« L’AVENIR EST À LA BAGNOLE ÉLECTRIQUE » (les journaux, les bobos, les écolos)… Éric de Verdelhan

« Le réchauffement climatique est une invention défendue par les Nations Unies pour créer un nouvel ordre mondial autoritaire… »
Maurice Newman, homme politique australien (2000).

« La climatologie est un art divinatoire visant à déduire du comportement humain l’avenir climatique de la Terre, dans l’idée de prescrire à chacun des actions de pénitence ».
Benoît Rittaud, « Le Mythe climatique » (2012).

 

 

Depuis que les « Khmers verts », ces tristounets écolos, ont conquis quelques grandes villes aux dernières municipales, l’automobiliste et le motard sont invités à y rouler à… 30 km/heure, soit en gros la vitesse de pointe d’un vélo électrique. On en voit d’ailleurs de plus en plus, chevauchés par des « Bobos » casqués car cette engeance imbécile adhère comme un seul homme (1), sans aucun esprit de rébellion, à la moindre ineptie, à condition que ce soit « bon pour la planète ».

(à ce propos, demandez leur simplement de décrire avec précision ce qu’est une planète, vous ne manquerez pas d’être surpris !) – NDLR

Le panurgisme – la servilité moutonnière – est un des nombreux maux de notre époque décadente. Un mal qui fera, soyez-en certains, beaucoup plus de casse humaine et de dégâts sur notre économie que ce fichu Coronavirus.

Les écolos et leurs complices (2) sont obsédés par l’idée de faire disparaitre le moteur à explosion. Ils avancent même une date proche : 2035 et même avant, si possible.

Mais par quoi le remplacer ? Par le moteur électrique : CQFD, c’est une évidence (3) !

Habitué à subir les sornettes des Hulot, Pompili, Nouvion ou de l’épouvantable Greta Thunberg, je veux bien tout entendre. On peut être un franchouillard de droite, climato-sceptique, amoureux des belles mécaniques et faire preuve, de temps en temps, d’ouverture d’esprit.

Mais au fait, les batteries pour alimenter les voitures électriques, on la produit comment ?

Le « Canard Enchaîné », qui n’est pourtant pas ma bible, vient de publier un article au vitriol sur l’absurdité de s’orienter vers la voiture électrique. Je suis de son avis, pour une fois !

On nous serine que la voiture électrique est la solution d’avenir et la seule voie pour « sauver la planète ». Et la France s’est engouffrée tête baissée dans le tout électrique sans discernement.

Nos dirigeants ont enjoint les constructeurs de tout miser sur l’électrique. Bruxelles leur interdit de faire de la publicité pour les voitures qui ne sont pas électriques ou hybrides, alors même que nous étions devenus leaders en matière de moteurs thermiques.

Selon « les Echos » la suppression des motorisations essence ou diésel va tuer 41000 emplois nets en France dans les années à venir. Accessoirement, on va encore détruire un secteur industriel sur notre sol.
UN DE PLUS !!!!

Mais qu’est-ce que ça signifie pour le Français moyen ? D’abord, l’installation de multiples bornes de recharge le long de nos routes, car les bagnoles électriques les plus performantes n’ont pas une autonomie supérieure à 500 km. Et encore, à condition de ne pas utiliser  les phares, le chauffage, les essuie-glaces, le dégivrage ou la climatisation.

Ensuite, il faut des batteries capables de stocker cette énergie. Or, les batteries équipant les véhicules sont lourdes, très coûteuses et bourrées de métaux rares. Dans celle de la « Tesla Model S » qui fait rêver les bobos parisiens (4) il y a plus de 16 kg de nickel !
Or le nickel est rare, très rare, sur cette terre qu’ils prétendent  sauver !

Le patron de « Tesla France » nous déclare que « le goulet d’étranglement de la transition énergétique se fera sur le nickel » ce qui revient à dire, en langue-de-bois, que le nickel est très difficile à trouver. Il faut aller le chercher en Indonésie ou en Nouvelle Calédonie.  Et son extraction est une vraie galère : on ne le trouve jamais à l’état pur. Dans les minerais, il n’existe qu’en très faible proportion. Il faut creuser, broyer, cribler, hydrocycloner pour un résultat à peine à la hauteur de nos besoins. Cette extraction  entraîne des montagnes colossales de résidus que l’on déverse la plupart du temps… dans la mer ! Mais les « Khmers verts » se foutent de la biodiversité ; la mobilité verte n’a pas de prix pour eux, c’est une religion, un dogme.

