LETTRE DE PRISON
(Tommy Robinson)

Quand ils sont venus chercher les communistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas communiste.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas syndicaliste.
Quand ils sont venus chercher les juifs, je n’ai rien dit, je n’étais pas juif.
Quand ils sont venus chercher les catholiques, je n’ai rien dit, je n’étais pas catholique.
Quand ils sont venus chercher les francs-maçons, je n’ai rien dit, je n’étais pas franc-maçon.
Quand ils sont venus me chercher, il ne restait plus personne pour protester.

Martin Niemöller


Saviez vous qu’il y avait des prisonniers politiques en Grande Bretagne ?

Tommy Robinson a été arrêté et emprisonné pour avoir parlé des gangs pédophiles musulmans.

Un travail qu’il a choisi de faire au détriment de sa propre sécurité pour informer le public des horreurs commises au nom d’Allah.

Envers et contre tout, il fait le travail d’information que les médias de masse refusent de faire.

Tommy parle de problèmes affectant toutes les communautés, mais qui sont pourtant passés sous silence et cachés du grand public. Il est temps que nous soyons forts et solidaires, et que nous le soutenions.

(Voir en fin d’article le communiqué du Conseil National de la Résistance Européenne − CNRE)


LIBÉREZ TOMMY ROBINSON !

Pour l’aider, signez la pétition qui a déjà recueilli près de 628.000 signatures !

Pour accéder à la pétition, cliquez ICI


LETTRE DE PRISON DE TOMMY ROBINSON

 

« Nous y revoilà donc. C’est dimanche soir 10 juin 2018, les nouvelles des scènes magnifiques qui se sont déroulées à Londres hier soir me parviennent, mais avant que je commente les aspects positifs de ces événements, je veux d’abord parler des aspects négatifs. Je veux partager avec vous des extraits de la lettre de ma femme :

« L’école m’a téléphoné avant que je parte au travail pour me dire que Spencer (le fils de Tommy ndlr) n’allait pas bien à l’école, qu’il ne gérait pas du tout et qu’il pleurait à la moindre occasion. Son copain Sam lui a dit : “je vais faire du cross avec mon père” et Spencer lui a répondu: “bon, moi je peux pas faire ça avec le mien” et il est parti en pleurant. Il a pleuré jusqu’à ce qu’il s’endorme. Il dort avec ton oreiller et me demande à longueur de journée “quand est-ce qu’il rentre, Papa ?”. Je ne peux même pas lui donner de date approximative puisque tu n’en as pas non plus ! Je me contente de lui répéter que c’est pour bientôt, que ça ne sert à rien de pleurer et qu’il doit se montrer courageux pour que tu sois fier de lui. Hier soir, il m’a dit : “Je vais faire quelque chose de mal comme ça je serai en prison et je pourrai voir Papa.”

« Je ne vais pas mentir : cette nouvelle m’a brisé le cœur. Il y a une semaine, la prison m’a enlevé le numéro de téléphone de ma femme. Je n’ai donc pas pu parler à mes enfants. Ce qui me bouleverse aussi, c’est de penser que mon fils pense que si je suis en prison, c’est parce que j’ai fait quelque chose de mal. Plutôt que m’apitoyer sur moi-même, je devrais mettre cela en perspective : je ne suis pas chez moi pendant une courte durée. Les enfants de soldats vivent tout le temps de telles situations. C’est pour cela que j’admire leurs sacrifices passés et présents. Je ne m’étends pas trop longtemps sur mon affaire car nous venons d’introduire un recours. Ce dont je veux parler, c’est de ce que vous m’avez apporté.

« Quand je me suis retrouvé dans cette prison, j’étais dégoûté. Écœuré de ce que ma famille allait devoir traverser, dégoûté pour ceux avec qui j’étais en contact et qui comptaient sur moi pour raconter leur histoire. J’étais également sûr que je serais tué en prison. Quand j’étais leader de l’English Defence League, j’ai été condamné en 2012 à 10 mois de prison. Pour ma propre sécurité, j’ai été mis en isolement pendant 22 semaines. Je pense que c’est parce que le gouvernement craignait des soulèvements dans les rues si j’étais tué en prison. En 2013, le soldat Lee Rigby a été décapité ; le Gouvernement a pu voir qu’un soldat pouvait être décapité sans que personne ne réagisse.

