NON, JE N’INSULTE PAS LES RÉPUBLICAINS ESPAGNOLS ! (Eric de Verdelhan)

                                        

Stanley George Payne - Babelio

« C’est la gauche espagnole qui est responsable de la première effusion de sang…

Les assassinats (de Phalangistes) ont commencé dès janvier 1934… ».

(Stanley G. Payne (1))

 

 

Excursion to El Escorial Monastery and Valle de lo | spain.info en français

 

Le 24 avril dernier, j’écrivais un article pour m’indigner que les socialistes espagnols osent exhumer la dépouille  de José-Antonio Primo de Rivera du « Valle de los Caídos » après avoir exhumé celle de Franco car ces exhumations démontrent bien que les socialo-communistes  espagnols ne veulent pas réconcilier les deux camps qui se sont entretués dans une guerre fratricide.

El « Valle de los Caídos » – qui, en français, signifie « Vallée de ceux qui sont tombés » – est  un monument situé dans la vallée de Cuelgamuros (Sierra de Guadarrama), sur la commune de San Lorenzo de El Escorial, à moins de 50 km au nord-ouest de Madrid.

La construction du monument – une basilique, une abbaye et une croix haute de 150 mètres – a été ordonnée par Franco à la fin de la guerre d’Espagne. Les travaux ont duré de 1940 à 1958 et les bien-pensants vous diront qu’ils ont été effectués par des prisonniers, de droit commun et politiques, ce qui est exact. Mais l’utilisation de prisonniers pour réaliser des travaux pénibles ne me semble pas une exclusivité franquiste. Staline, Mao Zédong et Pol Pot ont fait crever quelques millions de personnes dans des grands chantiers agricoles ou urbains, et tous n’étaient pas des prisonniers.

Nous-mêmes, après la guerre de 39-45, nous avons faits faire des travaux de déblaiements et de reconstruction par des prisonniers allemands (mais nous les traitions plus humainement).

 En 1958, le Caudillo décida de faire du « Valle de los Caídos » un mausolée pour l’ensemble des combattants de la guerre civile, y compris les républicains, pourvu qu’ils fussent catholiques. Cette dernière condition fit bondir les libres-penseurs et les athées. Comme s’il était anormal de refuser d’enterrer dans une nécropole chrétienne des gens qui ne sont chrétiens ?

Les dépouilles de 34 000 morts(2) sont disséminées dans le monument, jusque dans les fondations. La sépulture du Caudillo, enterré dans la crypte depuis 1975, a été exhumée le 24 octobre 2019 à la demande des socialistes. Je croyais, naïvement sans doute, que cette vengeance posthume contre celui qui avait gagné la guerre suffirait à calmer leur haine revancharde. Que nenni ! Le 20 avril 2023, il y a quelques jours, ils ont décrété l’exhumation de José-Antonio Primo de Rivera, celui qu’ils ont fusillé après un simulacre de procès, celui qu’ils avaient emprisonné le 14 mars 1936, soit…cinq mois avant l’entrée en guerre du général Franco, et qui n’était pour RIEN dans le déclenchement de ce conflit. J’allais omettre de vous dire que, l’an dernier en octobre, on avait rebaptisé le « « Valle de los Caídos »  qui s’appelle dorénavant  « Valle de Cuelgamuros ». Je croyais, toujours naïvement, qu’il n’y avait des négationnistes et des révisionnistes qu’à l’extrême-droite.

