ET L’ÉGLISE, DANS TOUT ÇA ?
(Gérard Brazon)
Addendum : LE GRAND DANGER
(Luc Sommeyre)

Un ami Prêtre me remerciait récemment sur ma prise de position concernant la responsabilité des Églises chrétiennes. Il me remerciait de souligner le nécessaire engagement de L’Église catholique sur la récente arrivée de l’islam en France, et ses exigences de plus en plus fortes, et impératives.

Le fond de ma pensée est que l’on ne peut pas lutter contre une infection bactérienne sans un minimum d’antibiotiques. Les seuls, nécessaires, sont issus du fond culturel de la Nation. Il nous faut les puiser dans nos images fortes qui vont de Clovis à Jeanne d’Arc en passant par Charles Martel et bien d’autres qui ont poursuivi le combat.

En clair, il faut que l’Église catholique se transforme rapidement, et qu’elle donne envie à toute une jeunesse en manque de spiritualité, à la recherche d’une réalisation de soi, qui ne peut pas passer seulement par le consumérisme. Celui-ci n’est pas un tout. Dans une société publicitaire et mercantile, le message christique a du mal à passer : pas assez vendeur, au regard des marchands ! Pourtant, ce message christique du pardon, d’amour, de liberté de choix, de la fidélité à la famille, cette racine d’un peuple, pourrait être entendu.

Pour cela, il faudrait des prêtres plus vivifiants, plus modernes, déjà au niveau du langage. Moins pontifiants, et ennuyeux dans leurs discours souvent lénifiants, les paroissiens ne sont plus les mêmes qu’autrefois, à l’ère d’internet ! Des prêtres plus radicaux dans leur volonté de défendre une Église qui doit rester ouverte. Ce qui ne signifie pas une Église qui se couche à la moindre injonction politique.

La joue offerte ne veut pas dire le viol, ni l’autorisation de la violence. Elle ne veut pas dire non plus que la colère n’est pas naturelle, que la haine pour celui qui tue votre enfant n’est pas normale, si ce n’est légitime. Est-elle chrétienne, cette attitude de certains qui affirment que les tueurs n’ont pas droit à cette haine ? Jusqu’où doit-on se laisser piétiner ?

La laïcité, n’en déplaise aux laïcards gauchistes, est une valeur issue du christianisme, et ce, dès l’origine. « Rendez à César ce qui appartient à César, et à Dieu ce qui appartient à Dieu ».
(Paroles de Jésus aux Pharisiens au sujet de l’impôt romain !)

Il serait temps que les Prêtres et les Curés se réveillent enfin, et redonnent des armes spirituelles aux croyants.

Je rêve d’un Curé qui ne s’abaisse pas et affirme la force de sa foi qui ne peut être, en aucune manière, une soumission à l’islam.

Je rêve d’un prêtre qui dans ses oraisons, soulignerait la puissance de l’amour de son prochain, sans accepter les crimes de l’islam mortifère. (Coran 9:5 & 29 ).  Il y a dans le Coran, la possibilité de trouver et de démontrer que la foi d’un prêtre qui parle ainsi est juste, et surtout bien différente du message de mort que diffuse l’islam, à commencer par la Fâtiha qui, 10 fois par jour, rejette les chrétiens. “Guide-nous dans le droit chemin, le chemin de ceux que Tu as comblés de faveurs (musulmans), non pas de ceux qui ont encouru Ta colère (les juifs), ni des égarés (les chrétiens dit “associateurs”)”.

Dans ce réarmement spirituel, il devra y avoir une connaissance forte de ceux qui veulent combattre notre civilisation et garantir les fidèles d’une forte et juste certitude, qu’ils sont eux, dans la vérité.

Leur donner aussi des outils intellectuels et philosophiques pour les soutenir afin qu’ils puissent refuser, par exemple, qu’on leur impose la présence dans leurs Églises, les croyants d’une religion qui les méprise, et dont on sait que les Imams, en retour, n’accepteront jamais qu’une messe catholique se fasse dans leurs mosquées.

C’est là qu’au fond, se situe cette forme de trahison de l’Église d’aujourd’hui. Une trahison face au Christ lui-même, qui n’est pas mort pour que l’on déboulonne les croix commémoratives, celles des Calvaires, et que l’on démolisse sans réaction son Eglise dans nos villages et villes, sous le regard amusé des tenants de l’islam.

C’est à la suite à ces demandes qui nient nos valeurs, qu’une manifestation, organisée par le SIEL, aura lieu le 12 décembre à 18:30 devant le Palais Royal.

Soyons massivement présents !

Gérard Brazon 




LE GRAND DANGER

Que les Catholiques n’oublient pas qu’ils ont aujourd’hui deux Papes ! Le “Pape reclus” et le “pape-imposteur”.
La dernière fois que le phénomène s’est produit, on a pu en mesurer les conséquences…

Autre “SIGNE” aussi, sur lequel les Païens de l’Ancienne Tradition, dont je suis (très attachés à la « magie » que les benêts traitent par le mépris de l’ignorance) ont porté une attention particulière : quand SS Benoît XVI a (été) démissionné le 28 février, jour de la Saint Romain évoqué dans les prophéties de Nostradamus et de Malachie, la foudre s’est abattue par trois fois sur la Chapelle Sixtine.
Voir l’article du journal Le Parisien : http://www.leparisien.fr/pape-vatican/la-foudre-s-abat-sur-le-vatican-apres-la-demission-du-pape-12-02-2013-2561981.php. La vidéo a été supprimée sur leur site, mais EuroNews, repris par la BBC, vous permet de la visualiser sur YouTube : https://www.youtube.com/watch?v=vo4WW5USFKw.

Et justement… à propos de la foudre divine, vous remarquerez aussi que la lame du Tarot (reflet exotérique de magie divinatoire) nommée “la Maison Dieu” porte le nombre… XVI. Un hasard de plus sans doute. Pour découvrir la signification profonde de cet arcane majeur qui reprend les enseignements de la Cabale hérités de l’ésotérisme pharaonique (qu’on retrouve également dans la Bhagavad Gîta tibétaine et le Popol Vuh inca), cliquez sur ce lien : http://www.cabbale.org/Arcane-majeur-nombre-16-la-Maison.html.
Sur la lame 16 ci-contre, vous voyez la foudre divine (le Soleil − unique − étant l’allégorie de Dieu) frapper “la Maison Dieu” (le Vatican ?) et deux hommes jetés à bas de l’édifice (les deux Papes ? − là, c’est un peu moins sûr…).
“Cherchez et vous trouverez.” Peut-être…

Que les Catholiques soient assurés du soutien indéfectible des Païens, leurs ancêtres (que vous ne devez surtout pas confondre avec des athées ou des agnostiques) qui gardent enfermés les Secrets dans un Tabernacle d’émeraude.

Les Catholiques en effet, comme les Païens de la Vieille Europe, défendent la même Civilisation, dont l’apparente évolution n’est que le signe de la continuité. Eux et nous, nous battrons côte-à-côte, non pas “jusqu’au dernier”, mais jusqu’à la Victoire finale sur l’envahisseur.

Luc Sommeyre


Il serait intéressant pour tous − et honnête vis-à-vis de soi-même − que nos amis lecteurs qui “unlikent” un article (le néologisme est très vilain, mais aisément compréhensible), expliquent pourquoi, même brièvement.
C’est leur droit le plus strict ; chacun sait que MINURNE n’est pas un censeur.