« …beaucoup de pays euro-atlantiques sont en train de rejeter leurs racines, dont les valeurs chrétiennes qui constituent la base de la civilisation occidentale. Ils sont en train de renier les principes moraux et leur identité traditionnelle : nationale, culturelle, religieuse et même sexuelle. Ils mettent en place des politiques qui mettent à égalité des familles nombreuses avec des familles homoparentales ; la foi en Dieu est égale à la foi en Satan… »
Vladimir Poutine (1).
Quelque chose me dit que je vais encore me faire agonir pour avoir osé commencer cet article par une citation de Vladimir Poutine. Tant pis, j’assume ! Quand quelqu’un dit une chose juste, je ne cherche pas à savoir si, aux yeux des garants de la bien-pensance, il appartient au camp du bien ou à celui du mal absolu. Quand on parle de défense de la nation, je cite aussi bien Maurice Barrès, Charles Maurras, ou Hélie de Saint-Marc, que Salazar ou Mussolini.
Si j’ai choisi cette entrée en matière, c’est parce que, depuis l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron en 2017, le délitement – moral, mental, industriel, économique – de notre pauvre pays s’accélère dangereusement. Plus rien ne semble fonctionner normalement : l’école, livrée à un ministre racialiste, n’enseigne plus que l’écologie, la théorie du genre, ou l’antiracisme. L’hôpital est malade, on manque de médecins, d’infirmières, de matériel (2). Partout les déserts médicaux se multiplient. Nos industries sont mortes, tuées par les impôts, les charges et les normes européennes.
L’automobile était notre dernier fleuron ; les technocrates bruxellois ont décidé de la tuer d’ici 2035. Les économistes nous disent que le passage au véhicule électrique va détruire 500 000 emplois, mais cette catastrophe à venir ne semble pas émouvoir nos dirigeants.
L’épisode, aussi lamentable que grotesque, de l’« Océan Viking » a démontré une fois de plus qu’en matière d’immigration – qu’elle soit légale ou clandestine -, de pseudos « mineurs isolés », de procédure d’expulsion, etc…nous ne maîtrisons plus rien.
En fait, le pays est livré au diktat des minorités et le président de la « Ripoux-blique » se contente de commenter l’actualité (et d’insulter les Français chaque fois qu’il est à l’étranger).
Certains penseront que j’exagère. Alors, expliquez-moi pourquoi les bobos, les écolos, les végétariens, les végans, les wokistes, les racialistes de tous poils, si prompts à défendre les minorités opprimées, la souffrance animale ou les espèces en voie d’extinction, ne partent pas en bataille pour sauver une ethnie qui semble pourtant irrémédiablement condamnée : le mâle blanc hétérosexuel ; celui que Macron traite, avec une arrogance condescendante, de « Gaulois réfractaire ».
Emmanuel Macron – qui n’est jamais que la marionnette de Soros – est arrivé, en quelques années, à faire faire un bond prodigieux aux « avancées sociétales » (quel charabia !) que la gauche – avouée ou larvée – s’ingénie à nous faire avaler depuis presque un demi-siècle (3).
Avant même d’accéder à la fonction suprême, il était allé cirer les babouches des Algériens en qualifiant l’œuvre française en Algérie de « crime contre l’humanité ». Puis, vint cette « fête de la musique » en 2018, où lui et sa duègne livrèrent l’Elysée à une bande d’invertis négroïdes qui se trémoussaient en braillant des chansons ordurières.
Nous étions donc prévenus : pour obéir au Nouvel Ordre Mondial, le « remplacement de population » était en route. Les minorités – décoloniaux, racialistes, musulmans, LGBT, écolos, végans, féministes… – devaient supplanter les « Franchouillards », qui, comme chacun sait, sont racistes, xénophobes, machistes, homophobes, bornés, rétrogrades et j’en passe.
