J’EN AI MARRE ! (Éric de Verdelhan)

« Vouloir est une habitude

Qu’on prolonge tant qu’on peut ;

Je ne suis que lassitude,

Mon vouloir plus rien ne veut… »

(Henri-Frédéric Amiel).

L’année 2023 tire à sa fin, le temps est triste et déprimant, comme l’est notre pays.

Je n’aime plus cette période de l’année. La nativité chrétienne – notre Noël d’antan – a été remplacée par une folie mercantile, une cohue dans des magasins bondés, une foire aux cadeaux toujours plus chers pour satisfaire des enfants trop gâtés ; les prémices d’interminables repas trop copieux, de mousseux tiédasse, de dinde farcie, de foie gras, de chocolats ou de marrons glacés.

Ça commence avec le « black Friday » (en français dans le texte). Les médias radiophoniques ou télévisuels nous inondent de pubs racoleuses (et souvent vulgaires) pour des parfums de luxe, des jouets sophistiqués, des Smartphones, des ustensiles divers et variés, des consoles de jeux et autres gadgets, la plupart du temps totalement inutiles, et qui, quand les festivités seront enfin terminées, finiront sur le « Bon Coin », dans une brocante ou dans les tréfonds d’un grenier.

Gabegie de pays trop riche ? Étalage de matérialisme athée ? Indécente orgie dispendieuse ?

Je ne sais comment qualifier cette illustration de la société de consommation (« sommation » étant juste là pour l’ornement !), d’une société sans âme, d’un monde égoïste, égocentrique et narcissique.

                Autrefois, la féérie de Noël c’était aussi les illuminations dans les rues commerçantes de nos bourgades. Mais les maires écolos – ou autres édiles « collabos » – ont décidé de tout éteindre pour sauver la planète ; nos cœurs de villes sont devenus des coupe-gorges noirs et lugubres…

Et puis, comme chaque année, les laïcards fanatiques de la « Libre pensée » font la chasse aux crèches de Noël dans l’espace public. La plupart des communes ont capitulé devant ces ennemis de nos racines chrétiennes que la vue d’une statue de la Vierge ou d’un calvaire insupporte (mais pas l’implantation de mosquées, les prières de rue ou le port de l’« Abaya » à l’école).   

                Après les fêtes, Dupont-Lajoie recommencera à gémir que son pouvoir d’achat est en berne, qu’il ne s’en sort plus, qu’il faut augmenter son salaire ; et des politiciens démagogues – tous bords confondus – lui promettront la lune sans oser lui dire qu’en refusant de bosser plus de 35 heures par semaine, ou en laissant faire les « métiers en tension » par des immigrés clandestins qu’on s’apprête à régulariser, il fait son mal lui-même. Dans un premier temps, il « se tire une balle dans le pied » selon l’expression consacrée, mais la plaie occasionnée par la balle est en train de virer en gangrène.

                En 1984, un énarque centriste nommé Bernard Stasi – comme la police politique de l’ex RDA – osait écrire que l’Immigration était « une chance pour la France » (1). Presquehttps://conseildansesperanceduroi.files.wordpress.com/2015/09/yartistasi2cf7b-da234.jpg 40 ans plus tard, les gens découvrent que ce crétin n’avait pas tout à fait tort. Certes, l’immigration n’est pas une chance pour la France, mais c’est une bénédiction pour la « start-up nation », l’européisme forcené et la mondialisation heureuse. Le « grand remplacement » n’est plus un fantasme d’extrême-droite (2), c’est une réalité palpable. La mort du jeune Thomas à Crépol en est une illustration récente.

                Pourquoi ce long préambule, me direz-vous ? Juste pour vous dire mon ras-le-bol.

J’en ai marre de rabâcher   indéfiniment les mêmes choses depuis des décennies.

J’en ai marre d’être un oiseau de mauvais augure ; de jouer les Cassandre ; de mettre en garde des imbéciles ou des lâches qui refusent de voir que notre pays est au bord de l’implosion et préfèrent la politique de l’autruche ; la tête dans le sable et le cul à l’air, prêts à recevoir les derniers outrages.  « En France, disait Nicolas de Chamfort, on laisse en repos ceux qui mettent le feu, et on persécute ceux qui sonnent le tocsin ». J’en ai marre de sonner le tocsin, ça ne sert plus à rien !

