L’ISLAM COLONISATEUR ET ESCLAVAGISTE (L’Imprécateur)

Du VIIIème au XVIIIème siècles, l’islam fut une puissance militaire suffisamment impérialiste pour imposer sa loi religieuse, la charia, ainsi que son administration coloniale à tout le pourtour de la Méditerranée et au Moyen Orient, jusqu’aux frontières asiatiques. Il pratiqua l’esclavage à grande échelle, y compris en Espagne et en Provence. On estime le nombre d’esclaves provençaux détenus en 1 800 entre 40 et 60 000 à Alger et 20 à 30 000 à Oran. Les garçons étaient émasculés pour en faire des eunuques, environ 30% mourraient d’hémorragie. Les filles étaient violées, à l’exception des vierges les plus jolies, vendues à prix d’or à des acheteurs autorisés à vérifier leur virginité d’un index ou d’un majeur inquisiteur. Il y eut des milliers d’esclaves blancs (et notamment des jeunes filles blanches que l’acheteur potentiel pouvait exiger de voir nues) vendus sur les marchés provençaux, aux imams et aux riches musulmans d’Afrique du nord.

 

 

 

Excédés, les occidentaux menèrent plusieurs expéditions sur Alger pour libérer d’importants contingents d’esclaves blancs : les Américains en 1815, les Hollandais et les Britanniques en 1816, etc. Mais la brèche ainsi creusée dans le stock d’esclaves détenus par les esclavagistes arabes était vite reconstituée. C’est alors que Charles X décida, en 1830, d’en finir une bonne fois pour toutes en chassant les colons arabes de la côte du Maghreb.

LES BIENFAITS DE LA COLONISATION FRANÇAISE

Tout le Maghreb avait été en état de guerre permanente depuis la conquête coloniale arabe commencée en 670. Autant par les opérations menées contre les Berbères (ou pour se défendre des Berbères) que par l’entretien systématique des guerres entre tribus berbères, les chefs arabes étant convaincus à juste raison que tant que les Berbères se battaient entre eux, ils oubliaient de se battre contre eux, les Arabes, pourtant leurs ennemis héréditaires. De ce fait, la population était restée stable, oscillant entre un et deux millions d’habitants, à cause des famines, des guerres et des épidémies récurrentes. Le Maghreb, colonie arabe, puis turco-arabe, était un pays ravagé par la guerre et les famines.

Elles touchaient surtout les indigènes, Berbères et tribus du Sahara, etc.

Au début, la présence française fut d’abord militaire, la colonisation de peuplement ne commença vraiment qu’après la prise de l’Alsace-Lorraine par les Allemands en 1870.

Déjà, la paix coloniale avait eu des effets positifs : routes, ports, écoles, dispensaires médicaux, pêche, cultures et petite industrie, administration, etc. La médecine dite coloniale, parce que faite exclusivement par les médecins militaires au début, eut rapidement des effets positifs. En 1900, la population de la seule Algérie, qui avait stagné pendant douze siècles de colonisation arabe, était montée, le temps d’à peine trois générations, de deux à cinq millions d’habitants.

En 1962, l’Algérie était le premier exportateur mondial de liège ; elle exportait aussi des légumes, des fruits, du vin, des minerais, du gaz et du pétrole que les Arabes avaient été incapables de d’exploiter eux-mêmes.

INDÉPENDANCE ET RETOUR DE LA MISÈRE

Après l’indépendance, la misère revint rapidement. Les Algériens commencèrent à émigrer vers la France pour trouver travail, liberté, études et conditions sanitaires favorables. Le flux ne s’est pas tari pendant soixante ans, boosté par la guerre larvée entre les gouvernements socialistes algériens et les islamistes.

Soixante ans après, E. Macron pourrait, s’il en avait le courage (mais il ne l’aura pas parce qu’il a le courage d’une moule cuite), dresser le bilan de l’indépendance algérienne : chasse aux chrétiens et aux juifs, fermeture et destruction d’églises, importation de fruits et légumes, fin de la production de liège, natalité galopante mais avec un taux de mortalité infantile en croissance constante…

En pastichant je ne sais plus qui, on pourrait dire que dans vingt ans l’Algérie socialiste importera du gaz, du pétrole et du sable ! Et il faudrait que la France présente des excuses ?

Aujourd’hui, ce n’est pas que l’Algérie, c’est tout le monde arabe qui mène une guerre de reconquête, en direction de l’Europe principalement. Il n’y a guère qu’en France que l’on nie cette réalité, toujours le politiquement correct !

L’ALGÉRIE NOUS IMPOSE UNE GUERRE DE RELIGION

Newsweek du 13 février constate qu’il s’agit d’une guerre de religion puisque juifs et chrétiens sont les premiers visés.

Dès 2011, plus de quarante mille ont été tués dans le monde musulman sans que ce génocide religieux émeuve  nos belles consciences BHLoches  (moi aussi j’ai bien le droit d’inventer des mots nouveaux, comme Ségolène Royal, Montebourg et Bayrou). La couverture de Newsweek  a montré le Christ criblé d’impacts de balles de kalachnikov dans l’église des Saints d’Alexandrie en Egypte. Quarante mille coptes, les seuls vrais égyptiens puisque les autres sont des créoles descendants des premiers colons bédouins, ont dû fuir l’Egypte depuis le début de l’année 2012.

PARTOUT L’ISLAM TUE LES CHRÉTIENS

Ça n’intéresse pas la presse française. Au Nigeria, au Soudan mais aussi ailleurs en Afrique, les chrétiens ont payé un lourd tribut en morts aux musulmans, mais Big Brother socialiste interdit d’en parler. Celui qui dira que l’islam tue sera traité d’islamophobe. 

La musulmane Ayaan Hirsi Ali, réfugiée somalienne en Europe puis aux Etats-Unis, a, elle, le courage de dire la vérité et ne mâche pas ses mots :

« On entend souvent parler de musulmans victimes d’abus en Occident ou de combattants du printemps arabe luttant contre la tyrannie. Mais en fait, une toute autre guerre est en cours, une bataille non reconnue qui coûte des milliers de vies. Les chrétiens se font tuer dans le monde islamique à cause de leur religion.
C’est un début de génocide qui devrait provoquer une alarme globale« .

La guerre ne se limite pas au génocide des chrétiens et des juifs résidents en terre d’islam. Le Nouvel Observateur, organe de presse éminemment socialiste, ne s’est pas vanté de son interdiction au Maroc. Figurez-vous qu’il a osé illustrer l’un de ses articles par un dessin issu du film Persépolis qui décrit la condition inférieure des femmes dans l’islam.
Deux jours plus tard, Mohammed V graciait trois dirigeants d’une organisation islamiste suspectée d’avoir organisé des attentats meurtriers.
C’est beau, l’islam.

Nos hypocrites d’Ivry sur Seine (ceux qui ont abandonné la rue de Solférino en 2018) ont d’autres soucis ; ils font tout pour dissuader la presse de révéler les abus de l’islam en France, notamment dans sa façon de traiter les femmes.

L’Imprécateur

16/4/23