« ENFANTS-SOLDATS » : COMBIEN L’AQUARIUS EN RAMÈNE-T-IL ?
(L’Imprécateur)

Ce mardi 14 août vers 7 h du matin, un terroriste a volontairement foncé sur un groupe de cyclistes devant le palais de Westminster à Londres. Ayant planté sa voiture sur une barrière de sécurité, il a évidemment été immédiatement arrêté par la police, présente en permanence autour du palais. Or, curieusement, aucun journaliste francophone, comme par exemple le permanent de France 24 à Londres, n’a été capable (ou n’a voulu…) donner l’identité du terroriste. Peut-être n’avait-il pas encore reçu les éléments de langage préparés à l’Élysée et filtrés par l’AFP ?

Peu importe. Voici de qui il s’agit : l’auteur de l’attentat est un migrant soudanais arrivé en Angleterre il y a cinq ans. Il s’appelle Salih Khater. Il a 29 ans.

Quelques heures après l’attentat, le chef du contre-terrorisme britannique a annoncé que le suspect (sic !) n’était pas connu de Scotland Yard ou du MI5 pour une activité terroriste antérieure, mais hier soir, on apprenait qu’il est bien connu de la police des West Midlands et avait été expulsé récemment de l’Université de Coventry. Curieux, ce chef du contre-terrorisme qui ne connaît pas ses clients !

 

Une élue violée se suicide.
Marlène s’en bat les c… (pardon : les ov…)

L’information contrôlée par l’État et les décodeurs auto-proclamés de certains journaux-Pravda (qui sans subventions seraient en faillite depuis longtemps pour cause de désintérêt massif de leurs lecteurs) c’est ça : de l’info tronquée et parfois truquée pour ne pas nuire à la politique d’immigration de colonisation arabo-musulmane voulue par la Présidence de la République et la clique mondialiste.

Or il y a un gros problème : les attaques au couteau et les viols par migrants se multiplient dans toute l’Europe (des listes recensant quotidiennement les attentats circulent sur Internet, donc je n’en donnerai pas ici). Plus l’on tue en Europe « au nom d’Allah », plus l’Occident combat “l’islamophobie” et plus on parle en bien de l’islam pour ne “pas faire l’amalgame” et éviter d’avoir à dénoncer et interdire les hadiths et les sourates du Coran qui appellent au viol ou au meurtre. Aucune soi-disant féministe française (mais où sont-ils passés ces vagins racornis ?) n’a réagi. Par exemple, au suicide récent de Willie Dille, une hollandaise élue municipale de La Haye, violée par un groupe de musulmans et qui a laissé une vidéo pour expliquer son geste de désespoir.

Malgré la déclaration de 2011 du gouvernement (« Le gouvernement partage le mécontentement social suscité par le modèle de société multiculturelle et prévoit de donner la priorité aux valeurs du peuple néerlandais. Dans le nouveau système d’intégration, les valeurs de la société néerlandaise joueront un rôle central. Le gouvernement met ainsi un terme au modèle d’une société multiculturelle. Ce changement est nécessaire sinon notre société se divisera progressivement et personne ne se sentira chez lui aux Pays-Bas. ») rien n’a changé. Comme en France, le gouvernement fait des déclarations de fermeté envers les clandestins sans papiers venus, croient-ils, pour s’enrichir, mais ne fait rien.

La vidéo de Willie Dille commence ainsi : “Je veux faire connaître au monde la vérité. Le 15 mars 2017, j’ai été kidnappée, violée par un groupe de musulmans, parce qu’ils voulaient me faire taire. Ils m’ont demandé : “Respectes-tu Mahomet, respectes-tu Allah, respectes-tu Arnoud ?” (Arnoud van Doorn, ancien employé du conseil communal révoqué par Dille, converti à l’islam et membre du Parti Islamique pour l’Unité)… Je reçois des menaces de toutes parts et personne ne bouge. Deux Marocains dans une voiture m’ont dit : “Bientôt, nous te trancherons la gorge, et on te laissera saigner à mort. Parce que tu continues à combattre l’islam…” ».

Elle s’est suicidée avant.

Willie s’est suicidée peu après avoir tourné cette vidéo
(03:35)
sous-titres en anglais

Qu’en disent Marlène Schiappa ou Clémentine Autain ? Beeeennn… – Rien ! Que voulez-vous qu’elles disent ces deux-là, déjà moralement et intellectuellement emburkanées ?

 

Un danger encore plus grand nous menace

La terreur n’attend pas le nombre des années

Vous n’ignorez certainement pas que des milliers d’enfants sont enrôlés dans des groupes armés en Afrique. Le phénomène n’est pas spécifique au continent, mais il est plus surprenant, outre les célèbres groupes terroristes Boko Haram et les versions africaines de Daesh, d’y voir des forces armées nationales ou des milices soutenues par le gouvernement recruter des jeunes de moins de 18 ans (la définition de l’enfant, selon le droit international). Les pays concernés en Afrique : République Démocratique du Congo, Nigeria, Somalie, Érythrée, Soudan. Selon l’UNICEF, il y aurait en Afrique environ 125.000 enfants-soldats de 6 à 18 ans. Ils sont, au début, utilisés comme cuisiniers, porteurs, messagers ou esclaves sexuels. Puis, s’ils font leurs preuves, comme soldats. Chez Boko Haram et les filiales islamistes de Daesh, l’examen de passage consiste à démembrer à coups de machette un bébé vivant, un enfant, un prisonnier adulte sans manifester la moindre émotion.

