LA CAGE AUX FOLLES (par Maurice D.)

Le cap des 5 000 femmes vendues dans le califat islamique vient d’être franchi.
Au Nigeria, ce n’est que le cap des 500, mais ils débutent dans le métier et Boko Haram n’a pas encore obtenu le label « d’utilité publique ».

Le califat publie maintenant des statistiques sur le marché de l’esclavage, ce qui est le propre, si l’on ose dire, de tout marché en plein développement. On apprend que la marchandise la moins demandée se vend à 25 $ ; la meilleure qualité, 6-16 ans, vierge et jolie, peut atteindre 500 $. « Il est légal d’avoir des relations avec une enfant pré-pubère« , rappelle l’affiche placardée au marché de Mossoul sur laquelle sont donnés les tarifs, et qui justifie religieusement l’achat : « Sourate 33 – verset 50 : « Ô Prophète ! Nous déclarons licites pour toi tes épouses que tu as dotées et les captives que Dieu t’a accordées au titre de butin de guerre… »

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Revente du butin de guerre. Les  femmes en cage du marché aux esclaves de Mossoul

Dans nos pays à liberté variable où LGBT et autres gays et lesbiennes peuvent impunément manifester, mais pas les associatiosn familiales, les associations féministes, si promptes à descendre dans la rue, se taisent. Leurs portes-parole toujours prêtes à déballer leur logorrhée antimasculine sur les ondes, à stigmatiser les femmes qui travaillent pour les agences de publicité, à déballer leur morale à deux sous, baissent la tête.

C’est normal, elles sont dans leur ensemble entrées dans une logique de commercialisation du corps de la femme que l’homosexuel Pierre Bergé a parfaitement résumée en disant « Nous ne pouvons pas faire de distinction dans les droits, que ce soit la PMA, la GPA ou l’adoption. Moi je suis pour toutes les libertés. Louer son ventre pour faire un enfant ou louer ses bras pour travailler à l’usine, quelle différence ? C’est faire un distinguo qui est choquant« .

On se serait attendu à ce que la ministre des Droits de la femme lui saute à la gorge, elle qui voulait interdire la prostitution, mais surtout taxer les clients. Pas un mot. Elle a remballé ses leçons de morale, compris que la défense de la femme n’est plus de mode depuis que l’islam affiche ouvertement que la femme est un objet de commerce, que c’est la racaille proxénète et celle des boites de nuit gays et lesbiennes qui dicte ses lois au Parlement de la République depuis que LGBT a libre accès à l’Elysée pour y être reçu sans tarder par le président de la République.

Et après tout, louer son vagin pour cinq minutes à un client de passage ou son utérus pour neuf mois à un autre client de passage, « quelle différence, c’est le distinguo qui est choquant » dès que l’on admet le commerce des femmes et de leurs corps comme un grand progrès sociétal.

Faire faire un bébé par une miséreuse dans un pays du tiers monde, l’acheter tout fait sur le marché de l’enfance en plein développement, « quelle différence ? » Je suis certain qu’à Bercy on réfléchit aux taxes à appliquer à ce nouveau commerce en plein boom, que des députés concoctent une règlementation sur les normes que le produit doit respecter et les conditions du retour du bébé au fournisseur en cas de non conformité de l’objet. Il faut fermer le ministère des droits de la femme et transférer les fonctionnaires qui y perdent leur temps au ministère du commerce et de l’artisanat où la création d’une Direction du commerce du sexe et de l’enfance s’impose.

Puisque dans ce domaine le socialisme a viré brutalement à l’ultra-libéralisme, il lui faut oser « toutes les libertés » comme le souhaite Pierre Bergé. Sans oublier de les encadrer comme il se doit, car sans encadrement, sans limites, sans barrières, sans chaînes et surtout sans taxes et sans amendes, il n’y a plus de fonctionnaires et donc plus de socialisme.

Ce raisonnement ayant été admis, si l’achat d’un bébé au nom du « droit à l’enfant », si la location d’un ventre, si l’exploitation de la mère porteuse deviennent la règle en France, en quoi l’achat d’une fillette pour son exploitation sexuelle serait-il reproché à l’acheteur musulman du marché de Mossoul ? « C’est faire le distinguo qui est choquant« .

