MINURNE REJOINT LE CONSEIL NATIONAL DE LA RÉSISTANCE EUROPÉENNE (CNRE)

Chers Compatriotes,

Le 1er août 2018, Minurne-Résistance a officiellement rejoint le CONSEIL NATIONAL DE LA RÉSISTANCE EUROPÉENNE (CNRE), solennellement créé par Renaud Camus et Karim Ouchik le jeudi 9 novembre 2017 – jour du 47ème anniversaire de la disparition du général de Gaulle – à Colombey-les-Deux-Églises.

Dès la création du CNRE, Minurne -Résistance avait décidé de publier en temps réel les communiqués du CNRE sur une page spéciale :

https://minurne.org/communiques-cnre

Le ralliement officiel de Minurne-Résistance est consécutif à l’inacceptable provocation que constitue la programmation les 19 et 20 octobre 2018 d’un « concert » du rappeur MEDINE dans la salle martyre du BATACLAN, 3 ans à peine après l’odieux attentat du 13 novembre 2015 qui y fit 90 morts et de nombreux blessés.

Ce rappeur est l’auteur de l’album « Jihad » dans lequel il appelle notamment à la « crucifixion des laïcards, comme à Golgotha » et promet – entre autres – qu’avec l’application de la charia « les voleurs ne pourront plus faire de main courante ».

Cet odieux projet – et le mutisme, voire la complicité objective des instances politiques – oblige moralement tous les Patriotes à empêcher ce qui serait, ainsi que l’a noté le général Piquemal, une défaite sans retour pour notre pays : « Si les Français acceptent ça, ils accepteront tout ; une page sera tournée pour la France ».

Si les « spectacles » de MEDINE sont maintenus, ce n’est pas seulement le Bataclan qui sera profané, mais, avec les familles des victimes, la France toute entière.

Nous espérons vivement que le ralliement de Minurne-Résistance, après celui de nombreuses personnalités, sites et organisations patriotes, ouvrira la voie à un vaste rassemblement permettant d’unir toutes les forces de résistances, quelles qu’elles soient, où qu’elles soient, et quelles que soient leur forme et leur audience.

Il est grand temps maintenant de s’UNIR, afin de dire un “NON” tonitruant à l’assassinat de la France, 78 ans après le NON du Général de Gaulle le 18 juin 1940.

Marc Le Stahler
3 août 2018


Nous invitons par ailleurs solennellement tous les lecteurs, amis et sympathisants de Minurne à rejoindre dès aujourd’hui le CNRE–Résistance.

Toutes les informations leur seront fournies en cliquant sur ce lien : https://www.cnre.eu/adherer

(Le tarif normal d’adhésion est de 20 € et permet de bénéficier de la réduction d’impôt de 66%.)

Nous reproduisons ci-dessous les discours fondateurs de Renaud Camus et Karim Ouchikh, que vous pourrez trouverez également sur le site https://www.cnre.eu/, avec leur traduction en langue anglaise.


Discours de Renaud Camus

L’immigration est devenue invasion, l’invasion submersion migratoire. La France et l’Europe sont cent fois plus colonisées, et plus gravement, qu’elles n’ont jamais colonisé elles-mêmes. La colonisation irréversible, c’est la colonisation démographique, par transfert de population.

Certains disent qu’il n’y a pas colonisation parce qu’il n’y a pas conquête militaire. Ils se trompent. L’armée de la conquête, ce sont les délinquants petits et grands, tous ceux qui rendent la vie impossible aux Français en leur nuisant de toutes les façons imaginables, des trop fameuses incivilités jusqu’au terrorisme, qui n’en est que le prolongement. Tous les auteurs d’attentats ont fait leurs premières armes dans la délinquance de droit commun. Il n’y a d’ailleurs pas de terroristes. Il y a un occupant qui, de temps en temps, exécute quelques otages, nous, comme l’ont toujours fait tous les occupants. J’appelle occupants tous ceux qui se déclarent tels, ou s’affichent tels par leur comportement.

