PARTIE 3
Ce terme de « séparatisme » employé aux plus hauts niveaux de l’État, n’est pas une simple confusion, ni la méconnaissance d’un terme de la langue française.
Le concept nommé séparatisme est utilisé sciemment, à des fins manipulatoires, dans le cadre d’opérations de désinformation des Français, avec pour finalité de cacher les réalités et de refuser de combattre les actions de création, développement, démultiplication de « bases opérationnelles » (expression à prendre au sens militaire) et non pas de simples « bulles communautaires » comme on peut le lire ou l’entendre :
avec implantations d’agents et de structures islamistes, éventuellement clandestins (implantation : « Action de mettre en place quelque chose, et de l’installer à demeure quelque part » (Source : Larousse) ;
afin de réaliser l’emprise des islamistes sur la population française (emprise : « Ascendant intellectuel ou moral exercé par quelqu’un, ou influence de quelque chose sur une personne » (Source : Larousse).
C’est à partir de ces bases opérationnelles qu’est propagée la conquête de la France depuis de nombreuses années. Le nombre de ces bases opérationnelles ne fait que croître, en raison de l’immigration illégale, acceptée, organisée ou voulue par les autorités de l’État dans le cadre du « droit du sol ». Il est intéressant d’étudier et prendre en compte ce qui se passe avec le département de Mayotte qui bat tous les records de naissances en France, et dans lequel ce sont principalement des femmes Comoriennes, voire provenant d’autres contrées – donc non Françaises – qui mettent au monde des Français en vertu du droit du sol !
Ces bases opérationnelles, de proche en proche, pourront être réunies – éventuellement à cheval sur plusieurs frontières européennes – juridiquement et territorialement selon le droit islamique (charia) pour devenir des enclaves de plus en plus vastes de « dar al islam » (ou terre régie par les lois d’Allah).
L’existence de ces Bases opérationnelles doit impérativement être prise en compte par les plus hautes autorités de l’État, sans la moindre faiblesse, ni la moindre perte de temps, en vue de leur « neutralisation définitive » et cela, quelles que soient les origines des attaques et quels que soient leurs commanditaires ou auteurs :
- États, dits » amis » ;
- organisations para-étatiques, internationales ou nationales ;
- groupes internationaux ou nationaux, d’affaires ou d’intérêts ;
- groupes internationaux ou nationaux à caractère social, ethnique, philosophique, ou confessionnel ;
- organisations se déclarant « philanthropiques » mais pratiquant l’entrisme (Tactique consistant à s’introduire dans une organisation, un parti, pour en infléchir l’orientation. Source : Dictionnaire de l’Académie Française) ;
Les islamistes, leurs collabos et leurs alliés, particulièrement les gauchistes de toutes obédiences – entendent imposer à notre Nation un système politique, de gouvernement, une loi fondamentale (Constitution), un système de pensée, un mode de vie, une religion en totale contradiction avec : la volonté des Citoyens français, les Valeurs forgées au cours de l’Histoire de notre Nation, et niant les faits historiques malgré la présence de preuves rapportées par les historiens, et ce à des fins religieuses, racistes ou politiques.