Macron a fait des études (il a même fait croire qu’il sortait de « Normale-sup ») ; il a appris le Français « et en même temps » le théâtre avec celle qui l’a déniaisé lorsqu’il avait 16 ans et allait devenir, tout à la fois, sa duègne, sa maîtresse et sa femme. Elle lui a enseigné une posture : parler pour ne rien dire avec le regard froid et halluciné d’un gourou de secte. Depuis, il nous abreuve régulièrement de ses discours-fleuves, ses prêches interminables de pasteur évangéliste. Et, comme les révolutions se font d’abord par les mots, tout est dans le vocabulaire !
Jadis, jusqu’à Georges Pompidou, le chef de l’Etat commençait ses discours par « Français, Françaises ». Puis, féminisation oblige, vint le « Madame, Mademoiselle, Monsieur » du pédant Giscard d’Estaing.
Le « damoiseau » avait disparu avec l’Ancien Régime ; notre époque – aussi grossière et vulgaire que Jean-Marie Bigard ou Cyril Hanouna – parle plutôt d’un « puceau boutonneux », ce qui est un pléonasme (car s’il est boutonneux c’est précisément parce qu’il est puceau).
La « demoiselle » est, elle aussi, passée aux oubliettes mais, après tout, ça répond à une certaine logique : peut-on appeler « demoiselles » ces pisseuses entre 13 et 20 ans, loquées comme des putes et maquillées comme des voitures volées, qui niaisent à longueur de journée sur leur Smartphone ? D’autant plus qu’il semble assez difficile d’en trouver quelques unes qui abordent le mariage encore vierges. Fort heureusement, et tant pis pour les féministes, « La demoiselle » restera dans l’histoire : c’est le premier avion léger créé par Alberto Santos-Dumont. Le prototype a accompli son vol inaugural le 16 novembre 1907 à Issy-les-Moulineaux (photo).
Avec Macron, nous avons découvert que notre pays était peuplé de « cellezéceux », une engeance hors sol dont il est difficile de définir l’origine, le sexe et la couleur de peau. Une ethnie non « genrée », un peu comme la chauve-souris : pour moitié UN oiseau, pour moitié UNE souris (4).
D’ailleurs, pourquoi Macron, qui voulait « casser les codes », « renverser la table », « chasser l’ancien monde », etc… n’a-t-il pas mis à profit son élection pour changer la devise maçonnique de la France : la liberté n’existe plus, l’égalité, devant la loi entre autres, a disparu et la fraternité persiste encore mais uniquement au sein des Loges maçonniques.
La devise la mieux adaptée à la Macronie serait « Minorités. Diversité. Insécurité. » Et, dans les mairies, on pourrait remplacer le buste de Marianne par celui d’Assa Traoré ou mieux, d’Yseult, que Macron vient de choisir comme marraine de la Francophonie.
Rappelons au passage que cette grosse chanteuse noire, née en France où elle a gagné beaucoup d’argent, est allée vivre en Belgique en prétextant que la France serait un pays odieusement raciste (5).
Il serait fastidieux de (tenter de) décortiquer le vocabulaire – aussi vide de sens que prétentieux – de Macron (et de ses affidés) mais je dois reconnaître qu’on atteint des sommets en matière de « langue de bois ». Citons quelques exemples, juste pour illustrer mon propos :
Avant d’être aux affaires, Macron nous promettait un règne « jupitérien », ce qui prouve qu’il ne connait rien à la mythologie romaine : Jupiter, Zeus chez les Grecs, copulait avec sa sœur, lui couche avec une femme qui pourrait être sa mère, et à laquelle il ne fera pas d’enfants pour peupler l’Olympe. Il entendait rester le « maître des horloges » mais nous apprenions, par les journaleux à sa botte, que tel Mitterrand, il n’est jamais à l’heure nulle part.
« L’exactitude est la politesse des Rois », mais visiblement pas celle des parvenus « ripoux-blicains » !
