A CEUX QUI NE COMPRENNENT PAS POURQUOI J’ÉCRIS… (Éric de Verdelhan)


Est-ce un signe de vieillissement, d’usure, de lassitude, ou bien l’impression de radoter, de rabâcher, de me battre – tel Don Quichotte – contre des moulins à vent ? Suis-je en train de guérir de ma diarrhée écrivassière ? Une chose est certaine, ces temps-ci, j’écris moins.

Depuis 2011, j’ai pourtant commis neuf livres (le dixième est pour bientôt) et des centaines d’articles sur des sujets historiques, politiques, économiques ou tout simplement satiriques.

Ecrire moins, c’est aussi une forme de révolte devant l’injustice qui frappe les auteurs peu connus : même si je cède la totalité de mes droits d’auteur à des associations patriotiques, je trouve parfaitement anormal et amoral – je pèse mes mots – que les éditeurs qui vendent mes livres 29 ou 30 euros me reversent « royalement » …1 ou 2 euros  par livre vendu (1), c’est indécent !

Quant aux articles, c’est un travail totalement bénévole, ça ne rapporte pas un centime, mais je vois assez régulièrement circuler sur internet certains de mes écrits, publiés sous la signature de gens qui n’ont ni l’élégance ni la correction de citer leur source (2), ce qui a le don de m’énerver.  

Et pourtant, tant que Dieu voudra bien me garder en vie, tant que je ne serai pas frappé de sénilité, je continuerai à noircir du papier et pas seulement pour exorciser mes vieux démons.

Il n’est pas dans mes habitudes de me justifier, cependant  je souhaite expliquer pourquoi, à mon modeste niveau, écrire me semble une nécessité, une obligation morale, un devoir pour tenter d’endiguer ou de retarder la dégénérescence de notre nation (et de l’Occident chrétien en général).

Je ne cherche surtout pas à convaincre les abrutis anonymes qui m’insultent sur les réseaux « associaux »  car je me moque éperdument de leur avis. Comme disait  Michel Audiard « J’parle pas aux cons, ça les instruit ! ». Je me fous de déplaire à ces gens-là, je dirais même que ça m’amuse.MICHEL AUDIARD J'PARLE PAS AUX CONS ÇA LES INSTRUIT - Cinétévé

Michel de Saint-Pierre a écrit (3) que le non-conformisme consiste à :

« ne jamais renoncer à l’orgueil savoureux d’être sincère; au plaisir délicat et profond d’être juste; à la volupté de plomber les cuistres et de saluer les héros. Et surtout à choisir jusqu’au bout l’air que l’on respire, les mots que l’on dit et les mains que l’on serre… ».

Je n’érige pas, comme certains le croient, l’agressivité en modèle, ni la polémique en vertu, mais je veux qu’un homme indigné garde le courage d’exprimer son indignation. Et que, devant la félonie ou le mensonge, un être libre soit toujours prêt à ruer dans les brancards et à pousser un « coup-de-gueule ». J’essaie juste de rester un homme libre !

Si je dois des explications, c’est seulement à mes amis, mes proches et mes fidèles lecteurs.

On pourrait résumer le mal-être des gens de ma génération – ceux qui n’ont pas suivi, comme le chien crevé au fil de l’eau, les « avancées sociétales » de la gauche – par ces vers de Paul Morand :

« Je ne sais pas si c’est ma faute ou mon destin
Mais j’arrive toujours quand la lumière
s’éteint »

Certes notre génération n’a pas connu la guerre mais elle a assisté, impuissante ou complice, à la lente agonie de son pays, à son saccage, à sa destruction volontairement orchestrée par ceux qui avaient pour mission de le gouverner et non d’en faire un vulgaire « Land » européen.

« La France a perdu une bataille !
Mais la France n’a pas perdu la guerre ! ».

Alain Houpert on Twitter: "Cérémonie en l'honneur de l'appel du 18 juin "la France a perdu une bataille, mais la France n'a pas perdu la guerre !" Charles de Gaulle https://t.co/HZ8sCzVRFa" /

Cette phrase, attribuée à de Gaulle, figure sur l’affiche placardée sur les murs de Londres le 3 août 1940. Elle ne figure pas dans l’Appel du 18 juin, et pourtant elle fait partie du mythe gaulliste.

