Omar Sy vs Éric Zemmour : Knock Out ?
Il vient de Trappes. Comme Debbouze. il nous avait fait rire et attendri dans un film à succès qui l’avait propulsé vers les sommets, devenant, parait-il, la « personnalité préférée des Français ». Puis sa carrière l’avait conduit vers des cieux cinématographiques (et fiscaux) encore plus favorables…
Un seul faux-pas (mais un faux-pas de taille), et tout pourrait bien s’écrouler. La haine n’est jamais bonne conseillère, et surtout pas la haine agressive et gratuite à l’encontre d’un écrivain essayiste à succès, historien et sociologue courageux, osant formuler tout haut ce que le bon peuple pense tout bas. Un courage qui l’a conduit plusieurs fois devant la XVIIème Chambre qui l’a condamné pour « provocation à la haine raciale ». Condamnation pénale absurde et abusive, mais Éric Zemmour n’est hélas pas le seul à subir le joug d’une justice (avec un « j » minuscule) partiale ; d’autres brillants et courageux esprits de la Dissidence, je pense notamment à Renaud Camus et à nos amis de Riposte Laïque et Résistance Républicaine Christine Tasin et Pierre Cassen, y ont aussi goûté.
Mais de là à taxer Zemmour de « criminel » – ce qui en dit long sur l’inculture juridique de ce docteur Knock version 2017 – c’était prendre un risque majeur avec les réseaux sociaux qui, effectivement, se sont enflammé à juste titre contre ce nouvel accusateur public.En repartant précipitamment vers Hollywood et en annulant la promotion de son film, Omar Sy a montré, outre un manque de courage, son profond mépris pour les Français.
Si le film se confirme être un navet, pâle remake sans consistance de l’original que l’éternel Louis Jouvet avait incarné, ce ne sera donc que Justice (avec un « J » majuscule, cette fois).
Il en faut, quelquefois.
Mohammed Merah : suite et fin ?
Mohammed est mort. Mais la famille tient bon : Abdelkader, l’inspirateur, crache toujours son venin sous la protection d’Allah, l’égérie Souad est en fuite dans le Maghreb et la mère, surtout, véritable responsable du carnage, par l’éducation pitoyable qu’elle a donné à ses enfants et la haine viscérale qu’elle leur a inoculé envers les Juifs et les Français.
On se prend à rêver à ce que pourrait être (ou redevenir) notre pays sans cette haine diabolique, et aussi à espérer que la force de caractère de certains jeunes, comme ce 3ème fils Abdelghani, qui semble avoir courageusement rejeté en bloc cette incroyable éducation, aura un jour raison de la violence éducative et morale qui entraîne certains esprits faibles vers l’horreur absolue.
Propagande d’État : l’immigration, une chance pour la France !
On subit, sur les chaines publiques, une campagne d’intoxication de plus en plus virulente, destinée à nous apprendre à « bien penser ». Comme à Moscou aux temps bénis de l’Union Soviétique, où il fallait être « dans la ligne du parti ».
Cette semaine, en avant-première de la réforme de la formation professionnelle, il s’agissait de nous présenter de « bons » immigrés, polis et propres sur eux, prêts à travailler dur, à apprendre le français, à occuper des postes que refusent les autochtones (faibles rémunérations, horaires atypiques, travail trop difficile). On y voyait aussi de braves et bons patrons, lassés de chercher sans succès, plébisciter cette main d’œuvre pleine de bonnes manières et de bonnes intentions.
Quand on sait (de source officieuse car ce genre de statistiques est interdit en France) que 75% des immigrés sont inemployables, on peut en rire pour éviter d’en pleurer.
Mais quand on rapproche cette « intox » de la quasi faillite (pour la nième fois) de l’AFPA (Association pour la Formation Professionnelle des Adultes), organisme inutile et exagérément couteux (1), on assemble le puzzle et on se dit que le gros de la réforme va tomber dans l’escarcelle de ce « machin » structurellement déficitaire qui va devenir par miracle « le » centre de formation pour les immigrés.
