Nous avons toujours été sur ce site d’une grande prudence sur les affirmations péremptoires des prétendus scientifiques du GIEC concernant le « réchauffement climatique » dû aux activités humaines…
Plusieurs raisons de bon sens à cette « réserve » :
– Les observations météorologiques sérieuses datent à peine d’un siècle, ce qui est totalement insuffisant pour établir des théories sérieuses concernant des phénomènes s’étalant sur des durées de l’ordre de 100 000 ans !
– La conquête spatiale, qui a permis véritablement l’observation sérieuse de la planète n’a commencé qu’en 1957 (première mise en orbite du satellite « Spoutnik »)
– Même si on a pu observer depuis quelques décennies un certain réchauffement climatique (qui semble d’ailleurs se stabiliser), rien ne permet de l’attribuer exclusivement aux activités humaines. Il y a eu en effet, dans l’histoire de la terre, alternance de périodes glaciaires et de réchauffements, bien avant que l’homme apparaisse ou soit en mesure d’influer sur de tels phénomènes par son niveau de développement.
– Enfin, de nombreux autres phénomènes cosmiques, dont l’impact est considéré comme négligeable par les « réchauffistes », pourraient fort bien être en corrélation étroite avec ces cycles d’alternances thermiques. Notamment les éruptions solaires, dont on commence seulement à comprendre le rôle majeur sur les équilibres électriques et atmosphériques (la première fut observée il y a à peine 2 siècles).
Le 10 mars 1989, un puissant nuage de particules ionisées quitte le Soleil à destination de la Terre, suite à une éruption solaire. Deux jours plus tard, les premières variations de tension sont observées sur le réseau de transport d’Hydro-Québec, dont les systèmes de protection se déclenchent le 13 mars à 2 h 44. Une panne générale plonge le Québec dans le noir pendant plus de neuf heures (Wikipedia)
Il y a donc suffisament d’interrogations pour opposer un « doute scientifique » aux affirmations que nous déblatèrent en choeur les médias, les politiques, et la doxa ambiante, qui trouveront leur consécration cet hiver avec la Conférence de Paris, Fabius étant chargé d’en faire le premier étage de la fusée supposée mettre Hollande sur orbite pour un second quinquennat.
Ce qui ne sera pas facile, Obama – on vient de le voir – ayant décidé de passer à la postérité en se faisant sur le tard le héraut d’un combat qu’il a totalement ignoré jusqu’à ce jour !
Le site « Résistance 2017 » vient de publier un excellent article sur ce thème, signé du Club Danton.
Il nous semblait intéressant de le faire partager aux lecteurs de Minurne Résistance.
MLS
L’idéologie du « Réchauffisme » ou le nouveau Lyssenkisme écologique
Chaque jour, nous devons endurer sans broncher la pensée unique écologique et sa théologie du « Réchauffisme ». Ce n’est pas une science mais une croyance, une utopie. En France, tous les acteurs jouent la même partition : politiques, journalistes, scientifiques, chefs d’entreprise, publicitaires, communicants,… Les voix discordantes sont bâillonnées, faute de pouvoir les faire disparaître. Car le Réchauffisme est une forme larvée de totalitarisme.
La théorie du Réchauffisme est un exemple moderne de « Lyssenkisme », du nom de Lyssenko qui a réussi à subjuguer Staline, les milieux scientifiques et les médias d’alors pour mettre à genoux de 1930 à 1965 toute l’agriculture soviétique. Lyssenko a inventé ce qu’il a appelé la « biologie de masse » ou plus tard la « science prolétarienne ». Le Lyssenkisme se caractérise comme une science idéologique où la croyance l’emporte sur le réel et où les faits sont ignorés ou dissimulés. Lyssenko a fait envoyer au Goulag les éminents scientifiques qui n’étaient pas d’accord avec lui et qui, pour beaucoup, y sont morts.
Comme l’avait dit Dixie Lee Ray (1915-1994), ancien gouverneur de l’état de Washington : « Si vous ne luttez pas contre les réglementations écologiques sans fondement, vous vous retrouverez rapidement dans un état fasciste ».
Il serait bon de commencer à rappeler que bon nombre des gourous actuels du Réchauffisme faisaient peur à la planète en prédisant… un refroidissement climatique, il y a seulement quelques décennies. Voici un florilège de citations d’alors :
- Michel Oppenheimer (1970) : « Le refroidissement rapide que la terre connaît depuis la deuxième guerre mondiale est cohérent avec l’industrialisation, la mécanisation, l’urbanisation et l’explosion démographique »,
- Paul Ehrlich, le Malthus du 20ème siècle (1976) : « Cette tendance au refroidissement va réduire la productivité agricole pour le reste du siècle… Je suis prêt à parier de l’argent que l’Angleterre n’existera plus en 2000… L’espérance de vie tombera à 40 ans en 1980 à cause d’une épidémie de cancers en tous genres ». Aujourd’hui, Ehrlich est un des gourous les plus médiatiques du Réchauffisme. Aucun journaliste ne pense utile de l’interroger sur ses croyances passées ! C’est devenu un converti, presque un saint !
