QUAND L’ÉTAT CHERCHE À FAIRE TAIRE LES PATRIOTES
(général Martinez)

Alors que le président de la République comptait sur les vacances pour étouffer ce qu’on appelle « l’affaire Benalla » – véritable scandale d’État qui l’éclabousse – il va bien falloir y revenir car elle a mis en évidence non seulement un dysfonctionnement des services de l’Élysée mais l’existence, dans le cercle le plus proche du président, d’un fonctionnement plutôt occulte, voire clandestin dans le domaine d’affaires liées à la sécurité de l’État et à la lutte contre le terrorisme. La journaliste du quotidien Le Monde qui a mené une enquête et révélé cette affaire l’indique clairement « Tout d’un coup, nous nous rendons compte qu’Emmanuel Macron dirige la France de manière assez opaque. On ne connaît pas exactement ces collaborateurs et pourtant, ils s’occupent de sujets aussi importants que la sécurité ou le terrorisme. Il y a un évident problème de transparence ». L’incident du 1er mai dans lequel s’est illustré ce très proche « collaborateur » n’est cependant que la partie émergée de l’iceberg qui pourrait révéler un dérèglement dans le fonctionnement républicain de la présidence qui, avec sa « petite équipe », dirige « de façon assez opaque » le pays. Il ne faut d’ailleurs pas oublier les conditions dans lesquelles le président est arrivé au pouvoir il y a une quinzaine de mois, grâce à un hold-up démocratique permis par un coup d’État institutionnel qui a éliminé le candidat de la droite classique promis à la victoire. Par ailleurs, quand il a choisi de s’exprimer, tardivement, sur ce scandale Benalla, et en quels termes (!), ne l’a-t-il pas fait comme chef de clan devant ses partisans, dévalorisant ainsi la fonction de président de la République, jetant le doute sur son sens des responsabilités et créant le risque de ne plus être légitime pour une partie des Français ? S’ajoute à ce qui précède la mise en évidence d’une inquiétude majeure du fait que le président, de surcroît chef des armées, accordait toute sa confiance à ce très proche « collaborateur », curieusement habilité secret défense. N’a-t-il pas pris un risque inconsidéré en ignorant qu’il peut être une cible pour des services étrangers ?

En tout cas, depuis son arrivée au pouvoir, un certain nombre d’événements ou de réactions tendent à démontrer son mépris pour les voix discordantes, voire son agressivité à l’égard des voix dérangeantes, et sa volonté de faire taire ceux qui veulent que la France reste la France ou que la France redevienne la France. Et dans cette entreprise de démolition de notre identité et donc de l’unité de la nation, une collaboration de circonstance pourrait avoir été imaginée et téléguidée par cette « petite équipe » entre des services de l’État, des officines et certains médias connus pour leur détestation des Français attachés à leur identité.

SE Éric Fournier

Sans revenir sur les circonstances de la démission du dérangeant général de Villiers, chef d’état-major des armées, il y a tout juste un an, à la suite d’une fuite dans la presse des propos tenus devant les parlementaires, il faut mentionner le limogeage, le 30 juin dernier, de Éric Fournier, non moins dérangeant ambassadeur de France en Hongrie, pour avoir dénoncé dans une note interne la « magyarophobie » des médias français et anglo-saxons et avoir estimé que la Hongrie est « un modèle, ayant su anticiper les problèmes posés par les mouvements migratoires illégaux ». Il accusait, en outre, la presse de détourner l’attention du « véritable antisémitisme moderne », celui des « musulmans de France et d’Allemagne » et défendait l’héritage chrétien de la Hongrie. Autant de propos contraires au discours officiel plutôt immigrationniste et multiculturaliste franchement orienté vers l’islam. Ce télégramme diplomatique (TD) était envoyé le 18 juin au Quai d’Orsay (ministère des Affaires étrangères). Comme tout TD, il est confidentiel et transite par un système de cryptage hautement sécurisé [1]. Mais il fallait justifier et donner une publicité à la sanction de l’ambassadeur qui s’était écarté de la ligne officielle. Alors, comment a-t-il pu être rendu public par Mediapart ? Deux explications et seulement deux sont concevables : il a été communiqué illégalement, soit par le ministère des Affaires étrangères soit par l’Élysée. Une pratique non seulement perverse quant au choix du média mais révélatrice de la volonté d’imposer le silence à ceux qui s’opposent à la « transformation » en marche de la société sur le plan ethnoculturel et dénonciatrice de la collusion délibérée entre des services de l’État et des médias spécialistes de la délation acquis à cette « transformation » par l’immigration de peuplement. On le constate, la technique, toujours la même, a été rapidement rodée : on décide de neutraliser celui ou ceux qui ont été ciblés car ils dérangent, mais en prenant soin de le faire après les fuites organisées ou les informations préparées et publiées par un média manipulé ou pouvant avoir, en fonction des cas, le même objectif que le pouvoir.

