Antifas et black blocs ont souillé l’Arc de Triomphe, que les Gilets Jaunes ont tenté de protéger.
L’extrême gauche souffle sur les braises pour déclencher une guerre civile.
Le 24 novembre, il y avait déjà eu des témoignages de plusieurs journalistes, dont une journaliste du Monde à C dans l’air et un autre, dénommé Nicolas Lévine. Ayant pour mission de faire des reportages sur « l’ambiance » sur les Champs Elysées, ils avaient constaté que des CRS lançaient sans avertissement des fumigènes sur des groupes parfaitement calmes de gilets jaunes « pour les disperser ». Et aussi qu’ils laissaient passer sans les fouiller des Black Bloc ou Antifas aisément identifiables à leur tenue, que ce soit à leur entrée sur le Champs où à leur sortie, notamment au carrefour avec la rue de Tilsitt. Certains des journalistes ayant demandé « pourquoi ? » aux « chefs » des CRS s’étaient entendu répondre « qu’ils avaient reçu des ordres ».
Comme ils dépendent du ministère de l’Intérieur qui préfère laisser casser un peu que de risquer des blessés ou des morts, c’est crédible.
À l’Arc de Triomphe, black blocs et antifascistes
Le 1er décembre, il n’y a pas eu que les black blocs cagoulés de noir à franchir les barrages sans problèmes, les antifas en gants noirs pour ne pas laisser d’empreintes, baskets à lacets de couleur, sac sur le dos avec leurs outils (cocktails Molotov, bombes de peinture, etc.) et souvent le A de Anarchie au feutre noir sur leur gilet jaune ont aussi franchi les barrages sans difficultés.
Il semble qu’il y ait eu aussi des policiers en civil comme le montrent les deux vidéos qui suivent. La première est prise par deux filles qui filment des policiers en train de se déguiser en Gilets jaunes derrière le fourgon dont ils viennent de descendre. Elles sont visiblement de mauvaises cinéastes, la vidéo est trop floue et seul leur dialogue est intéressant.
https://www.youtube.com/watch?v=5flXy7KF8A8
La seconde est beaucoup plus explicite, les deux filles ayant prévenu leurs copains avec leurs portables, ces derniers ont démasqué les policiers en civil. Ceux-là n’avaient sans doute comme mission que d’infiltrer le groupe de Gilets jaunes et faisaient leur travail, mais cela a jeté le doute et ils ont été accusés d’être là sur ordre de Castaner pour jeter de l’huile sur le feu en cassant.
https://www.youtube.com/watch?v=5_fp_5pwqJo
Ils ne se sont vraisemblablement pas livrés à des violences, mais s’ils en avaient reçu l’ordre, ils l’auraient fait, comme l’a rappelé Raymond Soubise à C dans l’air lundi soir « Ils obéissent au doigt et à l’œil aux ordres reçus« . On ne peut pas le leur reprocher.
L’ultra-centre incrimine la droite, la gauche et les Gilets Jaunes
À l’Arc de Triomphe, le Ministère et l’AFP ont incriminé l’extrême droite, l’extrême gauche et des Gilets Jaunes « radicalisés ». La responsabilité des dégâts infligés est ainsi équitablement répartie entre les trois ennemis de l’ultra-centre (1) LaREM.
La dégradation de l’Arc de Triomphe ayant une grande portée symbolique, il est nécessaire de rétablir la vérité.
D’abord avec le témoignage de l’un des journalistes de BFMTV (2) présents sur les Champs Élysées. « Nous étions en train de filmer un groupe de Gilets Jaunes à genoux et chantant la Marseillaise devant le tombeau du soldat inconnu… » Arrive un groupe d’antifas avec leur A sur le dos qui commence à forcer la porte permettant d’accéder à l’intérieur de l’Arc.
Le journaliste dit avoir appelé les CRS massés en haut de l’Avenue de la Grande Armée, à une centaine de mètres, pour les prévenir. Réponse, « Nous avons l’ordre de ne pas bouger« . Une réponse vraisemblable, puisque conforme à la doctrine anti-émeutes en vigueur depuis plusieurs années à l’Intérieur : les forces de police ne bougent que si elles en ont reçu l’ordre formel de l’autorité supérieure.
Castaner, le Préfet de Paris Michel Delpuech et Laurent Nuñez à l’Arc de Triomphe
À ce moment là, les antifas sont à l’intérieur de l’Arc, le journaliste se fait interpeller par un homme en qui il dit reconnaître le co-ministre de l’Intérieur, Laurent Nuñez « Ce n’est pas ceux-là (les gilets jaunes chantant la Marseillaise) qu’il faut montrer, filmez ceux qui viennent d’arriver« . Si le Secrétaire d’État à la Sécurité L. Nuñez était à proximité, pourquoi n’a-t-il pas appelé lui-même immédiatement donné l’ordre aux CRS d’intervenir ?
