Aquarius est un ex-garde-côtes allemand, maintenant propriété de l’entreprise allemande « Jasmund Shipping » qui l’a immatriculé à Gibraltar (paradis fiscal) et le loue à « SOS Méditerranée » (ONG grassement subventionnée). Il est basé à Catane en Sicile où il attend, rarement plus de quelques heures, que lui soit signalé en quel point précis de la côte libyenne il doit aller chercher son fret : des humains que « Jasmund Shipping » facture aux ONG 3.000 € par tête pour le transport d’Afrique en Europe.
Car il va de soi que, ces pauvres Noirs n’ayant pas les moyens de payer leur transport : c’est que quelqu’un d’autre paie pour eux.
C’est là que les choses deviennent obscures.
Mais ce qui est certain, c’est que depuis le départ de leur village jusqu’au débarquement dans les ports de l’Europe, ils n’ont pas déboursé un sou, ce dont ceux d’entre eux qui acceptent de parler malgré qu’on leur ait fermement recommandé de « la fermer » conviennent sans hésiter. Voir : https://www.delitdimages.org/les-ong-vont-chercher-les-migrants-jus.
Le schéma est le suivant
Des rabatteurs payés par les « ONG humanitaires » repèrent dans les villages majoritairement sub-sahariens et d’Afrique occidentale des jeunes hommes de préférence vigoureux, comme le malien Mamoudou Gossama. Ils leur font miroiter une vie formidable en Europe qui leur permettra de vivre confortablement et d’envoyer de l’argent à leurs familles. Un pourcentage de jeunes femmes et d’enfants − de l’ordre de 10% de l’effectif − y est ajouté pour avoir de quoi faire des photos et des vidéos de propagande dramatiques en cas de problème. Elles feront pleurer les foules occidentales pour convaincre les peuples européens et leurs gouvernements qu’il est inhumain de refuser l’accueil à ces pauvres « réfugiés-naufragés »
Ce schéma « idéal » est un DOUBLE-MENSONGE
Ils ne sont ni réfugiés (mais migrants économiques), ni naufragés (puisque leur naufrage-sauvetage est soigneusement programmé).
Chassez le naturel…
Chargés en surnombre dans des camions, ils sont acheminés en Libye. Là ils sont enfermés dans des conditions inhumaines, voire des cages, et un tri est effectué. Une partie des jeunes mâles et les plus jolies des filles sont achetés par des trafiquants arabes qui les revendent à d’autres esclavagistes arabes jusqu’en Arabie et dans certains Émirats.
Il s’agit là de la perpétuation de la multiséculaire traite d’esclaves arabo-musulmane autorisée par le Coran.
« Contre-mesure » soigneusement prévue d’avance
Les Africains réalisent alors qu’ils se sont fait avoir. Mais les négriers-passeurs leurs expliquent (les braves gens !) qu’ils vont les sauver des griffes des libyens esclavagistes que Kadhafi faisait fusiller autrefois avant que les Occidentaux n’organisent le lynchage ignoble de Kadhafi.
Les Africains se montrent donc dociles pour embarquer en surnombre sur de vieux bateaux de pêche (s’il en reste encore) ou sur des canots pneumatiques fournis par certaines ONG, généralement financés par l’aide de l’Union Européenne. Mais bateaux et canots n’ont pas les moyens d’aller bien loin. Pour les bateaux, en raison de leur vétusté ou de leur état mécanique, et pour les pneumatiques, parce que la quantité de carburant mise à bord ne permet qu’une trentaine de miles nautiques.
Deux procédures se complètent alors. Soit l’expéditeur de ce fret humain alerte la Marine italienne ou l’organisme européen FRONTEX, soit un portable satellite a été fourni à l’un des migrants qui, une fois au large, appelle une ONG qui relaie le SOS à la Marine, à FRONTEX ou à un bateau-négrier comme l’Aquarius. Voir : https://www.delitdimages.org/voila-comment-les-ong-oeuvrent-pour les-passeurs-video/.
