aides sociales que nous leur allouons sans compter ; se livrer à des trafics illicites de substances hallucinogènes ; et mettre nos villes à sac quand on tente de les embastiller.
C’est grande pitié que de voir notre beau pays souffrir des mêmes maux que la lointaine Amérique ! Mais là-bas, l’honnête homme – le citoyen libre – a encore le droit de porter mousquet, ce qui garantit sa tranquillité ou, pour le moins, sa survie.
Un dicton américain dit que « Cinq balles dans le barillet, c’est la loi. Une balle dans le canon, c’est la justice ».
Un autre énonce : « Dieu a créé les hommes égaux, et Samuel Colt a fait la différence » (2)
Ces débordements de descendants d’esclaves – qui nous doivent l’abolition de l’esclavage et voudraient que nous en fassions repentance – sont intolérables mais le pouvoir les tolère, voire les encourage. Tout ceci finira mal, soyez-en certains ! Un vent de fronde souffle sur le Royaume et les pompiers-pyromanes qui nous gouvernent pourraient bien en faire les frais.
En effet, le bas-peuple, la valetaille, les gueux, ne supportent plus d’avoir été enfermés pendant des semaines, alors que la Garde-des-SOTS, la rouquine Belloubet, libérait massivement des malfrats, sacripants et autres gibiers de potence… D’autant que cette « assignation à résidence » forcée, ils la devaient à l’incapacité du pouvoir à prévoir : des lits, des respirateurs, des tests, des masques, du gel hydro-alcoolique etc…
Le peuple fulmine quand il entend « Si Bête » Ndiaye, la négresse qui a remplacé le Baron Griveaux de la Paluche comme porte-parole du Marquis, leur dire que :« Les masques ne servent à rien mais…quand on en aura, on en donnera à tout le monde ».
Il est lassé de l’énumération – morbide et monocorde – que le croque-mort Jérôme Salomon lui a imposée tous les soirs, à la même heure, à la télévision.
Il n’en peut plus des « Diafoirus » – tous grands pontes d’un quelconque « comité Théodule » – venus péremptoirement affirmer tout et son contraire dans les médias.
Enfin partiellement déconfiné, le peuple rêvait de jours meilleurs mais n’avait pas envisagé un seul instant que des peuplades allogènes, vivant intégralement à ses crochets, se révolteraient et lui reprocheraient ses racines, sa blancheur de peau, et son passé colonial (et esclavagiste).
Le ministre des basses polices a pris partie pour les émeutiers en traitant ses propres troupes de « racistes » ; la Garde-des-SOTS s’est dite prête à recevoir la tribu soudanaise (3) et les chefs de trois partis de gauche ont lâchement mis un genou à terre en signe d’allégeance envers les mutins casseurs. Le pouvoir accepte, le pouvoir tolère, le pouvoir subit. C’est honteux !
Le vulgum pecus, écœuré, finit par détester et agonir le Marquis de Morveux d’Enarque, ce gamin narcissique qui joue tantôt au chef de guerre, tantôt au chef d’Etat, alors qu’il n’est que la marionnette de la finance apatride et du « nouvel ordre mondial ». La tragicomédie actuelle, volontairement surjouée, est insupportable mais elle le serait sans doute moins si elle n’était pas relayée, commentée, déformée, instrumentalisée par les suppôts du Marquis. Ceux qui lui lèchent les bottes et lui servent la soupe parce qu’ils lui doivent tout ; je veux parler des plumitifs, gazetiers, pisses-copie et autres péroreurs télévisuels.
Certes, il existe des journaleux honnêtes et intègres mais, comme disait Michel Audiard : « Il existe aussi des poissons-volants, mais ce n’est pas la majorité de l’espèce ».
Il y a quelques années, un sondage paru dans une gazette progressiste, nous apprenait que… 92% des journaleux se déclaraient « de gauche ou avec une sensibilité de gauche ».
Comment ose-t-on, alors, parler de « pluralité de l’information » ? Comment peut-t-on croire que le Royaume est encore une démocratie ? Chez nous, la « liberté d’expression » n’a pas grand-chose à envier à celle de la Corée-du-Nord.
J’exagère diront certains. Que nenni ! Chez nous, comme en Corée-du-Nord, il est interdit de dévier de la doxa officielle.