Le journaliste de BFMTV obtempère mais observe que pendant ce temps-là les vrais Gilets Jaunes se sont mis en carré autour des barrières qui protègent le cercueil et la flamme pour empêcher les antifas de les dégrader. L’un d’eux ayant réussi à passer est immédiatement rattrapé et copieusement « bousculé », grâce à quoi le tombeau et la flamme n’ont eu à subir aucun dégât.
Les autres antifas taguent l’extérieur de l’Arc de Triomphe.
L’ultra-gauche signe son crime avec ses tags
Avec leurs tags, ils signent leur appartenance à l’extrême gauche, qu’elle soit Antifa ou Black bloc : sur l’Arc de Triomphe, on a trouvé le « A » de « Anarchie » entouré d’un cercle, « nik l’État« , « classe contre classe« , « pas de guerre entre les peuples et pas de paix entre les classes« , « gilets jaunes antifas « , « vive les enfants de Cayenne » ou encore « justice pour Adama« , Adama Traoré, le narcotrafiquant que F. Hollande vint consoler après qu’il ait prétendu avoir été sodomisé par un bâton de policier et avant qu’il soit arrêté pour avoir escroqué 680000 € à la Sécurité sociale. On connait la coloration politique de ces slogans qui furent aussi utilisés à la Bastille le 1er mai dernier lors de la manif dominée par les Black blocs qui tentèrent de « griller les poulets » en incendiant une voiture de police avec deux policiers à l’intérieur.
Boulevard Voltaire souligne le mensonge du Point « « l’ultra-droite est parvenue à signaler sa présence sur le monument : « L’Ultra-droite perdra Manu », ont relevé les policiers » (sic). Très forts, les policiers. Mais peut-être un peu daltoniens ? À moins que ce ne soit au journaliste du Point qu’il faille offrir des lunettes pour Noël ? Car la photo de l’Arc de Triomphe tagué parle d’elle-même : il est écrit, en haut, « L’ultra-droite Perdra » – encre noire et écriture scripte – puis, en bas, « MANU MA TUER », en encre rouge et en majuscules, ce qui laisse supposer à tout observateur, même frais émoulu du cours préparatoire, qu’il s’agit de deux tags différents, bien sûr, et non de la même phrase. Si l’on s’en tient à la thèse du Point, pourtant, notre tagueur d’ultra-droite se serait interrompu au milieu de sa phrase pour changer de couleur et de style d’écriture, et aurait ensuite écrit un « MA TUER » sans queue ni tête, puisqu’il n’y a plus de sujet, « MANU » fonctionnant avec la phrase du haut… » Mais que voulez-vous, Le Point est subventionné et obéit au doigt et à l’œil aux instructions venues d’en haut, comme les CRS.
Une fois les inscriptions faites, les CRS sont arrivés et ont arrêté « des Gilets Jaunes » (dixit l’ensemble de la presse aux ordres). Personne ne sait où était passé le Secrétaire d’État pendant ce temps-là. Comme il a du s’expliquer devant une Commission parlementaire, espérons qu’ils lui auront posé la question « Pourquoi les CRS qui étaient stationnés à 100 m de là ont-ils attendu que les antifas aient fini leurs destructions et leurs gribouillages pour intervenir ? »
L’Imprécateur
6 décembre 2018
1 : « Extrême », « extrémiste », « ultra », ces mots désignent les partisans d’une doctrine poussée à ses limites, persuadés qu’eux seuls détiennent la bonne voie et la vérité. Ils ne supportent pas la contradiction et insultent ceux qu’ils considèrent comme leurs ennemis : « illettrés, ivrognes, fumeurs de clopes, gens de rien, peste brune, déplorables, populistes… » LaREM et ses dirigeants, coutumiers de ces insultes humiliantes se positionnent au centre, c’est donc « l’ultra centre ».
2 : BFMTV n’a montré que la seconde partie du reportage (le saccage de l’Arc par les antifas), on trouve la première sur Boulevard Voltaire ou Le salon beige.
les CRS seraient-ils autant pourris que les dirigeants de ce pays ? que font-ils du devoir de désobéissance lorsque les ordres sont odieux ? tout est fait pour nuire aux gilets jaunes mais les Français ne sont pas des crétins et ils voient bien ce qui se passe ; ceux qui commencent à trouver la soupe saumâtre ce sont les commerçants qui effectivement vont souffrir de ce qui se passe mais les gilets jaunes défendent tout le monde, les commerçants qui se plaignent souvent d’être écrasés par l’état devraient le reconnaître
Il y a une confusion regrettable dans l’article. L’affaire Adama Traoré est une affaire judiciaire qui a pour origine la mort d’un homme de 24 ans, Adama Traoré, le 19 juillet 2016 à la gendarmerie de Persan, à la suite de son interpellation à Beaumont-sur-Oise.
aucune des deux vidéos n’est disponible. Curieux ….
