Depuis des années nous participons au combat inégal que mène en France une minorité de Français « de souche » en soutien à la communauté franco-chinoise anti-communiste, avec notamment les membres du Falun Dafa.
Le Falun Dafa , ou Falun Gong, est un mouvement spirituel, le Qi Gong, inspiré du Bouddhisme et du Taoïsme. Totalement pacifique, il s’exprime par des conférences et une gymnastique qui provoque à la fois une détente physique, émotionnelle et spirituelle. Il a environ cent cinquante millions d’adhérents dans le Monde et il y en avait une centaine en Chine avant qu’ils ne soient décimés par le Parti Communiste Chinois, le PCC.
Le PCC jette les membres du Falun Gong dans ses camps de concentration où ils servent de fournisseurs d’organes frais prélevés de force et sans anesthésie. Ces prisonniers « de conscience » sont condamnés comme « ennemis de la Chine communiste », avec des Musulmans (Ouïghours), des Bouddhistes (Tibétains) et des Chrétiens (Chinois).
L’objet de ce combat est de faire comprendre au monde occidental qu’il est injuste et immoral de trafiquer et collaborer avec un pays qui est coupable de plusieurs crimes contre l’Humanité.
Membres français du Falun Gong
Car il n’y a pas que le prélèvement forcé d’organes (90 000 morts prélevés à vif en 2020).
Il y a aussi le génocide des peuples (« jugés inférieurs » selon le PCC) colonisés par la Chine.
Comme les Mandchous de la partie sud de la Mandchourie colonisée par la Chine pour lui voler le pétrole, le gaz et les métaux que contient son désert de Gobi ; les Ouighours à l’Ouest, c’est le génocide le plus connu ; les Tibétains au sud, dont les montagnes fournissent des métaux et, surtout, 40 % de l’eau consommée en Chine.
Un troisième crime contre l’Humanité est l’appauvrissement des pays que la Chine colonise dans le monde, comme Sri Lanka, Papouasie, Îles Salomon, Kiribati, Vanuatu, Ethiopie, etc. Et principalement les deux tiers des pays d’Afrique.
La Chine propose de participer au développement économique du pays par un prêt à cinq ans qui peut aller d’un milliard de $ (Vanuatu) à vingt milliards de $ (Ethiopie), voire plus.
Cet argent n’apporte rien au pays à part l’enrichissement des classes supérieures, car les travaux d’aménagement sont effectués par des entreprises chinoises avec des ouvriers chinois payés par le prêt chinois. En résumé, ces structures sont le plus souvent créées sur place pour favoriser l’exploitation du pays par la Chine elle-même, aux frais du pays vampirisé.
En plus de créer du chômage local (émeutes ouvrières antichinoises au Sri Lanka) ces ouvriers chinois restent ensuite sur place, prennent des femmes indigènes et s’emparent du commerce local qui est ruiné – ainsi que la production locale – puisque les commerçants chinois achètent tout en Chine (émeutes populaires antichinoises aux Îles Salomon).
Puis la Chine demande le remboursement du prêt…
Le pays n’ayant fait aucun progrès économique, ni perçu de recettes fiscales locales ni taxes douanières, ne peut pas rembourser et la Chine se sert en contrepartie en mines, industries, terrains agricoles (Afrique), terrains portuaires et urbains (Colombo et Montenegro).
Ayant acheté en partie l’élite politique locale par le biais de la corruption, la Chine finit par diriger le pays par sa maîtrise de l’économie locale et le poids de la dette (laissant la gestion du peuple à l’élite indigène).
Les entreprises chinoises s’enrichissent par le pillage des richesses minières, forestières et agricoles.
Le pays s’appauvrit d’autant plus que les investissements chinois ne portent pas sur la santé et l’éducation, comme le faisaient les gouvernements européens colonisateurs.
De plus, elle y laisse une pollution notable, comme les cours d’eau qu’elle empoisonne définitivement. Et, fait aggravant, les exploitations chinoises, laissent les populations locales sans eau potable, les récoltes décimées par la pollution des sols. Une misère de plus, une ruine de trop… d’où les révoltes des autochtones, écrasées par leurs dirigeants, pour conserver comme une faveur leurs intérêts financiers personnels avec le régime de Pékin.
Et si des jeunes indigènes se révèlent brillants, ils sont envoyés faire des études supérieures en Chine où on leur lave le cerveau avec le marxisme, à la façon des Instituts Confucius en France : « introduire l’ADN rouge », comme le dit Xi Jinping, dans les cerveaux des jeunes générations.
