Le général Martinez a rédigé ce communiqué avant que l’identité des victimes ne soit connue.
Il s’agit en réalité de la mère et de la fille de l’islamiste, toutes deux décédées. Une troisième personne a été assez gravement blessée par l’animal, dans la rue. Là, il s’agit bien d’une passante.
Illustrations : MINURNE
COMMUNIQUÉ DE LA PRÉSIDENCE DES VOLONTAIRES POUR LA FRANCE
Un homme armé d’un couteau s’est attaqué ce jeudi matin, à Trappes, dans les Yvelines, à des passants faisant deux morts et un blessé grave. Retranché ensuite dans un pavillon, il en est ressorti un moment plus tard, toujours armé et menaçant, et s’est lancé sur les policiers présents en hurlant Allah akbar. L’un des policiers l’a abattu. Un peu plus tard, L’État Islamique a revendiqué l’attaque via son agence de propagande. L’individu connu des services de renseignement pour apologie du terrorisme était non seulement fiché « S » mais fiché « FSPRT » (Fichier des Signalements pour la Prévention et la Radicalisation à caractère Terroriste). 19.745 noms d’islamistes figurent dans ce fichier FSPRT (date de la dernière mise à jour non connue) susceptibles de passer à l’acte.
On mesure ainsi le niveau actuel connu de menace qui pèse sur la vie des Français et un certain nombre de remarques doivent être formulées à l’adresse du gouvernement qui doit prendre conscience – il est plus qu’urgent – de la réalité de la situation et de la nécessité de mettre en œuvre des mesures adaptées pour protéger les citoyens car ces attaques au couteau sont devenues quasi-quotidiennes. Ce n’est plus supportable ni acceptable.
Il est indécent, alors que le mode d’attaque est caractéristique, alors que l’État Islamique revendique l’attaque, que le ministre de l’Intérieur puisse évoquer un « suspect souffrant de troubles psychiatriques ». Halte au mensonge et à l’hypocrisie ! Cette référence permanente à des actes de déséquilibrés est irresponsable car maintenant ces islamistes dans leur démarche criminelle.
Cela dit, en retenant cette explication inaudible, le ministre ne reconnaît-il pas que l’islam est en définitive une fabrique de déséquilibrés ?
Le ministre de l’Intérieur a tenu à saluer la réactivité et la mobilisation exemplaires des forces de l’ordre. Il faut, en effet, féliciter nos forces de police sollicitées en permanence. Mais elles agissent après le drame. Seule consolation : ce « déséquilibré » a été abattu. Cela évitera à un juge de le libérer par erreur. La Justice sera ainsi passée.
Il faut également rappeler qu’il y a quelques semaines, un coup de filet était effectué dans les rangs de ce que certains appellent maintenant « l’ultradroite ». La raison invoquée est que les services de renseignement avaient relevé de leur part des « velléités » de passage à l’acte contre des musulmans radicalisés. Ces arrestations qui ont conduit à des mises en examen et au maintien abusif de certains d’entre eux en préventive sont-elles le fruit d’écoutes téléphoniques ou d’un coup tordu organisé pour discréditer la mouvance patriote ?
Pourquoi les près de 20.000 islamistes fichés FSPRT, qui passent à l’acte régulièrement – l’exemple d’aujourd’hui le confirme – ne sont-ils pas mis, eux, hors d’état de nuire ?
Il est lassant d’entendre ces associations anti-racistes et ceux qui les soutiennent instrumentaliser l’islamophobie pour faire croire que cela n’a rien à voir avec l’islam. Bien sûr que si, cela a à voir avec l’islam !
Que notre ministre de l’Intérieur et nos dirigeants politiques lisent enfin le coran et ils y trouveront la source de la haine de l’Autre.
Et surtout qu’ils en tirent les conséquences, c’est à dire qu’ils appliquent le « principe de précaution », à savoir stopper l’immigration de culture islamique et en inverser le cours.
C’est cela le bien commun et l’intérêt de l’État et de la nation.
Nos dirigeants politiques, par leur laxisme, leur inaction et leur irresponsabilité face à l’avenir de la nation qui s’assombrit, se trompent lourdement de stratégie face à l’islamisme qui n’est rien d’autre que l’islam. Leur politique de l’autruche et leur déni de l’évidence ne sauveront pas la France d’une guerre qui vient sur son propre sol.
Nous appelons le président de la République et son gouvernement à plus de lucidité sous peine de drames qu’ils ne pourront plus maîtriser.
Général (2S) Antoine Martinez
Coprésident des Volontaires pour la France
24/08/2018