Il faut aussi  du lithium : 15 kg par batterie (toujours pour la « Tesla Model S »). Le lithium provient  des  hauts plateaux des Andes. Pour l’extraire, on pompe sous les salars (lacs salés asséchés), ce qui entraîne une migration de l’eau douce vers les profondeurs. C’est une catastrophe écologique, selon les autochtones, qui souffrent déjà du manque d’eau.

Et puis, il y a aussi du cobalt : 10 kg par batterie, qu’on va chercher au Congo. Au nom de l’écologie, on trouve normal que des petits Congolais creusent à mains nues dans des mines pour seulement deux dollars par jour (5). Mais nos constructeurs veulent à tout prix rattraper la Chine, championne du monde dans ce secteur.

Pour couronner le tout, les batteries sont très lourdes (1/4 du poids de notre « Tesla Model S ») ; il faut donc alléger au maximum le véhicule. On fabrique donc des carrosseries en aluminium dont l’extraction génère ces terribles boues rouges, issues du traitement de l’alumine avec de la soude et composées de plusieurs métaux lourds (l’arsenic, le fer, le mercure, la silice et le titane), que l’on déverse dans la mer au mépris des questions d’environnement, comme à Gardanne dans les Bouches-du-Rhône.
C’est  le développement « durable » vu par les  écolos.

Et les batteries des voitures… Il faut les charger, or la fermeture des centrales nucléaires est programmée à terme (6). Pour alimenter le futur parc de véhicules électriques, il faudrait plutôt les multiplier ! Miser, comme les Allemands, sur les centrales à fuel ou à charbon n’est pas sérieux.

Ce surcroît d’énergie électrique, il va falloir l’acheminer. Notre réseau Haute-Tension est-il en capacité de supporter cette surcharge ? Même interrogation pour les réseaux locaux qu’il faudra étoffer (et étendre) pour desservir les multiples terminaux.
Tout cela en tenant compte, bien sûr, des pics de consommation.
Question subsidiaire : que fait-on pour le recyclage des vieux accumulateurs ?

En fait, qu’est-ce que les « Khmers verts » reprochent au bon vieux moteur à explosion ? Ses émissions polluantes.

Personne ne songe à le contester mais rappelons que la pollution résultant des hydrocarbures est à 98% le fait du chauffage, des camions, des avions de ligne et des navires marchands : cargos, méthaniers, porte-conteneurs, paquebots de croisière, etc…
Les industriels, comparses des écolos, invoquent la pénurie de pétrole à court terme. Or c’est un mensonge, un bluff, un énorme bobard : depuis plus d’un demi-siècle, on nous raconte n’importe quoi sur le devenir de notre planète : en 1974, par exemple, lors du premier choc pétrolier, on nous annonçait  comme une fatalité inéluctable : « Dans 20 ans (soit en 1994) il n’y aura plus de pétrole ».
Nous sommes en 2021. Notre consommation de pétrole a été multipliée par dix depuis  et nos réserves de pétrole sont trois fois plus importantes qu’en 1974.

Du pétrole – énergie fossile donc qui se régénère – il y en a partout ; sous les grands lacs africains, en Mer du Nord, sous la calotte arctique et même sous… la Région Parisienne !

Et puis, si nos dirigeants n’étaient pas d’une inculture crasse, ils sauraient que « l’opération Barbarossa » (invasion de l’URSS par l’Allemagne en juin 1941) visait à s’emparer des gisements de pétrole soviétiques pour alimenter la force mécanique du 3ème Reich. Les Allemands ont capitulé à Stalingrad le 2 février 1943. Durant toute la seconde guerre mondiale, leurs divisions de panzers, leurs escadrilles de chasseurs et de bombardiers, bref toute leur énorme machine de guerre a utilisé très majoritairement du carburant… de synthèse.

