BÉCASSINE ROYAL, alias SÉGOLÈNE-LA-SANGLANTE
(Alexis Céron)

Décembre 2016 ou la « déroute hollandaise » – Sauve-qui-peut ! Les rats quittent le navire…

Après avoir mis à genoux le Poitou puis la France, Ségolène Royal, qui ne pouvait se résoudre à abandonner les pourpres et les ors des palais nationaux, les voitures avec chauffeur, les voyages en avion privé et un salaire de ministre, vise maintenant l’international. Le poste très convoité est celui de patronne du PNUD (Programme des Nations Unies pour le Développement) qui lui permettrait de continuer à sillonner la planète dans de luxueuses conditions avec un accueil de chef d’état à la clé pour chacun de ses déplacements. Tout cela en continuant de jouer les bonnes fées de l’écologie avec l’argent public… international cette fois-ci.

Oui, mais voilà ! Il semble que ce royal projet ne passionne que modérément les instances onusiennes qui n’ont nulle envie de voir débarquer une telle « patate chaude » sur leur terrain de jeu. Ces gens-là ne savent pas reconnaître les vrais talents.

Aussi, Alexis Céron a-t-il décidé de donner un coup de main à l’ex-future Mme Hollande dans son nouveau projet professionnel… Après un tel plaidoyer, Ban Ki-Moon n’aura qu’à bien se tenir ! Il n’aura d’autre choix que la recruter.

On est comme ça, à Minurne-Résistance !

MLS

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Quand derrière Bécassine se cache Marie-la-Sanglante, ou derrière la sotte-dingue la plus froide calculatrice qui soit, comme on veut…

D’ailleurs le vrai prénom de Ségolène, c’est Marie-Ségolène, prénom qu’elle cache comme elle cache tant d’autres choses, quoiqu’elle en cache de moins en moins au fur et à mesure qu’elle prend la parole pour se faire remarquer, un peu comme elle twitterait sa lettre de motivation au « Programme des Nations-Unies pour le Développement », probable sinécure que lui vaudra son essence très républicaine et très carito-humanitaire, compétence en moins.

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L’apologie de Fidel comme une bouteille à la mer, un peu comme un certain tweet d’une certaine Valérie T. (concubine temporaire de notre cher Führer, temporaire lui aussi) disant à la face du monde : « Courage à la famille Castro qui n’a pas démérité et qui se bat depuis tant d’années aux côtés des Cubains dans un engagement désintéressé ». Comme quoi, d’une concubine à l’autre, notre Lider Minimo aura montré une certaine constance, voire une certaine fidélitude dans le recrutement de ses partenaires privilégiées.

fidel-castro-une-colombe-sur-l-epaule-lors-d-un-discours-fait-a-la-jeunesse-le-8-janvier-1989-a-la-havane_5753069cliquer sur la photo pour l’agrandir

Ainsi entre la Reine Mary et la Royal Marie-Ségolène, c’est un peu comme entre le « Cuba-Libre » et le « Bloody-Mary », cocktails qui enivrent au nom des intérêts supérieurs du monde. Ainsi Ségolène, issue des Tucoul et forte de l’expérience de Mary (elle, issue des Tudor) qui n’a pas bénéficié de soutiens suffisants pour se maintenir à flot d’une manière durable, est en quelque sorte allé faire son marché à Santiago-de-Cuba auprès d’un Tiers-Monde qu’elle méprise mais dont elle entend profiter, puisque c’est ce qu’elle a appris à l’ÉNA : téter jusqu’au sang toute mamelle à proximité de sa bouche éloquente. Une bouche qui n’est pas toujours, comme on croit, celle de Bécassine, mais celle d’une amazone madrée qui décoche ses sottises comme un cow-boy jouerait du lasso. En ne quittant pas sa cible des yeux.

Sa cible, la vraie, ce ne sont pas quelques demeurés qui se shootent à la mousse Che-Che comme Jean-Luc Mélenchon, mais des Robert Mugabe ou autres grands démocrates exotiques qui ont en général mis leurs pays à genoux et y ont établi la misère de manière endémique, qu’il s’agissait pour elle d’apprivoiser en leur montrant qu’elle était des leurs.

En résumé, étreignant ainsi le fantôme de Castro, la Stalinette du Poitou – celle qui descendait toujours de son wagon de 1ère classe par la porte d’un wagon de 2nde – faisait sa déclaration au fantôme de Chavez. Ah ! Marie-Ségolène, quelle grande cachottière tu fais ! Et comme tu caches bien tes œufs de Pâques dans ton petit jardin secret…

Alexis Céron

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