- George Wild, Prix Nobel (1976): « Je prévois la fin du monde en 1985 »,
- Barry Commoner (1979) : « Je prédis qu’en 2019 les principes fondamentaux ne permettront plus à la vie sur terre de se développer »,
- Stephen Schneider (1977) : « … les graves dommages que subit la planète dûs au nouvel âge glaciaire… ». Aujourd’hui, Schneider est l’un des papes du Réchauffisme et réclame des mesures drastiques pour lutter contre les gaz à effet de serre,
- Kenneth Watt (1978) : « La terre aura une température moyenne plus froide de 4 à 11 degrés en 2000. Ces chiffres sont deux fois supérieurs au modèle de l’ère glaciaire ».
- Lowell Ponte (1976) : « Le refroidissement global de la planète est une évidence ».
- Academy of Science of the USA, cataloguée pro-écolo (1975) : « La terre subira un refroidissement dramatique de température au cours des 100 prochaines années ». En 2008 cette noble assemblée déclare exactement l’inverse !
- Magazine Newsweek (1975) : « Le climat de la terre semble se refroidir ». Comme aujourd’hui, le catastrophisme fait vendre…
- Et puis vers 1985, la température de la terre – si tant est que cette notion ait un sens – a commencé à se stabiliser puis à remonter. Alors tous les ratés de la planète écolo ont vite retourné leur veste et ont décidé de propager le mensonge inverse : la terre se réchauffe. Qu’en moins de 30 ans, ces soi-disant scientifiques passent d’un refroidissement certain à un réchauffement inéluctable ne dérange personne. En fait, seul le catastrophisme compte.
Faire peur aux masses est le seul but recherché. Peu importe que la terre se réchauffe ou pas. Ecoutons quelques-uns des grands prêtres du Réchauffisme :
- Sir John Houghton, premier président du GIEC : « Si nous n’annonçons pas de catastrophe, personne ne nous écoutera… Si nous voulons une bonne politique environnementale dans le futur, il faudra un désastre »,
- Daniel Botkin, gourou écolo américain : « Le seul moyen de changer notre société, c’est de foutre la frousse aux gens en les menaçant d’une possible catastrophe et il est tout à fait légitime et nécessaire que les scientifiques exagèrent »,
- Christine Steward, Ministre de l’Environnement du Canada : « Peu importe que la science soit complétement bidon, il y a des bénéfices collatéraux pour l’environnement »,
- Paul Watson, fondateur de Greenpeace : « Ce qui est la vérité n’a pas d’importance. Seul compte ce que les gens pensent de la vérité »,
- Stephen Schneider, centre de recherche de Boulder : « Ainsi devons-nous présenter des scénarios effroyables, proférer des affirmations simplistes et catastrophiques, sans prêter attention aux doutes que nous pouvons avoir… Chacun doit décider quel est le bon équilibre entre l’efficacité et l’honnêteté »,
- Mike Hulme : « Peu importe la vérité scientifique sur le changement climatique… ».
- Et tous ces prédicateurs du Réchauffisme ont trouvé leur temple : le GIEC. Rappelons que le GIEC dépend d’une branche de l’ONU – UN Environmental Program – noyautée depuis toujours par les écologistes les plus intégristes qui ont fait du Réchauffisme une religion avec son livre de prières, ses actes de rémission, ses indulgences permettant d’obtenir la repentance de Mère Nature !
Et beaucoup de participants au GIEC, les vrais scientifiques, ont démissionné après que leurs contributions aux travaux ont été ignorées ou totalement dénaturées dans le rapport final à l’attention des décideurs. Ecoutons l’un d’entre eux, Frédérick Seitz : « En soixante années de participation à la recherche scientifique américaine, y compris en tant que Président de l’Académie des Sciences et de la Société Américaine de Physique, je n’ai jamais rencontré un processus de relecture aussi inquiétant que celui des rapports du GIEC ». Ecoutons encore un autre ancien contributeur du GIEC, John Santer : « Aucune des études citées dans les rapports du GIEC n’a montré une preuve claire qui puisse nous faire attribuer les changements climatiques observés à la cause spécifique des accroissements de gaz à effet de serre… Aucune étude à ce jour n’a pu attribuer tout ou partie du changement climatique à des causes anthropogéniques ».
