« Le poilu de 14-18 faisait la guerre à un envahisseur. Il se battait pour protéger sa patrie, ses frontières. Le soldat était prêt à se faire tuer au nom de l’honneur, de la grandeur, du courage. Il croyait en la force des armes…
Cent ans après la fin de la Grande Guerre, le Poilu a tout pour effacer la délicate Macronie, cotonneuse et complaisante… »
(Ivan Rioufol, Le Figaro du 9/11/2018).
(Supplique à la Marquise de Morveux d’Enarque (née Trogneux-gneux)
Je reviens, Madame, d’une province fort éloignée appelée Occitanie : un pays écrasé par le soleil. Entre la vigne et l’olivier, cette ancienne terre romaine – la Narbonnaise – devenue la Septimanie, a été occupée par l’Islam entre 719 et 973. C’est, Marquise, ce que nous disent les manuels d’histoire qui nous mentent effrontément en nous faisant accroire que le Sarrazin en fut chassé avant l’an 1000. Car j’affirme, pour la bien connaître, et ce, depuis fort longtemps, que cette terre aride est encore aux mains des Mahométans qui se partagent le territoire avec des Gitans, Manouches, Roms, et autre faune allogène à la couleur de peau et au pedigree incertains, qui vivent là de trafic d’herbes illicites, de rapines et d’espèces sonnantes et trébuchantes que le royaume leur alloue grassement pour préserver la paix sociale.
Dans cette belle contrée, dès qu’arrivent les beaux jours, d’autres ethnies invasives viennent troubler la tranquillité des Gaulois du crû qui « résistent encore et toujours à l’envahisseur », comme on dit dans « Astérix » : le pâle échalas des Pays-Bas, le Wallon rougeaud et le Teuton ventripotent.
Ce dernier n’a plus rien du bel Aryen, blond et viril, qu’Adolf nous envoya en Panzer en juin 1940. Rubicond et bien gras, il a troqué l’uniforme vert-de-gris pour un « Marcel » aux couleurs vives, un « Bob » ridicule et un Bermuda tout aussi grotesque. Le Panzer a laissé place à la grosse Mercédès ou au Camping-car. L’invasion est plus sournoise qu’en 1940 car on ne la voit pas arriver.
Paradoxalement, la période estivale est moins risquée pour les locaux car les suppôts du prophète et les Gitans volent prioritairement les touristes. Cependant la délinquance, petite ou grande, y est bien pis que dans tout le reste du royaume (1). Certaines cités sont un avant-goût de ce que sera notre pays demain : le Maure y impose sa loi, ses mœurs et ses coutumes, alimentaires ou vestimentaires. Les imbéciles et les naïfs qui croyaient la « Reconquista » achevée en 1492, avec la prise de Grenade, doivent revoir leur copie. Le Mahométan est au pays ce que le termite est aux boiseries: quand on en constate les dégâts, il est généralement trop tard !
Marquise, tandis que je découvrais in situ l’état de délabrement d’une des régions qui fut l’une des plus belles du royaume, le Marquis, votre jeune époux, qui ne sait plus quoi inventer pour redorer son blason bien terni, a eu une idée… originale (2): faire la tournée des champs de bataille de la Grande Guerre, « et en même temps » aller à la rencontre des gueux qui peuplent nos campagnes.
Et, aussitôt, on nous a imposé le nom, que dis-je « l’élément de langage » – ce pathos verbeux qui plaît tant aux « bobos » et aux cuistres qui l’entourent – pour définir ce qui n’est jamais qu’une promenade touristique aux frais du contribuable : « l’itinérance mémorielle ».
Comme toujours avec le Marquis, tout est dans le vocabulaire et l’effet d’annonce : son « itinérance mémorielle » a pris soin d’éviter l’exemplarité des Poilus de la Grande Guerre au profit d’une dénonciation d’un « Nationalisme belliqueux ». Et ce freluquet a fini par se prendre « les pieds dans le tapis » (3) sur les héros de 14-18, qu’il voulait nous dépeindre comme des victimes.
Aux Eparges, il a évoqué « l’absurdité des conflits » pour, aussitôt, annoncer l’entrée prochaine de l’écrivain Maurice Genevoix au Panthéon « à titre collectif ». La raison de ce choix ? Rendre hommage à « l’armée victorieuse ». Mais, si cette armée sut vaincre les Prussiens, c’est donc que son sacrifice ne fut pas inutile ! Ce gamin est imprévisible et surtout, incorrigible !
Cette stupide « itinérance mémorielle » tient donc davantage de « l’errance en marche » que du souvenir enraciné. D’ailleurs, pour le centenaire de l’Armistice, le Marquis a fait l’économie, le 11 novembre, d’un défilé militaire.
Pour ne pas froisser la Teutonne Angela Merkel, il ne souhaitait pas lui rappeler la défaite de l’Allemagne. Et il ne s’est pas rendu non plus aux Invalides, où l’armée rendait hommage aux Maréchaux de 14-18, pour ne pas déplaire aux fils de Canaan en honorant la mémoire du Maréchal Pétain pourtant « vainqueur de Verdun ».
Puis il est allé en Germanie, où, main dans la main avec la grosse Angela, il a rendu hommage aux morts… teutons, et a annoncé la création d’une sorte de nouvelle « Division Charlemagne ».
Qui dira, Marquise, que « l’histoire ne repasse pas les plats » ? Car un Socialiste souhaitant une collaboration active avec l’Allemagne, on a déjà connu ça : un certain Pierre Laval.