Dans un État socialiste qui considère comme un progrès le commerce des corps et de la viande humaine, le commerce de la vie, le commerce de la femme, il faut structurer tout ça par la loi, peut-être même nationaliser pour éviter les dérapages capitalistes, créer des usines à bébés qui remplaceraient le petit artisanat actuel, des hypermarchés du porno LGBT.

Demandons à Madame Belkacem de légiférer, elle pourra montrer les compétences qu’elle n’a pas su utiliser pour défendre les droits des femmes, domaine où selon la nouvelle notation elle mérite l’appréciation NM (Non Maîtrisé) où NM remplace le zéro de la notation 0 à 20.

Dans cet esprit, le comportement socio-économique du califat islamiste représente la quintescence du progrès social. On comprend mieux la décision du tribunal administratif de Nantes interdisant la crèche du Conseil Général de Vendée aux cris de « Au secours, les Chouans reviennent !« .

Aux armes, citoyens, la République est en danger ! Une crèche, quelle horreur ! Le symbole de la famille universelle formée d’un père, d’une mère et de leur bébé. Un mauvais exemple à ne pas montrer aux enfants à qui l’on enseigne sournoisement dans les écoles les beautés de l’indifférenciation sexuelle et de la pédérastie, ce qui fait verser des larmes émues à Jack Lang, Frédéric Mitterrand et Pierre Bergé qui aimeraient bien en emmener quelques-uns fêter Noël à Marrakech avec de jeunes marocains pré-pubères.

Circonstance aggravante, la crèche montre une famille chrétienne, inadmissible dans un pays en voie d’islamisation galopante. Va-t-on bientôt faire la chasse aux chrétiens, introduire dès le CM2 des cours « égorgement et décapitation » comme l’on fait les moniteurs d’un centre aéré d’une commune de la banlieue parisienne, comme cela se fait dans les écoles musulmanes où les petits apprennent les gestes de l’égorgement sur des peluches ?

Tiens ! Voilà une idée pour le président qui aime tant faire le représentant de commerce dans ses déplacements internationaux : vendons des sabres Laguiole et des guillotines « made in France » aux pays musulmans. Montebourg est tout désigné pour prendre le dossier en mains, maintenant qu’il a appris les rudiments de l’économie dans une école de commerce. Le personnel est déjà formé, 1 200 nous a dit monsieur Cazeneuve. Trancher, ils savent, ils l’ont fait en Syrie, se sont entrainés sur des Chrétiens et sur les soldats de ce salopard laïque (et socialiste, mais il ne faut pas le dire) de Bachar el Assad. Juste les former en plus à vendre le produit « qualité France », pas comme les copies chinoises qui ne tarderont pas à surgir, et ne pas oublier la TVA surtout, Macron serait furieux.

Mais attention ! Il faut moderniser l’outil : lame en forme de croissant et en céramique, logiciel de gestion de la coupe par iPad ou au moins androïd, nettoyage automatique comme dans les machines à traire, couleur vert islam, dispositif de retournement des corps à la sortie avec dépôt automatique de la tête sur le ventre, livraison rapide dans un école pour l’apprentissage des petits.

Et puis le président, quand il ira avec Fabius faire une visite d’Etat au califat, pourrait suggérer d’y réintroduire le cannibalisme que pratiquaient, comme bien d’autres en ces temps reculés, « les anciens arabes » (Maurice Davies, La guerre dans les sociétés primitives). Des chefs, français évidemment, pourraient fournir des recettes et la viande est garantie halal.

Ça nous choque parce que nous sommes des réacs conservateurs, mais l’homosexuel cuisinier et progressiste Jean-Pierre Coffe l’avait déjà dit à Vivement dimanche, « on y vienda, c’est l’avenir« , et dans l’état de barbarie où est revenu l’islam moderne, ça devrait plaire à Mossoul. Surtout que les esclaves chrétiennes et yézidies payées au fouet sont là pour faire la cuisine entre deux séances de sodomie avec leur maître. Quoique, si elles doivent faire la cuisine, Caroline Fourest trouvera peut-être à redire à ce machisme ignoble.

Maurice D.

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