Mais revenons au moteur à explosion. La solution n’est pas de l’éliminer car il n’a cessé d’évoluer au fil des années. Il est parfaitement au point, solide, économique et, de surcroît, aisément recyclable. Grâce, par exemple, aux filtres à particules pour les Diésel, aux huiles plus fluides, aux cylindres réduits pour les modèles à essence, à la gestion électronique pour les deux, les nouveaux moteurs ont un excellent rendement énergétique, et ils demandent peu d’entretien.

De plus, la France – que nos dirigeants se sont ingéniés à désindustrialiser depuis un demi-siècle – est encore leader sur le marché du moteur à explosion : le prolo en Dacia (7), ou le parvenu en Mercédès (8) roulent avec des moteurs conçus par Renault.

Le groupe Peugeot-Citroën, avec la marque « DS », vient de recréer une marque « premium »  qui peut rivaliser sans complexe avec les marques allemandes, Audi, BMW ou Mercédès.

Alors, pourquoi tuer une industrie dans laquelle la France a largement fait ses preuves ?
Sinon, on l’aura compris, pour obéir servilement au Nouvel Ordre Mondial ?

Autre tarte à la crème des écolos : en attente du « Tout électrique », utilisons des carburants « verts ».
Or c’est  encore un non-sens économique : cultiver, au détriment des ressources vivrières, du maïs très gourmand en eau, le récolter puis le distiller est couteux en énergie. Ce n’est donc qu’une posture politique car le prix du litre de carburant à l’éthanol majoritaire n’est avantageux que par l’artifice d’une taxation réduite. Et le moteur consomme plus : l’éthanol pur est environ deux fois moins énergétique que l’essence.

Le GPL (9) bénéficie également d’une taxation réduite mais, pour avoir eu autrefois un 4×4 roulant au GPL, j’en connais tous les inconvénients : surconsommation, odeur, autonomie réduite, rareté des stations GPL. A l’usage, ce carburant est presque aussi contraignant que le Gazogène sous l’Occupation.
Je n’ai ni les moyens ni l’envie de rouler en véhicule électrique. J’aime le bruit et les vibrations du gros « V-Twin » de ma moto. J’ai l’impression d’avoir encore un peu de liberté !

Plus jeune, j’ai eu quelques grosses voitures mais, comme dit la pub, « ça c’était avant ! », avant les radars, les limitations à 80 km/heure, les ralentisseurs, les 30 km/heure en ville…
Je précise quand même, avant de conclure, que j’aime aussi le vélo – le vrai  vélo : celui sur lequel il faut pédaler pour avancer – mais comme loisir, pas comme moyen de transport imposé.

Macron et Le Maire, qui se gargarisent de mots creux, nous disent qu’en 2025, la France serait leader sur le marché de la voiture électrique. Chiche ? Je prends le pari que non !
Sachant que cette fichue Europe – tous pays confondus – produit… 1% du marché mondial des batteries, et la Chine 65%, ce genre d’annonce prouve bien que nos dirigeants se foutent allégrement de nous.

Eric de Verdelhan
26 décembre 2021

 

 

 

 


1)- les féministes et les LGBT voudront m’excuser : ce n’est en rien une provocation mais une expression française.
2)- A qui va-t-on faire croire que le lobby du « Tout électrique » œuvre pour la survie de la planète ?
3)- La première voiture électrique date de…la fin du 19ème  siècle.  La « Jamais Contente », véhicule électrique, conservée au Musée de la Voiture de Compiègne, est la première voiture à dépasser les 100 km/h en 1899 ! Si la voiture électrique était la panacée, pourquoi l’avoir délaissée pendant plus d’un siècle ?
4)- Lesquels rêvent un peu moins depuis qu’une « Tesla » folle a fait 20 victimes en plein Paris.
5)- « Les Échos » du 23 septembre 2020.
6)- Mais Macron vient d’annoncer qu’on allait en construire d’autres, plus petites.
7)- Je tiens à préciser, pour éviter de me faire engueuler, que je roule en 4×4 Dacia.
8)- Tous les propriétaires de Mercédès ne sont pas des parvenus. La marque – comme BMW et Audi – plait aussi aux voyous et aux dealers allogènes, et aussi, parfois à des « Gaulois » normaux.
9)- Gaz de Pétrole Liquéfié. Dacia semble vouloir relancer ce carburant (en biénergie avec l’essence).