Réjouissons-nous du vote récent de l’Assemblée nationale qui a voté à l’unanimité (moins une voix LREM contre, celle du député prochinois LREM Buon Tran, qui surveille nombre de députés pour le compte de la Chine…) et bien entendu l’abstention de la « secte communiste » du PCF et de LFI.
L’Assemblée a admis la reconnaissance du fait que les violences politiques extrêmes et systématiques, organisées et planifiées par l’État chinois, sont constitutives d’un génocide.
Un bémol, mais de taille : cette condamnation bienvenue se limite au seul génocide des Ouighours.
Ne sont jamais cités : les Falun Gong et ses dix millions d’assassinés, les Tibétains, les Mandchous et les autres minorités (environ quinze millions) soit près de cent mille victimes de leurs organes prélevés à vifs chaque année.
Mélenchon botte en touche les yeux fermés par une approbation de fait : il s’agit “d’affaires internes”…
Comme les cinquante millions de victimes de Mao, donc ?
Clémentine Autain a été seule, à gauche, à faire preuve d’honnêteté politique et intellectuelle, « Si, génocide il y a, comment peut-on envoyer une délégation aux JO de Pékin, nouer des accords commerciaux et entretenir des relations diplomatiques avec la Chine ? Combler la faiblesse des actes par l’inflation des mots ne sauvera en rien les Ouïghours« .
Tous ses autres crimes restent dans l’ombre, en particulier ceux “des lobbyistes des organes sains”, auxquels les sociétés pharmaceutiques comme Novartis, Roche (Suisse), Atella, Wyeth, Isotechnika (Canada) et Pfizer (USA), pour les études pharmaceutiques des anti-rejets (pratiquées par ces labos, en Chine, déjà en 2013, sur des sujets greffés avec les organes des Faluns Gong). Les recherches scientifiques soutenues par le NIAID du Dr Anthony Fauci restent elles aussi à être mises en lumière face au monde !
Nous n’avons pas fini de vous informer sur les crimes de la Chine et de Xi Jinping qui en monstruosité a réussi à dépasser, et de loin, Hitler et Staline.
Voir le livre ORGANES D’ETAT, où Solon écrit : Quand mettrons-nous fin à l’injustice ? Quand ceux qui ne sont pas victimes se sentiront aussi indignés que ceux qui le sont ?
L’Imprécateur
26 janvier 2022
ANNEXE : LE JOURNAL CHINOIS EPOCH TIME FÉLICITE L’ASSEMBLÉE NATIONALE
Quand les Parlementaires font remonter l’image de la France de 10 niveaux
PAR LA RÉDACTION
La photo est belle comme un moment d’histoire : 169 députés la main levée dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale pour condamner les crimes contre l’humanité du régime communiste chinois. Une seule voix s’est élevée contre, celle du député prochinois LREM Buon Tran, tandis que communistes et députés de La France Insoumise ont fait le choix, lourd, de s’abstenir.
Après le Parlement canadien, après le gouvernement américain, après les parlements belge, lituanien, néerlandais, anglais, tchèque, les députés français ont donc enfin tourné la page de 30 ans d’inaction durant lesquels le désir de plaire et la peur de représailles avaient fait d’eux des complices passifs des différents massacres : Tibétains et bouddhistes du Falun Gong en premier, puis depuis le milieu des années 2010, musulmans de la province du Xinjiang.
En décembre dernier, le « Uyghur Tribunal », qui rassemble avocats et défenseurs des droits humains, avait à Londres conclu que « les éléments d’un génocide intentionnel étaient établis ». C’est le même groupe d’experts qui, lors du « China Tribunal » avait, il y a deux ans, conclu que le régime chinois menait une campagne d’élimination massive des pratiquants de Falun Gong, par le biais des prélèvements forcés de leurs organes.
La résolution du Parlement français, soutenue par la majorité présidentielle, reconnaît la volonté du régime communiste de « détruire l’identité, les liens communautaires ouïghours, les possibilités de filiation et les liens entre générations, et plus généralement de détruire les Ouïghours, y compris biologiquement, en tant que groupe à part entière. »
« Ces violences politiques extrêmes et systématiques, organisées et planifiées par l’État chinois, sont constitutives d’un génocide. »
Pour le député européen Raphaël Glucksmann, la résolution est « une preuve que la France de la Déclaration des droits de l’Homme peut parfois se réveiller ». C’est beau comme un symbole : de gauche à droite, toutes les couleurs politiques du Parlement se sont unies pour soutenir cette résolution non partisane, un moment d’union et de courage qu’on avait rarement vu auparavant. Seuls LFI et le PC, héritiers de l’URSS et de Mao Zedong, ont refusé de soutenir.
