CHRISTIANE TAUBIRA : 44 MOIS D’ACHARNEMENT CONTRE LA FRANCE ! (par Marc Le Stahler)

Depuis quelques jours, la France ne parle plus que de la « démission » de Taubira, rejetée depuis longtemps par une forte majorité de Français, bien que dans l’idéologie dominante, il ne soit pas facile de critiquer une « femme de couleur » (politiquement correct oblige). On pardonne en effet beaucoup plus à un « non-blanc » qu’à un « souchien » ses erreurs, ses fautes et ses incompétences.
Cette sale manie – le comble du racisme puisqu’elle consiste à ne pas traiter les hommes sur le même pied d’égalité – porte même un nom aux Antilles et en Guyane : le « doudouisme ». Et les autochtones ne se privent pas de mépriser abondamment ceux qui le pratiquent !

Pour mieux comprendre le désastre que « l’icône de l’extrême gauche » laisse derrière elle, il suffit de comprendre les ressorts qui animent cette farouche ennemie de la « France Kolonial ». Tout ce qu’elle fit place Vendôme (et bien avant) fut guidé par la haine de la France, sous-tendu par un racisme congénital anti-blanc et une volonté délibérée de déstabiliser pour longtemps notre pays en le sapant à la base.

Avec un cynisme et un plaisir non feints, elle a fracturé pour longtemps la France sur le « mariage pour tous », projet en contradiction totale avec l’article 16 des fameux « Droits de l’Homme » dont elle ne manque pourtant jamais une occasion de se prévaloir, surtout quand ils peuvent l’aider dans son entreprise de démolition systématique.

Article 16 de la Déclaration des Droits de l’Homme…
1. A partir de l’âge nubile, l’homme et la femme, sans aucune restriction quant à la race, la nationalité ou la religion, ont le droit de se marier et de fonder une famille. Ils ont des droits égaux au regard du mariage, durant le mariage et lors de sa dissolution.
2. Le mariage ne peut être conclu qu’avec le libre et plein consentement des futurs époux.
3. La famille est l’élément naturel et fondamental de la société et a droit à la protection de la société et de l’État.


La liste des exactions de la Guyanaise est bien longue, et résonnera encore longtemps dans le coeur de la Nation et des plus jeunes esprits qu’elle aura sû embobiner dans sa pédante logorrhée enrobée de culture comme une tartine de confiture.

A peine nommée, elle s’empresse de réduire drastiquement le projet de construction de prisons légué par Sarkozy (6000 places créées au lieu des 20000 prévues). Préférant, pour « faire de la place », rendre non-exécutoires l
es peines de prisons inférieures à 5 ans. Et s’empressant de créer de nouveaux postes de fonctionnaires, cédant ainsi au dogme laxiste filochien* qui pourrait s’énoncer ainsi : « l’efficacité d’un service public est directement proportionnelle au nombre de fonctionnaires employés, mais jamais au niveau de leurs compétences ni à l’organisation interne des services« .
C’est avec ce genre de principe imbécile que la France se traîne un boulet de 2100 MM€ de dette publique, une croissance atone et un taux de chômage record.

Taubira se fait remarquer dès son arrivée place Vendôme en assistant à un match de basket entre détenus, montrant ainsi clairement, par cet acte fondateur, sa propension naturelle à se préoccuper plus volontiers des coupables que des victimes.

Elle supprime tout aussi rapidement les « peines plancher » pour récidivistes (encore le « détricotage » du quinquennat Sarkozy, sport national de ce détestable quinquennat).

73 % des Français se disent satisfaits du départ de la seule Ministre de la Justice qui refusa obstinément de chanter La Marseillaise, même dans les occasions tragiques qui lui furent hélas données de traverser, ès qualités ! On peut raisonnablement en conclure que les 27 % résiduels (je pèse mes mots) sont, soit des bobos d’extrême gauche, mélenchoniens métissés d’écologie punitive, soit des délinquants putatifs (prévoyance est mère de sûreté), soit des détenus en place désormais plutôt inquiets…

Taubiar

Et qu’on ne nous accuse pas de tirer sur une ambulance.
Minurne avait depuis longtemps percé son cynisme et sa haine de la France.

