Le froid glacial de février a particulièrement surpris les « toutes-zé-tous » convaincus par le GIEC, MÉTÉO-FRANCE, le président Macron et son gouvernement, que nous allons vers un réchauffement inéluctable qui doit éradiquer toute gelée et toute chute de neige dans un avenir déjà à nos portes, noyé par la montée des eaux chaudes des océans gonflés par la fonte des glaces.
« L’influence du CO2 sur le climat ne fait aucun doute » selon le GIEC, patchwork de beaucoup de fonctionnaires disciplinés et de quelques scientifiques qui semblent ignorer plusieurs choses :
I − La composition de l’atmosphère : Globalement, l’air est composé d’Azote à 78%, d’Oxygène à 21% et d’Argon à 1%. Dans la basse atmosphère, on trouve de plus deux gaz à teneur variable : la vapeur d’eau (de 1% en Sibérie à 5% dans les zones maritimes tropicales) et le dioxyde de carbone (CO2) à 0,035% en moyenne. Le CO2 n’est donc présent qu’à l’état de traces quasi-infinitésimales (99,965% pour l’ensemble des gaz hors CO2) soit 0,035 de CO2. Même si sa quantité était multipliée par 10 (à 0,35%, ce qui est loin d’être le cas) elle serait encore bien incapable de jouer le rôle de pollueur-réchauffeur dramatique qu’on lui prête.
Cette réalité mesurable n’a échappé qu’à une certaine coterie de politiciens et de journalistes :
- les premiers, parce qu’il est fort commode d’inventer un prétexte pour créer des impôts et taxes « verts » qui évitent d’avoir à traiter les problèmes de la dette et de l’obésité budgétaire de l’État,
- les seconds par ce qu’ils sont payés (subventions substantielles et avantages fiscaux exorbitant du droit commun) pour obéir aux premiers.
II − La teneur en CO2 de l’atmosphère ne fait que baisser depuis – 600 millions d’années, à l’exception d’un rebond entre – 300 et – 200 millions. Le léger rebond actuel n’est qu’un minuscule incident de l’histoire du CO2.
III − L’histoire du climat est composée d’une succession de périodes froides d’environ 100.000 ans, entrecoupées de brèves périodes de réchauffement d’environ 10.000 ans. La dernière période de réchauffement commencée il y a 11.000 ans arrive donc à son terme, et quoi que nous fassions (en saturant l’atmosphère de CO2 par exemple) nous ne pourrions retarder l’arrivée de la prochaine période glaciaire que de quelques dizaines ou, au pire, centaines d’années.
Évolution de la température de la Terre dans les 800.000 dernières années :
En examinant la phase finale de la courbe ci-dessus, on constate (faire des constats plutôt que des « modèles informatiques » est ce qui manque le plus aux crétinoïdes du GIEC) que nous avons pris environ 10° en 13.000 ans (de – 11.000 à + 2018) soit moins de 1° par an. Et qu’avec 16,5° nous sommes encore très loin des 19° du précédent réchauffement climatique d’il y a 100.000 ans.
En examinant la fin de la récente période glaciaire de Würms [1], on voit nettement la courte glaciation d’il y a – 60 à – 50.000 ans qui, en provoquant une baisse des océans, a permis aux Négritos [2] partis d’Afrique de franchir la Mer Rouge à la hauteur d’Aden (traces archéologiques), de coloniser d’Inde (les Adivisis du centre de l’Inde).
Les uns remontèrent vers le nord pour arriver jusqu’en Chine (les « petits hommes noirs aux yeux jaunes » des légendes chinoises) et à Taïwan il y 20.000 ans (site archéologique de la grotte de Ba Hsien).
Les autres poursuivirent vers le sud-est pour arriver aux îles Andaman (les « Hanuman » dont plusieurs tribus existent encore), en Malaisie et aux Philippines (environ 150.000 Négritos, Batak, Aewas, etc.), en Indonésie, en Australie (10 tribus aux Cape York – traces archéologiques en Australie occidentale), en Papouasie (300.000 Négritos repoussés par les Papous sur les Hauts-Plateaux), aux Îles Salomon, à l’archipel de Vanuatu (une tribu sur l’île de Santo, une autre à Mallicol – qui utilise encore la langue écrite des Tchokwe du Mozambique d’où ces Négritos sont originaires), en Nouvelle-Calédonie (les Életok de Maré exterminés par les Kanaks au XVIIIème siècle).