C’est bien ce qui se produit dans un autre registre aussi dérangeant pour le pouvoir, avec la mouvance patriote, cette « lèpre » qui monte, car elle défend l’identité de la France et s’oppose à l’invasion migratoire et à l’islamisation du pays. Dans cette mouvance, les Volontaires Pour la France (VPF) semblent particulièrement ciblés. Et si cette « petite équipe » à laquelle appartenait M. Benalla s’occupait d’affaires de terrorisme, on peut penser qu’il ne s’agissait pas du terrorisme islamiste mais du terrorisme patriote fantasmé par nos dirigeants qui doivent en rêver et cherchent, en collaborant avec ce média servile et délateur, à en accréditer l’existence en préparant un scénario en lieu et place des VPF. L’objectif est évident : tenter, en instrumentalisant la police et la Justice, de neutraliser ses dirigeants dont la voix discordante est devenue dérangeante pour le pouvoir. C’est pourquoi l’affaire Benalla (non pas l’incident du 1er mai mais ce que pourrait révéler l’enquête sur la personnalité de l’individu et sur les activités de cette « petite équipe ») et l’affaire des arrestations opérées le 23 juin dernier dans la mouvance qualifiée par certains d’ultra-droite pourraient être liées. L’annexe jointe déroule une chronologie factuelle dont l’analyse permet de conclure à l’existence probable d’une collusion organisée et téléguidée entre des services de l’État et un média, Mediapart, dont l’objectif est de neutraliser la mouvance dite patriote et ses dirigeants. Elle est d’autant plus probable que des services sont aujourd’hui noyautés par des adeptes du système islamique et que Mediapart fait de la délation et de la lutte contre les patriotes qui s’opposent à l’islam une priorité. Il sera donc difficile de démentir cette collusion ou collaboration entre la DGSI et Mediapart car certaines informations publiées par ce média ne peuvent être connues que de la DGSI. Par ailleurs, avec les pratiques plutôt occultes dénoncées par la journaliste de Le Monde, on ne peut que condamner la vilenie de ces collabos qui, après les arrestations des dix personnes de l’AFO (quelles sont les vraies raisons de ces arrestations ?) et l’interrogatoire subi pendant leur garde à vue, essaient plusieurs scénarios, notamment celui de provoquer la « guerre » entre mouvements patriotes afin qu’ils se neutralisent mutuellement. Pour déconsidérer les VPF et ses dirigeants, le journaliste Matthieu Suc de Mediapart n’hésite pas à déclarer (il est cité dans un article dont l’auteur est un sympathisant de l’AFO) que « la DGSI a contacté le général Martinez en 2017 pour lui demander de se calmer dans le recrutement » (sic). On ne peut que relever des pratiques qui sont celles des barbouzes, y compris chez certains « journalistes », orientés ou manipulés par la DGSI ou ceux qui donnent les ordres. Aucune bassesse ne les arrête. Ils sont complètement discrédités par de telles méthodes.

Matthieu Suc, « journaliste » de Mediapart

On le constate, la République inaltérable combat aujourd’hui les Français qui veulent défendre leur héritage historique, spirituel et culturel ainsi que le droit des peuples à la différence contre une vision immigrationniste et multiculturaliste. Cette dernière est, en fait, une véritable imposture devenue sanglante, chaque jour qui passe nous le démontre. Et cette République, qui n’a rien d’exemplaire car ceux qui la dirigent s’en servent en ignorant totalement la France, cherche à faire taire ceux qui précisément veulent qu’elle reste fidèle à son âme. Les patriotes, pour leur part, qui aiment avant tout la France, ne renonceront pas à leur combat malgré les menaces et les coups tordus alors que nous célébrons jusqu’à la fin de l’année le centenaire de la Grande Guerre. Nos anciens ont donné leur vie pour notre liberté et non pour que le peuple français soit aujourd’hui asservi sur son propre sol, par d’autres peuples guidés par une culture ennemie de la sienne.

 

Annexe : Mediapart agent de la DGSI ?