En réalité, on la doit au général Maxime Weygand qui comptait sur notre Empire colonial et sur notre Armée d’Afrique pour une éventuelle reconquête. Weygand et Giraud voyaient juste : nos armées ont subi une mémorable raclée en juin 1940, mais, grâce aux Alliés (90 divisions) et à notre Armée d’Afrique (4), nous étions parmi les signataires de la reddition de l’Allemagne le 7 mai 1945.

Mais depuis, pour notre pauvre pays, les choses ont bien changé ! La France a perdu TOUTES ses batailles et elle est en train de perdre la guerre. Sa descente aux enfers aura connu des paliers successifs qui n’ont pas ému un peuple de veaux trop bien nourris durant les « Trente Glorieuses ».

Nous avons perdu notre autosuffisance énergétique en perdant notre Empire, au début des années 60. Vatican II a affaibli le catholicisme deux ans plus tard. Mai 1968 a accéléré le délitement – moral  ET intellectuel – du pays. Des accords de coopération avec  nos anciennes colonies, puis le « regroupement familial » du tandem Giscard-Chirac ont amené chez nous une immigration afro-maghrébine qui, contrairement à l’immigration de travail d’autrefois, n’a aucune intention d’intégrer nos us et coutumes, et encore moins de respecter nos lois. Manipulées par l’ultragauche soixante-huitarde, les jeunes générations issues de la « diversité » apprennent dès leur enfance à détester la France. Dans le même temps, la Loi Veil, légalisant  l’avortement, condamnait à mort 210 ou 220 000 petits Français par an (chiffres officiels). Depuis 1975, on en a tué plus de 9 millions !

Puis l’Europe se chargeait de désindustrialiser le pays et d’aggraver son invasion.

Rappelons  quelques  dates, juste pour mémoire : Schengen en 1985, Maastrich en 1992, le Marché unique en 1993, la Monnaie unique, le 1er janvier 2002. Après ses frontières, devenues des passoires, la France perdait aussi sa monnaie, elle n’était donc plus une nation.

Dans cette litanie de coups tordus, n’oublions pas que les Français ont refusé le Traité de Nice, le 29 mai 2005, et que, à peine élu, Nicolas Sarkozy faisait voter le Congrès (5), le 13 décembre 2007, pour nous imposer le Traité de Lisbonne (qui est un quasi copié-collé du Traité de Nice).

A l’heure actuelle, 80% des textes qui régissent notre vie sont des directives imposées par Bruxelles. Nos dirigeants  politiques sont des marionnettes à la solde de l’Europe (et, en réalité, des pantins manipulés par le Nouvel Ordre Mondial).   

Le peuple algérien sur les réseaux sociaux libérera la Palestine mais en réalité il enfoui sa tête dans le sable comme une autruche | Aljazayr.comL’agonie de la France a été relativement lente. Du coup, beaucoup de nos concitoyens ont refusé d’écouter ceux qui les mettaient en garde depuis des lustres. La politique de l’autruche : la tête dans le sable (pour ne pas entendre les Le Pen et consorts), et le cul à l’air, prêt à recevoir les derniers outrages. Shootés au « Padamalgam », abreuvés jusqu’à plus soif du « vivre ensemble », du métissage, du multiculturalisme, de la « diversité » qui serait, parait-il, « une chance pour la France », ils n’ont pas vu, ou pas voulu voir, que nos banlieues devenaient des zones de non-droit, des coupe-gorges, des « territoires perdus de la République » pour parler comme les cuistres.

Depuis l’élection de Macron, on a la très nette impression que tout s’accélère.  On dirait que les Européistes ont décidé de passer au braquet supérieur. Ils veulent achever la France !

La devise des « Croix-de-Feu » du colonel de La Rocque était « Travail, famille, Patrie » (6).

Ceux qui veulent détruire la nation ont compris qu’il fallait tuer le travail (en désindustrialisant le pays), tuer la famille (avec l’IVG, le PACS, le mariage des invertis, la primauté donnée aux LGBT, etc…) et, enfin, tuer la Patrie en accueillant massivement une faune allogène qui la déteste.