Depuis un bon demi-siècle, le courant que je qualifie de « nationaliste » – Jean-Marie Le Pen, Roger Holeindre, François Brigneau, et tant d’autres moins connus – alerte notre pays sur l’invasion migratoire et le danger de l’islamisme radical. Si je choisis le qualificatif de « nationaliste » plutôt que « souverainiste », « conservateur » ou « patriote » c’est à dessein ; ce choix sémantique englobe les autres courants, et puis, intellectuellement, je préfère le « nationalisme chrétien » de Maurice Barrès au patriotisme cocardier et revanchard de Déroulède (3).

 Au moment de l’indépendance de l’Algérie – en 1962 – j’avais 12 ans et je sentais qu’il se passait quelque chose de grave pour notre pays. Deux ans plus tard, les propos sans ambigüité du « colonel » Houari Boumediene  annonçaient la couleur : « Après l’Algérie française viendra le temps de la France algérienne ; nous vaincrons ce pays par le ventre de nos femmes… ».

Nous étions prévenus et ce, d’autant plus que des accords scélérats de coopération avec nos anciennes colonies et/ou protectorats (surtout avec l’Algérie) facilitaient l’arrivée massive de gens, crevant de faim dans leur pays, qui venaient chercher le gite et le couvert chez l’ancien colonialiste honni. Le « Jus Solis » puis, en 1976, le « regroupement familial » ont transformé une immigration de travail en immigration de peuplement. Le patronat se frottait les mains et le bourgeois trouvait bien pratique de laisser venir ces gens qui faisaient « le travail que les Français ne veulent pas faire ».

La France se laissait envahir par veulerie, par paresse, ou par une honteuse repentance.

Le danger islamiste ne semblait pas inquiéter grand monde, et, quand je rappelais que, pour le seul mois de janvier 1957, la ville d’Alger – deuxième ville de France à l’époque – avait connu 112 attentats terroristes, on me rétorquait que je ne comprenais rien au « droit des peuples à disposer d’eux-mêmes », que les Algériens luttaient pour leur indépendance, qu’ils étaient des résistants. Je note au passage qu’on nous dit la même chose, aujourd’hui, des terroristes du Hamas.

J’en ai marre des lopes émasculés qui légitiment le terrorisme par peur de le dénoncer !

L’Algérie compte aujourd’hui 47 millions d’habitants, le Maroc 37 millions, la Tunisie presque 12 millions. Plus de la moitié des populations du Maghreb a moins de 25 ans et ces jeunes, pour la plupart d’entre eux, apprennent à détester la France dès leur enfance, mais c’est chez nous qu’ils viennent massivement, attirés par nos aides sociales aussi diverses que généreuses.  

En 1981, à l’arrivée au pouvoir de François Mitterrand, l’immigré afro-maghrébin est devenu une espèce protégée ; c’était l’époque de « SOS-Racisme » et de la « Marche des beurs ». L’ennemi, c’était nous. On nous accusait de tous les maux ; nous attisions les tensions entre communautés ; on nous traitait de « Souchiens » (ou « sous-chiens ») de fascistes, de racistes, d’islamophobes…

LarsB.Design - Illustration

Le gouvernement avait créé un « ministère du temps libre » confié à un syndicaliste franc-maçon, et du temps libre, les Français en ont eu beaucoup car le chômage est monté en flèche. Les socialistes ont ruiné notre industrie et ont ouvert en grand les portes de l’immigration.

Aujourd’hui, quand j’entends certains politicards ou certains journalistes, je me demande si ces gens-là sont amnésiques ou s’ils nous prennent pour des idiots. À les entendre, on a l’impression que les attentats imputables à l’Islam radical ont commencé en 2015, avec la tuerie de « Charlie-Hebdo ».  On a – volontairement sans doute ? – oublié l’époque ou l’Algérie exportait son terrorisme.

Le 11 juillet 1995, un certain Khaled Kelkal tuait l’imam Sahraoui, dans sa mosquée à Paris. Le 15 juillet 1995, il tirait sur des gendarmes à Bron. Le 25 juillet 1995, il était impliqué dans l’équipe qui posait une bombe sur ligne B du RER. L’attentat a fait 8 morts et 117 blessés. Le 17 août 1995, nouvel attentat, place de l’Étoile à Paris : 17 blessés. Le 26 août 1995, attentat raté contre la ligne TGV Paris-Lyon. Le 3 septembre 1995, une bombe bourrée de clous explosait sur le marché Richard Lenoir dans le 11ème arrondissement de Paris et faisait 4 blessés. Le 7 septembre 1995, une bombe placée dans une voiture garée en face d’une école juive de Villeurbanne faisait 14 blessés. Le 29 septembre 1995, enfin, Kelkal était localisé près de Lyon. Interpellé par les gendarmes de l’Escadron Parachutiste d’Intervention de la Gendarmerie Nationale, il était abattu. C’était un temps où les forces de l’ordre pouvaient encore utiliser leurs armes sans être systématiquement poursuivis et mis en détention provisoire. Dans un pays civilisé, la force devrait toujours rester à la loi.

