« LES BRIGANDES » : COUP DE TONNERRE DANS LE CIEL DE BOURGOGNE
(Luc Sommeyre)

Ce dimanche 10 juin, « Les Brigandes » ont tenu leur deuxième concert public à guichets fermés dans le petit village de La Guiche, en Saône-et-Loire, à 30 km au nord-ouest de Cluny.

Public enthousiaste et salle archi-comble, au grand dam des médias politiquement corrects.

Joyeuse reprise en chœur de leur tube-fétiche : « Foutez l’camp ! ». Vous pouvez vous délecter de leurs chansons sur YouTube. Pour celles tombées sous le couperet de la censure, comme “La Complainte de BHL” et d’autres qui n’ont pas l’heur de plaire au Système, voir leurs sites Internet :
https://lesbrigandes.com/
et https://le-clan-des-brigandes.fr/.

Nous avons eu le plaisir d’accueillir, outre une délégation de camarades venus d’Allemagne, nos amis Christine Tasin (Résistance Républicaine) et Pierre Cassen (Riposte Laïque) ainsi que Richard Roudier et ses fils Olivier et Martial (La Ligue du Midi).

Le concert était dédié à notre camarade Tommy Robinson, fondateur de la “English Defense League” emprisonné le 29 mai dernier pour 13 mois par la police de la pensée britannique. Signez la pétition pour sa libération. Voir : https://minurne.org/billets/16207

En avant-première nous a été offerte une chanson en hommage à Jean-Marie Le Pen qui fête joyeusement son 90ème anniversaire entouré par ses nombreux amis. Non pas au politicien, mais à l’homme, à ce Menhir qu’aucune attaque sournoise n’a pu faire courber.

 

Qui sont « Les Brigandes » ?

◊ Une « secte » ? – Voilà un groupe de jeunes femmes gracieuses, rieuses, élégantes et fort sympathiques qui décochent des flèches acérées sur les cibles de leur choix avec la dextérité de Diane Chasseresse. Les crapauds pustuleux de la Bienpensance et autres culs-bénis qui ne valent guère mieux, les accusent de « sectisme ». Connaissent-ils au moins la signification de ce mot ? – Diatribe perverse s’il en est. Les Brigandes (et « leurs Brigands » !) ont choisi de vivre près les uns des autres, formant une communauté – qu’ils appellent leur « Clan » – dans le petit village de La-Salvetat-sur-Agoût dans l’Hérault. Mariés ou vivant en couple (horreur ! que les culs-bénis les pardonnent) ils élèvent leurs enfants de la plus belle façon, qui aurait ravi Michel de Montaigne. Ils et elles leur enseignent le Français (ben oui…), l’Histoire (la vraie) et toutes disciplines propres à leur prodiguer une éducation saine et complète, sans négliger les technologies les plus modernes.

◊ Une secte… « raciste » ? – Une absurdité de plus que les Bienpensants politiquement corrects se complaisent à éructer. Avoir foi en son Peuple, respecter et tenir compte de l’héritage des Ancêtres dont ils vénèrent la mémoire les auraient-ils rendus xénophobes ? J’ai pris la liberté de leur adresser un papier que j’avais rédigé en 2015, dénonçant mon propre « racisme ». Notre philosophie est semblable. Défendre sa Race n’a jamais été marque de xénophobie mais preuve de la prise de conscience de nos différences pour mieux nous comprendre.

◊ Une secte raciste dirigée par un « gourou » ? – Ah oui, j’oubliais ! Les paroles et mélodies de leurs chansons sont de la facture de Joël LaBruyère, que les crapauds susnommés appellent leur « gourou ». Qui est LaBruyère ? – Un homme de génération plus avancée que celle de nos Brigandes et Brigands, fort cultivé et affable, qui joue des notes et des mots avec une âme de Troubadour. Son expérience de la vie et du combat, sa gentillesse et sa culture en ont fait leur « inspirateur ». Mais il est vrai que respecter les anciens et profiter de leurs expériences placent celles et ceux qui les écoutent dans une position de soumission abominable ! Voilà bien ce que cherchent les diables du mondialisme : briser la solidarité des générations. Une sorte de lutte des classes générationnelles inspirée du marxisme. Entre autres…

◊ Une secte raciste dirigée par un gourou “sataniste” ? − Que l’on soit bien clair. Ces jeunes femmes et jeunes hommes sont Catholiques et/ou Païens, ce qui n’est pas incompatible n’en déplaise aux incultes. Ils vivent entre eux sans jamais fermer leur porte à quiconque, dans l’amour de Dieu et de la Nature. Un crime !