Il fallait aussi tuer la « superstition » car toutes les grandes civilisations s’appuient sur une religion forte. Le catholicisme a du plomb dans l’aile depuis 1789. Vatican II s’est chargé d’accélérer le processus mais, comme visiblement c’est encore trop lent, Bergoglio – dit « François 1er » – fait ce qu’il faut pour que l’Europe devienne musulmane. Ce pape ne s’émeut pas du sort des chrétiens martyrisés dans tous les pays musulmans, appelle à accueillir toujours plus de migrants (qui sont très  majoritairement  mahométans) mais part en bataille contre… les catholiques traditionalistes attachés au rite tridentin et à la messe en latin. Au final, Soros, Attali, le Forum de Davos, les GAFA, Ursula von der Leyen, Macron et Bergoglio mènent le même combat !

Dernier volet de la mort programmée de la nation, la dictature des minorités. Pour être tout à fait exact, il faut maintenant parler d’une véritable prise de pouvoir par les minorités : Islamistes (et islamo-gauchistes), LGBT, féministes, écolos, décoloniaux, végans, antispecistes, etc…

Toutes ces catégories – minoritaires mais terriblement  sectaires – ont déclaré la guerre à leur ennemi commun, le mâle blanc hétérosexuel (qui de surcroît, est souvent catholique et vote à droite). Je n’entends pas détailler ici cette prise de pouvoir par les minorités, ce serait trop long ! Et puis mes lecteurs habituels finiraient par dire que je radote, et ils auraient bien raison !

Je traine derrière moi un demi-siècle de militantisme et, depuis des années, je me bats avec mes faibles moyens – ma plume mise au service de mon sens critique – contre le délitement et la décadence de notre pays, et je dois reconnaître, sans la moindre fausse modestie, que j’ai été d’une redoutable inefficacité. Au fil des ans, forcément, j’ai laissé transpirer mon pessimisme.

Je ne crois plus à la capacité de réaction de notre pays. Il est gangréné, vérolé, pourri, perverti, abruti… Les optimistes (ou les naïfs ?) espèrent encore qu’il y aura un réveil, un sursaut salutaire, un retour de balancier. Je le souhaite mais sans trop y croire. On me serine régulièrement qu’il ne faut surtout pas « baisser les bras »,  et je réponds que je crains qu’on me demande un jour de les lever… pour me rendre.
Alors, suis-je un pessimiste ou un optimiste lucide ? Je ne sais pas.

Pour autant, je ne suis pas favorable à une euthanasie nationale. Concernant mon pays, je serais plutôt partisan d’un acharnement thérapeutique : nous ne devons pas, nous ne pouvons pas, assister sans rien dire à sa mort lente, à sa longue agonie. Il est impensable de le laisser crever, de le laisser martyriser, assassiner, par les Européistes forcenés et par la finance apatride à la solde du Nouvel Ordre Mondial. Nous pouvons et nous devons mener des combats retardateurs.

Sans flagornerie aucune, j’ai un profond respect pour ceux qui se battent encore : j’apprécie des coups de gueule de Pierre Cassen dans « Riposte Laïque » ; j’aimais les articles fort bien écrits du regretté Marc Noé dans « Le Gaulois » ; je me délecte à la lecture des éditos saignants de mon ami Marc Le Stalher dans « Minurne Résistance », ou des articles de mon ami Richard Roudier, président de la « Ligue du Midi », et de tant d’autres que je ne peux pas tous citer ici.

Ces gens-là méritent le titre de résistants mais ils méritent surtout notre respect. Si nous avons parfois des divergences, ils me font l’amitié d’accepter mes écrits, voire mes reproches, car ils ont compris que, comme le disait un ancien ministre, « je n’ai pas d’ennemis à droite ».  

