« Notre simple existence…africanise, arabise, berbérise, créolise, islamise, noirise, la fille aînée de l’Eglise, jadis blanche et immaculée, aussi assurément que le sac et le ressac des flots polissent les blocs de granit aux prétentions d’éternité… »
(Houria Bouteldja, en 2021).
Il y a quelques temps, Jordan Bardella, soumis aux questions flicardes de la belle Apolline de Chiendent, se croyait obligé de lui servir le vieux poncif éculé qu’il pense être un gage d’honorabilité, de dédiabolisation, d’appartenance à « l’arc républicain », en déclarant :
« Être français ce n’est pas une question de couleur de peau ».
Personne ne dit le contraire même s’il faut bien admettre que, jusqu’à la moitié du XX° siècle, la population française était blanche à 95%. Mais notre décolonisation à la hussarde a amené chez nous des populations qui, après les liesses de l’indépendance, se sont empressées de venir massivement toucher les aides et allocations diverses généreusement offertes par l’ancien colonisateur honni plutôt que de crever de faim dans leur bled ou leur douar. Le Jus Solis et le regroupement familial du triste tandem Giscard-Chirac ont fait le reste. Nous demeurons encore – mais pour combien de temps ? – un pays majoritairement blanc. Il serait bon, ou tout simplement NORMAL, juste, équitable, que nos politiciens, nos médias, nos publicitaires en tiennent compte.
Un ami m’a envoyé récemment une vidéo dans laquelle une kyrielle de marques – françaises ou étrangères – ont remplacé le couple blanc par un couple mixte : un Noir et une Blanche. Chez nous, le wokisme avance à grands pas, et il ne se donne même pas la peine d’avancer masqué. Or, sans la moindre once de racisme, je ne vois pas ce qui justifie que des gens qui représentent moins de 10% de la population (1) occupent TOUT l’espace médiatique. Dans les publicités, nous subissons une overdose d’allogènes, noirs ou maghrébins. Le « Franchouillard » est très majoritaire dans notre pays, mais dans les pubs à la télé ou dans la presse, le « mâle blanc » est progressivement remplacé. Loin de refléter la diversité, ce « grand remplacement » est le signe d’une africanisation de notre environnement visuel. Finie la publicité en noir et blanc, vive la publicité en noir sans blanc !
Seule concession à la réalité française vue par les gens qui fabriquent l’opinion : les couples mixtes où la femme est blanche – souvent une blonde – et l’homme est noir. L’inverse est plus rare car, pour les décolonialistes, ce schéma marque « la soumission de la femme racisée aux désirs du mâle blanc ». C’est une illustration du « suprématisme blanc », c’est donc inadmissible, insupportable et intolérable. De plus, le « mâle blanc » doit payer au prix fort le passé colonialiste et esclavagiste de son pays. La repentance ne suffit plus, il doit s’effacer et disparaître au profit d’un nouveau peuple « créolisé » ; les spécialistes du marketing et les publicitaires l’ont bien compris.
Le phénomène ne touche pas quelques marques mais l’ensemble du secteur marchand, privé ou public : de l’EDF aux assurances en passant par les fringues, le luxe ou les bagnoles.
La tendance est donc à l’effacement du Blanc. Il a quasiment disparu de la publicité. Même phénomène, mais moins marqué, dans le cinéma et les téléfilms : On fait jouer le Docteur Knock ou Arsène Lupin, le gentleman-cambrioleur, par Omar Sy, le banlieusard-baratineur. On voit maintenant des chevaliers médiévaux noirs, des mousquetaires noirs, une Cléopâtre noire…
Souvenez-vous d’Assa Traoré postant sur « Face de Bouc » un portrait d’elle, le poing levé, escarpins Louboutin aux pieds. Elle écrivait :
« Je vous remercie chaleureusement de l’honneur que vous me faites en m’associant à votre campagne pour l’égalité et la justice pour tous, en y engageant votre prestigieuse marque Louboutin.».
L’histoire ne dit pas si le prolo, gagnant péniblement le SMIC, apprécie de voir cette pétroleuse chaussée de godasses à 900 euros la paire ?
