Tedros Adanom Ghebreyesus, Directeur Général de l’OMS, a rappelé il y a un mois qu’il est risqué de mettre en service des vaccins qui n’ont pas suivi les procédures d’analyse scientifique et de tests.
Mais il y a pire…
L’Imprécateur rappelle que les vaccins fondés sur des segments d’ARNm sont tout simplement interdits par la loi !
165 LABOS DANS LE MONDE CHERCHENT UN VACCIN ANTI-COVID (source OMS)
La plupart travaillent sur la méthode bien connue du virus amoindri juste suffisamment actif pour stimuler les défenses immunitaires de la personne vaccinée. Les formalités administratives pour les faire valider, examen minutieux de la composition du nouveau vaccin, étude et analyse des rapports scientifiques, tests animaux, tests humains, etc. prennent des années, comme l’ont rappelé le directeur général de l’OMS et, il y a quelques jours, le nouveau « Monsieur vaccin », Alain Fischer, chargé par le gouvernement de la mise en œuvre de la vaccination collective.
Quelques rares laboratoires ont tenté une méthode nouvelle basée sur la récente découverte des ciseaux CRISOP-Cas9 de la prix Nobel de chimie, Mme Charpentier. Ils veulent envoyer dans les cellules du vacciné des segments d’ARN, matériel génétique, dits ARMm (le petit « m » pour « messager » ce qui est moins inquiétant que « m » pour « modifié » !). Lesquels segments sont programme pour se greffer via des protéines sur l’ADN (autre élément du matériel génétique) du vacciné et l’éduquer à réagir promptement et fortement à une attaque virale.
Dans l’absolu, c’est probablement une bonne idée, mais qui en est à ses balbutiements. Les expériences précédentes, comme celle des deux jumelles chinoises dont l’ADN a été greffé anti-Sida il y a une dizaine d’années, sont des échecs, des effets secondaires sont apparus deux ou trois ans plus tard et les scientifiques chinois en attendent encore.
On ne sait pratiquement rien de ces nouveaux « vaccins », présentés publiquement comme tels mais qui n’en sont pas. Seulement la publicité que leur font les laboratoires Pfizer, Moderna et Astrazeneca qui les vantent efficaces à 90 ou 95%. Ce qui n’empêche pas le gouvernement d’en avoir acheté des quantités énormes pour commencer à vacciner les anciens des EHPAD dès janvier 2021.
De toute façon, peu importe le nom qui leur sera donné pour rassurer et faciliter leur acceptation par une population déjà méfiante, il s’agit bien d’une manipulation du génome par des modifications de l’ARN et de l’ADN.
Or,…
L’UTILISATION DE CES MODIFICATEURS DU GÉNOME EST INTERDITE PAR LA LOI
Il s’agit d’une loi européenne de 1997, dite Convention d’Oviedo, du nom de la ville espagnole où elle a été annoncée et présentée. Son article 13 stipule que toute intervention médicale qui aboutirait à une modification du génome héréditaire est interdite. Beaucoup de pays ont hésité à la signer, craignant que cette disposition entrave leur recherche médicale.
La France l’a ratifiée en 2011 par l’article 1er de la loi du 7 juillet 2011 sur la bioéthique. Elle est opposable en droit interne depuis le 1er avril 2012, conformément aux dispositions de son article 33 §4.
Article 1er : Est autorisée la ratification de la convention du Conseil de l’Europe pour la protection des droits de l’homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine : convention sur les droits de l’homme et la biomédecine, signée à Oviedo le 4 avril 1997.
Les juristes du gouvernement vont certainement expliquer qu’il y a des exceptions, ce qui est exact.
Mais celles-ci sont soumises à de strictes exigences :
La personne sur laquelle l’expérimentation est faite doit avoir préalablement signé un document donnant la composition détaillée du médicament concerné, ses effets immédiats, ses effets secondaires potentiels. Elle certifie l’avoir lu, se l’être fait expliquer, avoir tout compris et être d’accord pour recevoir le produit concerné.
Ils vont objecter qu’ils n’y a pas dans la loi française de chapitre spécifique consacré auxdits « vaccins », ce qui est évident, puisqu’à l’époque tout le monde pensait, à l’exception de quelques scientifiques précurseurs, que l’on ne saurait jamais bricoler et modifier le génome humain par des manipulations de ciseaux protéiniques inventés en 2015.
Cela ne change rien au principe global de la Convention d’Oviedo : toute intervention médicale qui aboutirait à une modification du génome héréditaire est interdite.
La vaccination est bien une intervention médicale ? Oui.
Celle qu’envisagent les laboratoires consistent bien à injecter un ARNm pour modifier le comportement de l’ADN ? Oui.
Donc c’est interdit.
L’Imprécateur
12 décembre 2020
Pour complément d’information :
https://www.youtube.com/watch?v=twsLoREBne4&feature=youtu.be
Apparemment cela modifie le comportement de l’ADN, mais pas l’ADN lui-même, donc ???
Vous n’avez pas compris que les pouvoirs se foutent des lois ?! Sachant que les peuples les ignorent, ils les violent de plus belle. Combien de benêts pétochards se feront quand même vacciner ? Vous me direz que ce sera un génocide des cons, certes.
Mais à force de jouer aux cons avec les vaccins et les virus, on verra un jour la réalité dépasser les pires films de fiction d’horreur ! Et le feu sera mondial comme une trainée de poudre.
Le Dr Kory présente devant le Senat US les effets de l’ivermectine sur le virus.
https://www.youtube.com/watch?v=EpxDQUA5h5o