J’en ai marre de l’amnésie collective, marre des gens qui refusent de voir les choses en face.   

A l’époque, il y a presque 30 ans, j’écrivais :

« Une partie de l’immigration est inassimilable car elle nous déteste et refuse notre culture. De notre côté, on nous invite à nous taire et à subir sous peine d’être poursuivis pour « incitation à la haine (raciale ou religieuse) ». Or si nous étions un pays digne, lucide, un pays tout simplement normal, nous arrêterions l’immigration incontrôlée car incontrôlable ; nous cesserions de fabriquer des « Français de papiers » qui s’arrogent tous les droits chez nous mais n’acceptent aucun des devoirs qu’on impose aux Français de souche.

 Personne, en effet, n’accepte de garder chez lui un invité qui vole l’argenterie, se mouche dans les rideaux, viole votre femme et joue à « touche pipi » avec le petit dernier … La « France qui pense » s’indigne. C’est la même qui pousse des cris d’orfraie quand un gamin se fait flinguer en pleine rue à la Kalachnikov.  Je vous fiche pourtant mon billet que le tireur ne s’appelle pas Durand ou Martin mais plutôt Moktar, Rachid ou Mamadou !  Et la présomption d’innocence me direz-vous ?  Si  9 à 10% d’immigrés représentent la grande majorité des occupants de nos prisons c’est que, comme disait un comique, « certains sont moins égaux  que d’autres »  devant la  délinquance … »

J’en ai marre des propos lénifiants des bien-pensants qui nous disent que la situation se dégrade « depuis une dizaine d’années ». Nous, nous dénonçons le danger depuis un demi-siècle.

Je ne crois pas utile de rappeler ici, en détail, les émeutes de 2005, les tueries de Mohamed Merah en 2012, « Charlie-Hebdo » en 2015, le Bataclan, Magnanville, le père Hamel, l’attentat de Nice, la mort du Lieutenant-colonel Beltrame en 2018, la décapitation de Samuel Paty en 2020, l’assassinat de Dominique Bernard le 23 octobre 2023, puis Crépol où un rezzou mené par des « jeunes Français » a occasionné la mort de Thomas. Cette liste est très édulcorée – la litanie des morts imputables à l’islamisme radical serait beaucoup trop longue ! –  et j’apprends qu’un Français « déséquilibré » (4) vient de tuer un touriste à Paris et de blesser deux autres personnes.

Notre pays subit 120 agressions à l’arme blanche par jour et ça ne semble pas émouvoir grand monde. J’en ai marre qu’on nous parle de récupération quand nous osons nous indigner. Tels les moutons de l’Aïd al-Fitr ( عيد الفطر) doit-on se laisser égorger(5) sans moufter ?

Qu’on me comprenne bien, et qu’on ne me fasse pas dire ce que je n’ai pas dit. Tous les musulmans ne sont pas des terroristes. Beaucoup sont parfaitement intégrés et respectent nos lois. Mais, sondage après sondage, nous apprenons que 70 à 75% des jeunes issus de l’immigration afro-maghrébine font passer la Charia avant les lois de la République. Cette jeunesse, qui vit dans la détestation des « Kouffars », est une bombe à retardement.  S’il est vrai que tous les musulmans ne sont pas des terroristes, en revanche, tous les terroristes (ou presque) sont des musulmans. 

C’est un simple constat et ce n’est pas être islamophobe que d’oser le dire.

Je connais bien le Maghreb ; Je ne compte plus mes nombreux voyages là-bas. Toute ma vie j’ai pris la défense de nos Harkis abandonnés ou maltraités par les pouvoirs, algérien ET français.

Je respecte les croyances des musulmans, je n’insulte pas leur religion. Je suis totalement opposé au blasphème ; étant moi-même croyant, j’accepte toutes les religions et je ne m’autorise pas à blesser quelqu’un dans sa foi. Je demande simplement un minimum de réciprocité.

De Bonaparte en Égypte à Lyautey au Maroc, nos grands conquérants ont respecté l’Islam, et ils l’ont combattu, parfois violement, mais sans se croire autorisés à l’humilier.  

J’en ai marre des abrutis qui croient stopper la montée de l’Islam en brûlant le Coran.

Ne nous trompons pas d’ennemis. Les vrais responsables de la déliquescence de la France sont ceux qui, pour favoriser leurs visées mondialistes, utilisent les musulmans – entres autres – comme troupe de manœuvre. Et nous, Français, nous assistons – amorphes, passifs ou complices – à une guerre que nous sommes en train de perdre : celle de l’Occident chrétien contre l’Islam.