Les VPF, jeune organisation patriote, confient leur présidence en juillet 2016 à un ancien haut-fonctionnaire du ministère de l’Intérieur, ancien député, et à un général en 2ème section. Ce dernier se fait remarquer par une lettre ouverte au président de la République, le 23 décembre 2014, ce qui lui vaut d’être « suivi » depuis ce moment-là. En février 2016, en pleine crise migratoire, il participe, à Rungis, aux journées européennes contre l’islamisation et l’invasion migratoire. Un autre général, Christian Piquemal, lui, est, arrêté à Calais où la manifestation est interdite. Circonstances aggravantes pour le futur coprésident des VPF, il prend la défense du général Piquemal et signe, avec lui et deux autres généraux, une lettre ouverte au président de la République. Il est alors menacé de sanctions pour avoir critiqué le gouvernement dans la gestion de la crise migratoire à Calais et s’être écarté de son devoir de réserve. Quelques mois plus tard, il crée le comité de soutien au général Piquemal, après la radiation de ce dernier du cadre des généraux en 2ème section décidée par le président Hollande, obtenant la signature d’une cinquantaine de généraux et amiraux en 2ème section et signe, en septembre 2017, avec dix autres généraux, une tribune consacrée à la menace qui pèse sur la liberté d’expression des militaires.
Ces précisions semblent importantes et nécessaires pour expliquer la suite de la chronologie et fournir un éclairage particulier sur le déroulement des événements.