Je leur apporte ma modeste contribution et je compte bien continuer, sur leurs sites ou bulletins, à fustiger ce gouvernement  d’incapables, d’incompétents arrogants, méprisants à l’égard du Français de souche mais toujours prêts à s’apitoyer sur le migrant invasif ; à critiquer les Islamo-gauchistes qui fomentent des manifestations contre tout, dans le seul but de déstabiliser notre économie (déjà bien malade !) ; à m’indigner contre les Afro-maghrébins qui brulent notre drapeau les soirs de matchs, défilent en nous insultant mais ne dédaignent pas les aides sociales accordées par ce pays honni ; à refuser le diktat des  « Gays » et gougnottes qui voudraient nous imposer leurs mœurs et qui considèrent que l’hétérosexualité est une maladie honteuse ; à m’emporter contre les gourous, les grands prêtres de l’écologie punitive, qui taxent ma maison de « passoire thermique », et qui me traitent d’assassin – rien que ça ! –  parce que je roule au diésel ;  à dénoncer les Végans, végétaliens et autres  antispécistes qui veulent nous empêcher de manger de la viande et qui, pour ce faire, agressent les bouchers, les éleveurs ou les abattoirs. Expliquez-moi  pourquoi ces tarés  n’attaquent JAMAIS  de boucherie Halal ? Expliquez-moi aussi comment on peut être défenseur de TOUTES les espèces animales (moustique et ver-de-terre compris) « et en même temps », comme dirait Macron, être pour l’IVG et l’euthanasie ? Enfin, comme je suis un mâle blanc, je continuerai à dire tout le mal que je pense des connasses, ces haridelles féministes, qui appellent à « balancer (leur) porc » (surtout quand elles ont passé l’âge des galipettes lubriques).

Nous avons encore du pain sur la planche. Peut-être que notre combat est perdu d’avance,  mais après tout, les causes perdues ne sont-elles pas les plus belles à défendre ?  

Éric de Verdelhan

21 avril 2023

1)- Sans qu’il soit possible de savoir combien ils en vendent.

2)- Je pense, entre autres, à cet écrivaillon « pieds noirs » du Midi de la France, grand spécialiste du plagiat et qui améliore sa retraite en copiant le travail des autres.

3)- Il disait ça à propos de Léon Daudet.

4)- N’oublions pas  la 2°DB et  l’apport – certes faible – de la Résistance intérieure.

5)- Députés et Sénateurs réunis en Congrès, lequel, à la différence d’une assemblée législative, ne peut exercer le droit d’amendement. C’est donc une forfaiture…légalisée par la Constitution.

6)- Elle a été reprise plus tard par le gouvernement de Vichy.

 

12 Commentaires

  1. Ceux qui ne comprennent pas ne comprendrons jamais.
    Quand j’étais gosse on s’amusait à dire ceci : « tu comprends bien que si tu ne comprends pas tu ne comprendras jamais, comprends-tu ? »
    Ca ne s’est pas arrangé.

    Continuez de nous régaler !

  2. Bonjour Monsieur de VERDELHAN et comme je vous comprends. Vous n’écrivez plus ? quel dommage quand on vous lit ci-dessus ….. Mais combien sommes-nous à lire Minurne-Résistance ? combien sommes-nous à résister encore à la bobosphère parisienne ? Comment se fait-il que l’on considère un Président élu alors qu’il n’enregistre que un peu plus de 20% de voix parmi les votants ? Et vous avez parfaitement raison : cela dure depuis Giscard ! En fait depuis le départ de de Gaulle (à qui j’ai certaines choses à reprocher) tous nos présidents (même pas de majuscule pour ces voyous) n’ont pensé qu’à détruire la France d’une façon ou d’une autre. Merci de l’avoir énoncé dans ce pamphlet que vous venez d’écrire ! Même si le peuple gaulois dort et se satisfait en partie de sa situation, il nous faut des hommes comme vous ou comme Marc pour tenter de les réveiller. Je fais suivre chaque exemplaire de Minurne-Résistance que je reçois à ma liste de correspondants. Certains me disent que ça ne sert pas à grand chose ….. ils ne disent pas à rien ! espérons donc qu’un jour prochain, la France se réveille enfin pour mettre tous ces gens à la poubelle ! C’est tout ce qu’ils méritent ! Et j’espère bien continuer à lire vos articles tant que Dieu me prêtera vie !

  3. Je suis sur la même fréquence que vous, Monsieur de Verdelhan et je vous remercie pour votre résistance. Je souhaiterais et je rêve que tous les Français soient comme vous. MERCI !

    Puisse le Seigneur délivrer les Français de leur lâcheté.

  4. Un grand merci à vous pour votre « résistance ». Je suis née en soixante et j’ai mis longtemps à ouvrir les yeux… Mais je suis tout de même de longue date maintenant, une acharnée de la vraie liberté ! Celle qu’ils nous volent de jour en jour. Vous lire reste un des derniers bonheurs du jour. Merci.