Photo

N’allez surtout pas croire que la haine nécrophage des socialistes est calmée. A la suite de mon dernier article, mon ami Juan-Carlos, officier dans la « Guardia civil » m’écrit ceci :

« …Ce que m’irrite le plus dans cette affaire c’est la passivité du clergé et de la Maison Royale qui doivent  tout à Franco… Maintenant on s’en prend aux dépouilles du général Moscardó, héros de l’Alcazar de Tolède, (dont le fils a été fusillé par les « Rouges ») ainsi qu’au général Milans del Bosch, cadet de l’Alcazar, sous-lieutenant, lieutenant puis  capitaine de la Légion durant la guerre civile… »  

Chaque fois que j’écris un article sur la guerre d’Espagne – dont je ne prétends pas être un spécialiste, tant s’en faut ! – je me fais agonir par quelques imbéciles qui, visiblement, n’ont rien compris à mes propos. Ils me reprochent de « défendre un dictateur » d’être « du côté des fascistes » et me rappelle que « des républicains espagnols ont combattu pour libérer la France ». On pense à ce proverbe chinois, qu’on attribue à Confucius, et qui dit : « Quand le sage montre la lune avec son doigt,  l’imbécile regarde le doigt ». Car, ai-je fait l’apologie de Franquisme ? NON !

Ai-je nié que des républicains espagnols soient morts pour la France ? NON !

Mythes et légendes du maquis eBook : de Verdelhan, Eric: Amazon.fr: LivresDans mon livre « Mythes et Légendes du Maquis »(3), j’écrivais, au sujet de la libération de Paris :

« Les hommes du capitaine Raymond Dronne entrent dans Paris, le 24 août 1944 : c’est la 9ème  compagnie, surnommée « la Nueve »…

Pourquoi? Parce que la compagnie Dronne est constituée de républicains espagnols.

Les premiers « Français Libres » à entrer dans Paris étaient…des « Rouges » espagnols. Le soldat républicain espagnol Amado Granell est le premier « libérateur » à être reçu dans l’Hôtel de Ville par Georges Bidault, président du CNR… ». Ce fait  historique est connu !

 Mais, comme je suis honnête, j’ai  également rappelé le comportement barbare de certains « Rouges » espagnols formés durant la guerre d’Espagne, en citant, entre autres, Michel Audiard qui, dans un livre remarquable dont le ton désabusé rappelle Louis-Ferdinand Céline (4), raconte la mort de Myrette, la petite prostituée dont il était amoureux à l’époque :

 « … « Les fifis(FFI) sont en train d’avoiner Myrette » …édentée, disloquée, le corps bleu, éclaté par endroits, le regard vitrifié dans une expression de cheval fou, Myrette s’offrait aux mouches, abandonnée sur les sacs de sable d’une barricade. On a eu les détails par le « colonel » Palikar, un ancien de la guerre d’Espagne. Sans s’annoncer, ils avaient enfoncé la porte et surpris Myrette… On l’entendait hurler de la rue tandis qu’ils lui cassaient les dents. « A coup de bites » devait préciser par la suite le plaisant Palikar. A coups de crosse plus vraisemblablement. Elle était sûrement déjà très abîmée quand l’équipe lui est passée  sur le ventre, « colonel » Palikar en premier… Myrette fut certainement très martyrisée puisqu’elle avait les bras et les jambes brisés lorsqu’ils la tirèrent par les cheveux sur la petite place et l’attachèrent au tronc d’un acacia. C’est là qu’ils la tuèrent. Oh, sans méchanceté, à la rigolade, comme on dégringole les boîtes de conserve à la foire, à ceci près : au lieu des boules de son, ils balançaient des pavés…Quand ils l’ont détachée elle était morte depuis longtemps. Après l’avoir jetée sur un tas de sable, ils ont pissé dessus …puis s’en sont allés, comme on dit, arroser ça … ».

C’est parfaitement dégueulasse mais c’est ainsi, dans toutes les guerres hélas, les salauds et les ordures ne sont  pas tous dans le même camp ! N’en déplaise aux chroniqueurs qui commentent le conflit russo-ukrainien actuel, une guerre ce n’est jamais le « camp du bien » contre le « camp du mal ». Chaque camp vous dira que sa cause est juste et on massacrera des milliers de gens (dans nos guerres modernes, on tue beaucoup plus de civils que de militaires) plus ou moins sauvagement pour le seul profit des banquiers apatrides et des marchands de canons.