Ben pardi !!! Ils veillent au grain les sbires de la ripoublique !
Le trafiquant de drogue qui avait prétendu avoir été sodomisé par un policier s’appelait Théo. Adama Traoré est le « jeune » de Beaumont-sur-Oise, décédé au cours de sa garde à vue, provoquant des nuits d’émeutes.
Oui normal lorsque on a seulement 60 de QI pas facile de comprendre que de taguer coûte de l’argent au tagueur qui va payer plus cher sa nourriture car l’état devra augmenter les taxes pour payer les réparations de ses méfaits. Bon Perso j’ai un QI de 140 donc je n’ai pas de gloire à comprendre ces choses, car j’ai du mal à les considérer comme des omnipedes adultes. Donc ces choses, ingrates qui vivent du fruit de nos impôts car si on avait pas donné grassement des allocs à ces femmes pour qu’elles se reproduisent et qu’elle puisse vivre dans nos HLM paye par les intérêts de nos livret A. Ces choses là n’existeraint pas et nous serions plus riche donc pas de manifestations et pas de créatures qui taguent. Nous sommes donc victime de notre bon coeur. Moralité de l’histoire si vous n’aviez oas donne depuis 60 ans pour nourrir ces mort de faim venant d’Afrique ils ne seraient pas passés de 300 million à 1 milliard 300 millions en moins de 50 ans si vous n’aviez pas donné à médecin sans frontières et toutes ces organisations qui vous spolié uniquement en jouant sur vis sentiments et voilà . Vive la mondialisation qui rime avec ruine de nos valeurs de la crèche dans les mairies à Noël. Ou on ne dit plus vacance de pâques lais de printemps et plus vacances de Noël mais de fin d’année. Voilà votre bon coeur vous a perdu il tard trop tard pour manifester nous sommes déjà 2 pieds sous terre.
Vraiment pathétique coe explication mais les fachos se trouvent ds ts les couches de la société. #SHAME
Les vidéos ont été supprimées, malheureusement !
Bravo aux fachos de Macron et Cie !
Je cherchais désespèrement sur le blog des infos et vos prise de positions sur le mouvement des GJ.
Vous vous positionner comment par rapport a ce mouvement?
Sommes nous de vulgaires gueux pour ne pas afficher votre soutien?Il en faudra des gueux pour repousser la vague qui va déferler.Ne vous tromper pas les gueux seront prêt a mourir dignement pour leurs enfants,maintenant ou plus tard,c’est un cri de colère et de désespoir .
MESSIEURS les généraux que doit on faire?
Il me semble que notre position, – favorable aux GJ – est très claire, et sans faux-fuyant !
Depuis au moins 1918, les antifas (généralement enfants rebelles de la bourgeoisie) attendent le « grand soir » pour lancer leur révolution léniniste. Une tentative a échoué en 1968, mais ils réessayent. Et pendant ce temps, les hyènes surarmées attendent dans l’ombre l’heure de profiter de la curée sur les « poulets » français. Il est temps de lire le roman de Laurent Obertone, « Guerilla », exposant le scénario le plus plausible selon les forces de l’ordre.
La France va revenir au XIIème siècle (regardez la carte de France sur un atlas historique).
Il est plus qu’urgent que le Pays soit repris en main avec fermeté pour une catégorie de personnes et permettre à la société de vivre décemment de son travail. Il apparait évident que la haute finance dirigeante souhaite le chaos afin de poursuivre sa domination et rendre les dernières générations totalement asservies, notamment avec le futur traité de Marrakech.
Qui dit que Macron n’est pas en orchestration de tout ça en surfant la vague des gilets jaunes ? Il reçoit ses ordres du propriétaire de la France, la banque Rothschild qui vient tout récemment de changer de statut… Le chaos est destiné à faire regretter aux peuples de ne pas se plier aux volontés des ultra-riches de la grande finance internationale et leur idéologie mondialiste. Rappelons que le but final est gravé sur les Pierres de Géorgie. Qui sait y lire entre les lignes aura compris.
Il est très vraisemblable que Macron où l’un de ses sbires aux ordres soit à l’origine de l’action des « casseurs » jetant ainsi le discrédit sur le mouvement des gilets jaunes. L’individu méprisant qui incarne « notre président par effraction » me paraît tout à fait capable de ce genre de vilenie ce qui expliquerait l’inaction des casqués aux ordres, plus enclins à s’en prendre à des personnes manifestant pacifiquement.