« LA RACAILLE »
Chanson inspirée de LA MONTAGNE de Jean Tenenbaum dit « Jean Ferrat »
Bande-son (artisanale !) ci-dessous
Ils quittent par milliers leur pays
Dans l’espoir de refaire leur vie
Loin de la terre où ils sont nés…
Depuis longtemps ils en rêvaient
De l’Europe et de ses attraits,
Ce paradis pour assistés…
Les femmes, elles sont restées, travaillent
Et s’occupent de leur nombreuse marmaille…
Elles espèrent, quoi de plus normal,
Que quelque officine complice
Leur propose ses bons offices…
Le regroupement familial.
Pourtant que la France était belle…
Mais qui pouvait alors prédire
Que ces migrants en ribambelle
Débarquaient là pour la détruire ?
Ils nous arrivent bien habillés,
En pleine forme et le teint frais,
En racontant qu’ils fuient la guerre…
Faisons confiance à la télé
Pour dramatiser le sujet,
Et faire pleurer dans les chaumières…
Et le pape d’nous inviter
À faire preuve d’humanité
À l’égard de tous ces migrants…
Mais est-il bien dans sa fonction
Ce pontif’ donneur de leçons ?
Qu’il les loge donc au Vatican !
Pourtant, comme on aimait la France…
Qui donc pouvait imaginer
Qu’elle deviendrait, et sans défense,
Une terre de Mahomet ?
Ils nous arrivent de contrées
Jadis par nous colonisées
Et nous traitent d’esclavagistes…
Ils détestent nos traditions,
Quelle est alors l’explication
De leur démarche masochiste ?
Et cette racaille allogène
Ne peut attirer que la haine
Des Souchiens qui en ont assez
Qu’on leur impose la Charia
En échange d’un RSA
Qu’ils sont les seuls à financer…
Pourtant comme on est nostalgique
De cette France d’un passé,
Souvent glorieux, parfois épique,
Et non encore islamisé.
On invoque la charité,
On veut nous culpabiliser,
Nous donner parfois des remords…
On impose le métissage,
Le vivre-ensemble et le brassage :
Français de souche, on veut ta mort !
Or nous n’avons aucun devoir,
Aucune dette envers ces noirs,
Fussent-ils d’anciens colonisés.
Ils ont voulu l’indépendance.
Puisqu’ils détestent la France,
Qu’ils assument leur liberté…
Pourtant, je souffre pour la France,
Ce pays que j’ai tant aimé.
Je rêve de sa délivrance :
Qu’elle ne soit plus bougnoulisée…
Cédric de Valfrancisque
29/06/2018