Dans la foulée, la chanteuse Yseult (2), devenait l’égérie de l’Oréal Paris et déclarait :
« Je suis très fière de pouvoir partager un message d’inclusion et d’acceptation de soi grâce à L’Oréal… Être porte-parole de L’Oréal Paris me donne l’impression que les frontières de la beauté sont levées. Cela signifie que ma voix a de l’importance, que les voix de toutes les femmes ont de l’importance… Croyez en vous, n’abandonnez jamais et faites confiance à vos sœurs. »
Et un hebdo pour shampouineuses nous expliquait qu’Yseult dénonce le racisme, la discrimination, la grossophobie, la suprématie du mâle et… toute autre forme d’injustice : ouf !!!!
Pour ma part, j’en ai marre de voir mon pays se « nègrifier ». Je suis bien conscient que le sujet que j’aborde est ô combien sulfureux, aussi, comme je n’ai pas envie de rendre des comptes à la 17° Chambre correctionnelle, je vais m’entourer de quelques précautions sémantiques. En France « le racisme n’est pas une opinion, c’est un délit ! », on nous le serine tous les jours, matin, midi et soir. Notre pays, depuis les Lois Pleven, Gayssot, Taubira et consorts, est devenu, petit à petit, totalement liberticide. Il nous est interdit d’avoir un avis défavorable (et même un jugement un peu sévère) à l’égard des « minorités », qu’elles soient raciales, religieuses ou sexuelles. On peut encore brocarder les catholiques, les blondes, les « mâles blancs », le reste nous est interdit, ce qui ne nous empêche pas d’être le pays qui prétend donner des leçons de démocratie au monde entier.
D’aucuns vont m’accuser d’être excessif, d’autres rajouteront que, comme disait Charles de Talleyrand-Périgord, « Ce qui est excessif est insignifiant ». Non, je suis tout simplement… lucide !
Pour avoir une petite idée de la répression de notre liberté d’expression, je vous invite à lire la loi du 1er juillet 1972 relative à la lutte contre le racisme. Dans le Code pénal, les articles 225-1 à 225-4 composent la section sur les discriminations. L’article 225-1 en donne la définition ; l’article 225-2 précise les fortes peines encourues ; l’article 225-3-1 reconnaît le « testing » ; et l’article 225-4 précise les peines encourues par les personnes morales. Les articles du Code pénal ont été ajoutés (ou modifiés) par différentes lois (loi n°2001-1066 du 16 novembre 2001, loi n°2004-1486 du 30 décembre 2004, loi n°2011-334 du 29 mars 2011). Dans le Code du travail, les articles L1131-1 à L1134-5 traitent des discriminations. Comme si cela ne suffisait pas, la loi n° 2008-496 (du 27 mai 2008) porte des dispositions d’adaptation au droit communautaire européen. Si vous n’avez pas le courage de lire tout ça, ce que je peux aisément comprendre, qu’il vous suffise de savoir que la loi reconnaît… 26 critères de discriminations, excusez du peu ! Peut-on encore parler de liberté ?
Donc, soyons clair, il n’y a pas dans mon propos la moindre trace de racisme, du moins au sens où l’entendent les ayatollahs du « vivre ensemble » (3). Depuis ma prime jeunesse, aussi loin que je remonte, je n’ai pas le souvenir d’avoir fait le moindre mal à un Arabe, à un Noir, à un Juif. Pas plus, d’ailleurs, qu’à un Asiatique, communauté que j’allais oublier tant elle sait se faire discrète. Notre ancienne Indochine aurait pourtant, elle aussi, quelques raisons de nous en vouloir.
« Des goûts et des couleurs, on ne discute pas ! », dit-on. Pourtant si, parlons-en car j’en ai ras-le-bol de voir les politiciens, les journalistes, les publicitaires, etc…mettre un genou à terre – physiquement ou moralement – devant quelques associations d’anciens colonisés qui se prétendent ostracisées ou discriminées. Ces pauvres gens venus d’Afrique doivent être sacrément masochistes pour continuer à venir massivement dans un pays aussi raciste que le nôtre !
À la remorque des USA, nous subissons chez nous une surenchère permanente à la veulerie compassionnelle et à la repentance devant des gens qui crient leur haine du « mâle blanc ».
Mais pour les hommes de pub et le secteur marchand c’est un segment porteur, une cible prometteuse, un marché d’avenir (ce en quoi ils n’ont pas tort !). Est-ce une raison pour mépriser la population ancienne de notre pays ? Non, mais après tout, nous ne sommes pas obligés de SUBIR.