Jean-Luc Mélenchon tente de le justifier dans une interview en ligne sur Thinkerview, en considérant qu’il faut reconnaître que le régime chinois « est efficace » mais que les lavages de cerveau et les stérilisations forcées, « s’ils ont lieu », sont bien sûr condamnables. Les « si » et le refus face à l’évidence fleurissent dans les interventions LFI. D’après le candidat à l’élection présidentielle, la responsabilité est en premier de comprendre qu’il « s’agit d’affaires internes » chinoises et que les élus français ne doivent pas être « des caniches des américains ». Difficile de plus fermer les yeux sur les massacres en prétextant le besoin de ce « dialogue équilibré » qui a permis au régime chinois d’utiliser la lâcheté occidentale pour avancer ses pions jusqu’à devenir un danger mondial.
Toujours chez LFI, la controversée Daniele Obono tente de s’abriter derrière la position d’Amnesty International France. Sa présidente refuse effectivement de parler de génocide, de même qu’elle s’oppose au boycott des Jeux olympiques de Pékin, trouvant plus « constructif » d’informer par des brochures. Une position qui interroge quand on sait qu’Amnesty, il y a deux ans, appelait au boycott du tourisme en Israël.
Sur Twitter, c’est sans doute Clémentine Autain qui réussit le mieux à appuyer là où ça fait mal : « Si génocide il y a, comment peut-on envoyer une délégation aux JO de Pékin, nouer des accords commerciaux et entretenir des relations diplomatiques avec la Chine ? Combler la faiblesse des actes par l’inflation des mots ne sauvera en rien les Ouïghours ».
Or, elle a sans doute raison : pour être en conformité totale avec les valeurs affichées, les JO de Pékin devraient être boycottés par la France, les accords commerciaux qui aspirent les emplois hors de France dénoncés, les relations diplomatiques totalement revues. Oui, la faiblesse des actes reste. Mais les mots, au moins, sont enfin là. Il fallait un premier pas, qui est maintenant fait. Que les suivants ne prennent pas trente ans, et la France pourrait regagner le respect international qu’elle a trop perdu.
Sources :
ORGANES D’ÉTATS : de David MATAS et du Dr Torsten TREY – Chapitre la responsabilités des sociétés pharmaceutiques internationales – aux Éditions la petite Édition – p 163
Les crimes commis par les communistes chinois dépassent l’imagination. Que des pays civilisés entretiennent des relations quelles qu’elles soient avec ces gens là dépassent l’entendement. Je mets à part le cas des musulmans Ouïghours qui, s’ils n’étaient pas sévèrement pourchassés par les Chinois, commettraient en Chine les mêmes saloperies que les musulmans commettent dans le monde entier : au 31 décembre 2021, les musulmans ont commis 40834 attentats entrainant la mort de 266 611 personnes (36 personnes par jour pendant 20 ans). Alors, les musulmans Ouïghour…..
Dites sans la connaitre tout le mal que vous voulez sur la Chine ne vous grandira pas. Pour ceux qui y ont vécu et ont observé sur place l’extraordinaire développement des quarante dernières années le seul sentiment qu’ils en retiennent c’est de l’admiration mâtinée d’une honte illimité pour notre régression dans le même temps !
C’est sans doute partiellement exact concernant le développement économique. Mais on pourrait en dire autant de l’Allemagne après 1933…
Le silence assourdissant des politiques et des médias sur cette abomination, avec la complicité active de certains dont un ancien premier ministre de la France.
La honte ne les frappe pas !
Le Nazisme est mort mais le diable avait encore une carte à jouer : le communisme.
On l’oublie, communisme, socialisme et nazisme ont la même souche, le marxisme. Hitler et Staline ont été alliés jusqu’en juin 1941, l’attaque de Stalingrad, puis la découverte des camps de concentration.
Mais avant, pour Staline, Hitler et Mussolini étaient « les meilleurs des socialistes ». Après un demi siècle d’oubli, le nazisme revient avec la bénédiction chinoise et socialiste ailleurs.
Exact !
On l’oublie trop souvent (pas moi).
Le discours socialiste est conçu pour ramollir le cerveau, l’assouplir pour mieux y faire entrer ensuite le communisme.
Une autre « famille » politique est dans ce profil : les écologistes version politique.
Le citoyen un peu éclairé doit être vigilant à chaque instant… et lire Minurne !