« L’ignorance, c’est la force », Orwell, 1984
Pour nos lecteurs les moins jeunes, peu habitués au globish (cet anglais approximatif que pratiquent la plupart des prétendues élites), « cluster » (en français foule, attroupement), est employé par les ignorants pour désigner un foyer d’infection, (en anglais d’Oxford : focus infection).
« CANCEL CULTURE » est en revanche correct : c’est la culture de l’annulation, de l’effacement.
La question qu’on peut se poser, dans le cadre et en complément du « Grand Remplacement » dénoncé par Renaud Camus…
FAUT-IL DÉSINFECTER LES CLUSTERS DE LA « CANCEL CULTURE » ?
LA « CANCEL CULTURE » VEUT EFFACER NOTRE MÉMOIRE CULTURELLE !
Et que veulent-ils effacer, ces culture cancelors (oublieurs, effaceurs) dont le niveau intellectuel est celui des polders hollandais (sous le niveau de la mer) ? Rien de moins que Aristote, Shakespeare, MarkTwain, Voltaire,… Tout auteur qui parle des esclaves (slaves) et des nègres (negros), pour utiliser les mots d’usage académique et courant de leur époque historique.
Il y a d’ailleurs actuellement une anomalie étonnante. Les socialistes ont obtenu que le mot « race » soit éradiqué (canceled) du langage sous peine de fortes amendes, de même « nègre », remplacé par toutes sortes de synonymes parce que le fait est que les Africains à peau noire sont bien visibles et qu’il faut pouvoir les nommer si l’on veut les désigner comme toujours victimes, opprimés, pauvres et maltraités. Par contre « esclave » reste largement utilisé.
Cela dit, tant mieux, puisque comme le constate le Comité des droits de l’homme et l’OIT de l’ONU, l’esclavage moderne concernerait plus de 40 millions de personnes dans le monde !
https://news.un.org/fr/story/2019/12/1057311
Les esclaves modernes sont toujours, pour la majorité d’entre eux, des Africains : 40 millions, c’est environ huit fois plus que du temps maudit de la traite atlantique, et trois fois plus que la traite africano-arabe, légitimée par les socialistes puisqu’ils refusent de la condamner, comme le déclarait Christiane Taubira « Pour que les jeunes des cités n’aient pas à porter le poids des fautes de leurs parents« .
Mais qu’Africains et Arabes se rassurent, ce sont toujours eux qui détiennent le quasi monopole de la traite esclavagiste moderne, les premiers comme vendeurs, les seconds comme acheteurs ou transitaires, les ONG et associations humanitaires représentent moins de 10 % de la traite.
Les zones où il n’y a pas ou très peu d’esclavage, Europe de l’Ouest et Amérique du nord, sont accusées par la gauche d’avoir pratiqué l’esclavage, une gauche qui excuse les vrais esclavagistes !
EN EUROPE, ESCLAVE SE DIT « RÉFUGIÉ ». QUELQUES UNS LE SONT…
Un signe le confirme, l’africaniste Kemi Seba qui se bat pour obtenir de l’Europe, de la Chine et autres états, le rapatriement en Afrique des jeunes Africains afin d’arrêter la désertification des villages africains, constate que le continent où il est le plus critiqué… c’est l’Afrique ! On l’y accuse de nuire à un commerce qui rapporte énormément en terme d’exportation. Il est même interdit de séjour dans plusieurs pays africains, dont bien sûr la Mauritanie qu’ONU.info du 25 juillet 2010 a rappelé à l’ordre pour « la persistance de situations d’esclavage« , comme c’est joliment dit ! Mais « situations » ne reflète pas la réalité de « trafic » ou « traite », même si les Arabes mauritaniens fortunés gardent pour leur usage personnel les plus jolies noires et les plus robustes jeunes gens comme esclaves-domestiques ».
https://news.un.org/fr/story/2019/07/1048321
Cela dit, on devrait prochainement ne plus parler d’esclaves, un nouveau vocable agréé par la « cancel culture » se généralise : réfugié (politique, climatique, économique ou sanitaire). Mais le mot devrait changer, il laisse entendre que les Africains et Arabes moyen-orientaux viennent trouver secours auprès des européens, américains et arabes de la péninsule arabique qui les achètent aident, ce qui leur donne un trop beau rôle. II faut trouver un mot qui les stigmatise, sinon Ariane de Rothschild, vice présidente de la holding Edmond de Rothschild (son beau-père dont elle a épousé le fils Benjamin) et présidente du groupe Banque Edmond de Rothschild depuis 2019 va finir par licencier son employée chargée de mission, Assa Traoré, salariée de l’OPEJ-Baron Edmond de Rothschild (1).