  5. Pour moi, qui suis né avant la guerre et qui en a un souvenir bien concret, je suis tt à fait d’accord et j’ai vu depuis sa fin, la lente dégradation de notre pays, et surtout après 68 auquel je n’ai pas voulu participer. Quand je vois ce qui se passe partout, et plus particulièrement dans l’EN (toute ma carrière!), je suis à la fois scandalisé et finalement bienheureux d’avoir échapper à ces dérives. Mais je plains sincèrement les personnels(certains instit’s ou prof’s) qui ont encore la force de vouloir résister à ce tsunami, abandonnés comme ils le sont de leur hiérarchie, complice du pouvoir!! Merci de continuer votre travail de sape, c’est souvent de cette façon qu’on peut abattre un mur ou une falaise!

    • le gouvernement voudrait qu’on ait honte de ce qu’on a reçu mais il ne parle pas de ce qu’on a perdu et de ce qu’ils recoivent. .Je reçois pas mal d’enseignants et quand vous dites qu’ils leur faut du courage:c’est certain et même beaucoup plus que ça avec une belle dose d’humour:La ou il en faut c’est à la rentrée des classes quand il faut donner le nom du père et de la mère :papa est devenu adelle et maman est devenue jean pierre.:OUI parfois c’est maintenant trés compliqué et d’ailleurs tout est compliqué même pour acheter une vis et remplir sa déclaration sur internet /Ils ne savent plus comment racler les fonds de tiroirs à l’interrogatoire.Je pense que maintenant certains ont pris le parti de prendre la retraite à 35 ans à leur manière tellement qu’il n’y a plus gôut à la tache:En fait il faut avoir toujours une âme de combattant ou de guerrier si on veut resister.et il ne faut rien attendre de ces nullards de gouvernants à part raconter des conneries.

      • Moi aussi à 18 ans , j’étais anti soixante huitard et même participé activement à une manifestation anti soixante huitard : je distribuais des tracts et je n’avais aucune crainte de quiconque.J’en étais trés fier.

  6. Je n’aime pas l’expression : « territoires perdus de le république ».
    Ces « territoires » n’appartiennent pas à la république mais à la France.
    Il conviendrait donc de les nommer : territoires PERDUS PAR la république.

  7. Tout est dit, et bien dit, Mr Verdelhan…….surtout n’arrêtez pas d’écrire, ce serait dommage pour vous (comme dit Jeanmi ci-dessus) et pour les lecteurs !
    Maintenant, je comprends la lassitude, l’impression de ne plus servir efficacement ! Ces 3 dernières années sont terribles car elles ont révélé le délabrement, le mensonge, la corruption, le mépris…etc…de nos gouvernants, de nos institutions….bref, c’est la m.rde à tous les étages, et tout ça, volontairement ! Terrible !
    Pour votre contrat avec la maison d’édition, ça ne se négocie pas avant de signer ? C’est quand même pas assez, 1 euro…. et en plus sans savoir combien ont été vendus !
    Merci à vous Éric, et courage !

  8. J’apprecie votre commentaire bien que je n’ai pas le même avis pour dirons nous 10% des thèmes abordés.Peut être que vous devinez lequel! Concernant la manie de la plume , je l’ai depuis mon adolescence et elle ne m’a pas quitté:
    Elle se réactive lorsque je suis révolté, peiné , angoissé ou trop heureux car elle me soulage :
    J’écris des idées , des constatations ,des poêmes enfin bref comme disait la fontaine jusqu’au sombre plaisir de la melancolie et tout ce qui me passe par la tête y compris des chansons à tel point que j’avais envie de « lacher prise » ce qui a fait le titre d’une chanson satirique politique entre des phrases d’harmonica.J’ai digéré comme ça le déces de mes parents et d’amis, les injustices de la vie et je peux aussi supporter mon viellissement:
    Avec ces cons , la vie n’est plus un cadeau ,mais avec mon écriture j’enlève l’amertume que provoquent les cons .J’aime minurne à travers des gens qui osent se battre déja mentalement pour essayer de comprendre et de faire comprendre les inepsies politiques et soyez sur mr verdelhan que je suis un adepte de votre style et de vos constats que je partage à 90% /oui à 90% seulement
    car je veux ce 10% de sens critique.impérativement.

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