An II du quinquennat Macron.
Avec seulement 32 % d’opinions favorables, les sondages sont en berne. La chute est sévère, comparable à celle de Hollande à la même période de son mandat ! Et ce n’est pas la logorrhée versaillaise d’autosatisfaction qui va renverser la vapeur…
Baisse de la croissance, marasme sur l’emploi, menaces de crise financière majeure, fracture de l’Union Européenne, aucune réforme structurelle en vue, pourtant inévitable si on veut baisser la charge de la dépense publique, alourdissement de la pression fiscale pour les classes moyennes et chute induite de la consommation, Nantes mise à sac et assiégée de l’intérieur, prisons-passoires, forces de l’ordre abandonnées par l’Etat, invasion migratoire repartant de plus belle, boostée par un Conseil Constitutionnel complice n’ayant rien trouvé de plus intelligent à inventer que dépénaliser l’aide aux immigrés illégaux…
Cerise sur le gâteau, nauséabonde et déviante rave-party à l’Elysée, organisée pour séduire les minorités plus ou moins visibles, dans le but évident de les rendre populaires et de s’approprier leurs suffrages.
Pas de chance, mais comme l’explique ci-dessous l’Imprécateur, ça ne marche pas !
Lisez comment, par un surprenant raccourci historique, l’exhibition détestable et provocatrice de l’Elysée et les expositions coloniales du siècle dernier, où l’on exposait, comme dans un zoo humain, les « sauvages » des lointaines colonies, ne sont que les 2 facettes d’un même et insupportable racisme. Bien réel, celui-là…
MLS
Si Macron a cru faire plaisir aux Noirs et aux migrants en leur montrant, par sa soirée LGBT élyséenne où des Africains « on fait des trucs de nègres« , qu’il se moque de l’avis des Blancs et leur imposera l’immigration noire, c’est raté : la réaction est loin d’être celle qu’il attendait !
Regardez la vidéo ci-dessous, publiée par « Français de souche » et « Délit d’images« . Elle n’est plus disponible sur les deux sites et il faut aller la chercher sur Youtube où elle est déjà partiellement censurée, les commentaires, entre autres, ayant déjà été supprimés.
https://www.youtube.com/watch?v=qV4EnbKCMUM&bpctr=1531019625
Killuminaty n’aime pas le sataniste Macron (qu’il nomme « Macaron »)
Killuminaty Masta est probablement le surnom d’un Africain musulman qui sévit sur Instagram, Facebook, Youtube … Il n’aime pas « les satanistes de l’élite mondiale » à laquelle, dit-il, appartient « Macaron » qui applique « son business-plan » : l’importation d’Africains, avec des motivations identiques à celles des colonialistes du début du siècle dernier : se procurer – à moindre coût et sans souci du nombre de morts du voyage – une main d’œuvre bon marché.
Étant noir lui-même, on ne peut pas lui reprocher de défendre la « nation noire« , tout en observant qu’il est conscient de ses faiblesses ; la résignation à l’esclavage, le manque d’intellectuels, et la facilité avec laquelle ils se laissent prendre à la promotion du « bon nègre« , comme dans l’affaire Mamoudou Gossama sauvant un bébé « déjà sauvé par le mec du balcon« , dit Killuminati.
Une affaire montée en épingle parce que Gossama est noir et qu’il faut justifier par l’exemple de « bons nègres » le trafic des Africains vers l’Europe. Et pendant que Mamoudou Gossama fait semblant de sauver un gamin, dit Killuminaty, le gouvernement « de Macaron » « casse et nique » systématiquement les professions médicales en compliquant le travail et en baissant les revenus des médecins et infirmiers « qui eux, sauvent vraiment tous les jours des milliers de vies humaines« .
Il y va par moments un peu fort, mais il est difficile de ne pas lui donner raison sur ces points-là.
https://www.youtube.com/watch?v=DXmadHehnMc
Pour ce qui est du « manque d’intellectuels« , Killuminaty est injuste, il y a une quinzaine de prix Nobel Africains dont quatre femmes. C’est peu, en un siècle de prix Nobel, mais quand même mieux que la nation arabe qui n’en a aucun, le seul prix Nobel musulman étant… une femme originaire de l’Inde !
La résignation des Africains les disposerait à l’esclavage
Quant à la résignation, elle semble bien réelle. Georges Clémenceau, raconte comment, sur un marché africain au Congo, un esclave noir sur le corps duquel le marchand délimitait à la craie blanche les morceaux que lui indiquaient les acheteurs, n’opposait aucune résistance. Quand il fut entièrement attribué, on assomma le pauvre homme et il fut découpé, chacun repartant avec son morceau.
Clémenceau écrivit une lettre pour justifier ce cannibalisme, voir (1). Mais ce qui le frappa, c’est la résignation de la victime, calme, ne manifestant aucun signe de révolte.