Cela dit, Assa ne lui coûte pas très cher puisque, quand elle est « en mission », elle se met simultanément en arrêt maladie, alors, « c’est qui qui paye ? c’est la sécu ! » (refrain tahitien).
CANCEL CULTURE veut, exige, l’effacement de tous les auteurs, aussi célèbres soient-ils, qui font allusion à la race et à l’esclavage, voire, comme Aristote, approuvent l’esclavage. Ils ont contribué à la formation et à la grandeur de la culture occidentale qui, on devrait le savoir, n’est rien à côté de l’immense et prodigieuse culture littéraire africaine.
« LES AFRICAINS ONT TOUT INVENTÉ, ON LEUR A TOUT VOLÉ »
Louis-George Tin, ex-président du CRAN en témoigne : pour lui, les Africains ont tout inventé, les Européens sont venus les coloniser pour voler leurs inventions, la roue, le thermomètre, la voiture électrique, l’ordinateur… Sauf une, sur laquelle il a écrit un essai (le mot livre serait inapproprié) : « L’invention de l’hétérosexualité » dont Le Monde, admiratif et toujours honnête et précis dans l’information, comme chacun sait depuis qu’il a titré « Phnom Penh en liesse libérée par les Khmers rouges« , précise au sujet de l’essai de Tin : « publié le 16 octobre 2008 à 17 h 39, durée de lecture 13 minutes« .
La question cruciale, « originale » dit Le Monde, posée par L.G. Tin est « Pourquoi certains individus (blancs) sont-ils attirés par le sexe opposé ? » C’est vrai, il a raison, Pourquoi ? Le grand et beau mâle africain se présente, s’abstient de préliminaires, inutiles pour lui, règle l’affaire en 13,6 secondes et part vers la salle à manger en disant « Prépare-moi à manger pendant que je regarde le match Saint-Louis-Bamako » « Elles ne sont pas contentes » (les blanches), s’indigne L-G Tin. Conclusion, comment peut-on être attiré par ce sexe féminin, pourquoi les blancs le sont-ils, eux ?
COMME AUTEURS RACISTES, IL Y A AUSSI KARL MARX ET MAHOMET
Dans la culture à effacer, les « CANCELORS » oublient des auteurs occidentaux célèbres du passé. Il faut les excuser, ils n’ont lu aucun d’entre eux. Ils veulent effacer Shakespeare parce que dans Le marchand de Venise il décrit les Juifs de façon caricaturale. Mais alors, que vaut Karl Marx quand en 1843 dans La Question juive, il écrit « Le Juif prend rang derrière le citoyen… il est et reste juif » (p.16)? Le Juif serait pour Marx un sous-homme ou un homme de second rang ? Non, mieux, il n’appartient pas à l’espèce humaine « …son essence ne le fait pas homme mais Juif » (p.80 dans la version commentée par Bruno Bauer qui fut le professeur de Marx), « …de même que l’essence qui anime… les mahométans« . Bien, Juifs et musulmans ne sont pas d’essence humaine, selon Karl Marx.
C’est pourquoi, « Les hommes d’État les plus sages doivent veiller à ce que les Juifs au complet soient à nouveau rassemblés au pays de Canaan » (La Palestine historique). Bon débarras ! Et aussi « L’argent est le dieu jaloux d’Israël… Le change voilà le vrai dieu du Juif, » (p. 52). Le Juif et l’argent, ce bon vieux stéréotype sur les Juifs. Sacré Marx, hop ! Effacé de l’Histoire pour racisme par la cancel culture ? Rassurez-vous, Marx est de gauche, il a donc le droit d’être raciste, il est tabou.
Karl Marx ne doit pas être jugé selon les critères de l’antisémitisme actuel, il reflète en les analysant les convictions culturelles des Allemands à son époque. Donc, renvoyer les Juifs en Palestine lui paraissait judicieux puisque c’était leur pays et vide d’Arabes (2).
Et le Coran ? À « canceler », effacer, lui aussi ? L’historien marocain et musulman Chouki el Hamel définit l’islam comme « un racisme religieux à code couleur », où les Noirs sont par la volonté d’Allah destinés à être des esclaves, même s’ils sont convertis à l’islam.