Nous vivons la troisième manche de la « Reconquista ». Nous avions gagné la seconde quand, en 1492, les armées d’Isabelle de Castille – Isabelle la Catholique – et Ferdinand d’Aragon chassaient les Maures de Grenade : c’est le 2 janvier 1492 que les troupes d’Aragon et de Castille reprenaient Grenade au sultan Boabdil qui, selon les dires de sa propre mère, « abandonnait comme une femme une ville qu’il n’avait pas su défendre comme un homme ».

                 Les Occidentaux n’ont toujours pas compris que l’Islam est pugnace ; que c’est une religion à visées expansionnistes.  Ils ont oublié le message d’Abou Bakr al-Baghdadi, « Calife et successeur de Mahomet », fondateur de l’État islamique (الدولة الإسلامية) aussi appelé Daech, le 29 juin 2014, qui annonçait l’instauration d’un Califat et déclarait « nous reprendrons Grenade ». Ils n’ont pas voulu entendre Recep Tayyip Erdoğan quand il annonçait vouloir récréer, en 2024, le Califat ottoman aboli en 1924 par Mustafa Kemal Pacha, ditMustafa Kemal Atatürk — Wikipédia Ataturk. On peut, à juste titre, me rétorquer, que Daech et Erdogan n’ont aucun rapport : non, mais ils sont sunnites, un point c’est tout !

Les musulmans se battent depuis la nuit des temps. Fanatisés par l’Islam qui promet à ses martyrs, 72 houris (حورية,) au paradis d’Allah, ils font la guerre pour la gagner et ils ne craignent pas d’y risquer leur vie.  Ils mènent une guerre sainte, le Djihad (جهاد) pour que le « Dar al-Harb », le « domaine de la guerre » ( دار الحرب) devienne le « Dar al-Islam » ou « domaine de la soumission à Dieu » (دار الإسلام). Qu’on le veuille ou non, c’est plus « motivant » que le narcissisme égoïste et nombriliste des capitalistes ou le matérialisme athée des communistes.

J’en ai marre que notre pays brandisse en permanence la laïcité maçonnique et refuse de mettre en avant ses racines chrétiennes. Nos dirigeants – français ou européens – trompent le peuple pour en faire un troupeau de moutons, dociles et prêts à se faire tondre (ou égorger ?).

Pour eux, l’immigration massive est là pour remplacer une population vieillissante qui refuse de se soumettre à la doxa officielle, aux oukases bruxellois ou aux diktats mondialistes.

Ces imbéciles n’ont pas compris que les suppôts de Mahomet n’accepteront jamais d’autre loi que la Charia. La « Ripoux-blique » pourra toujours défendre ses concepts fumeux de laïcité et de « droits de l’homme (sans Dieu) », les musulmans n’en voudront pas.

Il n’y a que Macron pour croire à un « Islam des Lumières », mais y croit-il vraiment ?

Avec cette litanie répétitive d’émeutes, d’attentats, de tueries et d’égorgements au couteau, nous subissons « l’islam des cimeterres », alors, de grâce, ne nous voilons pas la face !

J’en ai marre de tous ces experts – souvent autoproclamés – de plateaux-télés qui ne veulent pas voir de corrélation entre délinquance et immigration. Ce n’est pas en mentant en permanence aux Français, en niant des évidences, en refusant les statistiques ethniques, en cachant les prénoms des tueurs, en désignant « Kevin » et « Mattéo », qu’on réglera nos problèmes d’insécurité.    

Si je laisse transpirer mon pessimisme, mon ras-le-bol, ma colère, ma lassitude, c’est que je crois de moins en moins à la capacité de réaction de notre pays.

Il est gangréné, vérolé, pourri, perverti, envahi, avachi, abruti…

                Mes amis vont encore se croire obligés de me faire la morale, de me dire que j’exagère, que j’ai une fâcheuse tendance à noircir le tableau, qu’il ne faut surtout pas « baisser les bras ». 

Et je leur répondrai, comme d’habitude, que je crains qu’on me demande un jour de les lever… pour me rendre.

Éric de Verdelhan

7 décembre 2023

1) « L’Immigration, une chance pour la France », de Bernard Stasi ; Robert Laffont ; 1984.

2 Pour être compris des gauches, de «l’extrême-centre» macroniste, et de la «droite-cachemire» je devrais parler d’«ultra-droite», il parait que c’est pire !

3) Même si Barrès a été adhérent de la « Ligue des patriotes » de Paul Déroulède.

