Voici une photo de migrants prise l’hiver dernier alors qu’ils tentaient à travers champs de gagner la frontière autrichienne. Elle décrit parfaitement la nature du mouvement migratoire actuel.
On y voit sept hommes, une femme et ses trois enfants. Les hommes sont jeunes, solides, même les deux plus jeunes qui traînent un peu sur le côté gauche de la photo. Ils n’ont rien, peut-être ont-ils été rançonnés par leurs passeurs… Quoi qu’il en soit, ils ont leurs mains dans leurs poches et portent des vestes ou des capes uniformes qui leur ont été données par les bénévoles des associations d’aide aux migrants à leur arrivée en Grèce. Ils sont partis en laissant femmes et enfants, s’ils en avaient, c’est leur coutume : les hommes partent chercher une terre d’asile et quand ils ont trouvé un revenu, travail ou allocations, font venir les familles ensuite. Si bien que là où vous en voyez un, il y en aura en moyenne huit fois plus dans quelques proches années, sachant que le taux de fécondité de leurs femmes va de six à dix enfants et qu’ils n’ont pas toujours qu’une seule épouse (environ 20.000 polygames en France avec un moyenne dix personnes par famille).
Le personnage le plus intéressant de la photo est la femme. Certainement l’épouse du grand gaillard qui marche en tête du groupe, un noir comme elle, car dans l’islam une femme n’a pas le droit de circuler sans son mari ou l’un des mâles de la famille, sinon elle devient haram, impure. Si elle est haram, elle « provoque », disent les « cadis », les juges musulmans, et peut être violée par tout mâle qui en a envie sans que ce dernier ait à craindre d’être sanctionné.
Il neige, mais elle est pieds-nus ! Elle souffre visiblement, à voir sa grimace. Elle a trois enfants et en porte deux, les deux plus jeunes, un bébé qui dort et un garçon assis dans son dos sur la couverture marron roulée dont on voit l’un des angles pendre sur son côté gauche. Elle porte aussi un sac blanc de la Croix Rouge, un don reçu à son arrivée sur le sol européen.
Cette photo est à elle seule un résumé du statut de la femme dans la civilisation musulmane, un statut que nient les féministes qui n’ont jamais lu le coran et les hadiths. Elles n’en connaissent que la version édulcorée que leur en donne la copine intellectuelle, française de souche souvent fraichement convertie, emburquanée et très islamiquement politisée qu’elles emmènent à la plage en burkini. Comme le dit le New York Times, « cela fait partie des grandes contradictions des féministes de gauche« .
Le statut de la femme dans l’islam est celui d’un être juridiquement, politiquement et religieusement inférieur, à peine mieux qu’une bête de somme. Et si les hommes du groupe avaient trouvé un âne ou un cheval, la femme et ses enfants ne seraient pas dessus, mais l’homme du groupe au statut religieux le plus élevé, et elle marcherait toujours, pieds-nus dans la neige.
Maintenant, imaginons-les arrivés en vue de l’Angleterre dont ils rêvent, à Calais-la-Jungle, Sangatte, où encore à la Grande-Synthe, dans la banlieue de Dunkerque. Souffrant du froid sous une tente, la femme s’occupe des enfants tout en faisant la cuisine pour eux et son mari, attendant avec espoir, et on la comprend, les allocations que la France généreuse donne immédiatement aux mères de familles, afin d’aller négocier à la boutique illégale du camp un peu de nourriture en plus de la ration journalière distribuée par diverses associations de bénévoles.
Les hommes, eux, discutent pour « monter des coups » afin de gagner l’Angleterre, ou l’Allemagne, car ils connaissent tous la mauvaise réputation de la France pour ce qui est de l’emploi et ne souhaitent pas y rester. D’ailleurs très peu cherchent du travail. Ils ne peuvent donc pas, comme le prétendait Christophe Barbier il y a quelques jours, « rapporter » des cotisations sociales à la France. L’argent qu’ils touchent en « allocations d’attente » − c’est le seul intérêt que présente pour eux la France − passe pour le plus gros en cigarettes, en drogues et en prostituées, et aussi en alcool. Ils pourraient faire comme ceux qui montent dans le camp des petit commerces ou trafics, tous illégaux, épicerie, quincaillerie, drogue, prostitution, armes parfois, vente de tuyaux percés sur les combines permettant d’entrer illégalement en Angleterre. Bref, travailler à quelque chose, ne serait-ce qu’améliorer leurs conditions de séjour en nettoyant le camp ou en construisant des abris en matériaux de récupération. Quelques uns le font, mais ils sont loin d’être la majorité.
