Le “jahannam” musulman gagne nos villes. Le “jahannam”, dans l’islam, est le pendant de l’enfer chrétien. Je critique suffisamment la désinformation et l’islamophilie maladive dans les programmes des chaînes de la télévision du service public pour, une fois n’est pas coutume, féliciter France 2 pour un reportage diffusé le 7 décembre dernier au Journal de 20 Heures. Il montre comment dans des centaines de quartiers de France, parfois des villes entières, les femmes sont exclues de l’espace public par les hommes si elle ne respectent pas les codes de la charia. Cela, avec l’approbation tacite des associations féministes semble-t-il, puisqu’elles n’ont aucune réaction devant cet état de fait qui prend à contre-pied toute leur propagande vieille de plus d’un siècle sur : “égalité des hommes et des femmes”, “contraception”, “avortement”, “divorce”, “droits juridiques”, “liberté de choix dans le mariage”, “mutilations sexuelles”, etc. et “liberté d’accès à tous les lieux publics” bien sûr…
Un groupe de femmes a entrepris de reconquérir cet espace public. Par petits groupes (pour leur sécurité), elles circulent sans voile, en pantalon ou jupe, et vont commander une boisson sans alcool dans les cafés, aux terrasses ou à l’intérieur. Aucune provocation donc, si ce n’est leur présence qui, visiblement, n’est pas appréciée. Les hommes leur demandent de partir, prétendent que l’accès du café leur est interdit, leur reprochent leur tenue. Elles font observer sans s’énerver, que l’on est en France et que les femmes, comme les hommes, ont partout accès aux lieux publics. L’un d’eux leur répond « non, ici c’est comme au bled ». Mais beaucoup d’hommes s’en vont et leur cèdent la place : rester dans le voisinage de femmes leur est insupportable. Exactement comme beaucoup d’homosexuels hommes ne peuvent pas toucher une femme, (ou femmes ne supportent pas d’être touchées par un homme).
On peut dire, au nom de la liberté, que si des femmes choisissent de se voiler, de rester enfermées chez elles, de ne plus avoir le droit de travailler, confinées au ménage, aux enfants, au lit avec obligation de céder à toute demande, fut-elle dégradante, de leur mâle, d’y être battues parfois, et de n’en sortir qu’accompagnées d’un mâle de la famille en supportant un moraliste religieux datant du VIIème siècle, c’est leur choix et qu’il faut le respecter.
À Créteil, Sevran, Vennissieux, Roubaix, Marseille nord… il est risqué pour une femme de circuler seule sans tenue islamique ou, au minimum, respectant les codes de la charia.
Cela dit, c’est au nom de la liberté aussi, acquise après des siècles de lutte, que l’on doit affirmer que si une femme s’habille sans voile, en jupe, les bras découverts, éventuellement décolletée et que seule ou accompagnée d’ami(e)s elle a envie d’aller faire ses courses dans un magasin, se promener dans une rue ou boire quoi que ce soit dans un café, elle use d’un droit acquis depuis plus d’un siècle, inscrit dans la Constitution, admis par les mœurs dominantes dans ce pays et que personne n’a le droit de le lui contester. Celles qui font cela dans les quartiers perdus de la République, d’où veulent les chasser les tenants d’une religion moyenâgeuse machiste et violente, montrent un courage qui manque à nos féministes de salon, que leurs amants ou maîtresses de Gauche terrorisent en les menaçant d’islamophobie, une néo-idéologie qui fleurit dans les group-thinks, (et non les think-tanks) de la Gauche.
Les “think-tank” et les “group-think”
Le “think-tank” est un groupe de personnes qui peuvent être d’origines politiques ou religieuses différentes et réfléchissent librement ensemble aux problèmes de la société pour tenter de trouver et proposer des solutions nouvelles et adaptées. Le “group-think” est un groupe replié sur lui-même, sur une idéologie politique ou une religion dont il ne peut s’abstraire, sur laquelle il ne peut porter une appréciation critique sans être qualifié aussitôt de traitre, de mécréant, de fasciste, d’islamophobe et autres qualificatifs de mépris et d’exclusion. Orwell a défini dans 1984 que le “group-think” était le propre des groupes socialistes. On peut aujourd’hui y ajouter – avec ce que l’on constate dans nos villes – que c’est aussi le propre des micro-sectes de la religion musulmane.