  1. Le 12 octobre 2017, au cours d’une réunion régionale des VPF et à la suite d’un désaccord entre certains membres, la présidence des VPF signe un communiqué à destination de ses représentants régionaux et délégués départementaux chargés d’informer leurs membres. Ce communiqué rappelle les objectifs suivis par les VPF, le fonctionnement et les règles à respecter et officialise l’exclusion et la rupture avec deux de ses membres qui appartiennent au comité directeur et qui, de plus, ont créé une autre structure dénommée AFO (Action Forces Opérationnelles).
  2. Le 9 novembre 2017, la secrétaire générale de l’association Vigilance Halal, association qui dénonce l’abattage halal et ses conséquences sur les consommateurs sur le plan sanitaire, a la désagréable surprise de voir avec son mari, à 06:00 du matin, la porte de sa maison enfoncée par 14 policiers armés et cagoulés. Elle subit un interrogatoire sur place qui se poursuit par une garde à vue d’une douzaine d’heures. On lui reproche notamment son « activisme politique » car elle active de nombreux réseaux numériques patriotes et pratique le tir sportif. La cause défendue par l’association Vigilance Halal dérange manifestement l’État car elle rattache fort justement le halal à la charia (loi islamique) qui est un vecteur majeur de l’islamisation de notre société. Par ailleurs, au cours de son interrogatoire, elle est questionnée sur les VPF et sur le général Martinez, son coprésident.
  3. Le 9 avril 2018, un premier article est publié par Mediapart. Intitulé « Forces de l’ordre liées à l’ultradroite violente : la DGSI s’inquiète », il n’est pas difficile de comprendre pour le lecteur un peu averti que « quelque chose est en train de se tramer ». Les mots ont, en effet, leur importance et « l’ultradroite violente » c’est très fort : « ultra » pouvant d’ailleurs être assimilé à « jusqu’au-boutiste ». Mais au fait… responsable de combien de morts jusqu’à présent ? Par ailleurs, si la DGSI s’inquiète, c’est donc – il faut savoir lire entre les lignes – qu’elle suit l’affaire de près et qu’elle prépare une action. C’est bien le rôle de nos services de renseignement et de sécurité : anticiper. D’autre part, pour justifier le titre et l’alarmisme qui en découle, le média se réfère à une déclaration du directeur de la DGSI, non pas l’actuel, mais le précédent, Patrick Calvar, qui s’était exprimé il y a déjà deux ans, le 10 mai 2016, devant les députés de la commission de la Défense Nationale. Selon lui, certains pourraient passer à l’action en répondant par des représailles sur les musulmans au cas de nouveaux attentats. Et il préconisait la surveillance et la répression de citoyens qui seraient susceptibles d’émettre des velléités d’action. Dans cet article très orienté qui mentionne de façon plutôt brouillonne un certain nombres de groupes ou groupuscules dont certains peuvent être violents mais qui n’ont manifestement pas grand-chose à voir avec la mouvance patriote, Mediapart place les VPF au premier rang de la liste évoquée, en rappelant ses objectifs, la défense de l’identité française et la lutte contre l’islamisation du pays, et en présentant ses deux coprésidents.
    En analysant bien ce premier article de Mediapart et en le resituant dans le contexte évoqué de cette « petite équipe » très active dans le premier cercle du président de la République, on peut relever deux points qui font penser à une manipulation ou à une collaboration avec ce média. En premier lieu, Mediapart insiste sur l’origine de la création des VPF qui auraient été créés après les attentats du 13 novembre 2015, ce qui n’est pas exact. En fait, cette insistance, personnelle au média ou suggérée par la DGSI (qui reçoit elle-même des ordres), vise à faire croire que la motivation des VPF est, en réalité, de préparer des actions violentes pour venger les victimes des attentats. Cela permet, après avoir élaboré un scénario au lieu et place des VPF, d’instrumentaliser ensuite les services de police et la Justice en procédant par anticipation à d’éventuelles arrestations. En second lieu, il est très étrange que Mediapart n’ait pas fait état, dans son article, de l’AFO créée par deux membres des VPF exclus en octobre 2017. Mais cela n’était-il pas nécessaire et voulu, d’un commun accord DGSI/Mediapart pour ne pas éveiller l’attention des membres de ce mouvement dont une dizaine devaient être arrêtés le 23 juin dernier ? Et comme les coups tordus sont pléthores dans ces situations à la limite de l’illégalité, voire complètement illégales, ne cherche-t-on pas à neutraliser les VPF et ses dirigeants qui dérangent ? Le fait que Mediapart les placent au premier rang est une indication et dans ces conditions, l’arrestation des membres de l’AFO n’est-elle pas une attaque indirecte des VPF ?
  4. Le 23 juin 2018, dix personnes soupçonnées de préparer des attentats anti-musulmans sont arrêtées dans le cadre d’une information judiciaire ouverte par la section anti-terroriste du parquet.de Paris. Elles appartiennent selon les médias à l’AFO et deux d’entre elles sont les responsables de ce groupe. Il s’agit des deux personnes dont les VPF se sont séparées le 12 octobre 2017. Les médias indiquent qu’il s’agit d’une « structure clandestine et dissidente longtemps mise en sommeil et réactivée » (?) et ajoutent que l’enquête avait débuté en avril dernier. La date est à rapprocher du premier article de Mediapart du 9 avril 2018 (début avril également) : coïncidence improbable.
  5. Le 25 juin 2018, Mediapart publie un second article juste après les arrestations dans les rangs de l’AFO et reste toujours autant, voire plus virulent et offensif contre les VPF. Le média persiste en s’appuyant sur une vision islamo-gauchiste qui lui est propre, usant de contre-vérités, fabriquant de fausses informations (fake news), se retranchant derrière la formule bien pratique « selon nos sources », ou en utilisant des informations connues de la seule DGSI. S’agissant de ces dernières, comment les a-t-il obtenues ? La DGSI les a-t-elle fournies de sa propre initiative, ou sur ordre ? – De qui ? Cela confirme bien une collusion entre les services de l’État et un média acquis à la cause de la lutte contre ceux qui veulent défendre l’identité de la France et s’opposent à l’immigration extra-européenne de masse et à l’islamisation de la société. En tout cas, Mediapart persiste sur les motivations des VPF : « créés mi-2015, les VPF ont réellement été mis sur orbite au lendemain des attentats du 13 novembre ». Et pour s’en convaincre, il n’hésite pas à en justifier la cause : « l’un de ses membres fondateurs a perdu sa fille au Bataclan ». Cette information, évoquée par certains médias et concernant l’une des deux personnes de l’AFO exclues des VPF, a semble-t-il été démentie par le Parquet. Enfin, Mediapart fait croire que ses journalistes ont contacté les VPF au début du mois d’avril. En fait, la prise de contact s’est effectuée avec le secrétariat du mouvement qui, dans une réponse courte et de portée générale, fournissait les coordonnées téléphoniques d’un des deux coprésidents des VPF, en l’occurrence le général Martinez. Mais l’article était déjà rédigé et le coprésident des VPF n’a jamais été contacté.
    On notera le professionnalisme de journalistes qui s’autoproclament « journalistes d’investigation » mais qui n’en sont pas.

 

Général (2s) Antoine Martinez
01/09/2018

 

[1] Le télégramme diplomatique (TD) était un texte confidentiel échangé de manière chiffrée entre une mission diplomatique comme une ambassade et le ministère des Affaires Étrangères. Le ministère français des Affaires étrangères l’a remplacé en 2014 par des courriers formels (CF) et des notes diplomatiques (ND). L’appellation « télégramme diplomatique » provient de l’époque où ces échanges se faisaient par le biais de câbles sous-marins (câblogramme).
[note Minurne]


J − 47



 

10 Commentaires

  1. rien de bien surprenant, la colère gronde dans la France d’en-bas et le pouvoir commence à paniquer, tout ce qui se passe témoigne de son impuissance.
    dans la culture musulmane, on respecte les forts même quand ils sont ennemis et on méprise les faibles et les lâches même quand ils sont amis, les mécréants qui les aident aujourd’hui à islamiser notre pays n’auront droit à aucune reconnaissance, pour le musulman ce sont des traîtres et des lâches, et ce qui me réjouit c’est que ce seront leurs premières victimes quand ils se sentiront assez fort pour imposer la Charia.