Et on sait comment tout cela s’est terminé !
Ce petit Marquis poudré ne voit pas d’autre ennemi, d’autre danger pour notre civilisation, que le « Nationalisme » mais son angélisme (ou sa mauvaise foi ?) le fait ménager le totalitarisme islamique, comme d’autres, en d’autres temps, avec le même aveuglement, ont fermé les yeux sur la « peste brune » ou le « choléra rouge ».
Le Marquis ne veut plus commémorer lui-même les attentats islamistes du 13 novembre 2015 et est prêt à réviser la loi de 1905 afin d’adapter la laïcité à l’Islam politique. Finalement, j’en viens à me demander, Madame, si ce galopin immature n’est pas complètement idiot ?
Aussi, je m’adresse, une nouvelle fois, à vous. Vous savez, Marquise, la vénération que – comme tout Français, mâle ou femelle (4)- je porte à votre personne. Une vénération savamment entretenue par « Paris Match » et toute la presse « people ». En fait, j’aime tout chez vous : votre sourire béat de « Barbie » satisfaite, votre faciès ravagé (mais ravalé), votre coiffure de cocker, vos gambettes de sauterelle, vos jupes trop courtes, vos airs de vieille gamine qui se croit encore à l’époque « Yéyé ». Vous êtes un peu, au Marquis, ce que la Sainte Trinité est au Catholique ; une en trois personnes : à la fois son épouse, sa maîtresse et sa mère.
On raconte, dans les dîners en ville, que le Marquis vous craint. Mais hélas, à l’avenir, je subodore le pire : alors même qu’on ne vous demandait rien (et que le peuple, exsangue, se fiche comme d’une guigne de votre avis !), vous venez de vous prononcer contre… la fessée.
Là, Madame, vous me posez un grave problème : qui, sinon vous, est capable de fesser le capricieux petit Marquis quand il fait des bêtises ?
Or il ne fait que ça !
Ses propos ne sont que billevesées, ses actes ne sont que sottises, alors Marquise, si vous ne voulez point le fesser vous-même, demandez donc à la sombre brute nommé Cristobal Castaner, l’ancien pilier de tripot qui a remplacé le sinistre Collomb, de s’en charger.
Nul doute qu’avec sa mine patibulaire de porte-flingue de la Mafia, il doit, tel le Mameluk Benalla, savoir rosser d’abondance les plus faibles que lui ! N’a-t-il point, tout récemment encore, envoyé des argousins casqués bastonner une poignée de gueux vêtus de pourpoints jaunes qui ne demandaient rien sinon que de manger à leur faim ?
Madame, le bon peuple compte sur vous !
Cédric de Valfrancisque
12 décembre 2018
1)- Exception faite du « 9-3 » ou de Roubaix.
2)- Lui, ou les bouffons chargés de sa « communication » ?
3)- Ou, pour reprendre des images qu’il affectionne, « les babouches dans le tapis de prière ».
4)- Sans oublier les transgenres, travelos, pédérastes et autres invertis que vous et le Marquis aimez tant recevoir au Palais.
Quand la Marquise Trogneux va devoir retourner à l’anonymat du Touquet : elle va verser de chaudes larmes ! Elle qui adore les fastes , et les belles fringues à 10 000 zorros !!! Plus dure sera la chute , pour Mme la Baronne du Touquet .
À accompagner son zèbre dans Tous ses déplacements, elle en devient une plante verte intéressée , et minable de mentalité . Toujours un beau sourire à la descente de l’avion : tu penses , elle ne fatigue jamais , elle dort dans de la soie , bien confortable ! Elle ne sait même pas ce que vaut une goutte de sueur ! Pauvre truffe .
Vivement qu’on vire ce couple tronqué , et qu’on ne les revoie plus jamais près de nous , les prolos !!!!! Dieu nous Entende !
Ma foi Monsieur, preux Cedric, quelle verve, quelle faconde,
Vous portez là bien haut les couleurs de la France !
PIERRE I ER, tsar de toutes les Russies
Bonjour. Je vis aussi en Occitanie et, en plus de ce que vous dépeignez, il ne faut pas oublier la mentalité très « XIXe siècle », népotisme et autre copinage à la limite de la consanguinité… En plus de 25 ans dans un village de l’Aude, je suis toujours perçue comme une « étrangère » bien que française (née en Bretagne de parents nés à Paris…)… Des obligations familiales ne me permettent pas de quitter ce « pays » heureusement si beau, consolation…
@Fran
Je vis aussi en Occitanie dans un patelin que j’ai quitté à16 ans pour courir la France et le monde.. Au service de mon pays.
Trente ans plus tard je suis revenu , plus aisé et éveillé que nombre de mes congénères , avec une belle famille , une belle maison , une belle retraite…
Je me suis alors heurté à la mentalité sectaire du bled.Pour les gens d’ici , je suis un étranger .Malgré ma volonté de m’intégrer d’abord en acceptant la présidence d’une association de laquelle j’ai démissionné cinq ans plus tard , écoeuré du comportement autant de la municipalité que de ceux pour qui j’oeuvrais.
Mes enfants sont établis près d’ici . Je ne peux plus partir , eux et mes petits enfants nous manqueraient trop . Nous aurions pu nous retirer ailleurs .Hélas , nous ne l’avons pas fait à l’époque et c’est je crois ce que nous regrettons le plus actuellement malgré tout.