Il existe des quartiers, de plus en plus nombreux, ou les lois de l’islam ont remplacé celles de la République, où la vie des femmes est réglée par des pratiques obscurantistes qui n’ont leur place ni en France, ni en Occident. C’est à l’État de faire son devoir. Il n’est pas de tolérer les pratiques anti-républicaines de l’islam rigoriste au nom d’un “vivre-ensemble” fantasmé et que l’on ne constate pas sur place, ni au nom d’un religion qui n’a pas encore montré qu’elle peut avoir sa place dans un pays laïc, comme le prétendent le Premier Ministre et celui de l’Intérieur en insistant sur la nécessité de construire un “islam de France” (qui n’existe donc pas, puiqu’il faut le construire !).
Le devoir de l’État français, quelle que soit sa couleur politique, c’est d’imposer les lois de la République à tous, quelles que soient leur religion et leur sensibilité politique. Il ne le fait plus depuis un demi-siècle. Et ce n’est pas avec le Président sinistré et les ministres qu’il vient de nommer que cela changera.
Le nouveau premier ministre, Bernard Cazeneuve
… est un fanatique de l’islam comme en attestent les nombreuses déclarations qu’il a faites sur ce sujet religieux et son acharnement à vouloir un “islam de France”, une idée développée à l’origine au sein des sectes du Grand Orient De France qui, précédemment, si l’on en croit le Canard Enchainé, réfléchissaient à un concordat national avec l’islam (1).
Le nouveau Ministre de l’Intérieur
… est un apparatchik docile qui n’écoute que la voix de son maître. Il n’a pas été choisi pour sa compétence, mais parce qu’il est “young leader” à la French American Foundation, filiale du Nouvel Ordre Mondial et de la Trilatérale, financée par la Banque Lazard, comme tant d’autres ministres choisis par Hollande (2). Il n’est là que pour acheter la paix sociale dont les politiques de son parti ont besoin pour avoir une minuscule chance de gagner les prochaines élections. Pour cela, ils ont choisi de renoncer aux libertés fondamentales qui définissent notre identité, en particulier à l’égalité entre les hommes et les femmes et à la laïcité reniée de trop nombreux territoires livrés à l’islam.
C’est donc au prochain ou à la prochaine Président(e) de la République qu’il appartiendra dans cinq mois de remettre à l’ordre du jour les valeurs et les lois de la République bafouées par le Parti Socialiste et la Gauche. En commençant (c’est une suggestion) par lutter contre la discrimination dont sont victimes les femmes indigènes qui refusent les codes comportementaux et vestimentaires de la charia musulmane.
La République veut-elle l’égalité hommes-femmes, oui ou non ?
L’Imprécateur
(1) Personnalités politiques de gauche membres du Grand Orient De France. Hollande, Ayrault, Valls, Taubira, Moscovici, Vallaud-Belkacem, Montebourg, Sapin, Le Drian, Le Foll, Lebranchu (également membre du Parti Communiste Marxiste Léniniste), Escoffier, Hamon, Delaunay, Vidalies, Lang, Baylet, Menucci, Rebsamen, Bauer, etc. (source https://lacontrerevolution.wordpress.com/2016/01/08/liste-de-francs-macons-du-parti-socialiste/)
(2) Personnalités politiques de Gauche membres de la French American Foundation. Hollande, Montebourg, Marisol de Menthon-Touraine, Vallaud-Belkacem, Moscovici, Le Roux… seuls 4% des Young Leaders français ne sont pas diplômés de l’ENA, les trois quarts sont des hommes, à 80% Parisiens… Autant dire qu’on reste en famille avec ce gratin issu de nos grandes écoles. Une spécificité française, qui, comme le souligne un rapport de la FAF, assure « une fonction de “reproduction sociale” de la “classe dominante” […] dans un pays où la simple notion de leadership renvoie aux “diplômes” et non aux qualités intrinsèques de la personne comme c’est souvent le cas outre-Atlantique ». Bref, le Président et une partie importante de ses ministres sont de purs produits de l’ENA et de sociétés sinon secrètes, du moins opaques, « ces acteurs influents (qui) personnifient la “pensée dominante” depuis de nombreuses décennies » selon ce qu’en dit la FAF. Sur les 8 socialistes sélectionnés comme Young Leaders depuis François Hollande en 1996, 6 sont rentrés dans son gouvernement. Ne restaient sur la touche que Bruno Le Roux (il est au gouvernement aujourd’hui) et Olivier Ferrand, l’ambitieux président du think-tank socialiste Terra Nova. (source http://www.atlantico.fr/decryptage/gouvernement-hollande-formation-plus-atlantiste-qu-on-pourrait-croire-benjamin-dormann-366638.html#A4MrsbM8wY2FtK7P.99).
Ainsi, dans un gouvernement qui se prétend socialiste, il existe de l’aveu même de la société secrète qui a formé le président et sept de ses ministres, « une classe dominante » qui « se reproduit » et « dirige au nom de ses diplômes et non de ses compétences », pour « imposer une pensée dominante ».