DEFENDRE SA CIVILISATION EST UN DROIT (par Maurice D.)

Aux XVIème et XVIIème siècle, à peu près simultanément, trois vastes terres de conquêtes s’ouvrent aux Européens : l’Amérique du Sud aux hispano-lusitaniens, l’Amérique du Nord aux Anglo-saxons et à un moindre degré aux Français, l’Afrique du Sud aux Hollandais.

Anglais et Français assujettirent sans grande difficulté les nations indiennes divisées et perpétuellement en guerre en moins de deux siècles, les cantonnant dans des zones tribales ou « réserves ». Les Hollandais partis du Cap vers le Nord eurent un peu plus de mal car ils se heurtèrent dans leur progression aux « impies » zoulous, les armées bien organisées des Bantous qui descendaient du Congo (qu’ils avaient quitté deux mille ans auparavant pour coloniser lentement mais sûrement l’Afrique de l’Ouest subsaharienne, l’Afrique de l’Est, puis, il y a trois cents ans, l’Afrique australe).

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 Expansion coloniale des Bantous (« Les hommes » en langue kongo) vers l’Est et le Sud à partir du Bas Congo.

Colons hollandais et colons bantous avaient au passage écrasé sans difficulté et repoussé dans le désert du Kalahari les indigènes sud-africains, des negritos, les Sans, en hollandais « boshimans », en anglais « bushmen ». Lesquels indigènes, persécutés et exterminés par les colons hollandais et anglais, l’étaient aussi par les colons bantous qui, les considérant comme des singes, les chassaient et les mangeaient.
Ils sont toujours chassés, au Bostwana notamment, par les gardiens des réserves pour touristes.

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Après avoir peuplé la totalité de l’Afrique australe pendant au moins cinquante mille ans, les Sans ou Khoïkhoï (les humains) ne sont plus que 100 000 en voie d’extinction. On voit qu’ils sont negritos à leur petite taille, petits mais bien proportionnés et normalement intelligents malgré leur volume crânien réduit.

Les deux peuples colonisateurs, les Hollandais et les Bantous, se partagèrent le pays, mais les Hollandais (minoritaires en nombre malgré un apport britannique), devenus Afrikaans dynamiques et industrieux, ayant peur d’être submergés par les Bantous (67 % de la population) et ayant constaté la difficulté du vivre ensemble de deux civilisations aussi contrastées et militarisées, imaginèrent au début du XXème siècle la notion de « développement séparé », en afrikaans, « apartheid ».

Cet apartheid se réalisa sans trop de heurts dans les dix Bantoustans, quatre indépendants et six autonomes d’où les Blancs furent exclus, comme ils sont exclus des zones tribales en Nouvelle-Calédonie où ils ne peuvent séjourner qu’en visiteurs.
Ailleurs, les Afrikaans imposèrent par les lois des règles de séparation strictes dans tous les domaines de la vie sociale.

Aujourd’hui, c’est l’Europe qui est devenue une terre de conquête pour les peuples africains et orientaux, une Europe « qui agit comme si elle était une terre déserte, où chaque personne qui arrive plante sa propre tente, pose ses propres conditions  » (Magdi C. Allam, né au Caire, journaliste et homme politique centriste, italien d’origine égyptienne, discours au Parlement européen, 26-02-2014).

Et ainsi se crée un apartheid de fait que les immigrants majoritairement musulmans imposent aux autochtones européens, estimant que leur loi, la charia, est supérieure aux lois républicaines, que leurs mœurs alimentaires (pas de porc, égorgement halal), sexuelles (excision, polygamie, séparation des sexes, occultation par le voile et soumission des femmes) et sociales (hiérarchie islamique, cimetières séparés afin que les leurs ne soient pas pollués par la pourriture chrétienne et juive), sont supérieures aux mœurs « dégénérées » de l’occident.

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 M.C. Allam soutient le droit des Italiens et des Européens à se défende contre la violence de l’islam

« Cette Europe implosera, non parce que les droits n’y sont pas respectés, mais parce que les devoirs y ont été oubliés. Nous élargissons de plus en plus les droits et la liberté [des nouveaux arrivants] sans leur demander en échange de se soumettre à leurs devoirs et de respecter les règles » (Magdi C. Allam)

Les citoyens européens sont discriminés pour les aides sociales, les logements sociaux, les places dans les crèches, à l’école, dans la presse, par la justice. Alors que le citoyen doit contribuer financièrement à la vie de la société qui en retour l’éduque, le protège et le soigne, quand il est jeune par les impôts que paient ses parents, quand il est adulte par les siens, les immigrés sont pris en charge par les deniers des contribuables dès qu’ils posent (légalement ou illégalement) le pied sur le sol national français.