 

Le concert en Bourgogne

Cette réunion festive était organisée par LE RÉVEIL DE BOURGOGNE, association en voie de formation qui lutte pour le bien-vivre en Bourgogne et s’oppose à l’immigration sauvage, programmée et déstabilisatrice, ainsi qu’aux directives extérieures qui lui portent préjudice.

« À Rome, fais comme les Romains ! » [1] proclame un document distribué par les fondateurs du « Réveil de Bourgogne ».

L’association est ouverte aux Bourguignons et à tous les amis de la Bourgogne.
Adhésion annuelle : 10 € – Soutien : 30 € – Bienfaiteur : à partir de 50 €.
Internet : reveil.de.bourgogne@gmail.com
Tél. : 06 12 85 83 89
Soutenons-les !

 

Les médias mainstream à l’œuvre

Le JSL (Journal de Saône-et-Loire) a consacré la première page à l’évènement, avec une grande photo intitulée « Intrigantes chanteuses ». Il faut avouer que ce concert a décoiffé le public bourguignon, visiblement enchanté de laisser entendre sa voix profonde face aux attaques et agressions multiples dont sont victimes nos compatriotes au quotidien.

Dans son long article (une page entière avec photos), Benoît Montaggioni, a laissé s’épancher toutes les complaintes et geignardises d’un Système à l’agonie. Mais nous ne lui en voulons nullement : c’est bien ce Système qui le paye et dirige la ligne éditoriale de toute la presse conformiste (pléonasme s’il en est…). Bien sûr a-t-il usé des mots-qui-tuent : « fachosphère », « extrême-droite », « conspirationnisme » et même « secte » (!), n’omettant aucun des poncifs d’une Bienpensance chancelant au bord de la tombe. Le gros titre du JSL a quand même été payant pour le journal : lundi à midi, il ne restait plus aucun exemplaire en vente au point de distribution du « gros village » tout proche, Saint-Bonnet-de-Joux, et quelques-uns seulement au Super-U local. Ce matin, on comptait déjà plus de 20.000 clics sur l’article du JSL. Du jamais vu !

La Rédaction a quand même eu l’honnêteté de publier une interview d’Antoine Duvivier, porte-parole des Brigandes :

« Le terme “secte” est utilisé par nos ennemis et les grands médias du Système qui veulent nous diaboliser. Nous nous définissons comme un “clan” : c’est-à-dire un regroupement de familles qui vivent dans une même zone géographique, qui ont des valeurs communes et un système social commun.
« Le mot “extrême-droite”, comme le mot “secte”, c’est un mot fourre-tout dans lequel on met tout ce qui dérange. C’est ridicule. Qu’est-ce que ça veut dire, “extrême-droite” ? – Extrêmement à droite ? Extrêmement libéral ? On ne se reconnaît pas là-dedans ! On est peut-être plus anticapitalistes que les communistes. Nous, notre message, c’est le rejet du Système et la défense de la liberté, de la nature et de la vie. »

 

La publication de l’interview d’Antoine Duvivier est révélatrice

Depuis que les grands médias nationaux ou locaux (vivant en grande partie de subventions, donc « aux ordres » de leurs commettants), sentent tourner le vent, ils prennent conscience peu à peu que leur lectorat risque de leur échapper. Conséquence : ils appuient – il est vrai, très doucement encore – sur la pédale de frein pour éviter de verser au fossé dans le prochain virage de l’opinion qu’ils voient se profiler sur l’écran de leur GPS. Pour le moment, la route est courbe. Mais le virage en épingle-à-cheveux est à l’horizon. Prudemment, les rédacteurs-en-chef réduisent la vitesse…

 

Nous sommes hyper-majoritaires en France !

D’après les sondages du Ministère de l’Intérieur (non publiés), 76% des Français sont favorables à la tenue d’un référendum sur l’immigration. Pour voter OUI à la politique migratoire ? – Je n’en suis pas convaincu…

Alors ? – Qu’attendent les Français pour faire exploser cette chape de plomb dont les recouvre le Système avant qu’il soit trop tard ?

 

Luc Sommeyre
12/06/2018

 

[1] Expression attribuée à Ambroise de Milan au IVème siècle. Lorsqu’Augustin lui aurait demandé si le jour de repos devait se prendre le samedi comme à Milan ou le dimanche comme à Rome, Ambroise lui répondit « si fueris Romæ, Romano vivito more ; si fueris alibi, vivito sicut ibi » qui signifie : « Si tu es à Rome, vis comme les Romains ; si tu es ailleurs, vis comme on y vit ».
Une locution qui revêt aujourd’hui une acuité toute particulière…