Le changement de peuple, la substitution ethnique, le Grand Remplacement, sont l’événement le plus important de l’histoire de notre pays depuis qu’il existe, puisqu’avec un autre peuple l’histoire, si elle continue, ne sera plus celle de la France. La France a toujours à merveille assimilé des individus qui désiraient l’être, elle ne peut pas assimiler des peuples, et encore moins des peuples hostiles, vindicatifs, voire haineux et conquérants. Il faut une vanité sans nom, et une méconnaissance totale de ce que c’est qu’un peuple, pour imaginer qu’avec une population changée la France serait encore la France. Tous les mots sont menteurs mais le plus menteur de tous est celui de français, hélas. Il n’y a pas de djihadistes français, par exemple. S’ils sont djihadistes ils ne sont pas français.

Croire qu’il n’y a en France que des Français est une illusion totale. Il y a des envahisseurs et des envahis, des colonisateurs et des colonisés, des occupants et des occupés.

On ne met pas fin à une colonisation sans le départ du colon : l’Algérie en son temps nous l’a assez montré, hélas — bonne occasion pour nous de souligner, au demeurant, la différence de civilisation.

On ne met pas fin à une occupation sans le départ de l’Occupant. Il n’est d’autre issue que la remigration. Les mêmes qui la déclarent impraticable veulent faire venir en Europe quarante millions de migrants, quand ce n’est pas deux cents millions. Ils proclament l’homme entré dans une ère de migration générale. Qu’il migre et remigre, alors. Ce qui est possible dans un sens doit bien l’être dans l’autre, avec plus de moyens et de douceur.

L’heure n’est plus à la politique, aux élections, aux partis. 2022 est trop loin, le changement de peuple sera alors trop avancé, les remplaçants seront les arbitres de la situation, à moins qu’ils n’en soient tout à fait les maîtres. Et il n’y a, de toute façon, aucune chance de l’emporter jamais à un jeu dont l’adversaire possède toutes les cartes et dont il a fixé toutes les règles. Le pouvoir, ses banques, ses juges et ses médias veulent la substitution ethnique. Ils ne nous en protègent pas, ils l’organisent et la promeuvent. Ils ont drogué le peuple à l’accepter, par l’enseignement de l’oubli, la déculturation, la censure, la répression et les injections permanentes de haine de soi. Ils n’importent pas des travailleurs, d’autant qu’il n’y pas de travail et qu’il y en aura de moins en moins. Ils importent de futurs consommateurs, qu’ils ne se donnent même plus la peine de faire passer pour des réfugiés puisque l’immense majorité de ces migrants vient de pays où il n’y a pas la moindre guerre : orphelins, malades, jeunes gens aventureux ou conquérants, adolescents qui se sont disputés avec leurs parents ou qui ont eu maille à partir avec la police, commerçants qui ont fait de mauvaises affaires.

Vous dites que ces futurs consommateurs n’ont pas d’argent. Détrompez-vous, demain ils auront le vôtre, car les prétendus transferts sociaux ne sont, à la vérité, pas grand-chose d’autre que des transferts ethniques. L’Europe est le premier continent qui paie pour sa propre colonisation.

Un spectre hante l’Europe et le monde. C’est le remplacisme, la tendance à tout remplacer par son double normalisé, standardisé, interchangeable : l’original par sa copie, l’authentique par son imitation, le vrai par le faux, les mères par les mères porteuses, la culture par les loisirs et le divertissement, la connaissance par les diplômes, la campagne et la ville par la banlieue universelle, l’indigène par l’allogène, l’Europe par l’Afrique, l’homme par la femme, l’homme et la femme par des robots, les peuples par d’autres peuples, l’humanité par une posthumanité hagarde, indifférenciée, standardisée, interchangeable à merci.

De toutes les manipulations génétiques le Grand Remplacement, sorte de GPA appliquée à l’ensemble de la planète, est la pire. Le génocide par substitution, selon l’expression d’Aimé Césaire, est le crime contre l’humanité du XXIe siècle. Il est d’ailleurs bien singulier que les écologistes arrêtent à l’homme leur louable souci de biodiversité.