Beaucoup gagnent ainsi sans rien faire bien plus que ce que leur rapportait leur activité agricole ou artisanale dans leur village. Plus même que ce que touchent des indigènes français de la République qui, après 45 ou 50 années de labeur bien au-delà des 35 heures actuelles et, pour les agriculteurs, sans dimanches ni jours fériés, se retrouvent avec au mieux le minimum vieillesse. Ou, comme un mien voisin, 420 €, le fait qu’il soit propriétaire de la modeste maison dans laquelle il attend la mort lui interdisant l’accès à de nombreuses aides dont bénéficient sans bourse délier les nouveaux arrivants qui n’ont en rien contribué à la vie de la société qui les accueille.

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La plupart sont musulmans, même s’il existe des Arabes chrétiens orthodoxes et des Africains catholiques. Notre République est rythmée par les massacres épisodiques de Juifs, de chrétiens et d’athées mais, dans leurs salons, loin des quartiers populaires, entre deux coupes de champagne millésimé ou verres de whisky tourbé, élus socialistes, hauts fonctionnaires, penseurs, philosophes, dissertent sans relâche.
Sur l’islam « de France » ou « en France », « modéré » ou « terroriste » pour éviter « islamiste », le mot islam trop tâché de sang étant devenu tabou, ces lécheurs de babouches d’une République où se côtoient sans s’amalgamer, conformément à l’injonction padamalgamesque de Manuel Valls, cultures, communautés ethniques et religions, imaginent des lois toujours plus restrictives pour punir les déviants de la mondialisation raciale, culturelle et économique, avec l’islam comme dénominateur commun, devenu l’alpha et l’oméga de toute pensée de gauche (c’est un oxymore).

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 Manuel Valls, padamalgameur convulsif

Il est tout de même surprenant que l’on n’écoute pas les gens concernés par un grave problème. Dans les pourparlers sur le cessez-le-feu en Ukraine, tout le monde était invité, excepté les séparatistes russophones qui sont la clé du problème et de la paix. Ils n’ont pas respecté le cessez-le-feu décidé par trois dirigeants d’Europe, Merkel, Hollande et Poutine, dont aucun n’est directement impliqué dans le conflit et l’on ose faire semblant de s’en étonner.
On a connu diplomatie plus intelligente, mais ça, c’était avant !

De même, élus et journalistes invitent pour parler de l’islam des « experts » dont la culture islamique n’est que livresque – et encore, partiellement -, des spécialistes autoproclamés, parfois même de parfaits ignorants comme la pauvre Mazarine Pingeot, vue deux fois pendant le week-end dans des émissions sur l’islam, dont les inepties et les lieux communs la feraient déclasser immédiatement du « milieu intellectuel » dans n’importe quel autre pays que la France.

Jamais, on n’invite ceux qui sont les premiers concernés, les victimes de l’islam qui pourraient en parler en connaissance de cause. Pas les morts, bien entendu, les pendus, brûlés vifs, décapités, crucifiés, empalés, homosexuels jetés du haut d’un immeuble, lapidés, exécutés d’une balle dans la tête, d’une rafale de kalachinkov, poignardés, égorgés, enterrés vivants… Mais les survivants, il y en a des centaines de milliers de par le monde : amputés, torturés, excisées, fouettés, menacés de mort par une fatwa, affamés, brûlées à l’acide, émasculés, violées, vendues comme esclaves…

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 Mère et sa fille pakistanaises défigurées à l’acide parce que chrétiennes

Et même, pourquoi pas, des djihadistes qui reviennent déçus de leur expérience « in vivo » de l’islam sur le terrain, et des musulmans convertis au christianisme obligés de cacher leur nouvelle foi par peur d’être assassinés alors que les convertis à l’islam paradent.

Ceux-là et ceux-là seuls pourraient nous parler de l’islam vrai, celui qui exclut, punit, hiérarchise racialement, tue, ment, stigmatise, infériorise socialement au nom de son dieu. Ce sont ceux-là qu’il faudrait montrer dans les écoles plutôt que les protégés LGBT d’une ministre de l’éducation nationale complètement dégenrée. Ils pourraient dire pourquoi, victimes de l’islam dont ils ont souffert dans leur chair, ils sont maintenant affranchis de l’obscurantisme d’une idéologie qui légitime le mensonge et la dissimulation, la mort violente, la torture et l’homicide.

Quoi qu’il en soit, partout, même en Europe le peuple autochtone est légitimement en droit de protéger sa propre civilisation, son histoire et son patrimoine.

Maurice D.

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