LA COLÈRE DE RACHID MERLUCHON (Cédric de Valfrancisque)

(A la manière de Pierre Corneille. Qu’il ne m’en veuille pas trop de massacrer son texte pour parler d’un individu qui déteste la culture française…)

(Le décor : Un bureau austère ; au mur, les photos de Fidel Castro et de « Che » Guevara.   

En veste à col Mao, Rachid Merluchon, président-dictateur d’un parti plus à gauche que la gauche, « les Zinzins Soumis », fulmine en écoutant les informations. Une de ses groupies, Mathilde Pavot, n’est pas tombée dans le piège grossier d’un intervieweur : elle a refusé de qualifier le Hamas de mouvement terroriste. Or Rachid Merluchon, qui est cultivé, connait l’adage palestinien qui dit que « Pierre (de l’intifada) qui roule n’Hamas pas mousse ». Il est sur la même ligne que son amie, la négresse Danièle Ododo, qui pense que les terroristes du Hamas sont des résistants. D’ailleurs, sous l’Occupation, les fridolins ne qualifiaient-ils pas les maquisards de terroristes ?
Merluchon en veut aux Blancs ; il rêve de « créoliser » son pays et compte, pour ce faire, sur le vote des allogènes qu’il caresse dans le sens du poil (crépu) et auxquels il lèche les babouches…)   

Ô rage ! Ô désespoir ! Ô le foutu pays,
Peuplé par des fachos, des cons, des abrutis.
Mes talents de tribun, mes discours, mes délires,
N’étaient pas suffisant  pour me faire élire.
Ce triste populo, ramassis de poltrons
A encore préféré réélire le Macron.

Pourtant ma grande gueule, mon goût pour les extrêmes,
Me prédisposaient bien à la fonction suprême.
Or ma popularité aujourd’hui se ramasse,
Parce que mes affidés soutiennent le Hamas.
Est-ce  ma faute après tout si les Palestiniens
S’autorisent à tuer ces putains de youpins ?

J’ai fait ce qu’il fallait pour qu’on vote pour moi,
J’ai, dans tous mes discours, critiqué les Gaulois,
Je me suis prostitué devant les allogènes ;
Je les ai flagornés, et attisé les haines.
J’ai léché les babouches des disciples d’Allah,
J’ai aussi défendu le port de l’Abaya.

Quand je parle des Blancs, ces cons de Franchouillards,
Je les traite de tout, de veaux, de pétochards,
Et il se trouve pourtant  tout un tas de gauchistes,
Qui  soutiennent encore le Hamas « terroriste ».
Je n’emploie pas ce mot qui met dans l’embarras
La plus grande partie de mon électorat.

Être chef d’un parti, et je sais qu’on m’envie,
Devait me préserver de bien des avanies.
Je me voyais calife à la place du Macron
Je ne supporte plus ce petit avorton.
Voilà que brusquement, tout foire autour de moi,
Le peuple me déteste ; on dit du mal de moi.

Maintenant  des vicieux, d’immondes chats fourrés,
Accusent ma chérie de s’être un peu sucrée.
Or elle a bien géré mes comptes de campagne,
Ne se contentant  pas d’être aussi ma compagne.
Sans doute elle a un peu grossi quelques factures,
Tapant allégrement le pot de confiture…

Mais pour moi ces attaques, ça ne peut plus durer :
Ceux qui furent mes alliés veulent leur liberté,
Qu’ils soient des « Khmers verts », des traitres écolos,
Des gauchistes  déçus ou bien des socialos,
Ces gens me doivent tout, aussi je les conchie,
Quand je gouvernerai, gare à leurs abattis !

Moi je veux gouverner, comme Hugo Chavez,
Et n’entend pas rester le cul entre deux chaises.
Quand j’aurai le pouvoir, car un jour je l’aurai,
Je ferai fusiller, pendre ou guillotiner,
Tous les salopards qui ne pensent pas comme moi.
Ca créera, j’en suis sûr un véritable émoi :

Les Français auront peur, et moi je serai fier
D’être un digne héritier de ce grand Robespierre.
J’imagine en riant la tête des « sans dents »
Qui vivront demain en pays musulman.
Peut-être ces abrutis, ce ramassis de cons,
En viendront, je l’espère, à regretter Macron.

Et que finalement, à bien y réfléchir,
Un régime islamiste peut être cent fois pire.
Et ils pourront bramer, regretter l’ancien temps,
Ils seront les « Dhimmis » d’un État musulman.
Mais  moi, de mon côté, je n’ai pas d’états d’âme :
J’ai choisi mon camp, c’est celui de l’Islam.    

(Il  décroche le téléphone et apprend qu’il est désavoué par Alexis Corbillard, son ancien bras droit, et Raclette Caribou sa compagne…
Il est rare que les associations de malfaiteurs ne finissent pas en règlement de compte…)

Cédric de Valfrancisque

18/10/2023

 

10 Commentaires

  1. Un tel fou au pouvoir nous mènerait directement à la guerre, avec lui la racaille d’élus qui sont de son côté.

    J’aimerai tant apprendre qu’un bon fusil fasse de cette abrutit une cible idéale.

    je dois rêver mais je garde espoir.

  2. C’est un tour de force que de nous faire rire en évoquant ce sinistre personnage. Même Corbières le désavoue sur ce coup-là. Jean FERRAT (Sacré Félicien) aurait dit de lui :  » …Te casses pas la tête / Celui-là est si bête / D’après ce qu’on raconte / Que même ses collègues / Qui ne sont pas des aigles / On pu s’en rendre compte…

  3. J’aime beaucoup vos analyses
    Sauf que pour Israël vous manquez d’objectivité car sans Israël la France et l’Occident sont mortes
    Isarël est le SEUL pays au monde à respecter les civils.

    N’écoutez pas les médias bidons

    • Votre discours est incompréhensible. Pourriez-vous l’éclaircir?
      Il semble qu’il me manque quelques lumières…!

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