ANA MARIA HIDALGO, LA SOCIALISTE QUI N’AIME PAS LES ROYALISTES
(L’Imprécateur)

Ana Maria Hidalgo : cette métastase du socialisme rance rendit récemment hommage à un tortionnaire vicieux qui utilisait ses maigres connaissances médicales pour indiquer aux bourreaux comment faire souffrir plus intensément les condamnés à mort avant de les exécuter. “El Carnicerito” (le petit boucher, son surnom dans les prisons où il torturait) tua lui-même (archives documentées de la prison de La Cabana à Cuba avec les noms et les dates d’exécution) plus de deux cents prisonniers, sans jugement préalable. Il se justifiait en disant qu’il en avait reçu l’ordre écrit de Fidel Castro.

Ernesto Guevara a eu droit à une exposition à la mairie de Paris et à un discours dithyrambique où la migrante hispano-française fit un éloge appuyé de ce criminel psychopathe, qui écrivait à sa mère pour justifier la nécessité de « beaucoup tuer », et se vantait du plaisir qu’il trouvait à assassiner.

Et « elle » se permet de refuser l’enterrement au cimetière du Montparnasse de l’un des plus célèbres de nos académiciens, Michel Déon, parce qu’il était royaliste.

Atlantico a publié sur le sujet l’article suivant :

“L’académicien Michel Déon a eu le mauvais goût de mourir en Irlande. Ce qui fait que, selon les règles administratives, rien n’oblige la mairie de la capitale à lui accorder une sépulture dans un cimetière parisien. Rien n’oblige mais à cette règle, une municipalité a le droit de déroger en faisant des exceptions. Des exceptions qui concernent des cas particuliers.”

Des hommes et des femmes illustres. Des célébrités. “Des à qui” la nation est reconnaissante. Mais pas question de faire une exception pour Michel Déon.

Michel Déon

L’homme, un des plus talentueux écrivains de l’après-guerre n’était pas fréquentable. Il était ardemment royaliste. Il appartenait à la bande des Hussards : Blondin, Nimier, Laurent… Et, crime des crimes, il fut un temps secrétaire de Charles Maurras !

L’auteur du Taxi Mauve avait demandé à être incinéré. Son urne funéraire se trouve au domicile de sa fille à Paris. Cette dernière, Alice Déon a invité la mairie de la ville à lui trouver une place au cimetière Montparnasse. Pas de réponse de la mairie. On n’allait quand même pas se bouger pour une inconnue…

Alors l’Académie Française fit une démarche officielle dans le même sens. Là, on a répondu. Dans un mail – c’est Le Figaro qui rapporte les faits – la directrice de cabinet d’Anne Hidalgo, Ivoa Alavoine répond “niet”. Et quand on lui fait observer qu’une personnalité aussi importante que Michel Déon mérite peut-être une exception, elle précise que ce n’est pas possible car ça créerait un “précédent” !

Ben oui ! Imaginons que des cohortes d’académiciens aient la fantaisie d’aller mourir au Lesotho, dans les îles Tonga, à Bahreïn, en Mongolie ou au Népal… Mais s’ils choisissent intelligemment d’aller trépasser à Cuba ou au Venezuela, ça peut s’arranger non ? Anne Hidalgo, la Mère Ubu de la mairie a, en la personne d’Ivoa Alavoine, une digne fille Ubu. (Elle est si stupide que le petit personnel de la mairie la surnomme “Elle va à l’avoine” ! Ivoa est un prénom masculin d’origine hawaïenne qui signifie “le javelot”. Ivoa Alavoine est-il-elle un garçon ou une fille, la mairie de Paris étant un repère d’homos, gouines, bi et trans, va savoir ? (ndlr)

Très remontée, Hélène Carrère d’Encausse a appelé Anne Hidalgo. Cette dernière n’a pas daigné décrocher. L’académicienne a retéléphoné en demandant que la maire de Paris la rappelle. Rien non plus. Nous vivons une époque où une Anne Hidalgo, qui n’est pas grand-chose, peut se permettre de traiter avec dédain une femme qui fait honneur à la pensée française.

NB : Alerté par le bruit fait autour de cette affaire, Bruno Julliard, chargé de la Culture à la mairie de Paris a fait savoir que la question “serait réglée dans les dix jours”. Il est sensiblement moins bête que sa patronne. Ce qui n’est pas très difficile…”

Voir : http://www.atlantico.fr/decryptage/anne-hidalgo-refuse-sepulture-parisienne-michel-deon-normal-etait-royaliste-3304603.html#U9wsQ7dxLttEDBmE.99

L’Imprécateur
11/02/2018