7 Commentaires

  1. Imaginez les chassés croisés des vacances avec des voitures électriques….. Pas plus de 400kms, tout le monde voulant recharger sur les aires d’autoroutes… Bref encore un délire de pastèque.

  2. Excellents articles. Celui de Verdelhan sur l’auto électrique est très bien fait mais s’est résumé à l’essentiel en sacrifiant des graves inconvénients dont je tiens ici à expliquer les plus catastrophiques. Les lugubres religieux écolos sont éternellement insensibles aux réalités et ne rêvent que d’imposer leur dictature religieuse polluante et désespérante car ils haïssent une fois pour toutes le genre humain.

    L’auto électrique, jointe à la folle dénucléarisation, est un non-sens physique (le mot  »physique désignant ici la SCIENCE PHYSIQUE).

    L’électricité, il faut la produire, donc hors le nucléaire, il ne reste que l’énergie par combustibles fossiles. L’éolien est une sinistre plaisanterie qui ne produit presque rien et en plus, du courant »sale ». Et ne parlons pas de l’escroquerie intégrale du photovoltaïque, un scandale encore protégé par une désinformation dingue.
    Donc, au minimum 80 % de l’énergie électrique, dans le monde entier, va continuer à être produite avec des fossiles.

    Mais pour transformer de l’énergie fossile en courant électrique, il faut traverser la barrière incontournable des lois de Carnot. Je rappelle ici la formule principale des rendements des moteurs thermiques. Notons r le rendement, on a la formule

    r=1-{T_2/T_1}

    où T_1 est la température Kelvin de la source chaude et où T_2 est la température Kelvin de la source froide.

    N.B. relation entre la classique température Celsius t_C et la température Kelvin t_K:

    t_K=273,14 + t_C

    donc le zéro Celsius (en gros, température de glaciation de l’eau à la pression atmosphérique normale au niveau moyen des mers) correspond à 273,14 degrés Kelvin, et le zéro Kelvin correspond à la température Celsius -273,14 degrés Celsius. Le zéro Kelvin est appelé le ZERO ABSOLU, il correspond à un état de la matière d’agitation moléculaire nulle.

    Par exemple, soit une centrale qui produit du courant à partir de gaz naturel. Le source froide est la température moyenne de l’atmosphère, une vingtaine de degrés Celsius, donc T_2 est voisin de 293,14 degrés Kelvin. Le gaz naturel brûle à environ 550 degrés Celsius (s’il est d’excellente qualité), donc T_1=273,14+550=823,14 Kelvins
    Donc le rendement théorique MAXIMUM de la machine thermique ne pourra jamais dépasser :

    r=1-(293,14/823,14) , voisin de 64,4 %. En réalité, cette valeur théorique est trop grande, car la chaleur de la combustion du gaz est d’abord transformée en énergie mécanique en faisnt tourner un alternateur, lequel produit du courant et cette transformationde l’énergie mécanique de l’alternateur elle non plus ne peut pas dépasser un certain rendement qui est rarement supérieur à 93 %. Contraintes de tenue des matériaux et de déperditions de chaleur au départ empêchent difficilement de dépasser $T_1=700 K$. Si on adopte ces 700 K: au total, dans la pratique industrielle, le rendement de la combustion du gaz pour produire du courant électrique ne dépasse jamais 55 %.

    Mais une fois branchée sur votre voiture, cette électricité est retransformée en énergie mécanique pour faire rouler ‘:lauto. Malgré les prétentions pompeuses de certains fans de l’auto électriuque, cette transformation du courant électrique en énergie mécanique ne dépasse jamais 64 %.

    Au total, le rendement maximal de la combustion du gaz naturel pour , faire rouler une auto électrique, difficilement atteint par des autos électriques parfaites,n’est jamais supérieur à 0,55 X 0,64 = environ 35 %.(Dans la pratique, comptez plutôt 30 %).

    Mais quand vous faire le plein de fuel dans votre auto diesel moderne,
    dans les moteurs diesel modernes, le gasoil brûle à de températures Celsius supérieurses à 800 Celsius et même pour les tout derniers modèles, proches de 900 Celsius. Adoptons T_1 = voisin de 1100 K

    Le rendement maximum du moteur sera donc 1-(293,14/1100)= voisin de 75 %.. En réalité ce sera un peu moins vu les contraintes de tenue des :métaux constituants du moteur, mais de toutes façons ce rendement dépassera 70 %, c’est-à-dire le DOUBLE des rendements de l’auto électrique.