On voit aussi la seconde courte glaciation de la période « – 20 à – 15.000 ans » qui a permis aux Austronésiens d’arriver à leur tour à pied sec en Australie (Aborigènes), en Papouasie (Papous) et en pirogues pontées dans toutes les îles du Pacifique (Canaques, Polynésiens, etc.). [Voir la carte d’influence linguistique ci-dessus]
[cliquez sur l’image pour agrandir]
… comme pour toutes les images et les graphiques que nous publions
IV − La température de la Terre n’est pas déterminée par la teneur en CO2. C’est le parallélisme des courbes à toutes les époques centimillénaires de réchauffements climatiques qui a induit les scientifiques paresseux et naïfs du GIEC en erreur, mais les variations de l’ensoleillement.
Sans les variations des ellipses solaires, la Terre ne serait pas à une température moyenne de + 16°C, mais à – 18°C en permanence. En réalité, c’est la variation de la température sur la Terre qui produit des bouffées de CO2 en période de réchauffement, ainsi que la montée et la baisse des océans. L’Homme n’y est pour rien. Les causes de ces variations de l’ensoleillement sont ce que l’on appelle « les paramètres de Mitulin Milanković ».
Elles sont très clairement expliquées dans la vidéo ci-dessous. Regardez-la et vous aurez compris pourquoi COP21 et les autres COP n’ont rien d’un prétendu « sauvetage de la Planète », qui survivra au réchauffement comme elle l’a toujours fait. Ces mascarades ne sont que de vastes PIÈGES À IMPÔTS & TAXES pour enrichir la classe politique internationale et les budgets des États aux dépens des citoyens.
On comprend tout l’intérêt personnel et financier que les politiciens de haut vol (directement) et les journalistes (indirectement parce qu’aux ordres) trouvent au réchauffement climatique. Il suffit de voir le budget de MÉTÉO-FRANCE pour comprendre : 405 millions en 2016 pour 3.700 salariés ; personnel : 260 millions ; coût moyen du salarié : 66.000 € brut dont 42.000 € net pour le salarié. De gros salaires additionnés de toutes sortes de petits avantages financiers à la limite de la légalité, dénoncés déjà à quatre reprises par la Cour des Comptes. De plus, les horaires de travail sont cléments : 30 heures par semaine, encore plus avantageux que ceux de la Sécurité Sociale ! Si budgets et effectifs ont pu être multipliés par 7 en vingt ans, c’est grâce au filon du réchauffement climatique. En cette période de contraintes budgétaires, ce n’est pas le moment de s’en priver !
Celui de « scientifiques » est moins compréhensible, puisqu’ils ont tous les éléments pour comprendre que nous sommes à la fin d’une période de réchauffement et que nous allons droit vers une nouvelle glaciation.
L’Imprécateur
01/03/2018
[1] https://fr.wikipedia.org/wiki/Glaciation_de_W%C3%BCrm
[2] « Négritos » désigne des populations de petite taille, à peau noire et aux cheveux crépus, vivant dans trois zones géographiques du sud-est asiatique : les îles Andaman, la péninsule Malaise (partagée entre la Malaisie, la Thaïlande et la Birmanie) et les Philippines.
Ces populations descendent des premiers humains modernes arrivés dans la région il y a plus de 50.000 à 70.000 ans. Les analyses génétiques montrent qu’au-delà de leur ressemblance physique, les différents groupes ne sont apparentés que de façon très vague et ancienne, indice probable de vagues de migrations distinctes. Cependant, chaque groupe possède un ensemble génétique très homogène d’ADN mitochondrial (mtDNA), indice d’un isolement de longue date. Leur ADN mitochondrial sert donc de base à l’étude des dérives génétiques.
Publié au Québec : http://www.les7duquebec.com/actualites-des-7/le-mythe-du-consensus-climatique-seffondre/