Il existe une arme de résistance qu’il faudrait utiliser massivement : le Boycott. Il ne faut pas cependant se limiter à ne plus acheter les produits dont la publicité nous blesse ou nous agresse. Il faut impérativement faire savoir à ceux qui les fabriquent ou les vendent pourquoi on les boycotte ?
Un ami a résilié un compte auprès d’un organisme dont la pub montrait – à une heure de grande écoute ! – deux femmes, une Noire et une Blanche, qui s’embrassaient goulûment sur la bouche. Contacté par un cadrillon du dit organisme, il lui a dit :
« Ce n’est pas être homophobe que d’expliquer à ses enfants que, depuis la nuit des temps, le couple est composé d’un homme et d’une femme, ne serait-ce que pour la reproduction de l’espèce… ».
C’est clair, net et précis !
De mon côté, quand je suis relancé par un site marchand que j’ai abandonné en raison de sa pub provocatrice, je réponds presque invariablement : « Après avoir abandonné la ménagère de plus de cinquante ans, vous semblez vous désintéresser du « mâle blanc » (qui accessoirement était son mari). Or je suis l’archétype de ce client dont vous ne voulez plus : je suis blanc, hétérosexuel et je vote à droite. Puisque vous méprisez les gens comme moi, vous vous passerez aussi de mon argent. »
On peut me rétorquer, à juste titre, qu’on ne peut pas tout boycotter, d’autant plus que certaines marques ont un quasi monopôle sur leurs produits. C’est vrai ! Ne soyons pas ennemis de nos propres intérêts. Je ne suis pas naïf or, même « Cnews », qui est quasiment la seule chaîne de télé que je regarde encore, nous impose des publicités qui me font bondir. Les chaînes vivent de la publicité et elles ne peuvent pas se permettre de faire le tri ou la fine bouche, d’autant plus que la suprématie de l’allogène s’est généralisée dans le monde, totalement amoral, de la pub…
Mais nous sommes un pays de 68 millions d’habitants et je le dis que si un cinquième de la population se mettait à boycotter les marques qui veulent effacer le « mâle blanc » nous pourrions changer les choses. Il n’y a qu’en tapant les marques là où ça fait mal, au porte-monnaie, qu’on pourrait inverser le vent de l’histoire. 13 millions de consommateurs, de clients mécontents, de gens qui n’achèteraient plus, ça ferait du bruit dans le Landerneau ! L’économie en souffrirait, c’est certain, mais après tout, selon la formule dont j’ai oublié l’auteur, « Le marketing est l’art de faire acheter à des gens qui n’ont pas les moyens, des produits dont ils n’ont pas besoin. »
Une telle mesure serait donc aussi une bonne chose pour la pouvoir d’achat des Français.
Sinon, un de ces jours, on finira par remplacer le buste de Marianne, en plâtre blanc, qui trône dans nos mairies, par celui d’Assa Traoré ou d’une autre passionaria noire.
Ne croyez pas que j’ai fumé la moquette car le premier buste d’un Marianne noire date de 1848, année de l’abolition de l’esclavage. C’est un buste imposant, 90 kg et près de 1,20 mètre de haut. Cette Marianne noire a été baptisée « Liberté ». L’original est exposé à Toulouse, au « Musée de la Résistance et de la Déportation ». Une copie est destinée au Musée Victor-Schœlcher à Pointe-à-Pitre, en Guadeloupe, qui abrite les collections de cet illustre Franc-maçon, auteur du décret d’abolition de l’esclavage du 27 avril 1848. Une autre reproduction a été inaugurée au Musée de la Franc-maçonnerie du « Grand Orient de France », rue Cadet, dans le 9ème arrondissement de Paris.
Il suffira donc – « quoi qu’il en coûte » comme dirait Macron – de faire réaliser 36 000 copies, une pour chaque commune, trois points c’est tout !!!
Cette idée bizarre, mais assurément consensuelle, m’est venue au volant de ma voiture, en écoutant sur « Nostalgie » la chanson de Nino Ferrer « Je voudrais être un Noir ».
Eric de Verdelhan
25/11/2024
1) Il y aurait – sources officielles – 9% de Noirs en France et environ 8% de Musulmans.
2) Cette grosse chanteuse, choisie par Macron comme marraine de la Francophonie, est partie vivre en Belgique en prétextant que la France, qui la fait vivre, était un pays odieusement raciste.
3) Qui sont, en réalité, ceux du « grand remplacement ».
Soyez le premier à commenter