    Donc maintenant livrons-nous à un calcul à la portée d’un candidat moyen au certificat d’études primaires.
    Cela signifie que pour faire rouler le parc français à l’électricité sans diminuer les services rendus, il va falloir importer DEUX FOIS PLUS de combustibles fossiles, bravo Monsieur Hulot, dont on se demande où il a fait sa scolarité ! Donc on, gaspille deux fois plus d’argent en importations de combustibles fossiles, pour polluer deux fois plus,
    bravo les écolos !

    L’équivalent d’une Mégane qui développe 120 CV Din et possède une autonomie de 1500 km pour transporter à l’aise quatre passagers avec leurs bagages consomme aujourd’hui entre 3 et 4 litres aux 100 km, ce qui est MIEUX q’une auto hybride, qui elle, est le comble de la fantaisie, pour faire plaisir à messieurs et dames écolos.

    Mais c’est encore pire. Il y a une escroquerie supplémentaire dont on ne parle jamais : la France est un pays où plus de la moitié du territoire est constitué de zones de montagnes de hauteurs variées. Donc les parcours plats sont minoritaires. Les écolos font croire aux gogos que l’auto électrique rattrape à la descente ce qu’elle a consommé à la montée puisque la descente est causée par la gravitation, qui serait gratuite.
    Ce raisonnement est un enfumage d’une malhonnêteté qui, dans un pays normal peuplé de gens moyennement instruits, devrait conduire devant les tribunaux ceux qui le tiennent.

    En effet, la gravitation impulse au véhicule qui descend une énergie qui est une ACCELERATION (g=environ 9,81 m/s^2). Donc si vous ne fereinez pas, en quelques secondes, c’est l’accident assuré. Donc à la descente (par exemple 20 km pour descendre le col du Tourmalet dans les Pyrénées), IL FAUT ABSOLUMENT FREINER. Or dans une descente l’énergie nécessaire pour freiner est exactement égale à celle qu’il a fallu utiliser pour monter : c’est mgh, où m=masse du véhicule,
    g= accélération de la pesanteur, et h = la différence d’altitude entre le haut et le bas du col.
    Avec un véhicule avec moteur à explosion, une vertu magique de ces moteurs diminue beaucoup l’énergie nécessaire à la descente : le FREIN MOTEUR, or l’auto électrique n’a quasiment pas de frein moteur, je saurais expliquer pourquoi ,mais je ne veux pas rallonger mon texte.

    Donc pour freiner à la descente, l’auto électrique a besoin de déployer la même énergie que celle dépensée pour monter. Cette énergie n’est pas électrique, elle se dépense en chaleur : les freins CHAUFFENT quand ils agissent ! tout le monde sait qu’en mécanique ce qui tourne coûte moins cher que ce qui chauffe…..voir aussi les expériences du frein de Prony,…..il faut un minimum d’instruction vraiment petit pour être moins bête qu’un écologiste !

    CONCLUSION à l’intention des gens honnêtes qui veulent travailler avec la vérité, donc pas à l’intention du député moyen de LREM)

    OU BIEN l’électrification idiote du parc automobile français se fera et elle se traduire par un service nettement inférieur au service rendu par l’auto thermique, en clair, on subira tous un RATIONNNEMENT SEVERE du droit de circuler qui se fera par la cherté infernale de ce moyen de locomotion (il faudra bien payer l’électricité nécessaire et nous avons vu que cela coûtera forcément plus du double que le gasoil actuel).

    OU BIEN pour garder les mêmes services rendus, il faudra accepter de payer ces prix doubles pour moins de confort, moins d’autonomie et plus de danger à la conduite (par l’absence de frein moteur).Quand la moitié des automobiliste seront piégés dans l’auto électrique, ils vont avoir une sale surprise avec le coût de l’électricité pour rouler !

    Mon pronostic qui n’engage que moi : si les écolos appliquent leur programme, il y aura un sévère rationnement du droit de se déplacer, mais cela coûtera au moins aussi cher que les prix actuels (autrement dit on roulera avec moins de confort que maintenant, on sera rationnés de fait pour se déplacer en auto et cela nous coûtera aussi cher sinon plus que le coût actuel de l’auto thermique).