Ceci juste pour rappeler que, s’il y a eu des républicains espagnols qui se sont bien battus pour la France (et pour leur camp de 1936 à 1939) et qui méritent notre respect le plus total, il y a eu aussi au sein des FTP (4), des anciens de la guerre d’Espagne qui ont été des tortionnaires et des assassins qui se sont défoulés sur les supposés « collabos », les châtelains, et les femmes suspectées de « collaboration horizontale », qu’elles fussent putains ou tout simplement amoureuses. 

Sur le général Franco, pendant longtemps, je ne me suis pas exprimé: les historiens  français écrivaient presque tous à charge, quant aux espagnols, ils étaient, pour la plupart, hagiographes, souvent dithyrambiques, jusqu’en 1975, date de la mort du « Caudillo », et très sévères ensuite.

Depuis, j’ai eu moult occasions de raconter la carrière militaire exemplaire du Caudillo, mais il n’est pas inutile de remettre les pendules à l’heure en ce qui concerne son entrée en guerre.

Révolution asturienne — Wikirouge

En octobre 1934, le ministre Diego Hidalgo demandait à Franco de mater l’insurrection socialiste des Asturies (« la République Socialiste Asturienne »). En quelques jours, les décisions du futur Caudillo  suffisaient à disperser les révolutionnaires.  Franco apparaît alors comme le défenseur de la légalité et le sauveur de la République.  Mais, dans le climat révolutionnaire et insurrectionnel  qui règne alors en Espagne, il paraît être l’un des plus capables de prendre la tête d’un soulèvement armé. Pour cette raison, on le nomme gouverneur militaire de Ténériffe,  aux Canaries, loin de la péninsule. Pourtant, lui-même n’est  pas tenté par un coup d’État. Il est de sensibilité monarchiste, mais il est aussi légaliste et se satisfait d’une République conservatrice.

Au lendemain du premier tour des élections de février 1936, les désordres et la violence s’instaurent en Espagne. C’est l’assassinat du monarchiste Calvo Sotelo (par les Jeunesses Socialistes)  qui fera basculer Franco. Le soulèvement se produit dans la nuit du 17 juillet.

Franco se voit confier  l’armée du Maroc, forte de 30 000 hommes aguerris, véritable fer de lance  du complot. La mort du général Sanjurjo, chef historique des monarchistes, et les échecs des généraux Goded à Barcelone et Fanjul à Madrid propulsent Franco sur le devant de la scène.

Le pronunciamiento échoue par manque d’adhésion des généraux : sur 21 généraux de division, seuls 4 se rallient au putsch. L’histoire de la guerre d’Espagne aurait pu s’arrêter là !

Mais les milices  d’extrême-gauche, qui voient l’opportunité de prendre le pouvoir, entrent en scène de façon sanglante. Le conflit se transforme alors en une guerre civile. Franco (re)devient alors le redoutable chef de guerre qu’il était au Maroc ; cette guerre, il va la gagner !

La guerre se termine le 1er avril 1939, après la bataille de l’Èbre (de juillet à octobre 1938), qui sonne le glas des républicains, et la conquête de la Catalogne (février 1939). Franco se retrouve seul maître de l’Espagne et il en devient officiellement  le chef de l’État.

Ensuite, l’Europe s’enflamme et Franco évite une nouvelle saignée à son peuple.

Dans un de mes livres (5) j’écrivais :

« ….Franco aurait bien envie d’entrer dans la guerre, mais il est conscient que son peuple n’en peut plus. Il rencontre  Adolf Hitler à  Hendaye  le 23 octobre 1940. La légende raconte qu’il fit exprès d’arriver en retard pour impressionner  le  Führer.