Le remplacisme s’estime désormais assez fort pour prendre en main directement la gestion du parc humain, sans intermédiaire. En France, Emmanuel Macron, qui en est dans le monde, avec Justin Trudeau, le représentant le plus achevé, a déjà neutralisé la microcosme, renvoyé dans leurs foyers les principaux acteurs de la vie politique française depuis trente ans, peuplé l’Assemblée de fantoches à sa solde, composé un gouvernement de rencontre, fait éclater tous les grandes partis. Il ne gouverne pas, il gère, comme il le ferait une banque ou une société anonyme.

Il sort de la politique par l’économie, par la finance et la gestion d’entreprise. Nous voulons en sortir par l’histoire. La question de l’indépendance ou de l’asservissement d’une grande nation, de la survie ou de la disparition d’une grande civilisation, ce n’est pas de la politique, cela : c’est de l’histoire. Charles de Gaulle — que nous célébrons aujourd’hui près de sa tombe, pour l’anniversaire de sa mort —, Charles de Gaulle à Londres, ce n’était pas de la politique. Jean Moulin à Lyon ce n’était pas de la politique. Jeanne d’Arc à Chinon non plus, ni Gandhi à Calcutta, ni aucun de ceux qui se sont levés pour l’indépendance de leur pays et pour la dignité de leur peuple.

Ce dont nous avons besoin aujourd’hui ce n’est pas un nouveau parti, pas même une union des droites : le refus du totalitarisme remplaciste n’est pas moins de gauche que de droite. Ce dont nous avons besoin c’est le rassemblement de tous ceux qui opposent un grand Non à l’islamisation et à la conquête africaine. Ce qu’il faut c’est un Conseil National de la Résistance, de la résistance européenne, car toutes les nations européennes sont invitées à mener à nos côtés le combat pour le salut de notre civilisation commune, celte, slave, germanique, gréco-latine, judéo-chrétienne et libre-penseuse.

Mon ami Karim Ouchikh, président du SIEL, et moi, Renaud Camus, avons décidé de constituer précisément cela, un CNR, ou CNRE. Nous proposerons publiquement de se joindre à nous à toutes les personnalités qui nous semblent animées du même désir de sauver notre pays et nous élargirons ainsi notre comité, par cooptation. Mais tous les Français et tous les Européens qui pensent comme nous sont invités à se mettre en relation avec nous et à nous apporter leur soutien. L’objectif est de constituer une force telle qu’il soit, dans l’idéal, inutile de s’en servir.

Cela dit, si par malheur il se trouvait que la seule alternative qui nous fût laissée soit la soumission ou la guerre, la guerre alors, cent fois. Elle n’aurait d’ailleurs rien de civil, malgré le nombre des collaborateurs et des traîtres. Elle s’inscrirait plutôt dans la grande tradition des combats pour le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, pour la libération du territoire et pour la décolonisation. Il faut sortir enfin de l’ère coloniale, dont nos colonisateurs nous disent tant de mal tout en nous colonisant. Il faut arrêter une bonne fois, si possible au-dessus de la Méditerranée, le balancier fou des colonisations et contre-colonisations.

Vive la France libre. Vive la civilisation européenne.

Renaud Camus

https://www.cnre.eu/camus-colombey


Discours de Karim Ouchikh

Mes chers compatriotes,

Je suis ici, à Colombey-les-Deux-Églises, le 9 novembre 2017, car je pense que je ne pouvais pas être ailleurs qu’à Colombey-les-Deux-Églises pour vous dire quelques mots de l’état de notre beau et grand pays.

Les périls qui guettent la France, qui menacent notre peuple, et en quoi je pense tout à fait important de vous dire ces quelques mots ici, à Colombey-les-Deux-Églises, dans cette terre symbolique, et commencer mon propos par vous dire que nous sommes en proie, collectivement, à une crise d’identité, une crise existentielle inédite — jamais, je crois, la France n’a été en proie à une crise de cette intensité.