    • En accord avec votre message.
      N’oublions pas, parmi les premières victimes, les apostats selon la charia. Les Maghrébins devenus chrétiens.

      C’est votre pseudo qui me gêne.
      A moins que vous ne soyez pas informé, sachez que la république qui s’en venait, a tenté de tuer la France. Elle y est parvenue sous de nombreux aspects.
      Il en reste de beaux lambeaux qui ne demandent qu’à grandir.

      Afin que mon message soit clair je vous adresse :
      « Vive la France !
      Que meure la république avortiste, elgébétiste, euthanasiste, immigrationniste, mariagepourtoussiste, multiethnissiste… » liste non exhaustive à vérifier dans les loges et autres officines des droits humains.

  2. Bonjour, VPF, un label de haute qualité pour la Viande Porcine Française ? Si tous les Français sont des Porcs et toutes les Françaises des Cochonnes (coucou Marlène !!!), comment ce fait il qu’il y ait autant de pratiquants musulmans en Gaule ? Mystère !!!

  3. Aujourd’hui, 2 septembre, est l’anniversaire des « massacres de septembre » qui débutèrent par le carnage des Carmes (plus de 100 prêtres assassinés sauvagement). La république est née dans le sang, les massacres et l’illégalité ! Elle est illégitime et nous mène à l’abattoir ! Le minable qui s’est fait élire l’an dernier doit achever le travail et il est à craindre que des évènements aussi tragiques que les massacres de 1792 ne recommencent… avec le petit cron, le pire est devant nous !

    • Exact cela fait 50 ans que je le dit a haute voix mais personne n’écoute.
      Mon père m’a toujours dit cela ne sert a rien de parler au Mur ni aux Ânes !!
      Le pire est devant nous la guerre civile, Français de souche contre nos envahisseur les mus et Africains.
      Mais je m’y prépare le mieux que je peut déjà depuis 5 ans.
      J’ai quitté Avignon (84) car l’envahissement musulman est pire qu’à Paris en quantité cela devenait invivable ils ont tout envahi les banques les syndicats la mairie tout est pourri vermoulu et ici a la limite du jura; ici il y en a beaucoup moins.
      et au moins ici je pourrais mieux me protéger et j’ai commencé a couler mon bunker en sous sol pour me protéger ainsi que ma compagne. maintenant il faut que je commence a faire des provisions car la guerre fait largement monter le cout des victuailles et du carburant pour se déplacer il me manque un 6 roues motrice blindé .

      • @quatre huit

        Pourquoi rester dans les villes ? Pour servir d’appât ? Grossir les chiffres des faits divers et peut-être être au centre des confrontations prochaines ?
        Un mort est inutile pour la cause patriote.
        Savoir où est sa place et protéger les siens est le premier devoir d’un homme.

        J’ai agi comme Le Gaulois, je me suis retirée à la campagne, sans le bunker toutefois. Cela ne m’empêche pas d’être patriote et d’en rencontrer d’autres.

  4. Mediapart, c’est bien le Plenel qui est le directeur islamophile et grand lèche-babouches devant l’Éternel, de ce torchon anti-patriote, pro immigrant , pro muzz. Tous ces journaleux gauchos répondront de leurs forfaitures et de leurs traîtrises devant la justice du peuple le Jour J !

  5. Franchement, je suis désolé : je n’arrive pas à faire confiance aux VPF. Les généraux ne sont généralement que des Francs-maçons. Et se contenter de Renaud Camus qui a longtemps de défendre la Patrie, venant de la gauche, ne fait guère confiance. Pour moi, c’est de l’esbroufe insipide qui ne consisterait que guère plus retourner à un passé qui ne nous conduirait qu’à ce que la France vit actuellement. Guère plus.. Il nous faut retourner bien plus loin et que la France retrouve ses vraies valeurs.

  6. La France est dans une situation inquiétante et grave. Le bon peuple est peu nombreux à « gratter » l’information en dehors des merdias omniprésents. Ce qui serait intéressant à connaitre est le carburant qui fait fonctionner ces officines de démolition du Pays.

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