James Jameson (du whisky Jameson), membre de l’expédition Stanley, surpris qu’on lui dise que les Africains étaient cannibales voulut faire une expérience. Dans un village, il acheta à sa famille « pour six mouchoirs« , une fillette de dix ans qu’il donna au chef. Elle fut éventrée vivante, vidée et dépecée devant lui sans la moindre plainte, ni de la fillette, ni de sa famille qui sembla trouver cela très normal. Ecoutez-ça !
https://www.delitdimages.org/quand-james-jameson-offrit-une-fillette-a-des-cannibales-video/
(publiée aussi par Le Point)
Mais les Africains n’étaient pas les seuls cannibales. James Cook (dans ses Mémoires), fit le même constat à Tahiti où l’on tua devant lui un jeune homme dont la tête rejoignit la cinquantaine d’autres cernant le marae (temple). Le jeune homme n’eut aucune réaction de défense.
Et à Fidji, encore au début du siècle dernier, en 1910, on « consommait » les prisonniers.
Mais aussi dans tout l’arc mélanésien et papou, ainsi que chez les aborigènes australiens (2).
Et ça continue de nos jours !
En Afrique, notamment avec les albinos qui sont l’objet d’une véritable chasse cannibale et pour la sorcellerie au Burundi. Ce pays a légiféré pour l’interdire en 2015, mais sans succès.
Au Zimbabwe, mais aussi au Mali, théoriquement sous protection des armées française et de l’ONU, (Libération du 11 juin) : « Djéneba Diarra, dite «Fanta» ou «Nan», avait 5 ans. Elle était albinos. Elle a été décapitée dans la nuit du 12 au 13 mai dans la localité de Fana, située à 125 km au nord de Bamako. Ce dimanche-là vers 2 heures du matin, «des hommes armés l’ont enlevée et ont escaladé le mur avec elle», a précisé une source policière à l’AFP. La mère de la fillette, qui dormait à ses côtés, a tenté de rattraper ses ravisseurs avant de revenir auprès de sa seconde fille, elle aussi albinos. «Nous avons retrouvé son corps à côté d’une mosquée, mais sans la tête», décrit Oumar Diakité, enseignant de Fana« .
Avec différents éléments des corps, les sorciers fabriquent des « médecines » qu’ils prétendent très efficaces, et en préparent d’autres à manger « pour améliorer la santé« .
Rien de surprenant, dit Killuminaty, à ce que l’élite mondiale « sataniste » à laquelle il associe Macron, continue de considérer les Africains comme des sauvages juste bons à être exploités.
L’Imprécateur
09/07/2018
1: Horreurs coloniales (par Georges Clemenceau).
« Un révérend Père a visité en septembre dernier des villages de la rive droite de l’Oubanghi (limite du Congo français) et voici son récit de ce qu’il a vu :
On amène les esclaves (noirs et mis en esclavage par d’autres noirs ou des commerçants arabes) sur le marché et celui qui ne peut pas se payer le luxe d’un esclave entier achète seulement un membre qu’il choisit à son goût. S’il choisit le bras, le client fait une marque longitudinale avec une sorte de craie blanche et le propriétaire attend qu’un autre client choisisse un autre bras et lui fasse la même marque. Chacun choisit ainsi les bras, les jambes, la poitrine etc…, et lorsque tous les membres ont été marqués, on coupe tout simplement la tête du pauvre esclave, qui est immédiatement dévoré sur place. Ces scènes sont atroces, mais s’expliquent après tout par la nécessité de satisfaire le plus respectable de tous les besoins : la faim.
Et puis, ce sont les moeurs des ancêtres. Quoi de plus vénérable que les traditions de famille ? Tous les jours dans les villages de cette immense Afrique noire, défendue contre la civilisation blanche par un soleil homicide, des scènes analogues se répètent depuis tant de milliers d’années qu’on n’en peut dire le nombre. Les autres continent de la planète, pendant cette interminable durée, ont offert des spectacles sans cesse renouvelés, qui n’ont guère différé que par la forme de ceux dont le récit nous paraît si choquant aujourd’hui.
Ce qu’il y a de plus curieux, c’est que nous ayons attendu jusqu’à nos jours pour éprouver cette louable répugnance. Ce qui est surprenant encore, c’est que l’horreur de ces atrocités ne nous révolte vraiment que si nous y sommes étrangers. L’anthropophage a bien des excuses. Il est si loin des bouillons Duval et de la Maison d’Or ! Il fait – tout comme nous-mêmes – ce qu’il a toujours vu faire. Et s’il avait des juges, il ferait sûrement condamner comme anarchistes ceux qui lui parlent de faire autre chose. C’est une partie qu’il joue contre la destinée, comme fait partout l’homme jaune ou blanc se débattant plus ou moins heureusement contre la souffrance qui est sa loi de la naissance à la mort.