    CONCLUSION DE LA CONCLUSION : quand la catastrophe écologiste ,nous étreindra tous, il ne faudra pas que les français qui nous auront infligé ce pouvoir catastrophique viennent se plaindre !

  3. Article pertinent et de bon sens.

    Mais vous avez parlez de différents métaux plus ou moins rare, et vous avez omis le plus présent dans ces bagnoles électrique , le CUIVRE !
    Si toutes les voitures étaient électrique, le cuivre présent sur toute la planète n’y suffirait pas, entre les bobinages des moteurs , les câbles et surtout les km de câbles à H.T. qu’il faudrait acheminer le jus pour recharger des centaines de millions de véhicules, près de chez soi ou sur les routes.

    Et je ne parle même pas de la pollution engendrée pour extraire et raffiner ce métal.

    Quant aux autres solutions énergétiques plus ou moins fumeuses à base d’hydrogène, d’huile du Pr Tournesol, d’alcools en tout genres, il suffit de rechercher le tableau des différentes matières et l’énergie déployée par kg de celles ci pour comprendre pourquoi l’humain s’est dirigé vers le pétrole
    Abrutis d’écolos même pas capables de faire pousser des patates !

  4. Pour qu’une Twingo électrique ait la même autonomie qu’une version thermique, il lui faudrait 1240 kg de batterie (alors que la 1ère version pesait 855kg) à condition de rouler seul à bord, sans bagage, sur du plat, sans vent contraire ni chauffage, essuie glace, feux, etc…
    Quant à la pile à hydrogène, elle va se heurter au problème de stockage de l’H2 à très haute pression.
    En résumé, la voiture électrique est une idée à la con, comme les éoliennes, hydroliennes et autres panneaux photovoltaïques, promue par des crétins urbains qui ne connaissent rien et s’ils devaient financer cette merde avec leur propre argent, il y a belle lurette que tout cela serait enterré.

    • @Dorylée : votre intervention est excellente. Je me permets de développer votre judicieuuse critique de l’hydrogène.

      L’hydrogène ne sera jamais une solution car il est instockable. Il n’existe pas à l’état naturel sur notre Terre parce qu’il est tellementv léger que lorsqu’il atteint l’atmosphère, il s’évade de la gravitation terrestre. Certes c’est un processus assez lent au
      départ, mais inexorable et continu, absolument impossible à contourner.

      Je vais essayer de me faire comprendre. Prenez un atome de n’importe quel matériau du tableau de Mendeléiev. Il se compose d’un noyau et de couches électroniques qui gravitent autour. Surtout n’allez pas imaginer que ça ressemble à un système solaire miniature : ça n’a rien à voir. Par exemple, les électrons autour du noyau forment des couches à des distance bien précises du noyau les rapports entre ces distances étant des nombres rationnels simples et bien déterminés. Ces couches peuvent être comparées à des nuages impossibles à localiser dans la sphère centrée sur le noyau sur laquelle se déplacent les électrons d’une couche déterminée;Leur position précise sur cette sphère n’étant pas détectable, on leur attribue des probabnilités qu’ils se trouvent approximativement là ou là, sans plus. Le noyau est constitué de protons et de neutrons, en nombre pas forcément égal, généralement il y a un peu plus de neutrons que de protons. Le proton est chargé électriquement avec une charge bien précise, la même pour tous, les protons de n’importe quel corps ; le neutron est électriquement neutre. Le neutron est un poil plus lourd que le proton. Le nombre de protons du noyau est appelé le numéro atomique. La somme du nombre des neutrons et du nombre des protons est très voisine de ce qu’on apppelle la masse atomique, cette masse étant mesurée en prenant à peu près pour unité de masse atomique la masse du proton.La plupart du temps, lamasse atomique est un peu plus lourde que le double du numéro atomique. Deux atomes qui ont le même nombre de protonsmais pas forcément le même nombre de neutrons sont dits isotopes.Un corps est dit pur s’il es formé d’atomes d’une même catégorie tous de même numéro atomique. Généralement dans un corps pur, il y a un isotope dominant et de petites proportions d’autres isotopes. Par exemple, il existe SEPT isotopes de l’hydrogène, dont les trois, principaux sont l’hydrogène courant (un proton, zéro neutron , un seul électron, donc masse atomique à peu près égale au numéro atomique, quiest 1. ), le deutérium (un proton et un neutron, un seul électron, masse atomique voisine de 2) et le tritium (un proton et deux neutrons plus un seul électron, masse atomique voisine de 3) . L’hydrogène courant est présent à plus de 99 % dans les atomes d’eau donnée par la nature, le deutérium est plus de 99 % du reste de cette eau, et le tritium encore plus rare. Le deutérium, très stable et non radioactif, sert à produire l’eau lourde, le tritium est radioactif et joue unrôle prépondérant dans le processus de fusion atomique.