Si tout va bien, les malheureux n’ont patienté en dérivant en mer que quelques heures et sont récupérés, ne souffrant que de la soif et de la faim car, bien entendu, aucune provision n’a été embarquée à bord des embarcations surchargées : dépense inutile pour les négriers-passeurs-expéditeurs, puisque les bateaux récupérateurs ont, en principe, tout ce qu’il faut à bord. Mais c’est très rare. L’Aquarius par exemple, n’avait que le strict minimum. Les ONG aussi font attention à préserver leurs finances…
Il arrive aussi que les choses aillent mal
Par mauvais temps, le bateau ou le canot libyen coule plus tôt que prévu et comme ils sont dépourvus de moyens de sauvetage (gilets, etc.) les victimes n’ont plus qu’à apprendre à nager ou se noyer. Perte certaine pour les passeurs auxquels les ONG reprocheront de ne pas avoir fourni le quota prévu, mais bénéfice publicitaire pour les deux, la presse occidentale publiant des articles incendiaires contre ces « salauds d’Européens Blancs » qui laissent des « gentils Noirs » se noyer. Des subventions supplémentaires pour les ONG et une meilleure organisation du sauvetage par les États concernés peuvent être espérés.
DOUBLE-BÉNÉFICE POUR LES EXPÉDITEURS : coût de transport réduit au minimum + pas de problème à l’arrivée des faux-réfugiés-naufragés puisqu’ils sont débarqués par une ONG agréée, ou une Marine nationale, dans un port où le vulgum pecus des militants des ONG (naïfs mais bien payés après une période de volontariat) (1), ont préparé l’accueil, les banderoles et les hourras de réconfort et d’espoir dans une Europe merveilleuse, les vêtements, amené des médecins, de la nourriture et sont rodés aux formalités de l’immigration illégale.
Attention : on ne dit pas n’importe quoi s’il vous plaît !
(Et s’il ne vous plaît pas, c’est la même chose). Au cours du voyage, les futurs assistés de la générosité européenne sont briefés :
- jouer les victimes de la misère, de l’oppression politique, sociale, sexuelle ou religieuse dans leur pays d’origine ;
- ne pas dire un mot sur la gratuité du voyage et au contraire, raconter qu’il leur en a coûté 2.000 € ;
- ne pas parler tout de suite de leurs maux physiques (maladies graves et contagieuses, parasites comme la gale, MST, etc.) ;
- cacher qu’ils ont reçu 100 ou 200 € avant de débarquer.
Un téléphone portable ou une tablette en anglais, arabe, français et persan + une liste d’adresses et de numéros de téléphone (2) d’autres associations et de services publics dans les villes du pays où ils envisageaient d’aller…
Les habitants de Valence et environs, où ont débarqué les Africains de l’Aquarius, ont été surpris de les voir sortir des billets de 50 et 100 € pour payer alcools, restaurants, cigarettes. Environ un tiers des migrants ont disparu très vite dans la nature, jetant dans les poubelles de la ville les vêtements gris, noirs et rouges trop voyants que leur avait donné la Croix Rouge espagnole.
QUI a intérêt à financer ce trafic humain ?
QUI FINANCE et DANS QUEL INTÉRÊT ce trafic négrier, si les Noirs amenés en Europe sont laissés en liberté à leur arrivée ? (Liberté de courte durée d’ailleurs, car ils sont souvent vite pris en mains par des mafias spécialisées dans l’extorsion de fonds publics via des aides sociales dont les migrants doivent leur reverser un pourcentage.)
◊ À long terme, les entreprises multinationales et les grandes entreprises industrielles qui comptent sur une main-d’œuvre non qualifiée ou formée aux frais des États, qui sera, quand elle sera devenu « employable », payée au niveau le plus bas, ce qui contrariera les demandes d’augmentations salariales des ouvriers européens. Cette main d’œuvre sera docile, au moins dans les premiers temps. Mais on ne trouve pas de traces de financement des ONG par les entreprises.
◊ À court terme, et celles-là financent puisqu’elles-mêmes sont grassement financées, les ONG soi-disant « humanitaires » qui se partagent le marché de l’immigration, sont organisées en lobbies et font pression sur les États pour obtenir des subventions en augmentation croissante, ou travaillent en accord avec des organismes financiers très discrets. Ceux-ci, dans le cas de l’Aquarius, reçoivent des fonds des encore plus discrètes filiales de « Open Society Foundation », ladite Open Society étant elle-même financée à hauteur d’environ un milliard de $ par an par le « Soros Fund Management » qui disposait en 2012, de 25 milliards de $, dernier chiffre connu.