« Les Arabes ont razzié l’Afrique subsaharienne pendant treize siècles sans interruption. La plupart des millions d’hommes qu’ils ont déportés ont disparu du fait des traitements inhumains… De toute l’histoire de l’esclavage et de la traite des Noirs, celle de l’esclavage et de la traite des Noirs par les Arabes est la plus barbare et la plus bestiale. Ils sont allés jusqu’à l’extinction ethnique par castration massive. Ce que les négriers et esclavagistes européens n’ont certainement pas fait ». (Tidiane N’Diaye, anthropologue, Mediapart)
Au Maroc du sultan Moulay Ismaïl, un recensement fut entrepris vers 1720. 221 320 Noirs « humiliés et violées » (sic), furent dénombrés. « Les concepts de « race » et de racisme ne sont pas une invention euro-américaine« , affirme Chouki el Hamel, ils se sont construits contre les Africains pendant la période islamique, à partir du Maghreb où la légitimité politique et la liberté étaient liés à la « blancheur », comme le professa le sultan Ahmad al Mansour au XVIème siècle. La quasi totalité des auteurs musulmans trouve légitime l’esclavage des Noirs, conformément aux prescriptions du Coran et de la Charia. Faut-il interdire toute la littérature musulmane qui défend l’esclavage africain pour complaire à Black Lives Matter et à Cancel Culture ?
CANCEL CULTURE ET BLACK LIVES MATER DISCRÉDITÉS PAR LEUR INCOHÉRENCE
Ce qui discrédite le discours victimaire des Black Lives Matter, des antiracistes, anti-esclavagistes, décolonialistes, clan Traoré, Antifa et autres extrémistes d’extrême gauche flirtant avec le nazisme racial envers les Blancs, et notamment les Juifs, c’est qu’ils sont incapables de percevoir, concrétiser, verbaliser, analyser et justifier, la contradiction fondamentale qu’il y a à se révolter contre le racisme, le colonialisme et l’esclavagisme euro-américain, pourtant réduits à presque rien, et à accepter comme normal le racisme, le colonialisme et l’esclavagisme musulmans – en pleine expansion, selon l’ONU. Pour ne pas avoir à se remettre en cause, ils en font, comme Christiane Taubira, un sujet tabou à ne pas enseigner ni étudier avec interdiction d’en faire la critique historique, constate Chouki el Hamel, rejoint par l’historien congolais Marcel Yabili.
Georges Clémenceau, dans une lettre publiée par L’Illustration en 1910, étend ce déni intellectuel au cannibalisme qu’il a constaté en Afrique comme étant une coutume normale.
Dans un tweet récent, Elisabeth Badinter a formulé la remarque suivante : « On a été tétanisés par l’idée qu’on pouvait être intolérant, et du coup, nous avons toléré l’intolérable ! Aujourd’hui, par manque de culture, toute une frange de la société française suit les tenants de la cancel culture, du « décolonialisme » et de l’esclavage musulman par idéologie qu’ils croient progressiste, par intérêt ou par marxisme. Ils sont loin d’être majoritaires, mais comme écrivait Orwell, « leur ignorance fait leur force ».
Ce sont les EFFACEURS DE LA FRANCE.
L’Imprécateur
27 août 2020
1 : OPEJ, Œuvre de Protection des Enfants Juifs est une association créée par Arielle de Rothschild. Elle la finance par la Fondation Edmond de Rothschild. Assa Traoré, quand elle n’est pas en mission « manifs » mais en arrêt maladie, emmène, avec une autre salariée de l’association pour l’aider, des jeunes ados juifs en vacances, sur les plages de Croatie par exemple. Il faut reconnaître que c’est un travail dur–dur. Mais Assa se console en pensant qu’elle est une efficace protectrice des Juifs.
2 : Après que la SDN ait confié à l’Angleterre l’administration de la Palestine, les Anglais commencèrent par en faire la cartographie aérienne, confortée par un inventaire au sol, résultats publiés vers 1930 : sur une centaine de villages, un seul avait un nom et une population arabe, les autres étaient tous juifs.
3 : (TV2, 22 août, enquête sur les traversées clandestines de la Manche depuis Calais vers Douvres. Une famille de 5 personnes attend cachée dans les dunes que le passeur donne le signal de courir vers le minuscule canot pneumatique. C’est la cinquième fois qu’ils tentent la traversée, les 4 fois précédentes ont raté, la gendarmerie surveillait. « On a donné 13 000€ au passeur » dit le père. Ils ont quitté leur pays il y a trois ans, arrivent enfin à Calais et ils ont encore 13 000 € ? Non, dit-il, c’est l’association qui donne à chaque fois pour le passeur. Une association française subventionnée par nos impôts. De plus, Macron a promulgué en août, en toute discrétion, un décret demandant que les subventions aux ONG et associations s’occupant de migrants soient augmentées. Et un autre pour l’agrandissement et l’aménagement du port de Marseille pour augmenter la capacité d’accueil de migrants originaires d’Afrique.
Excellentes remarques.
Belle analyse des idiots utiles, et de tous ces bobos qui se donnent des frissons en songeant à l’esclavagisme, au monde de Mad Max, au cannibalisme et en rêvant d’avoir leurs esclaves personnels. Le frisson des touristes explorant des contrées exotiques. Une belle bande de minables intellectuellement limités (Cf. R. Enthoven)