Souvenons-nous de Philippe Verdier, patron de la météo sur le service public, viré comme un malpropre pour avoir osé dire qu’il était climato-sceptique. Ou d’Eric Zemmour victime d’une cabale de ses « confrères » journalistes exigeant qu’il soit chassé de la presse écrite ET de la télévision. Ou de Frédéric Taddeï claquant la porte d’une chaîne d’Etat, poursuivi par la haine du grassouillet Patrick Co-Haine lui reprochant de recevoir des invités « nauséabonds » (4) etc….etc…
Ce monde journalistique pourri est, de surcroît, intouchable et inattaquable.
Et bien tant pis ! Autorisons-nous à dénoncer ici quelques beaux spécimens de cette espèce néfaste, vendue, servile, reptilienne, sans dignité et sans honneur, qui prétend nous informer alors qu’elle n’est là que pour nous intoxiquer, nous mentir et nous enfumer. Evidemment, la liste ne saurait être exhaustive : c’est au Karcher qu’il faudrait nettoyer ces nouvelles écuries d’Augias.
Commençons par l’un des plus anciens : Alain Lagamel ; vous savez ce type coiffé comme un speaker de « Radio-Paris » sous l’Occupation, qui roule en Vélo-Solex et qu’on a toujours connu.
Il est inusable, indéboulonnable, omniprésent à la télé. Si vous voyez le film des frères Lumières « Le train entrant dans la gare de La Ciotat » (5), vous risquez, parmi les passagers, de voir descendre Alain Lagamel, (au bras d’Evelyne Dalhia qui présente la météo depuis… qu’il existe une météo). Alain Lagamel, en dehors de son côté donneur de leçons, n’est pas le pire de la bande. Il est phraseur, fluctuant, ondulant comme une anguille. Il a connu tous nos monarques et il a su les flagorner quand ils étaient aux affaires, puis les critiquer lâchement ensuite.
Dans un style (ou une absence de style) tout à fait différent, citons Jean-Jacques Gourdin. Lui c’est le genre bulldozer : un faux dur qui aboie fort. A 70 berges, ce cévenol bourru ne fait pas la différence entre une interview et une engueulade. Sa force, c’est sa grande gueule (et la faiblesse de ses adversaires). Il se présente comme un journaliste « indépendant » mais son indépendance se limite à la longueur de sa laisse. Vaniteux comme un paon et très égocentrique, il a écrit un livre à sa seule gloriole : « L’homme libre » (6), ou plus exactement, il a coécrit un livre avec sa compagne et un troisième larron. On n’est pas certain qu’il y serait arrivé tout seul !
Parité oblige, passons aux femmes et commençons par la belle aristo de gauche Apolline de Chiendent. Elle est née dans le 16ème arrondissement. Son père est artiste peintre et sa mère, galeriste. Ils sont propriétaires d’un château dans la Sarthe, ce qui explique sans doute les idées de gauche de leur fifille.
Apolline de Chiendent a appris l’interview avec Jean-Jacques Gourdin, donc, elle n’interroge pas, elle agresse, sachant que personne n’osera la gifler en public. Sa récente interview du Professeur Didier Raoult était un modèle de mauvaise foi, de méchanceté et d’agressivité gratuite.
Autre tête-à-claque, Anne-Sophie Lapeste. Très BCBG (7), cette quadra est l’une des mieux payées du service public où elle obtient tout ce qu’elle veut, même le droit de reprendre « le Grand Echiquier » de Jacques Chancel pour en faire… une mauvaise émission. Si on lui cède tout, ce n’est pas pour son talent, pas même pour sa belle gueule de petit bourge provinciale, mais parce que son second mari est un ami du Marquis de Morveux d’Enarque, dont elle ne peut dire que du bien.
Son style, à la belle Anne-Sophie, c’est le sourire faux-derche et le minaudage fielleux.
Par charité chrétienne, je ne dirai rien sur la pouffe qui a remplacé Anne-Sophie Lapeste aux manettes de l’émission « C à vous » : une émission qui s’apparente à une association de malfaiteurs tant l’information y est déformée, mensongère, bidonnée et tendancieuse.
Dans ce tribunal révolutionnaire, la palme de la mauvaise foi est à partager entre le gaucho bouffi Patrick Co-Haine et un grand couillon, coiffé comme un hérisson, Maxime Fruit-Sec.
Accordons aussi une mention à la flagornerie sirupeuse d’Anne-Claire Courbée et de Gilles Boulet, les deux cires-bottes de « la Une ». Ils sont, parait-il, parmi les présentateurs les mieux payés du PAF alors qu’ils ne sont, l’un comme l’autre, que des petites pointures du fayottage obséquieux.