Voici d’ailleurs, pour les plus anciens lecteurs de Minurne, ce que Maurice D. écrivait en novembre 2013 au sujet de la pire Garde des Sceaux de la V° République.
Un pedigree pour le moins sulfureux…


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(Ce texte, signé Maurice D, est paru en novembre 2013 sur Minurne 1, fermé illégalement par le gouvernement Valls, Taubira étant ministre de la « Justice »)

Taubira est née en 1952 à Cayenne, dans une famille modeste de onze enfants sans père, « le scélérat » comme elle l’appelle. À dix-huit ans elle est déjà active en politique et milite pour l’indépendance de la Guyane avec le parti Moguide. Elle vient à Paris pour faire de belles études d’économie, de sociologie et d’ethnologie.

Étonnant non ? Cette « femme, noire et pauvre » comme elle le revendique elle-même à tout bout de champ, venant faire des études intégralement payées par les Français dans un pays qu’elle décrit comme profondément raciste. Elle n’est pourtant pas un cas isolé. À l’époque c’est un Noir guyanais, Gaston Monerville, qui est président du Sénat de la République. Lui-même fils d’un Noir guyanais qui était administrateur principal (équivalent de sous-préfet) de deux subdivisions en Guyane. Gaston, avocat de formation et brillant orateur, avait défendu à Nantes en 1931 les 18 « insurgés » des émeutes de Cayenne de 1928 et obtenu leur libération.

Comme on le voit, la République raciste de Taubira est dure avec les Noirs ! Rentrée en Guyane, Taubira épouse Roland Delannon qui lui fait en rafale quatre enfants. Il est lui aussi indépendantiste. Elle se lance simultanément dans la politique et les affaires. Elle réussit pas trop mal, achète 290 m2 idéalement placés à Cayenne pour une bouchée de pain (31 000 euros). Ils en valent cinq fois plus aujourd’hui, comme quoi on peut à la fois se dire de gauche, tout en spéculant et être affairiste ! Plus, depuis, des terrains  pour ses enfants, le tout dans la SCI Amazonite qui lui permet d’échapper au fisc et n’entre pas en ligne de compte dans sa déclaration de patrimoine ministérielle, ce qui lui permet de se prétendre « pauvre ».

L’exemple vient de haut, Hollande a fait la même chose avec la SCI La Sapinière pour échapper à l’ISF. Mais Taubira rate toutes les élections en Guyane, parce que « à la limite du psychorigide » explique Gabriel Serville du parti socialiste guyanais. Echec en Guyane, mais succès politique en France où tous les méchants blancs racistes, même Sarkozy, lui offrent des postes en or. Elle doit donc sa réussite plus au piston des blancs racistes qu’à ses compétences politiques.
En 1990 elle crée le parti indépendantiste Walwary qui échouera lui aussi aux élections.

Activiste et terroriste avant d’être nommée Ministre !

Elle et son mari organiseront de nouvelles émeutes à Cayenne et tenteront d’incendier la ville en faisant sauter les stocks pétroliers du port. Cela vaudra à Roland de passer 18 mois à la Santé et à Christiane de fuir en forêt. En 2009, c’est en Guadeloupe qu’elle ira soutenir le haut fonctionnaire (encore une victime du racisme) et syndicaliste indépendantiste Domota qui bloque l’économie de l’île et y sème la pagaille la plus noire.

Son mari, Roland, ses frères et sœurs, notamment Nicole et Jean-Marie ses aînés, se sont éloignés d’elle parce qu’elle est impossible à vivre. Ses collaborateurs la trainent en justice ou la quittent. Son ami André Paradis dit d’elle : « Si les Guyanais sont ravis de la voir faire carrière à Paris, c’est aussi parce qu’ils sont soulagés de ne pas l’avoir sur le dos à longueur d’année« .