« En 2014, j’ai été envoyé en prison pour 18 mois. J’ai été littéralement livré aux chiens. Roué de coups par des prisonniers musulmans, j’ai eu de la chance de m’en sortir vivant. Le gouvernement savait que je pouvais mourir sans que quiconque n’intervienne. Ce fut un moment terrible pour moi de me rendre compte que si j’étais tué, ma mort passerait inaperçu. Je me suis rendu également compte que ma famille ne recevrait aucun soutien pour ses besoins ou sa sécurité.

« OH MAIS QUELLE DIFFÉRENCE EN QUATRE ANS !

« Dès les premières 24 heures de mon arrivée ici, j’ai  appris que des milliers de personnes manifestaient devant le 10 Downing Street. Que votre pétition avait récolté 100.000 signatures, maintenant nous en sommes à 300.000.  Ensuite un demi-million. J’ai entendu dire que des manifestants escaladaient les grilles de la maison du Premier Ministre. Je pensais que ceux qui me rapportaient ces nouvelles se trompaient, qu’il s’agissait d’une manifestation pour la liberté en général. Je ne me doutais pas qu’il s’agissait d’un combat pour “MA” libération.

« Incarcéré les premiers jours au milieu de musulmans, j’étais en danger quand quelque chose a changé. J’ai été soustrait de ma cellule et de mon quartier, et mis seul dans une cellule, en sécurité. Je pense que c’est lorsque Lord Pearson (homme politique, ancien dirigeant de l’UKIP − ndlr) a pris la parole au sujet de ma sécurité. Il m’a certainement sauvé la vie.

« J’ai ensuite su que des mouvements de protestation se propageaient partout dans le monde. J’ai su que la parole se libérait chez beaucoup de gens qui pendant des années étaient restés silencieux, hommes politiques, policiers, avocats. Je suis profondément  ému de savoir que 20.000 personnes  ont manifesté ce week-end à Londres leur solidarité. Je suis abasourdi par la réaction du public. Je me sens aimé. Aimé et reconnu.

« Je reçois tous les jours des centaines de lettres et mails. Je lis chacun d’eux et vous en suis très reconnaissant. Je tiens à remercier chacun d’entre vous qui m’a soutenu. Je sais combien il est difficile de parler. Je sais que beaucoup, pour m’avoir soutenu, ont dû subir des conséquences, de la part d’amis ou au travail, et je vous en suis très reconnaissant. Il n’y a plus de liberté d’expression quand on doit subir des conséquences sociales.

« Je suis heureux, heureux que cette peine de prison ait eu des conséquences pour l’establishment, heureux que le public ait montré les conséquences que ma mort aurait entraîné. Je dis depuis longtemps qu’un jour, on ne sait quand, notre nation changera de cap.

« J’y pense beaucoup et je suis sûr que je mourrai à cause de l’islam.

« Ceci m’effraie, mais pas autant que de savoir que ma mort n’aurait eu aucune conséquence. À présent, je souris, soulagé de savoir que ma mort entraînerait une révolution. Je ris, ce qui peut sembler fou, mais de savoir cela m’apporte une grande satisfaction.

« J’ai toujours dit que je donnerais ma vie si cela pouvait arrêter la prise de pouvoir de l’islam sur mon beau pays. Notre bataille n’est pas aussi simple que contre la chair et le sang mais nous nous battons contre un système, un système corrompu. La prison laisse beaucoup de temps pour réfléchir. Nous ne pouvons plus rester chacun dans notre coin, nous devons unir nos voix et nos mouvements dans l’action politique. J’ai beaucoup de projets après ma sortie de prison. J’ai été très heureux de savoir que Geert Wilders est venu parler à Londres. C’est lui qui m’a inspiré quand j’ai commencé mon action de militant.

« Je ne peux pas établir la liste de toutes les personnes que je veux remercier mais je sais qu’Alex Jones d’Info Wars mènerait la lutte pour ma libération. il me fait rire et je l’adore. Gerard Bitten de UKIP, Lord Pearson, Raheem Kassam, Katie Hopkins, mon cousin Kevin Carroll, Donald Trump Jr. pour ses tweets. J’aurais fait six mois rien que pour ça.

« La liste serait encore longue, je remercierai en bonne et due forme à ma libération. Enfin, je tiens à remercier par-dessus tout ma femme.