Et si je dois décrire les éléments de cette crise, je commencerais d’abord par faire part de cette construction européenne qui depuis bien des années préoccupe nos compatriotes. C’est vrai que cette construction européenne, nous la dénonçons depuis bien des années, non pas parce que nous sommes contre la construction européenne, contre l’Europe, bien au contraire. Nous sommes pour l’Europe, pour la construction d’une véritable Europe, mais pas cette Europe qui se construit au dépens des états, au dépens des identités, et au dépens des peuples. Cette logique supranationale est totalement suicidaire. C’est pour cela qu’il faut rompre avec cette Europe-là, et construire, au lieu et place de cette logique supranationale, une autre Europe, une Europe confédérale, celle qui respecte les identités et les peuples. Une Europe à la carte, en quelque sorte. Celle qui a permis notamment à Airbus de prospérer, au TGV de se faire, au programme Concorde de s’épanouir dans les années 70-80, et tant d’autres belles opérations qui ont permis à cette Europe de se bâtir concrètement.

C’est important qu’on puisse réussir l’aventure européenne parce que je sens depuis un certain nombre d’années un désamour entre les peuples et l’Europe, entre le peuple français et la belle idée européenne, donc il nous appartient à nous autres personnalités politiques ou concitoyens d’œuvrer à la réussite de cette Europe. Il le faut aussi parce que j’ai le sentiment que les Français éprouvent une perte de légitimité à l’égard de leur personnel politique, parce qu’ils ont le sentiment aujourd’hui qu’en élisant un député, un conseiller régional ou un conseiller départemental, au fond, on envoie dans telle ou telle enceinte démocratique des personnalités qui sont au service d’un projet qui n’est plus un projet français, qui est un projet technocratique préparé dans les couloirs de Bruxelles. Cette nécessité de relégitimer nos élus au travers de cette nouvelle Europe me paraît être aussi une ligne de front importante.

Autre élément de cette crise d’identité, nous avons, je crois, un modèle de société qui est épuisé. Nous avons un modèle de société aseptisé, un modèle de société totalement dévitalisé. Car aujourd’hui, le modèle de société qui est proposé aux Français est tout sauf attractif. On confond bien souvent le modèle de société français — la France — avec le modèle de la république. On nous dit, « la république, c’est la France. » C’est un régime institutionnel, mais la France ne se résume pas au régime institutionnel qu’est la république.

Pour moi, la France, c’est bien autre chose. C’est un rapport charnel avec notre pays. C’est une terre — nous sommes ici en Haute-Marne, dans cette belle terre de l’Est de la France que j’aime intensément. Ce sont des morts qui nous ont précédé, des générations qui ont œuvré pour notre pays, c’est une histoire, ce sont des monuments, des églises, des cathédrales. Ce sont des chemins de croix ; ces croix qu’on accable trop souvent ces temps-ci, nous le savons, en Bretagne ou ailleurs. C’est un imaginaire, c’est une langue, c’est tout ça la France.

Je crois que nous avons perdu cette essence-là, ce qui constitue au fond « l’être français, » cette personnalité que j’aime temps, cette France que nous désirons. Je crois qu’il nous faut donc réenchanter ce modèle de société qui a aujourd’hui disparu.

Je crois que pour réenchanter ce modèle de société, il n’y a pas trente-six manières. Il faut que les Français prennent rendez-vous avec eux-mêmes. Il faut nous livrer à un vaste débat national, une vaste opération d’introspection collective. Les théologiens pourraient dire un travail d’anamnèse, c’est-à-dire un travail qui consiste à essayer de se ressourcer, de déterminer quels sont les contours de « l’être français. » C’est un travail qui aurait dû être fait à l’occasion des campagnes électorales récentes, et notamment la campagne de la présidentielle qui aurait dû permettre à tous les candidats qui se sont présentés de délivrer un message au Français : Qu’est-ce que nous voulons pour notre beau pays ? Quelle France voulons-nous léguer à nos enfants, nos petits-enfants ? Ce travail, ce vaste chantier n’a pas été mené. Je pense qu’il est toujours possible de prendre à bras-le-corps ce chantier qui consiste à s’interroger sur ce que nous sommes, et au fond définir ce qu’est « l’être français. »

