Qui veut de cette guerre Russo/Ukrainienne ?
On se le demande!
Souvenons-nous de cette période de l’histoire :
-En 1989 grâce à la bienveillance de Mikhaïl Gorbatchev c’était la chute du mur de Berlin.
-En 1995 nous assistions à un fou rire rassurant entre Bill Clinton et Boris Eltsine.
Pourquoi n’avons nous pas su, nous occidentaux, mais surtout Union Européenne, tendre la main à cette Russie apaisée ?
Qui est prêt à envoyer ses enfants à la guerre pour une cause qui n’est pas la nôtre ? Des enfants qui donneront leur vie pour une patrie qui ne sera plus gérée, comme dans les conflits précédents, par les femmes et les anciens, mais par nos « valeureux » narcotrafiquants et leurs armées de dealers qui profiteront de cette période pour nous façonner une république à leur convenance.
Contrairement à ce que certains voudraient nous faire croire, il n’y a pas de bonnes guerres.
Mais chaque guerre se termine bien souvent avec un accord de paix après que des milliers, des millions de jeunes aient sacrifié leur vie.
Nous en voyons aujourd’hui quelques prémices avec Volodymyr Zelensky qui réfléchit à une proposition de paix sous conditions avec les Russes. Qu’il ne réfléchisse pas trop longtemps, chaque jour ayant son lot de morts avec en « épée de Damoclès » une dérive nucléaire.
Le président de la république, rappelons-le, désavoué par la population aux dernières législatives, est toujours prêt, comme ce le fut répété par certains, à envoyer « des mecs »en Ukraine.
Pourquoi cette partialité vis-à-vis du conflit Russo/Ukrainien alors que nous refusons de fournir des armes au peuple Israélien pourtant continuellement agressé par le terrorisme international ? Vraisemblablement parce que celui-ci est aussi chez nous et que nous le craignons.
Nous devons aussi nous interroger sur le peu d’intérêt que porte notre Assemblée Nationale à ce conflit, laissant ainsi le champ libre à un président de la république en sursis.
Lui, comme Joe Biden qui autorise maintenant l’utilisation d’armes américaines sur le sol russe et envoie des mines anti-personnel normalement interdites par les conventions internationales, semblent, par leur sursaut guerrier, vouloir « savonner la planche de paix » envisagée par Donald Trump.
Patrick BECQUERELLE
01/12/2024
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En présence d’un fou, il n’y a pas de réponse possible même si ceux qui l’ont élu, ou se sont abstenus, sont des crétins un peu moins fous que lui.
Cette folie généralisée, une des conséquences issue de mai 68, qui génère aussi de la haine ne permet pas d’espérer la réaction salvatrice et populaire de révolte qui remettrait « les pendules à l’heure ».