Un avenir radieux pour le futur directeur, successeur d’Yves Barou, qui vient d’annoncer qu’il claquerait la porte d’ici la fin de l’année suite à des « désaccords stratégiques sur le modèle économique » avec l’exécutif.
Qu’en termes élégants ces choses-là sont dites !
Propagande d’État (suite) : il faut sauver les soldats rohingyas !
La « Voix du Minotaure » n’a pas renoncé, malgré les difficultés rencontrées, à faire avaler au bon peuple la couleuvre Rohingyas. Dieu merci, les réseaux sociaux sont actifs pour remettre les pendules à l’heure.
Les ONG dramatisent à-qui-mieux-mieux la situation de ces pauvres musulmans, prétendument martyrisés par les vilains bouddhistes du régime birman mais se gardent bien de souffler mot sur le martyre des chrétiens en terre islamique, qui est en train de devenir un véritable secret d’état.
Il y a l’information officielle, filtrée, canalisée, martelée, et l’information qu’il faut taire et censurer parce que risquant d’offusquer (« d’offenser », dit-on) les musulmans, de plus en plus nombreux sur notre territoire. Et, peut-être, contrecarrer les plans de nos dirigeants…
Jacques Guillemain, comme L’Imprécateur, ont clairement décrypté sur Minurne la réalité de cette affaire Rohingya, et aucune image, aucune jérémiade de journaleux en mal d’émotion ou d’ONGiste en mal de subventions ne pourra changer la réalité des faits : les Birmans ont décidé de se défendre d’une agression de longue date, et de la repousser.
C’est leur droit !
Certains autres pays en passe de devenir « terre d’islam », pourraient être bien inspirés de faire de même, avant que l’irréparable ne se produise …
L’écriture « inclusive »
Les ennemis de la France sont aussi (et sans doute « d’abord ») les ennemis de la langue française. Leur nouvelle marotte : l’écriture dite « inclusive ». C’est le fameux « toutes et tous » ou « les femmes et les hommes de ce pays », qu’on nous sert à toutes les sauces depuis l’avènement de Jupiter qui l’utilise à tout bout de champ.
Bref, une langue, comme ils disent, « sans stéréotype de genre ».
Jusqu’à ce jour, le masculin – ersatz du neutre, qui n’existe pas en français – s’imposait naturellement au pluriel quand les 2 genres étaient impliqués. Le renoncement au masculin générique et la fin de la primauté du masculin sur le féminin dans les accords de genre seraient donc inscrit.e.s dans une éventuelle réforme grammaticale de nature à améliorer l’égalité hommes-femmes ! − Foutaises !
Voici un exemple de ce que cette crétinerie donnerait :
« Les candidat.e.s peuvent être des acteur.trice.s, des ingénieur.e.s diplômé.e.s ou non, mais expérimenté.e.s ».
Après que l’État ait, pendant des décennies, abruti nos enfants par des réformes aussi stupides que prétentieuses aboutissant à l’échec cuisant que l’on sait sur les fondamentaux que sont la lecture, l’écriture, et l’arithmétique de base (ne parlons pas de l’Histoire et de l’éducation civique…) ; après qu’il se fut acharné à niveler par le bas l’enseignement via l’objectif incongru de permettre à 80% d’une classe d’âge d’accéder au bac, on est presque surpris d’apprendre que Marlène Schiappa, « Secrétaire d’État en charge de l’égalité entre les femmes et les hommes » s’opposera à l’enseignement de cette ineptie à l’école, s’opposant ainsi aux « intellectuels de gauche » et féministes de tous poils qui font feu de tout bois pourvu qu’il s’agisse d’œuvrer dans le délitement de la culture française (qui, il est vrai, n’existe pas pour le Président de la République).
Le plus grave est que, selon un sondage Harris Interactive, 75% des français seraient favorables à ce projet ! On a du mal à le croire. Dieu merci, il semble que le Ciel nous ait doté cette fois-ci d’un ministre de l’Éducation un peu moins borné que le précédent, Jean-Michel Blanquer ayant déclaré que, « si la cause était bonne, il ne s’agissait pas d’un juste combat ».
Dont acte.
Dans la série « les bras cassés de la France en Marche » : Claire O’Petit !