Attention : l’index est levé et le PA chargé.
Mais le cerveau du gamin n’est pas encore formé .
Formaté par les aliens de l’islam, il est “vide de vie”.
Il n’obéit qu’à la mort. Servilement.
NE PRENEZ PAS LA MENACE À LA LÉGÈRE…

Il y a sous la pression internationale, ONU et sa filiale UNICEF, des plans gouvernementaux pour les récupérer. Mais ils sont souvent irrécupérables, sans famille, totalement décérébrés par le lavage de cerveau qu’ils ont subi, machines-à-tuer que Jeune Afrique et le Groupe d’Action pour la Démobilisation et la Réinsertion des enfants-soldats (GADERES) qualifient de “bombes à retardement”. Le rôle du GADERES, c’est “la réhabilitation des enfants qui sont privés de tout repère familial et rejettent toute forme d’autorité parentale. Ceux-ci reçoivent un accompagnement psychologique pendant quatre à douze semaines.”

Donc lesdits gouvernements, qui les balanceraient volontiers aux crocodiles mais ne peuvent pas à cause des menaces de sanctions internationales, cherchent à s’en débarrasser. Ils ont une excuse, ils ne disposent pas des moyens financiers et techniques, équipes de “psys” spécialisés dans la rééducation des cerveaux lavés, dont dispose l’UNICEF qui a environ 4.000 enfants-soldats démobilisés en charge. De plus, les familles refusent parfois de les reprendre parce qu’elles les estiment dangereux (il y a eu au Nigeria des cas d’enfants-soldats tuant leurs parents en les retrouvant), et la pauvreté endémique dans cette partie du monde rend difficile la socialisation sur le long terme de ces enfants qui retournent souvent au métier qu’ils connaissent le mieux : la guerre. Alors, quoi de mieux que de les revendre discrètement aux ONG et passeurs trafiquants d’esclaves qui les expédieront en Europe ?

 

On importe des “bombes à retardement”

Des regards qui en disent long…

Selon la presse africaine (entre autres Jeune Afrique) et Jo Becker, conseillère de la division Droits de l’Enfant de Human Rights Watch (HRW), basée aux États-Unis, le Nigeria, après envoyé les siens vers les côtes libyennes, les enverrait maintenant au Maroc qui les pousse délibérément vers les frontières espagnoles à Ceuta et Melilla pour leur faire gagner l’Europe. Le nouveau gouvernement socialiste espagnol acceptant maintenant les migrants (à condition qu’ils ne restent pas en Espagne !) ils s’agglutinent donc à Irun (pays Basque), nouveau Calais, en attendant de pouvoir passer en France. Le Soudan, l’Érythrée et la Somalie continueraient à utiliser la filière libyenne.

Or, on apprend que L’Aquarius (à qui Gibraltar vient de refuser le droit de porter son pavillon [1], a à son bord 141 migrants, avec “73 mineurs dont 67 non accompagnés, ce qui est “énorme” selon MSF. “Sur le bateau, une personne sur quatre a entre 13 et 15 ans, est non accompagnée, et vient d’Érythrée ou de Somalie”.

Il nous reste à espérer que les autorités chargées de trier et filtrer les migrants à Malte où Aquarius vient d’accoster grâce à la pression exercée par la Commission Européenne sur Malte, sauront découvrir si ces “67 mineurs non accompagnés, de 13 à 15 ans venant de Somalie et d’Érythrée” sont ou non des “bombes à retardement” incontrôlables et irrécupérables avant de les réexpédier vers divers pays d’Europe, dont 60 pour la France comme l’a proposé l’Élysée. Combien d’enfants-soldats dans les 60 ? Qu’on les installe donc à Sète, pour que ses habitants comprennent enfin l’incommensurable bêtise de son président du port, le toujours stalinien Jean-Claude Gayssot qui en bon communiste a un grand cœur… avec l’argent des autres. Car, à ma connaissance, il n’a pas accueilli un seul migrant chez lui. Ou… pourquoi pas à Brégançon ? Une île facile à surveiller, où il y a de la place, une grand-mère-nounou qui aime bien les jeunes garçons et un jeune grand-père connu pour être… “très tactile”, comme dit la presse.

 

L’Imprécateur
15/08/2018

 

[1] Aquarius est immatriculé à Gibraltar comme navire de recherche scientifique, et donc exonéré d’impôts. Gibraltar estime qu’il n’a pas respecté son contrat. À partir du 20 juin, s’il retrouve sa nationalité d’origine allemande, il sera imposé sur son chiffre d’affaires de la traite méditerranéenne. Mais on peut parier que son commanditaire, Georges Soros, fait des pieds et des mains pour obtenir une immatriculation à Macao ou aux Îles vierges, paradis fiscaux.