« Quand j’ai enfin pu lui parler au téléphone je lui ai demandé, en plaisantant, si elle n’en avait pas assez de tout ça. Je n’ai pas été un mari génial mais elle a été une épouse et une mère parfaites. Je ne pourrais pas survivre à cette épreuve sans ma famille.

« Si vous lisez cette lettre en ligne, sachez que JE VOUS AIME et que VOUS ME MANQUEZ. Mes potes vont me chambrer pour cette putain de lettre sentimentale. Beaucoup de gens me disent que je leur donne de l’espoir mais je tiens à vous dire que vos réactions, que ce soient votre soutien à ma famille, la prise en charge des frais de justice, ou le partage de vidéos, vous m’avez donné de l’espoir et un sentiment sans nom.

« Veuillez excuser mon écriture. Ma main me fait mal parce que je rédige des notes pour mon prochain livre sur lequel je travaillais avant d’être emprisonné. Le titre provisoire en est : Battle for Britain.

« Il s’agit en gros de mettre à jour l’Ennemi de l’État et de présenter une vision de l’avenir. Je remercie donc Sa Majesté de me donner le temps d’y travailler.

« C’est formidable de savoir qu’il y a d’autres manifestations prévues, c’est formidable de savoir que je ne suis pas oublié et que leurs tentatives de me faire taire n’ont pas marché.

« C’est lundi, et je viens de regarder Love Island. On a remis le numéro de téléphone de ma femme dans les données et j’ai pu parler à mes enfants. Je suis moins stressé et plus détendu. Mes enfants vont venir me voir très bientôt.

« Merci à tous de votre soutien. C’est votre protestation et vos réactions qui me garderont en sécurité. Je tiens à ce que vous sachiez combien je suis motivé et reconnaissant. J’espère que Lord Pearson et Gérard Batten m’écriront et, les potes, si vous lisez cette missive, demandez à Gérard de venir avec vous à la prison de Hull. Mes appels ont abouti, appel du verdict, appel des conditions d’emprisonnement et appel concernant la caution. Merci de tout cœur à Pauline Hansen, merci à l’AfD pour leur offre d’asile.

« L’establishment pensait clore le livre. Au contraire, le public vient d’ouvrir un nouveau chapitre.

« Amitiés et remerciements à tous.

« Papa, Maman, désolé de ce stress que je vous cause.

« Merci au monde libre.

« C’est mardi. On me change de prison. Mes enfants ne me verront pas ce week-end. »

 

Traduction de Florence Labbé
05/06/2018


Communiqué N° 28 du
Conseil National de la Résistance Européenne
(26 mai 2018)

 

La condamnation de Tommy Robinson

Les droits de l’homme dévorent les droits de l’homme. La démocratie avale tout cru la démocratie. Le remplacisme global sacrifie tout, justice, morale, dignité, apparences, à la passion qui le consume, son unique objectif : changer de peuple, instaurer l’homme remplaçable et le remplacer par son remplaçant, accélérer la production de la Matière Humaine Indifférenciée. Au seul profit obsessionnel de l’immigration de masse et de la substitution ethnique, du Grand Remplacement, les plus anciennes patries de la liberté deviennent des tyrannies, le pays de l’habeas corpus renie tous les principes du droit, l’Angleterre jette en prison ses propres enfants et ses derniers défenseurs, les offrant ainsi en holocauste au monstre islamiste qui la détruit.

Tommy Robinson est incarcéré pour avoir dit la vérité et couvert de honte ce faisant tous ceux qui se taisent depuis des années face à des crimes effroyables, qui à leurs yeux n’en sont pas, ne peuvent pas l’être, puisqu’ils sont commis par des innocents par nature, les remplaçants, qu’il est raciste de dénoncer. La Grande-Bretagne remplaciste et à demi-remplacée déjà aime mieux livrer ses héros à ceux qui vont les tuer comme ils la tuent elle-même que de décevoir les industriels et financiers de la MHI, complices et commanditaires de l’islamisme. Tout ce qui reste de l’Europe indigène, résistante et anticoloniale est indigné du sort promis par les siens à l’une de ses plus courageuses figures. Puisse Robinson comprendre en cette épreuve, dans laquelle il a notre soutien unanime, qu’il n’est pas seul et ne doit pas l’être. Nous ne vaincrons qu’unis.

 

CNRE