Rappelons que le multimilliardaire George Soros est un repris de justice condamné en France à une lourde amende pour délit d’initié dans l’affaire de la Société Générale. Autrement dit, ce financier véreux est loin d’être blanc comme neige.
Libération a dénoncé comme « fake news » le fait que William Goldnadel ait accusé Soros de financer le trafic d’êtres humains et Open Society d’être propriétaire de l’Aquarius. Goldnadel avait tort sur le propriétaire de l’Aquarius mais raison sur le financier. Il a commis simplement l’erreur de ne pas expliquer, au moins sommairement comme il vient d’être fait, la complexité et l’obscurité du système de financement qui relie Soros à l’Aquarius. D’ailleurs CheckNews, « décodeur » de Libé, a fini par admettre que l’Open Society était « indirectement » en lien avec les affréteurs.
Soros agit par idéologie, mais en bon milliardaire, s’il agit, c’est qu’il y trouve un avantage. Étant le bras opérationnel de la décision de la finance mondialiste de modifier la composition ethnique, religieuse et culturelle de l’Europe pour affaiblir ce dangereux concurrent de l’Amérique et, en même temps, la transformer à terme en usine géante à faibles coûts salariaux, il obtient en échange des gouvernements acquis à la mondialisation des avantages réglementaires, juridiques et financiers dans ses opérations spéculatives sur les devises et les actions. Ces opérations qui ont fait de lui l’un des plus gros milliardaires du monde. Président de « Soros Fund Management » (domicilié à New York), il a transféré le plus gros de sa fortune personnelle, un peu plus de 25 milliards, à sa fondation Open society qui, étant une fondation, ne paie pas d’impôts, comme les les ONG, et n’a gardé pour lui que 8 milliards.
En résumé : Soros ⇒ « Soros Fund Management » ⇒ « Open Society Foundation » ⇒ organismes financiers de brouillage ⇒ une centaine d’ONG aux financements opaques, dont « SOS Méditerranée » et « Jasmund Shipping » (Aquarius).
Pourquoi vers l’Europe ?
On peut se demander pourquoi, si l’objectif de l’Aquarius est vraiment de « sauver » des malheureux en perdition, ne les amène-il pas vers les ports tunisiens tout proches où ils seraient réconfortés et soignés ?
La réponse est double.
- D’abord parce qu’ils n’ont jamais été réellement en perdition et, comme l’a déclaré Sophie Beau, porte-parole de « SOS Méditerranée », parce que le droit d’entrée en Tunisie pour les migrants est plus strict que les droits des pays européens très laxistes !
- Mais aussi et surtout parce que les instructions non-dites venant des financiers sorosoïdes ne sont pas de les ramener en Afrique, mais en Europe dont il faut bouleverser le peuplement.
C’est pourquoi le gouvernement italien s’interroge sur les rapports négriers entretenus entre « SOS Méditerranée » et des passeurs qui n’hésitent pas à saborder les embarcations pour placer les autorités européennes devant le fait accompli.
Et tous oublient l’essentiel qui est de « réparer » la Libye, pays détruit en 2011, date de la funeste intervention internationale, qui fermait notre frontière sud-est. Et voilà que le nouveau Premier ministre espagnol, Pedro Sanchez, a rouvert la frontière sud aux migrants ivoiriens, maliens et guinéens qui attendent derrière les grillages des enclaves espagnoles Ceuta et Melila au Maroc.
Depuis, ils affluent !
L’Imprécateur
28/06/2018
[1] Une journaliste suédoise s’est présentée comme volontaire le temps de ses vacances dans une ONG opérant sur l’île de Lesbos. Comme elle était très active, il lui a d’abord été proposé de rester avec prise en charge de ses frais de séjour, puis d’être embauchée comme salariée avec un salaire relativement élevé.
[2] Quand ce sont des Maghrébins et non des Africains subsahariens, le +33 4 86 51 71 61 est le numéro de l’Association des Travailleurs Maghrébins de France.
Cela me fait peur. J’ai honte de lire tout cela, les loups entrent dans Paris !