Un cran au dessus, nous trouvons Christophe Rasoir, le vieux gamin à l’écharpe rouge, patron de l’« Omnibus », cet hebdo de centre-gauche qui réagit moins vite que les autres aux problèmes de société – immigration, délinquance, hyper-fiscalité – mais qui part au quart de tour pour dénoncer les dangers du populisme. Intellectuel de gauche (8), il est sur tous les plateaux et a des avis sur tout.
Il est l’archétype de cette gauche-caviar, très tolérante sauf à l’égard des populistes, du RN et d’Eric Zemmour. Christophe Rasoir est un admirateur zélé du Marquis qu’il a comparé, durant le confinement, à « Clémenceau dans les tranchées de la Grande Guerre ». Rien que ça !!!
N’oublions pas Laurent Delalèche. Celui que les médias avaient surnommé « le beau gosse du PAF » et qui est devenu le « caniche du Marquis », un concurrent du chien Nemo, depuis cette interview ridicule durant laquelle il suivait les déambulations de l’avorton dans le Palais de l’Elysée tout en lui cirant les pompes. Il ne lui manquait que le gilet rayé des larbins. C’était pitoyable !!!
Pour finir – car il faut bien clore le sujet – une palme d’or revient de droit à l’imbuvable, Jean-Michel Antipathie, ce basco-béarnais – mitterrandolâtre de la première heure – qui cultive son accent du Sud-ouest (comme Jane Birkin entretient son accent anglais) pour ne pas avouer qu’il est un « Bobo » parisien de la pire espèce. Sentencieux, arrogant, donneur de leçons de morale, ce type est une tête-à-claque tout simplement insupportable. On le dit, lui aussi, fort bien rémunéré.
Lors d’une prise de parole devant l’Assemblée Nationale – clairsemée par le confinement – le premier « sinistre » du Marquis, ce grand escogriffe à la barbe mitée, a comparé les critiques de sa gestion sur Internet à « des propos de Café du Commerce ». Pour ma part, je préfère m’informer au « Café du Commerce » qu’auprès d’un journalisme de caniveau et d’une presse de pissotière. Les articles des sites et forum ne sont pas toujours bien écrits, mais ils sont généralement… honnêtes !
Cédric de Valfrancisque
14 avril 2020
1)- Le Soudan français, indépendant le 22 septembre 1960, est devenu le Mali.
2)- On attribue (à tort) à Samuel Colt l’invention du Revolver, à Paterson en 1936.
3)- Laquelle tribu l’a envoyée se faire foutre.
4)- Il faut entendre par là « qui n’est pas de gauche ».
5)- Filme qui date de…janvier 1896.
6)- « L’homme libre » Le Cherche midi ; 2014. Ils se sont mis à trois pour écrire… 177 pages.
7)- « Beau Cul, Belle Gueule » et non « Bon Chic Bon Genre ».
8)- Ce qui est un pléonasme, sachant qu’à droite il n’y a que des brutes au front bas !
Chaque type de journal a son avantage : le journal papier peut emballer le poisson, allumer le feu ou décorer le vieux clou rouillé de la cabane au fond du jardin des nostalgiques bien que le papier soit souillé AVANT que de l’avoir utilisé ; le journal télévisé vous dispense des odeurs de son contenu et vous permet de le parcourir sans vous salir les mains.
Si vous préférez vous informer, lisez Minurne.org….
Bien vu, avec une précision: Apolline est un fait un pseudonyme, son vrai prénom c’est Vipérine…
« Un vent de fronde souffle sur le Royaume et les pompiers-pyromanes qui nous gouvernent pourraient bien en faire les frais. »
Je demande à voir !!!! Mais j’en doute fort !
Bref, je partage tout à fait les descriptions de tous ces pieds nickelés des médias données dans cet excellent article. Tous sont très loin d’être sortis de polytechnique, mais ils se la pètent largement.
Je vais vous narrer une anecdote à propos de la vaisselle du Palais.
Lorsque René Coty, et son épouse s’installèrent au susdit Palais.
Madame, en voyant la belle vaisselle mise à sa disposition, décida que la susdite vaisselle estoit trop belle pour l’usage commun et seroit réservée aux réceptions officielles.
Adonc, sur ses deniers propres, ou ceux de son époux, peut nous chaut, Madame s’en alla quérir de la vaisselle ordinaire pour en user avec son époux dans l’intimité.
Celà s’est déroulé au temps de la république quatrième.
Très bien écrite cette historiette, à part la faute à « cela », sans accent SVP