Lors d’une interview de Laurent Delahousse, le caniche du service public, il nous déclarait son amour pour les « premiers de cordée ». Je suppose qu’il voudrait un peuple à l’image de Roger Frison-Roche ? Mais quelle mauvaise maîtrise de la langue française ! On se demande ce qu’il faisait pendant les cours de Brigitte (après les cours, on sait !) : si tout le monde marche en tête donc en ligne : c’est soit un assaut, s’il est rapide et violent, soit une battue mais en aucun cas une cordée.
Conservons cependant l’image : est-il raisonnable, alors, de demander à un « premier de cordée » de trainer, à lui tout seul, le boulet de l’immigration massive et incontrôlée, et celui de l’assistanat généralisé (avec sept millions d’allocataires des minimas sociaux) ?
Macron a vu, dans les gares, « des gens qui ne sont rien ». Dans l’Est de la France, il a découvert « l’itinérance mémorielle ». Avec le Coronavirus il a inventé la « distanciation sociale » or la distanciation sociale existe, en Inde, entre un maharadja et un Intouchable ; chez nous entre un patron du CAC40 – qui arrive à gagner cent fois le salaire d’un ouvrier – et ses ouvriers, mais en aucun cas entre deux personnes de même condition auxquelles on demande d’arrêter de s’embrasser pour un oui ou pour un non.
Et que dire de sa dernière trouvaille ; le « séparatisme » qui ronge la France.
Macron et Darmanin nous promettent des mesures drastiques pour lutter contre l’insécurité et l’ensauvagement dus à l’immigration, la gangrène islamiste, les zones de non-droits, le business juteux de la drogue, les émeutes racialistes, etc… On espère, mais sans y croire.
Certains pays ont compris le problème et les remèdes à y apporter : le Japon, l’Australie, le Hongrie, l’Italie… Quelques autres commencent enfin à comprendre : la Suède et le Danemark.
Mais Macron continue son numéro d’équilibriste, de pompier-pyromane.
Il nous explique qu’il faut que ça cesse « et en même temps » que ça va continuer. De toutes façons, nous, Franchouillards, sommes seuls responsables : nous payons notre passé colonial…
De temps à autres, il se souvient qu’il est LE chef, comme avec le général de Villiers ou lors de l’affaire Benalla, et il lui prend l’envie d’imposer SA vision des choses. Mais il le fait généralement sur pression des minorités, surtout quand il s’agit de détricoter, de « déconstruire » comme disent les cuistres, la famille traditionnelle avec un père et une mère.
Le mercredi 23 septembre 2020, par exemple, il déclarait en conseil des ministres :
« Nous allons porter le congé paternité à un mois, un mois au sein duquel il y aura sept jours obligatoires pour chaque jeune papa ».
Avant, les pères bénéficiaient de onze jours de congé paternité et de trois jours de congé de naissance.
« Quatorze jours, tout le monde le disait, ce n’était pas suffisant. Cette décision est une avancée, c’est d’abord une mesure qui est favorable à l’égalité entre les femmes et les hommes. Lorsque l’enfant arrive au monde, il n’y a aucune raison pour que ce soit juste la maman qui s’en occupe. Il est important qu’il y ait, dans un couple, une plus grande égalité dans le partage des tâches dès les premiers jours » a-t-il déclaré sur « Instagram ».
En pleine crise – sanitaire et économique -, n’avait-on pas mieux à faire que d’obliger les hommes à pouponner ? Mais il parait qu’on doit cette idée géniale au neuropsychiatre Boris Cyrulnik.
Macron – qui n’y connait strictement rien puisqu’il n’a pas d’enfant – a ajouté que :
« Les mille premiers jours, sont ceux durant lesquels les vraies inégalités se construisent. Si on n’est pas accompagné de la même façon par la famille, si l’on reçoit moins d’amour… On a un éveil affectif et cognitif différent ». Une telle vision n’est pas critiquable surtout que le projet de loi nous apprend que : « …La France est très en retard par rapport à la quasi-totalité de ses voisins européens et allonger la durée du congé paternité serait un signal fort dans la lutte contre les inégalités, autant qu’une opportunité de redéfinir la parentalité… ».