Avant d’être nommée par Hollande, elle s’était acharnée contre « la France raciste », déclarant qu’elle avait envie de « la quitter pour le Brésil ou l’Afrique du Sud« . Que ne l’a-t-elle fait ? Elle est intelligente, dit-on, et elle se plaint aujourd’hui d’être la victime d’injures racistes de la part de l’extrême droite. Il ne faudrait pas qu’elle oublie que c’est Charlie Hebdo, de la gauche extrême, qui a commencé à la caricaturer en singe. Qu’elle n’oublie pas non plus qu’elle n’a jamais défendu ou manifesté la moindre compassion quand c’était des élues « blanches » qui subissaient ce même type d’injures, Marine Le Pen caricaturée en crotte par Charlie Hebdo, par exemple. L’injure raciste est une arme politique, la plus mauvaise qui soit, c’est vrai, mais une arme comme une autre.

Ce que l’intelligente Madame Taubira ne veut pas comprendre est que le racisme n’est pas la cause de ces injures, le racisme dans l’injure, c’est le sel sur la plaie, un additif. La seule vraie cause, c’est son incompétence à obtenir des résultats concrets et à s’acharner dans les seules réformes qui visent à détruire la société française qu’elle déteste. On ne lui reproche même pas son racisme à elle, celui qu’elle manifeste envers les Français quand elle refuse de condamner la traite négrière arabo-musulmane beaucoup plus ancienne et infiniment plus meurtrière que celle des Nantais pour que : « les jeunes Arabes ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfaits des Arabes« .
Parce que le racisme arabe serait juste et le français injuste ?
Parce que les jeunes Français, eux, doivent être injustement stigmatisés ?Toujours cette justice inégalitaire à deux vitesses !

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On ne regrettera certes pas l’animal.

Mais on restera vigilants dans les jours et les semaines qui viennent, cette « démission » n’étant peut-être que le premier étage de la fusée, le second étant sa nomination pour 9 ans au Conseil Constitutionnel, la mise en orbite couronnant l’ensemble étant la présidence de cette haute institution avec la fin du mandat de Jean Louis Debré.

De quoi la tenir tranquille jusqu’en en 2017, qu’elle ne refasse surtout pas à Flanby le sale coup qu’elle fit en 2002 à Jospin : se présenter aux présidentielles empêchant ainsi à coup sûr le candidat de gauche d’être présent au second tour.

Il semble à ce sujet, que les patriotes ne se mobilisent que très modestement pour tenter d’empêcher ce forfait : la pétition lancée par Minurne il y a 2 semaines peine à atteindre les 6 000 signatures.

A comparer avec une pétition lancée il y 48 heures sur le même site (change.org) qui réunit déjà près de 30 000 signatures.
L’objet de cette pétition ? Inciter, précisément, Taubira à se présenter aux présidentielles !

Bien que, comme je viens de l’expliquer, tactiquement, une candidature de Taubira signifierait la chute de Hollande à coup sûr, le succès apparent de cette pétition me laisse un peu perplexe. Il suffit de lire les commentaires dithyrambiques des signataires pour constater que cette femme a encore dans le pays d’ardents supporters.

Ces 27 % que j’évoquais plus haut crient manifestement plus fort que les 73 % de patriotes sensés que les premiers n’hésiteront pourtant pas à qualifier de « fachos ».

Bergé
Que voulez-vous, c’est (aussi) ça, la France de 2016…

Marc Le Stahler

Pour les retardataires (ou ceux qui avaient encore des scrupules avant de lire cet article), voici le lien pour signer la pétition visant à empêcher une nomination au Conseil Constitutionnel…

https://www.change.org/p/m-le-président-de-la-république-m-le-président-de-l-assemblée-nationale-non-a-la-nomination-de-christiane-taubira-au-conseil-constitutionnel

Bannière 2016

* Néologisme lié au ci-devant Gérard Filoche, improbable et caricatural stalinien « inspecteur du travail » (le job en soi est déjà tout un programme) qui a passé 30 ans de sa vie à nourrir sa haine du capitalisme en emmerdant les chefs d’entreprises et en attisant ainsi activement le feu du chômage.
On aimerait d’ailleurs savoir ce que pense ce petit fonctionnaire des 40000 contractuels du Ministère de la Justice payées au black (si j’ose dire) par Taubira (et ses prédécesseurs)…