L’immigration « manque de bras » !
La plupart font « comme au pays » : RIEN ! Et pourquoi feraient-ils quelque chose d’utile au moins pour leur communauté ? C’est chez eux un travail d’esclaves ou de caste inférieure. Un homme, un vrai, ne travaille pas à des travaux qu’il juge avilissants. De plus, ils trouvent sur place les esclaves dont ils ont besoin, l’association Utopia 56, se charge d’en recruter.
Il y a, selon la police, entre 4.500 et 5.000 migrants à Grande-Synthe (chiffre de mars 2016). 80% d’hommes, pas de « vieux », et des femmes avec enfants ou enceintes. Les filles, si elles arrivent vierges, ne le restent pas longtemps quel que soit leur âge. Le Coran le permet à partir de 9 ans et interdit les contraceptifs, donc elles sont toutes très vite enceintes.
« On manque de bras » dit l’article. Avec 4.000 mecs désœuvrés ?
En réalité, les bras manquants que réclame Utopia 56 sont ceux des bénévoles. Il y en a actuellement 70, l’association appelle au secours pour qu’il y en ait le double car, dit-elle, les 70 « sont épuisés » ! Non seulement par le travail qu’ils font gratuitement à la place des migrants et pour les migrants, mais par la peur et le risque de recevoir une balle perdue ou un coup de couteau quand ils tentent de gérer les conflits, car les bagarres et fusillades entre gens d’ethnies différentes ou groupes maffieux ne sont pas chose rare. Il y a déjà eu des blessés par balle.
Que font les migrants ? L’article le dit : « ils vaquent à leurs occupations » en regardant les petites françaises qui ramassent leurs ordures et les chargent dans des sacs poubelle et des brouettes. Elles bossent pour eux et elles sont éventuellement « bonnes », que demander de plus ?
Devant la gravité de la situation, une ONG, Médecins Sans Frontière, a mis la main à la poche en 2016 pour construire en relativement dur. Un autre camp a été créé de toutes pièces par MSF, non loin de celui de Grande-Synthe, et abrite 220 « cabanons » de 8 à 10 m2 chacun. Le camp est officiellement aménagé et géré par MSF qui en a assumé le coût à hauteur de 2,6 millions d’euros, avec le soutien de la ville de Grande-Synthe et de la communauté urbaine de Dunkerque qui ont apporté 500.000 euros. Le camp est relié à l’eau courante et au tout à l’égout : les migrants peuvent se doucher, faire la cuisine. MSF assure les soins médicaux gratuits et Utopia gère l’intendance, et surtout les rapports difficiles entre communautés pour lesquelles le « vivre-ensemble » a toujours été une utopie fumeuse, excepté dans le cadre religieusement et socialement hiérarchisé du musulman et du dhimi.
C’est pas cher, c’est l’État qui paye !
Qui paie les factures ? La ville. Et l’État, et Cazeneuve dans tout ça ? Il paie le coût du maintien sur place de centaines de policiers et de gendarmes priés de ne pas faire de « provocations » en allant chercher armes et drogues dans les tentes ou en protégeant les filles, et c’est tout. Enfin, presque tout car selon la Cour des comptes l’État, c’est-à-dire les contribuables, dépense en moyenne 13.724€ par an et par migrant, près de 7 milliards pour l’ensemble des migrants.
Comment, alors, croire Cazeneuve quand il annonce le démantèlement de « la jungle » de Calais ? On comprend que ce qu’il appelle « démantèlement », signifie en réalité : fixer les migrants en leur construisant des logements. Ce que Cazeneuve annonce dans le même discours : 4.000 avant décembre 2016, 5.000 en 2017 et encore 1.500 « pour l’urgence ». Pourquoi les migrants une fois logés partiraient-ils ? Non seulement ils vont rester, mais le problème ne sera pas résolu, car les logements vont leur permettre de faire venir leurs familles, puis d’autres migrants avec, eux aussi, leurs familles.