Et pour finir de nous convaincre, un grand économiste (en existe-t-il de petits ?) nous rassurait : « Le coût de cette mesure est relativement modeste : à peine 331 millions d’euros de surcoût pour la Sécurité Sociale… »
On en oublierait presque que notre pays est gravement malade, surendetté, et que les classes moyennes subissent un déclassement sans précédent depuis la Seconde Guerre Mondiale.
Alors, laissons les pères devenir des mères comme tout le monde. Laissons les petits garçons jouer à la poupée. Continuons à détruire la famille traditionnelle, à nier les différences entre un homme et une femme. Chassons le mâle blanc hétérosexuel au profit de la lope émasculée.
Si nous voulons une société plus égalitaire, plus juste, plus « inclusive », moins raciste, moins xénophobe, moins homophobe, il faut faire disparaître l’arrogance et le suprématisme du macho au teint pâle. D’ailleurs Macron ne supporte pas, par exemple, que « deux mâles blancs » discutent du problème des banlieues. L’insécurité dans LEUR pays ne les regarde pas !
Ne venons-nous pas d’avoir deux exemples flagrants de ce qu’est devenue la France ? :
A l’hôpital Cochin un immigré de 22 ans, d’origine jordanienne, frappé par trois OQTF (6), (sous trois identités différentes), a violé une jeune femme au sein même du service d’urgences de l’hôpital. L’affaire remonte à la fin octobre mais « on » a tenté de l’étouffer.
Dans un bus entre Aix-en-Provence et Marseille, un conducteur musulman a imposé à ses passagers la diffusion de sourates du Coran pendant… 40 minutes. Personne n’a moufté !
Si, un passager – un seul – s’est indigné ; un retraité algérien qui ne voulait pas revivre en France ce qu’il a vécu en Algérie à l’époque du FIS (7).
Je suppose que, parmi les autres passagers, certains n’ont « pas de problème avec l’Islam », que d’autres considèrent que « l’immigration est une chance pour la France » ou qu’ils ont compris qu’Islam veut dire « soumission » et qu’ils acceptent de se soumettre.
Éric de Verdelhan
26 novembre 2022
1)- Propos tenus à la 10ème édition du « Club Valdaï », le 19 septembre 2013.
2)- En revanche, certains hôpitaux comptent plus de cadres administratifs que de chirurgiens.
3)- « Fiscard » d’Estaing a été bien pire que son successeur en prétendant « vider le programme commun de la gauche » de son contenu.
4)- « La chauve-souris » est le surnom du premier prototype d’avion – de type aérodyne – construit par Clément Ader. S’inspirant de la morphologie des chauves-souris, l’appareil fut testé le 9 octobre 1890, dans le parc du château de Gretz-Armainvilliers : il aurait réussi à s’élever à quelque 20 cm du sol, sur 50 m environ, marquant ainsi le début de l’aviation.
5)- Elle aurait pu s’exiler au Cameroun d’où sa famille est originaire mais elle a préféré la Belgique.
6)- Obligation de Quitter le Territoire Français.
7)- Front Islamique du Salut.
Surprenant … à quelques mois d’intervalle, Vladimir Vladimirovitch fait inscrire dans la Constitution Russe « Un enfant a un Papa et une Maman » ; notre histrion présidentiel veut inscrire dans notre constitution le droit à l’IVG, mais pas à la contraception (?)… Il est vrai qu’une contraception bien conduite doit réduire le recours à l’IVG (mais il y a bien longtemps que, dans notre société, l’IVG est un moyen contraceptif !). Le délai légal de recours à l’IVG est d’ailleurs sans cesse repoussé; la civilisation nord-américaine, que nous idolâtrons, prévoit, dans certains états, le recours à l’IVG à 9 mois de grossesse … Je ne doute pas que la modification de notre constitution sera très largement approuvée par référendum. Aucun réveil à espérer, l’avènement du Frankistan est inéluctable ; il résoudra ces quelques déboires sociétaux et dans … huit siècles, la « Reconquista »
Un « criminel contre l’humanité », fier de l’être.