Ils entendent aussi parvenir à des modifications en profondeur des caractéristiques essentielles de notre civilisation, par l’acceptation officielle, ou de fait (déjà largement entamée), de nombreux « aménagements dans la Constitution et/ou le corpus législatif », nos coutumes, « conformément aux demandes » des soi-disant « autorités » politico-religieuses islamistes, telles que :
l’acceptation de la polygamie, illégale, mais reconnue de fait puisque que les épouses autres que la première sont considérées comme chefs de familles monoparentales et perçoivent illégalement différentes allocations attachées à cette situation ;
l’acceptation du mariage entre vieux libidineux et fillettes de neuf ans, pas encore dans le cadre du mariage civil, mais dans celui du mariage religieux islamique, alors que conformément à nos lois les « maris » devraient être jugés et condamnés pour pédophilie et viol ;
l’acceptation de l’abattage rituel, c’est-à-dire halal, et la consommation de cette viande par ailleurs imposée dans de nombreuses organisations étatiques ou territoriales, et dans de nombreuses Grandes Surfaces. De plus, cet abattage rituel pouvant avoir lieu – illégalement – en pleine rue, et sans aucun contrôle sanitaire ;
l’endoctrinement religieux dès l’âge de cinq ans, voire plus tôt, et de plus financé pour unepart par l’État (c’est à dire avec les impôts des Français), dans le cadre de contrats d’association établis au profit d’écoles confessionnelles ;
la reconnaissance d’Allah comme le seul « vrai dieu », son prophète Muhammad comme le modèle de la vie sur terre, et les autres religions comme étant fausses ;
l’instauration de l’enseignement de la langue arabe dans les écoles . Selon le rapport d’information du Sénat (Rapport d’information n° 63 (2003-2004) de M. Jacques Legendre, fait au nom de la commission des affaires culturelles, déposé le 12 novembre 2003 et reprise depuis ), « il est impératif de proposer une offre suffisante d’enseignement traditionnel d’arabe dans les établissements scolaires ! » au prétexte que « la tradition de l’école orientaliste française donne à l’enseignement républicain une légitimité pour assurer l’enseignement de l’arabe et le défaire des préjugés » [16] ;
l’autorisation des appels quotidiens à la prière, de préférence à grands renforts de décibels ;
la construction de mosquées « monumentales » à proximité des édifices religieux traditionnels, de telle sorte qu’ils en « écrasent » la vue et perturbent leur utilisation ;
la concession de baux emphytéotiques administratifs par des collectivités publiques, ou la participation financière directe ou indirecte de ces collectivités , …
la séparation des femmes et des hommes dans les environnements sportifs, et des horaires d’accès aux piscines, différenciés pour les femmes et les hommes ;
la généralisation du port du voile islamique en tout lieu et en tout temps, y compris dans des contextes nécessitant une identification visuelle des personnes (Bureaux de vote, bâtiments publics ou contrôles d’identité sur la voie publique, particulièrement, entre autres choses pour des raisons de sécurité) ;
- les dispenses accordées à certains travailleurs pour la manutention de produits, alimentaires ou non, contenant de la viande de porc ou de l’alcool, alors qu’ils n’ont aucun contact avec ces produits, pas même visuel ;
- la réservation à la prière de locaux dans des environnements de travail au sein des entreprises ou des administrations ;
- la suppression, dans les médias de l’utilisation de termes tels que « islamisme », «islamiste », « jihad » « guerre faite pour propager l’islam sur le monde » ;
- l’atteinte à l’image ou à la crédibilité de nos concitoyens en charge de fonctions de direction, d’encadrement, tant dans le secteur public que le secteur privé ;
- l’atteinte à l’image ou à la crédibilité des citoyens détenteurs de fonctions électives au prétexte que ces dernières ne seraient pas conformes à la charia ;
- les menaces envers les représentants de la Nation au prétexte que les lois votées ne seraient pas conformes à la charia ;
- les manipulations, les intoxications, les menaces et voies de fait à l’encontre des membres des Forces de sécurité intérieure ou des des Forces de sécurité extérieure, au prétexte que leurs actions de police ou de maintien de l’ordre sont des atteintes à l’islam ou qu’elles stigmatisent les musulmans ;
- les manipulations, intoxications des représentants des « fausses religions » que sont le bouddhisme, le christianisme, le judaïsme et l’hindouisme ;
- les discours dans lesquels sont ânonnés les termes de « tolérance », ou sorte de discrimination positive au sommet de l’État favorisant la tromperie dans la volonté de l’islam pour le dialogue , la confiance le respect », et le désir de paix.
Les attaques présentées ci-dessus – particulièrement celles montées par les islamistes, leurs collabos et leurs alliés – parmi beaucoup d’autres exemples, sont à elles seules constitutives du processus de mise à mort de la Nation française.