Étrange confrontation entre Hitler et Franco, qui n’est plus l’officier svelte, au visage recuit par le soleil d’Afrique. C’est un petit homme rondouillard, mais qui sait, parfaitement ce qu’il veut. Il pose des conditions inacceptables: outre l’ensemble du Maroc et Gibraltar, il revendique l’Oranie et les territoires d’Afrique Occidentale… Et il ajoute à sa demande un engagement écrit et des livraisons conséquentes de blé, d’armement, de pétrole …Franco a de l’affection et de l’admiration pour le vainqueur de Verdun, qui fut ambassadeur de France en Espagne en 1939…En fait, il ne joue pas un double mais un triple jeu, puisque, durant toute la guerre, il va négocier avec les Américains la libération des évadés de France internés au camp de Miranda-de-Ebro en échange de sacs de blé…

Il amènera Salazar  à ses vues et le Portugal, comme l’Espagne, restera un pays neutre… »

Que se serait-il passé si les troupes franquistes étaient entrées en guerre aux côtés de l’Allemagne ? La deuxième guerre mondiale a fait 49 millions de morts. Rendons justice à Franco et Salazar de ne pas avoir contribué à alourdir la facture! Et ce, d’autant que les troupes de Franco avaient, incontestablement, une  autre valeur guerrière que celles de Benito Mussolini…

Enfin, il est un épisode de la vie du général Franco qui mérite d’être raconté car il concerne des Français (d’Algérie). Rien que pour cette courageuse intervention, nous, Français, devrions nous  interdire  de critiquer trop sévèrement le Caudillo : Oran, deuxième ville d’Algérie, était habitée par une importante colonie de « Pieds noirs » d’origine espagnole. Au lendemain des Accords d’Evian, le 19 mars 1962, Oran a connu une vague de violences (et d’enlèvements) qui n’était, hélas, qu’un avant-goût des massacres du 5 juillet suivant ; massacres dont je parle dans deux de mes livres(6). Les 29 et 30 juin 1962, devant les menaces de tueries, le général Franco vint au secours des Oranais en affrétant deux bateaux, le «Victoria »  et le « Virgen de Africa ».

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Pour pouvoir accoster à Oran, il fallut parlementer avec les autorités françaises réticentes. Franco choisit  de donner à la France un ultimatum, frisant l’incident diplomatique.

Le 30 juin, à 10h du matin, malgré l’opposition de De Gaulle, le général Franco donna l’ordre à ses capitaines d’embarquer  les pauvres gens qui attendaient depuis des jours, sous un soleil de plomb  et sans la moindre assistance, un embarquement salvateur. Franco avertit De Gaulle qu’il était prêt, si besoin, à un affrontement militaire pour sauver ces pauvres « Pieds noirs » livrés, sans défense, à la barbarie du FLN. Puis il ordonna à son aviation et sa marine de guerre de faire route vers Oran. De Gaulle céda et le samedi 30 juin, à 13 h, les deux navires espagnols accostaient et embarquaient 2200 passagers dépourvus de tout.  Lors de l’embarquement, les capitaines espagnols s’opposèrent à l’intrusion d’une compagnie de CRS sur leur bateau (pourtant propriété de l’Espagne) dans le but de lister tous les passagers et d’arrêter  si possible des membres de l’OAS.

Finalement à 15h30, les quais d’Oran se vidèrent et les bateaux  espagnols, en surcharge, prirent la mer à destination du port d’Alicante. A l’approche de la côte espagnole, une liesse générale s’empara des rapatriés qui crièrent « Viva Espagna ! » et « Viva Franco ! ». A la suite de cet épisode, de nombreux « Pieds noirs » choisiront de rester en Espagne : on peut les comprendre ! 

En 1975, année de la mort du « Caudillo », les partis de gauche applaudissaient la fin d’une dictature infâme, et les mêmes salopards applaudissaient aussi la « libération » du Vietnam et du Cambodge. Puis, quelques années plus tard, pleurnichaient sur les « Boat people ».

 Alors, disons – ce sera ma conclusion – que j’en ai marre de la  sensibilité et de l’humanisme à géométrie variable, et que je n’ai surtout pas de leçons de morale à recevoir de gens qui cautionnent et parfois même portent aux nues des assassins et des criminels.