Le plus dangereux avec le Réchauffisme c’est qu’il s’agit d’une idéologie dont la logique est totalitaire. Les opposants doivent être bâillonnés et si possible éliminés. Le peuple doit se soumettre aux exigences du réchauffisme et se sacrifier pour la planète. La démocratie doit progressivement s’effacer. Certaines citations de ces nouveaux inquisiteurs font froid dans le dos :
- Maurice Strong, créateur du New Age et conseiller de Kofi Annan : « Il est possible que nous arrivions au point où, pour sauver la planète, la solution sera l’effondrement de la société industrielle,… la recherche de la pauvreté, la réduction de la consommation des ressources, la définition d’une norme pour la mortalité,… »,
- Mc Namara, malthusien bien connu des années 90 : « Il faut faire baisser les chiffres actuels de la natalité et augmenter les chiffres de la mortalité »,
- James Hansen, l’un des pères du Réchauffisme : « Tous les cris de ces scientifiques sceptiques ne seront étouffés que par leur mort »,
- Judi Bari, Earth First : « Je pense que si nous ne renversons pas le capitalisme, nous n’aurons aucune chance de sauver le monde du point de vue écologique »,
- Christopher Manes, Terre d’abord : « Il est possible que l’extinction de l’espèce humaine soit inévitable mais également une bonne chose »,
- Al Gore, l’homme qui s’en est mis plein les poches grâce au Réchauffisme : « Les sceptiques de la théorie du réchauffement global causé par l’homme sont dans la même catégorie que les racistes, les homophobes ou les alcooliques violents. Ce sont des terroristes potentiels ».
Et puis souvenons-nous des propos tenus par les membres du Club de Rome : « Nous sommes arrivés à l’idée que la pollution, la menace de réchauffement climatique, la raréfaction de l’eau douce et les choses de ce genre peuvent faire l’affaire pour effrayer la population… La démocratie n’est plus adaptée pour résoudre les problèmes qui nous attendent… La terre a le cancer et ce cancer, c’est l’homme ».
Depuis maintenant une quinzaine d’années, la terre ne se réchauffe plus mais le Réchauffisme continue à prospérer, au moins en France. Comment en est-on arrivé là ?
En France, l’écologie est un mélange hétéroclite rassemblant à la fois les vrais amoureux des petites fleurs et des petits oiseaux, les trotskistes verts dehors et rouges dedans et qui voient dans l’écologie une nouvelle utopie susceptible de remplacer un marxisme moribond, les fascistes verts de gris qui aimeraient limiter la croissance de la population du sud, les politiques en mal d’élection et qui suivent l’air du temps, les chercheurs d’or, ces scientifiques à la recherche de financement et qui ont peur pour leur budget, les journalistes trop peu éduqués pour critiquer ou pour interviewer les climato-sceptiques, les médias attrape nigauds, et même certains industriels qui y voient l’intérêt de leur société.
Si tout cela restait dans le virtuel, ce serait un moindre mal. Mais en France, les politiques veulent laver plus verts que les verts. De son temps, l’inénarrable Chirac et sa toxique ministre de l’environnement, NKM, ont introduit dans la Constitution le principe de précaution, qui est devenu une plaie française inhibant toute innovation. Et puis Borloo a accouché du Grenelle de l’Environnement qui a produit quelques-unes des mesures les plus absurdes de ces dernières années, telle l’interdiction des ampoules incandescentes.
Et bien sûr, Moi Président, avec le suivisme qu’on lui connait, emboite le pas et veut devenir le maitre du monde écolo grâce à la conférence COP21 de Paris. Il a envoyé Fafa aux quatre coins de la planète pour préparer les masses.
Mais Moi-Président a-t-il imaginé à un moment quelconque un débat entre partisans et opposants au Réchauffisme afin d’éclairer l’opinion publique ? Non, par le fait du prince, il décide de réduire la part du nucléaire à 50% et de compenser par des éoliennes, engendrant ainsi une dépense potentielle exorbitante de 250 milliards que les français devront supporter. Et le tout justifié sur la base de mensonges éhontés ! Car chacun sait bien que sans subventions, les éoliennes ne seront jamais profitables. Il y a en Californie, dans le désert de Mohave, un parc de 14 000 éoliennes qui, n’étant plus subventionnées, sont laissées à l’abandon car non rentables. Mais c’est tellement beau une éolienne que l’on peut dépenser tout l’argent des français pour les admirer ! Moi Président a-t-il le droit d’agir ainsi ou est-ce de la forfaiture ? N’est-ce pas le début de la dictature écolo ?
Le parti écologique avec tous ses chefs et chefaillons ne représente rien en France mais il a passé la vérole à tous les autres partis. Quel est l’homme ou la femme politique qui osera s’attaquer à la pensée unique ?
CLUB DANTON
Cet article peut être consulté sur le site « Résistance 2017 » en cliquant sur le lien ci-dessous.
http://www.resistance2017.net/?p=1112