Je conviens qu’elles doivent être lamentables les réflexions du pauvre nègre, délicatement palpé par un camarade aux yeux luisants, aux dents aiguës, qui conclut en lui dessinant à la craie sur la poitrine le carré de côtelettes qu’il se réserve dans la boucherie de tout à l’heure. Mais il n’y a pas longtemps qu’il en faisait lui-même tout autant à d’autres frères, et il n’est pas plus surpris de l’aventure qu’un d’entre nous apprenant qu’il est atteint de cancer, de phtisie, de fièvre jaune ou de choléra. Et puis la sensibilité varie avec les races. l’Annamite, sa natte mortuaire sous le bras, marche au lieu de l’exécution dans la plus complète indifférence, s’arrêtant à la porte de ses amis pour leur dire un tranquille adieu, s’agenouillant sans liens pour recevoir le coup fatal, mourant sans protestation, sans un geste de révolte. Le nègre congestionné par le soleil a certainement le système moins affiné que le blanc. Et même dans notre race, que d’êtres stupéfiés par le malheur s’abandonnent passivement au destin !
Ceci pour atténuer l’horreur de l’anthropophagie, qui se défend après tout par son but utilitaire. Le pauvre cannibale, marqué d’avance à son tour pour le prochain massacre, peut très bien être un rêveur, un être doux et bon, un altruiste attendri partageant avec un moins fortuné le morceau de filet humain qui est sa propriété légitime, risquant sa vie pour un compagnon de misère, dévoué, désintéressé, exquis. Quel droit aurions-nous au monopole de ces sentiments, nous qui vivons sans relâche des « frères inférieurs », pour nous repaître de leurs substance ? Souffrent-ils moins que le nègre recevant le coup fatal ? Ce n’est pas sûr, ils se lamentent bruyamment. Pensent-ils moins ? Que cette réflexion nous rende indulgents pour l’antique anthropophagie de nos pères, continuée de nécessité par nos frères noirs.
Quelles leçons leur donnons-nous d’ailleurs qui nous permettent de le prendre de si haut avec eux ? Qui est allé chercher des hommes sur la côte d’Afrique pour les enchaîner à la file et les livrer – contre argent – au fouet des planteurs d’Amérique ? Quelle torture leur fut épargnée ? Lisez dans les journaux des Etats-Unis, avant 1880, les avis descriptifs des esclaves en fuite. Ce ne sont que marques au fer rouge, mâchoires fracassées, yeux crevés, membres mutilés ou sciés. N’est-ce pas l’oeuvre des Blancs, des civilisés, des Chrétiens ? Qui donc a épouvanté l’Amérique du sud du raffinement des supplices, qui donc l’a noyée dans le sang, sinon le conquérant catholique ? J’ai sous les yeux cinq photographies accusatrices prises dans la brousse de Bakel aux frontières du Sénégal et du Soudan. L’une est une exposition de têtes coupées, sous la garde d’un jeune nègre. Les quatre autres représentent des cadavres noirs amoncelés, effroyablement raidis dans la convulsion suprême. On peut compter les blessures. Pourquoi certains corps sont-ils criblés de coups de pointes ? Pourquoi ces cadavres mutilés, ces têtes coupées ? Pourquoi ces hommes tués avec les mains liés derrière le dos ? Qu’on réponde si l’on peut et qu’on ose dire l’histoire des massacres. On connaît bien ces photographies au ministère des colonies. L’Illustration les a reproduites en 1891. Leur authenticité ne peut être l’objet d’un doute.
Voilà l’enseignement des Blancs, fils du Christ, aux païens noirs. C’est une leçon de choses qui révolterait sans doute de dégoût et d’horreur les anthropophages de l’Oubanghi. Des deux boucheries humaines, la plus explicable est assurément celle de l’homme qui a faim. Nos cannibales pensifs ne comprendront jamais les 30 000 Parisiens de la semaine de Mai abattus sans que Gallifet, lui même, y ait mis la dent (Gallifet, général qui combattit avec férocité les insurgés de la Commune, n.d.l.a). On aura beau dire que c’est pour le plaisir des yeux, pour la pure satisfaction des âmes chrétiennes, ils répondront, eux, les barbares, que c’est pure sauvagerie. Voyez comme il est difficile de s’entendre. On va donc détruire prochainement la boucherie humaine de l’Oubanghi. les noirs, au lieu d’être mangés, seront bientôt étendus dans la brousse, les mains liées derrière le dos, pourrissant fraternellement à coté de ceux qui, sans cet accident, seraient occupés peut être à les dépecer. C’est l’homme blanc qui passe, marquant sa route d’inutiles charniers.
Qui fera le compte de la douleur humaine accumulée dans toute l’étendue de la terre depuis l’apparition de la vie ? Qui sondera l’inépuisable réserve de souffrances dont l’humanité se prépare à faire l’avenir ? Mangez-vous les uns les autres, frères de l’Oubanghi ! Après vous il y aura encore des mangeurs et des mangés. »
G.Clemenceau, La mêlée sociale , L’illustration – 1891
2: Guerres en Océanie, Maurice Droin, Amazon.