Sous Franco, je me souviens de ces bourgeois de gauche – ancêtres des « Bobos » actuels – qui passaient  leurs vacances en Espagne et, à leur retour, nous décrivaient avec des trémolos l’enfer franquiste et la souffrance d’un peuple martyr. A l’époque, je leur demandais pourquoi ils n’allaient pas en vacances dans l’un des pays paradisiaques soumis à la botte soviétique au sein du Pacte de Varsovie ? Moi j’ai connu l’Espagne sous Franco, et j’ai aimé ce pays…    

Éric de Verdelhan

28 avril 2023

1)-  Historien britannique très hostile au Franquisme.

2)- Les restes de 33.833 personnes pour être précis.

1)- « Mythes et Légendes du Maquis » : Editions Muller ; 2018.

3)- « La nuit, le jour et toutes les autres nuits » de Michel Audiard; Denoël; 1978.

4)-  Francs-Tireurs-Partisans, majoritairement communistes.

5)- « Un homme libre… » : Le Réac ; 2013.

6)- « Oran le 5 juillet 1962 (et quelques autres massacres oubliés) » : Edilivre ; 2017, et « Hommage à NOTRE Algérie française » : Dualpha ; 2020.

4 Commentaires

  1. Merci, monsieur de Verdelhan, pour les pieds-noirs… qui n’oublieront jamais – et pour ma part de sang espagnol…

  2. Le narratif du grand MICHEL AUDIARD sur l’assassinat de MYRETTE – jeune prostituée, par les « héroïques » FFI me rappelle celui de Mr. RENAULT, grand patron de Boulogne-Billancourt par les  » FTP » au sein de la prison de la SANTÉ… C’est d’ailleurs ce qui permit au GRAND CHARLES de nationaliser ses usines de l’industrie automobile.
    Quant à ARLETTY, qui aurait été capable de ridiculiser au cours d’un débat notre Ministre de la Justice actuel – car à l’époque les célébrités se devaient d’être hommes et femmes d’Esprit – lorsque les juges l’interrogèrent sur sa liaison amoureuse avec un officier de la Wermacht, elle fit rire la Salle d’ Audiance en répondant : « Mais Mr. le Président, si mon Cœur est à la FRANCE, mon C.. est à TOUT LE MONDE !
    Le Cinéma était encore en « Noir et Blanc » mais portait haut ses couleurs !

    • Et la même Arletty, face à ses juges qui lui reprochaient d’avoir, disons, « fréquenté » des soldats allemands, a répondu avec aplomb et humour : « fallait pas les laisser entrer » !

  3. Merci du fond du cœur, cher Monsieur Eric de Verdelhan pour ce réglage de haute précision des pendules du Palais de Jean-Foutres d’une République moribonde qui sert de loukoum aux complotistes insurrectionnels et conquérants de l’Islam, soutenus objectivement par cette gauche française issue des Loges Maçonniques anti-chrétiennes…
    En ce 28 avril 2023, j’ai bien rigolé en entendant les commentaires de crétins qui fustigeaient le « sacro-saint Picasso » qui maltraitait « ses compagnes » et autres , allant jusqu’à leur faire subir des brûlures de cigarettes… Car après tout….n’était il pas ensuite en mesure de les soigner avec sa célèbre pommade anti-contusions : « Guernica », fruit de son génie d’homme de gauche, qui avait compris avant tout le monde qu’il suffisait de peindre n’importe quoi, n’importe comment pourvu que les banques et établissements fiduciaires investissent et soutiennent aux seins des Ventes aux Enchères un artiste, tenant d’un culot indécent en matière picturale afin de devenir milliardaire , au sein d’un monde économique libéral et manipulateur grâce à la complicité des médias, comme nous les nommons aujourd’hui …
    Et si certains pensent que je suis hors-sujet ….Que nenni, ma mie !

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