Pour moi, « l’être français » a une composante majeure qui est l’héritage chrétien. Notre modèle de civilisation ne se réduit pas au christianisme, c’est évident, nous avons d’autres racines : des racines gréco-latines, juives, protestantes. Nous avons aussi l’héritage né du siècle des Lumières. Tout cela fait partie des composantes de notre civilisation. Mais je crois que la composante majeure, c’est évidemment la composante chrétienne, et notamment catholique. Je crois qu’il faut accepter cet héritage-là. Il faut que dans ce travail d’introspection collective nous puissions enfin nous réunir autour de cet héritage et comprendre que cela fait partie de notre identité collective. Car si nous ne le faisons pas, au fond, nous allons laisser prospérer ce vide moral, spirituel et culturel qui accable nos compatriotes, vide sur le quel prospèrent d’autres modèles de société, d’autres contre-sociétés, je parle notamment de l’islam. Qui n’est pas seulement qu’une religion, qui est aussi une civilisation, qui est aussi un modèle de société qui s’enracine dans notre pays précisément parce que nous n’offrons plus à nos compatriotes le modèle de société qui est le nôtre depuis des siècles. Donc, je crois que le combat contre l’islam, contre l’expansion anxiogène de l’islam, qui encore une fois, propose des modes de vie, des coutumes, des pratiques qui sont radicalement étrangers aux coutumes, aux modes de vies qui sont les nôtres dans notre civilisation européenne, cet islam-là sera combattu si nous parvenons à nous réapproprier notre identité collective que nous avons trop souvent oublié.

Tout cela ne sera possible, au fond, que si nous arrêtons, dans le même temps, d’un même élan, cette immigration qui accable non seulement la France, mais le continent européen. Ce chaos migratoire que nous subissons maintenant depuis quelques décennies entraîne des conséquences pour la France et pour l’Europe. Une des conséquences importantes est la substitution de population qui s’opère, avec ces quantités considérables en proportion de migrants qui viennent en France et en Europe, nous aboutissons nous aboutissons à un changement de peuple progressivement qui se voit pour qui veut bien regarder la réalité des choses en cheminant sur la voie publique. C’est une réalité tout à fait évidente qui n’a nul besoin d’être démontrée par les statistiques ou d’autres sciences humaines. C’est une réalité que nous ne cessons de dénoncer, et c’est ce péril-là qu’il nous faut évidemment arrêter. Mais nous ne pourrons l’arrêter que si nous stoppons une bonne fois pour toutes cette immigration massive qui accable le continent européen et la France en particulier. Si nous ne le faisons pas, nous risquons d’aboutir à un déséquilibre de nos grands équilibres socio-culturels.

Bref, en un mot comme en cent, nous sommes face à un défi considérable qui est le péril identitaire et nous devons donc stopper cette substitution de peuple qui s’opère en France et en Europe, ce bouleversement des grands équilibres ethnico-culturels qui est à l’œuvre de manière souterraine depuis bien des années. Et pour cela j’ai souhaité aujourd’hui, en compagnie de Renaud Camus, venir honorer la mémoire du Général de Gaulle. Il me paraissait important symboliquement de réactualiser du combat du Général de Gaulle en 2017, le combat du Général de Gaulle de 1940, le combat du Général de Gaulle de 1958, de 1962 étaient des combats considérables pour la France. Ils ont été menés avec beaucoup de force par le fondateur de la Ve République.

Mais aujourd’hui, nous devons réactualiser son message, sa combativité. Il nous semblait important pour le SIEL et accompagné de Renaud Camus que nous puissions interpeller nos compatriotes et au-delà des Français, les Européens pour dire : c’est ici que nous souhaitons porter haut et fort le flambeau du combat, cette renaissance française et européenne que nous appelons de nos vœux. Et c’est pourquoi nous avons fait le choix avec Renaud Camus de constituer ce Conseil National de la Résistance Européenne pour pouvoir précisément montrer le cap que nous offrons aux Français et aux Européens.

Karim Ouchikh

https://www.cnre.eu/ouchikh-colombey