On nous avait promis un renouveau de la vie politique, de nouvelles équipes, des « personnalités » issues de la « société civile ». On a vu ce que ça a donné.
La dernière en date est la commerçante Claire O’Petit, Grande Gueule à ses heures sur RMC (les mauvais esprits disent « la marchande de poissons », ce qui n’est pas charitable pour les poissonnières).
Elle vient d’être condamnée en appel avec interdiction de diriger, gérer, administrer ou contrôler directement ou indirectement une entreprise commerciale ou industrielle pour 5 ans.
5 ans… Tiens donc ! C’est justement la durée du mandat parlementaire qu’elle vient de recevoir. Elle va donc continuer de voter les lois alors qu’elle ne peut plus gérer une entreprise ? Va-t-elle démissionner ?
On a du mal à suivre.
Pour Hamidou Anne, « la France blanche et chrétienne, c’est fini ! »
Subsaharien musulman, soutien de la députée insoumise d’origine gabonaise Obono, ce « journaliste » publie le 16 octobre dans Le Monde un article dans lequel il prétend que, « au risque de terroriser certains petits esprits, la France blanche et chrétienne, c’est fini, terminé ».
On ne saurait être plus clair (si j’ose dire).
Mais imaginez un instant qu’un journaliste blanc et catholique écrive l’équivalent de cette provocation dans un quotidien d’Afrique subsaharienne musulmane… Ce serait pourtant justifié, puisque l’énergumène invoque pour « l’avenir du monde » le « métissage » inévitable.
Dans son petit esprit étriqué, n’y aurait-il que la France qui serait vouée au métissage ?
Mohammed Mahmoud, pirate et égorgeur somalien, futur réfugié en France ?
Encore une belle histoire de « Chance pour la France ».
Pirate, assassin, capturé par l’armée, après une trop courte peine de prison, il souhaite maintenant rester en France et ferait bien venir sa petite famille pour y vivre sans doute aux frais de la république.
Quand il a assassiné le skipper en 2009, il a commis son crime sous les yeux de la mère et du bébé de 3 ans, désormais orphelin de père.
Il en a 11 aujourd’hui.
Il va l’adopter ? Lui servir de Papa ? Épouser la veuve pour se racheter ?
N’en doutez pas, il se trouvera de bonnes âmes pour faciliter la « réinsertion » de ce salopard.
À moins que nous ne soyons tous vigilants, sur les Réseaux Sociaux pour empêcher cette ignominie.
Nous le serons.
Ainsi va le Monde, ainsi va la France, en ce mois d’octobre de l’An de Grâce 2017.
Il y a 100 ans, presque jour pour jour, la Russie plongeait dans le communisme pour 62 longues années, provoquant la mort de 60 à 80 millions de personnes…
Il se murmure que Macron envisage des festivités nationales pour la commémoration du cinquantenaire des événements de mai 68. Avec Cohn Bendit dans le rôle Monsieur Loyal…
On raconte aussi (et l’intéressé s’en flatte) qu’un poste de Secrétaire d’État aurait été proposé à Djammel Debbouze…
Le 19 octobre, lors de l’Émission Politique sur France 2 consacrée à Marine Le Pen (qui n’a guère plus brillé qu’entre les 2 tours de la présidentielle), Christophe Prudhomme, médecin urgentiste de la CGT, a justifié les agressions de pompiers par le fait… qu’ils étaient militaires ! Et si, après l’appel #balancetonporc, on lançait le hashtag #balancetoncollabo ?
Ça ferait du monde…
Ainsi se poursuit et s’accélère la décadence de la France…
Marc Le Stahler
(1) Rappelons que l’AFPA n’a évité la cessation de paiement après l’ouverture à la concurrence du marché de la formation en 2009 que grâce à l’injection (à fonds perdus, évidemment) de près d’un demi-milliard d’euros d’argent public et au plan Hollande de 500.000 entrées en formation qui, un court laps de temps, a fait croire à « l’inversion de la courbe du chômage », leitmotiv en forme de vœu pieux des années Hollande. Ainsi va la gestion de l’État et l’utilisation des fonds publics.