      Chaque électron a la même charge qu’un proton, mais avec signe opposé (électricité négative pour l’électron, positive pour le proton) mais sa masse est environ
      10 000 fois plus faible que celle d’un proton. Les corps purs étant électriquement neutres, il y a toujours le même nombre d’électrons que de protons, donc le nombre des électrons est égal au numéro atomique du corps. Tout ce que je vous résume là est extraordinairement simplifié, je n’oserais pas faire un cours à des élèves de quatrième DE MON EPOQUE avec seulement ça !

      Ces préliminaires étaient indispensables. l’hydrogène commun est vraiment à part dans ce bestiaire car il
      n’a en tout et pour tout qu’un neutron et un électron, ce qui le rend terriblement léger. Pour bien comprendre cela, imaginez un ballon de foot placé à Paris au centre du champ de Mars. Son électron se situerait à plus de 120 km de là et serait gros comme un grain de blé. La matière vue au niveaudes atoimes est donc essentiellement…..du VIDE !quand les artomes s’agglutinent pour former un corps (= matériau), il existre de mystérieuses forces qui équilibrent à peu près les positions des uns par rapportaux autres, qu’on a labiorieusement classées (force faible, force forte, etc) ces forces maintiennent les distances interatomiques que je viens de décrire donc même un acier d’une extrême dureté,vu à l’échelle atomique, est constitué de vide ! on comprend donbien que l’atome d’hydrogè!ne courant, extraordinairement léger, se joue, à l’échelle atomique de ‘n’importe quelle barrière matérielle qui vue à notre échelle, paraît opaque et infranchissable.

      Les atomes lourds sont impactés sérieusement par les forces faibles et fortes interatomiques, mais un atome d’hydrogène courant est si léger et si minuscule qu’il se faufile partout. Il traverse n’importe quelle barrière matérielle et s’il parvient dans l’atmosphère terrestre, soit il se combine avec l’oxygène de l’air pour former de l’eau, soit il s’échappe de la gravitation terrestre et s’en va dans l’espace interplanétaire et intersidéral. On estilme que dans l’espace intersidéral il y a environ un atome d’hydrogène courant par centimètre cube.

      Pour stocker de ‘lhyrogène courant sous forme liquide (donc à moins de -180 degrés) il faut un caisson métallique spécial de 300 kg par kg d’hydrogène stocké.Si vous laissez votre auto à hydrogène au garage disons quatre mois, il ne restera qu’un tiers de litre d’hydrogène dans votre réservoir de 300 kg et si vous le laissez une année, il n’y aura plus un seul
      atome d’hydrogène stocké dans votre réservoir ! cette difficulté est INSOLUBLE. Elle condamne une fois, pour toutes le rêve de la voiture à hydrogène. Elle serait infiniment non rentable ! les imposteurs qui vous font croire à la voiture à hydrogène ne sont que des charlatans intéressés dont le seul but est de faire croire qu’il ya des solutions qui évitent le recours à l’énergie nucléaire, et plus tard de fusion, pourtant seules seules portes de sortie réalistes pour l’humanité si elle veut survivre sous forme civilisée, donc en disposant de suffisamment d’énergie (sans énergie, aucune civilisation possible, à moins d’en revenir à des modes de vie antiques, c’est-à-dire espérance de vie de 25 ans, mort et maladies partout,50 % des femmes mourant à l’accouchement, etc, etc, etc, et vie bestiale pour 99 % des humains). A moins d’un milliard d’êtres humains sur la Terre, aucune production d’électricité valable ne serait possible, il n’y aurait pas assez de gens qualifiés pour seulement la maintenance des capacités de production.