La gravité de cette situation, impose un changement radical dans sa perception, condition primordiale pour activer la volonté des citoyens de s’opposer aux attaques, à la passivité, la lâcheté ou aux complicités se multipliant et dont les conséquences sont de plus en plus lourdes pour notre PATRIE. Cette volonté permettra aussi aux Français d’être les acteurs essentiels dans l’effort de « contre-guerre », aux côtés des Forces Armées et les Forces de Sécurité Intérieure.
CE SONT TOUTES LES FORCES VIVES DE LA NATION QUI SONT IMPLIQUÉES DANS LES ACTES DE GUERRE, QU’ELLES LE VEUILLENT OU NON.
C’est donc la Nation FRANCE, dans son ensemble, toutes ses Filles, tous ses Fils, qu’ils soient Français par le sang reçu ou par le sang versé, qui doivent se battre avec :
- la volonté de maintenir et renforcer les Valeurs, pour lesquelles tant de générations ont accepté de se battre et de mourir ;
- la certitude de la Valeur de chaque Français, particulièrement celle de combattant, de résistant, ainsi que la certitude de la Valeur des croyances auxquelles il est attaché ;
- la certitude de la justesse de notre propre cause, de notre Patrie, de l’Armée, de la Police, de la Justice, de l’École;
- la conviction que l’opinion mondiale, dans son ensemble est avec nous ;
- la conviction du bien fondé de nos choix et de nos actes qui sont à la fois logiques et essentiels ;
- la confiance en nos moyens de défense et d’attaque dont nous sommes la cheville ouvrière;
- la conviction que le combat – même difficile mais primordial – aura une fin ;
- la certitude que les islamistes ne sont pas un ennemi invincible, et que nous aurons sa peau : d’autres avant nous l’ont prouvé par les armes ;
- la certitude de l’utilité vitale de notre combat quelle qu’en soit sa violence.
« Ami, pour hier, il est trop tard, il est toujours trop tard… mais pour demain, il n’est pas trop tard, il n’est jamais trop tard…
Demain, reste à faire.
Et ton salut, ami, se trouve au bout de la journée de demain.
Cela s’appelle l’espérance . »
Citation du Grand Soldat de France du XXe siècle : Hélie Denoix de St Marc.
Nous n’avons plus beaucoup de temps pour nous rassembler et affronter la réalité, en dépend la survie de notre Nation libre et démocratique, aujourd’hui sidérée et passive : c’est le devoir de tout Français de s’engager et de s’impliquer concrètement dans la guerre totale de ce début du XXIe siècle !
FIN
Lt Colonel Jean-François Cerisier
26 avril 2023
[16] (cf. https://langue-arabe.fr/les-programmes-de-l-enseignement-de-la-langue-arabe-dans-les-etablissements-scolaires-francais)
Une fois de plus, c’est une trés belle analyse, pleine d’info deja ressassee des dizaines de fois par d’autres bons ecrivains. J’aime beucoup le cote analytique et systematique de l’analyse mais suis tres decu par le manque de proposition pratique a la fin…. On reste sur sa fin et on a l’impression d’avoir perdu son temps a lire toute cette litterature de style militaire car il n’y a pas de propositions, pas de suggestions, pas de tactique, pas de plan de bataille, etc… a moins que cela ne soit dans la quatrieme partie a venir…. Il nous reste au moins l’espoir, cher Lt Colonel. Quand va t’on partir en guerre ? au printemps prochain, … au temps des cerises ?
On est mal, très mal, et ça ne changera que le jour ou l’ on renversera tous ces pieds nickelés que nous avons pour nous gouverner .
Il faut changer la constitution et revenir à celle qui était en vigueur en 1959 et dégager tous ceux qui
on fait de la vie politique une profession, on voit le résultat .
Il faut revoir également le système électoral ; il faut tenir compte de tous les bulletins exprimés , le blanc en particulier, car tous les individus qui se déplacent , doivent être considérés comme votants et non comme abstentionnistes.
Tant que nos dirigeants ne seront pas propres, irréprochables, ce ne sera qu’à cette seule condition qu’ on pourra au moins les écouter et les prendre au sérieux comme disait Marcel Bigeard .
Nous sommes dans la merde et pour en sortie, il faudrait un cataclysme