Cela revient à construire, par exemple à Calais, un village islamisé à côté du Calais « de souche » et de « racines chrétiennes » actuel en espérant, comme le fait Cazeneuve, que d’ici quelques années, les Calaisiens se seront un peu islamisés eux-mêmes et faute de « vivre-ensemble », accepteront de vivre dans le voisinage d’une ville musulmane. Énorme erreur comme le montre l’exemple de la Suède.
Suède : la mort par l’immigration
La Suède a dix millions d’habitants. Petit pays prospère avec une tradition d’accueil, elle a accueilli 560 000 migrants extra-européens en 2015, dont 60.000 asiatiques environ (1). Les asiatiques n’ont posé aucun problème et presque tous ont déjà trouvé du travail ou créé leur propre activité. Les autres, Érythréens, Afghans, Syriens, Irakiens, Turcs, Marocains, Somaliens… sont, comme en France, dans des camps parfois fractionnés et rebaptisés « foyers » où ils vivent d’allocations sans, pour les deux tiers d’entre eux environ, chercher activement du travail (2).
Gatestone Institute (3) a établi pour le gouvernement suédois un rapport titré « Sweden : Death by immigration » (La Suède : la mort par l’immigration).
On y lit : « La tension sur les réseaux sociaux a atteint un niveau quasi insurrectionnel. Les gens ont posté des vidéos ou ils ont accusé personnellement le gouvernement de meurtre, ou d’organisation de l’envahissement de la Suède par des gens violents… L’immigration de masse continue à produire son lot de victimes en Suède. Meurtres, agressions et viols meurtrissent, à un rythme désormais quotidien… le stock de migrants déjà là pose un gigantesque problème aux communes, à la police et aux simples citoyens. La police livre une bataille perdue d’avance contre le crime de rue et les actes de délinquance au quotidien, bagarres, injures, viols, dans les foyers d’accueil.«
Alexandra Mezher, ici dans sa tenue de diplômée de son université (gauche) a été assassinée dans le foyer pour « enfants réfugiés non-accompagnés » où elle travaillait. Elle a été poignardée à mort par un « jeune » âgé de 15 ans originaire de Somalie. Quand Dan Eliasson, le Chef de la Police Nationale (droite) est intervenu à la télévision, il a exprimé sa sympathie au meurtrier, mentionnant à peine le nom de la victime, ce qui a provoqué une explosion de rage sur les réseaux sociaux suédois.
Les interrogatoires des hauts fonctionnaires suédois menés par Gatestone sont stupéfiants. À la question « Le devoir premier du gouvernement suédois n’est-il pas de protéger la Suède et les Suédois ?« , la réponse officielle est « Nous devons nous conformer aux règles internationales. Nous nous y sommes engagés. Sinon, nous courons le risque de devoir comparaitre devant la Cour de Justice de l’Union Européenne » (4).
En Suède, comme en France, quel est le plus important : la peur de la Cour Européenne ? Ou la protection des citoyens contre les crimes, les viols, les vols, les destructions ? Car Gatestone souligne un point crucial : tant que les migrants étaient en petit nombre (jusqu’en 2012), il n’y avait que très peu de criminalité en Suède, la situation a dégénéré quand ils sont arrivés en nombre et ont déclaré qu’ils étaient maintenant chez eux « en terre d’islam » et avaient donc tous les droits. La Suède a réagi, fermé ses frontières le 1er janvier 2016, et prépare des expulsions en masse. Ne resteront ou ne seront accueillis que les migrants en situation régulière. Le ministre de l’Intérieur; Anders Ygeman, a chargé les services de police et d’immigration d’organiser l’expulsion de 80.000 des demandeurs d’asile arrivés l’an dernier.
L’Imprécateur
1 : source : fr.wikipedia.org/wiki/immigration_en_Suède
2 : source : ministère de l’Intérieur suédois
3 : Gatestone institute, international policy council est un think tank indépendant et à but non lucratif ainsi qu’un organisme de conseil en politique internationale.
4 : Une journaliste suédoise travaillant pour Gateston, Ingrid Carlqvist, choquée par les réponses très islamophiles reçues de certains hauts fonctionnaires, a écrit un article Les Islamistes infiltrent le gouvernement suédois qui a fortement déplu au ministre de l’Intérieur suédois, Anders Ygeman. Gatestone a du s’en séparer avec un bref communiqué : « Gatestone et Ingrid Carlqvist ne sont plus associés d’une quelconque manière. Néanmoins, Gatestone conserve et assume tous les articles écrits pour lui par Ingrid Carlqvist.«