      NB les autos à hydrogène sont mues par moteurs à explosion classiques, Quoi qu’onfasse, ces moteurs s’érodent bien trop vite sous l’action corrosive de la combustion de l’hydrogène. Un moteur à hydrogène bien ehtretenu meurt de vieillesse à moins de 80 000 km.
      La pile à combustible hydrogène c’est bien,sur le papier mais se heurte au pb du stockage. De plus ces containers d’hydrogène sont très lourds, ce qui handicape terriblement les performances de ces autos à hydrogène. Conclusion : c’est malhonnête de faire rêver les gens avec ça.

  5. La seule solution viable est la pile à hydrogène. A peine plus grosse qu’un réservoir d’essence, elle produit de l’électricité à partir de l’eau. Elle existe déjà. Il y a peu, dans l’émission « comment c’est fait » sur la chaine 170, on motrait sa fabrication dans une usine aux USA. Le moteur à eau existe depuis longtemps.

    Quant aux khmers verts, pour la plupart, ce sont des benêts incultes et contents de l’être. Quand vous discutez avec eux, ça fait pitié de les voir ainsi au niveau intellectuel de gamin de 5 ans.

    • @Claude Roland

      Je suis d’accord 100 % avec vosuisur votre estimatiopn du nibveau intellectuel moyen en France : celui d’ungaminde5 ans; C’estv le frjuiytd ‘un epolitique d’instuction publique systématiquement et méthodiquement détruitedepuis environ 1963-64, avbecv anbandon progerssif de la seule politique saine et réellement propice au brassage social qui fait passer le mérite avant l’héritage :’L’ELITISME REPUBLICAIN.

      L’oligarchie actuelle a mis plus d’un demi-siècle à parvenir à ses fins : la mort de l’ascenseur social conféré par l’élitisme républicain. Cette oligarchie a ainsi éliminé la concurrence loyale et pacifique que leur faisaient les personnes du peuple douées de capacités leur permettant d’arriver au sommet de la hiérarchie sociale. En se coupant ainsi radicalement du peuple, cette oligarchie s’est protégée de cette concurrence, sans voir que cette tactique, en lui épargant tout effort ^pupr s’améliorer et résister à la concurrence ouverte du peuple tout entier, s’est donné un coup de fusil dans les pieds car du coup, n’ayant plus d’efforts à déployer pour conserver ses avantages, elle a très vite dégénéré par rapport à la concurrence internationale. Ainsi, si nous, voulions reconstruire notre industrie nucléaire détruite par les écolos (domestiques de l’oligarchie paresseuse), nousne trouverions pas dans le peuple français de 2022 le quart des ingénieurs dont nous aurions besoin. Que mes lecteurs y réfléchissent bien :notre lourd échec devant la Corée du Sud en 2012-2013 pour le marché du siècle des quatre réacteurs nucléaires d’Abou Dhabi—un marché de 100 milliards de dollars—nrestv pas dû au hasard, il est le symptôme du déclassementde la France provoqué par cette politique égoïste et malthusienne des oligarchies françaises qui ont décidé depuis1964-65 d’éliminer totalement le peuple français de la haute direction de sa patrie. Les bâtisseurs du programme nucléaire français Messmer-Pompidou (entre 1965 et 1981) avaient tous été formés par l’élitisme républicain, lequel nousnavait donné Pierre et Marie Curie, Becquerel, Hélène Joliot-Curie, Frédéric Joliot-Curie, qui, tous issus du peuple, le vrai, ont récolté une belle moission de prix Nobel prestigieux de Physique et Chimie en peu d’années (dont DEUX prix Nobel pour Marie Curie, seule femme au monde ayant été double nobélisée jusqu’à ce jour (en plus dans deux disciplines différentes).

      Si la France sort de la sinistre dictature actuelle, sa première tâche sacrée sera de rétablir intégralement, plus fort que jamais, l’élitisme républicain, seule façon réellement démocratique de promouvoir le peuple tout entier et de hausser le niveau de vie de tout le monde pour une civilisation meilleure.

Les commentaires sont fermés.