Tout bien dit, merci Éric !
Moi, je n’ai plus de mots pour exprimer ce que je ressens !
Chaque jour, j’ai ma dose d’écœurement par les décisions prises, les discours tenus par ce gouvernement de m..rde ! Une info chasse l’autre, plus que des mauvaises nouvelles….pour qui a connu la france d’avant !
Comment avons nous laissé faire, comment en est-on arrivé là ?
Et quelle étincelle faudrait il pour qu’enfin le peuple, le français de base, celui qui roule en diesel et qui fume des clopes, se réveille et se révolte !
Malheureusement, je suis presque persuadé que les Français ne réagiront plus maintenant …ils sont déjà devenus incapables de secouer le joug que la gauche leur a imposé grâce à la lacheté de la droite… L’slam s’impose chaque jour d’avantage en notre société et ce ne sont pas les brebis chrétiennes, qui ont oublié que leurs ancêtres allèrent en croisade pour délivrer le Tombeau du Christ, dont les musulmans leur avaient interdit l’accès et la liberté de venir s’y agenouiller en prières ! Alors que durant les siècles précedents, ils l’autorisaient comme ils n’empêchaient pas les juifs de se receuillir à Jérusalem sur les vestiges du Temple qui fut rasé par les armées de la Rome Impériale en l’an 70 de notre ère..La raison de ce revirement d’attitude se trouve dans le Coran et la Charia, qui disent que les musulmans doivent partir en guerre, dès qu’ils s’en sentent assez puissants, contre ceux qui ne reconnaissent pas Mahomet, et renier même les accords qu’ils avaient conclus au par avant avec ceux-ci. Aujourd’hui, le « baltringue François »,Pape en exercice,va lécher les babouches des musulmans au Moyen-Orient et les Français se terrent chez eux et laissent par souci du respect de la légalité, les migrants nous envahirent de façon patente avec la bénédiction de notre gérontophile Président mâtiné amateur à s’en pâmer, des jeunes mâles fortement pigmentés et crépus ….Honte, honte d’être Français aujourd’hui !
Y a plus qu’à se mettre une balle, ou se jeter sous un train !
Merci de bien vouloir remplacer le premier « se » par « leur » et le second « se » par « les »
Se tuer soi même, c’est du defaitisme: Il y a mieux à faire, heureusement.
Oui, battez-vous, battez-vous avec le plus grand nombre, expliquer et, surtout, soyez intègres car ils chercheront la faille avant d’adhérer.
Je suis hélas dans le même état d’esprit mais Maurras disait « le désespoir en politique est une sottise absolue » alors, espérons …
OUI hélas mais j’ai écouté aujourd’hui devilliers (il vient d’écrire un livre que vous conseille).En fait la france est devenue un montage IKEA / IL y a tout et trop à disposition
mais le montage est tres aléatoire,mal compris et celui qui monte le meuble veut en faire autre chose qu’un meuble car il fait ça pour s’amuser et une fois qu’il croit avoir fini ,
met le meuble à la cave ou le vend au RABAIS.Cette métaphore est de moi mais dans son livre à doit être quelque chose de plus subtil car il ne manque pas d’humour et malgré sa hauteur et sa dignité il reste humble et juste.
Mais il a espoir et il a raison
Pour le réveiller il faut lui expliquer les choses, lui faire lire Minurne en expliquant le pourquoi et marteler, marteler. Et surtout ne pas être pris en délit de mensonge car ça serait le pire.