4) Un Français né à Neuilly-sur-Seine, bien connu des services de police et d’origine iranienne.

5) Pardon : j’aurais dû écrire « blesser au cou ».        

 

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9 Commentaires

  1. S’ils crevaient la faim en Algérie, c’est qu’ils ont été incapables de cultiver et d’entretenir ce pays qu’on leur avait dégrossi et préparé pour devenir un État prospère. C’est beaucoup mieux pour eux de gémir sans cesse, d’accuser la France qui leur a pourtant servi le meilleur et de palper des alloc et autres et pouvoir nous « ch… » des momes » futurs délinquants en puissance qui crachent dans la main qui les nourrit. Alors oui, Eric, nous aussi; personne de même génération, nous avons subi la bascule culturelle et démographie issue de cette fange conquérante et indigne, nous en avons assez de voir passer des chefs d’Etat sans honneur depuis GDG. Mais QUI va nous enlever la vermine de l’Elysée avec le panel d’ignares inconséquents, vérolés et pervers…?

  2. Nous aussi nous en avons marre, on arrête le son et on en profite pour faire un brin de causette, et ce pour toutes les publicités, sauf 3 qui sont trop sympas et que je ne pourais d’ailleurs même vous citer la marque du produit ….. sauf une très ancienne avec un enfant : « Kangou » …..

  3. Merci la classe.Cela fait du bien de vous lire .je vous ai probablement rencontré à l’ETAP en 65. C’est si loin et la France est tombée si bas
    A+ du n° 234615

  4. J’ai votre age , vécu les évenements d’algérie notamment le retour en france….. seuls .Nos parents etant partis un an plus tard .Trop de français n’ont toujours pas compris que les peuples Arabes sont des peuples conquérants qui maintenant nous regardent de haut et nous méprisent.J’y mettrai le liban en exception car deja c’est un peuple que j’aime.Quand on regarde les gens en face ,rien n’échappe.Parfois drerrière une amabilité souriante se cache l’esprit de domination ,et derrière un regard agressif ,un esprit vengeur. Les ecolos n’aiment pas la lumière :Ils empruntent les chemins avec des oeillères comme un hidalgo borné.On vit actuellement des moments tres difficiles et peut être décisifs.Aucun n’est capable en dehors de la demarche écopaslogique,Mondialiste ,internationaliste et probablement maçonnique ,d’apporter des decisions draconiennes simples et efficaces.Bien sûr ils ont peur de la riposte violente.Evidemment tout est possible mais s’ils ont peur de la riposte violente ,pourquoi deja ne s’y préparent ils pas de différentes façons.? Mais ils font tout le contraire.

  5. En effet le pessimisme de la majorité silencieuse se repend, pour autant avons nous le droit de baisser les bars ? La flamme de la Résistance française ne doit pas s ‘éteindre et ne s’éteindra pas disait quelqu’un devenu célèbre !. Bien sûr ce sera difficile car nous sommes trahis par nos élites et la majorité silencieuse en a conscience. Mais comme à chaque fois, tout à coup, un évènement, peut être apparemment anodin , surgira et tout s’enflammera !. Reste à savoir lequel et quand, mais il surviendra. Alors, quelques soient les bons sentiments de chacun la colère s’exprimera et les traitres et ennemis de notre pays seront balayés. Peut-être même que l’évènement se produira en Europe et alors le continent lui même s’enflammera !. Il faut garder confiance, notre pays a survécu à bien des vicissitudes !Il survivra encore une fois !Hauts les cœurs et vive la France !

  6. Je partage le découragement de « Jesu » . Au point même que j’en suis rendu à commencer de me détacher des débats politiques qui se déroulent entre autres, sur le plateau de C.News, par crainte de finir par prendre en grippe non seulement ceux qui ne sont pas de notre bord politique mais aussi ceux qui en font partie, puisque je subodore que bien que sincères ils ne doivent pas cracher sur les émoluments que leurs prestations télévisuelles doivent leur rapporter, tout en entretenant leur notoriété. Bref, malgré mon amour de ma patrie je me ressens aussi minable qu’un supporter de football, qui exulte au score de la victoire de son club favori et de ses vedettes et  » Dieux du ballon rond » qui, eux, s’en mettent plein « les fouilles », grâce et certes à leur talent, mais aussi parce que quantité non négligeable de supporters paient leurs places de stades selon des prix faramineux au regard de leurs revenus de « prolos », voire d’assistés sociaux.
    Et du fait je peux, à un âge avancé, tout comptes faits penser : « Après moi, le déluge ! ». Que la misanthropie, bien que triste, semble parfois une sagesse…