On juge l’arbre à ses fruits.
(Libre opinion sur l’état actuel de l’église catholique)
« Les homosexuels nous précèdent au Royaume des Cieux »
(Jacques Gaillot, ex-évêque d’Evreux, à l’hebdo « Gai Pied », 1989)
« Une personne « gay », qui suis-je pour la juger ? »
(Jorge Mario Bergoglio, pape sous le nom de « François 1er », 2013)
Mgr Gaillot reçu par le Pape François
On ne sait plus s’il faut parler de « tempête dans un bénitier » ou de remugles nauséabonds dans un égout, devant les scandales en cascade autour de l’église catholique…
Une chose est certaine : depuis des mois, les « fils de la veuve » sont à la manœuvre et ils se frottent les mains : tous les jours, on nous annonce une nouvelle affaire – bien salace – touchant soit la curie romaine soit un simple curé de paroisse.
Nationaliste chrétien, je n’ai pas qualité pour commenter les scandales de l’église, mais j’ai envie de dire qu’elle aura fait son malheur elle-même et qu’elle récolte ce qu’elle a semé !
On raconte que Charles Maurras aurait dit, au soir de sa vie, « j’entends venir quelqu’un ». Comme il était agnostique, cette déclaration rassure ses thuriféraires qui y voient un retour tardif à la foi. Sachant que Maurras était sourd comme un pot, cette dernière parole est assez peu plausible. Mais, je me plais à croire que le Seigneur, dans sa grande bonté, sait reconnaître les siens, et que le père du « Nationalisme intégral » a sa place au Paradis, près du Père.
En 1922, Maurice Barrès écrivait : « Je sens, depuis des mois, que je glisse du Nationalisme au Catholicisme. C’est que le Nationalisme manque d’infini… ». Depuis toujours, les divers courants nationalistes – à quelques exceptions près – ont été déistes et/ou défenseurs de la religion catholique.
Soit parce qu’elle incarnait leur croyance, soit, plus simplement, parce que le pays devait sa structuration morale ET mentale au respect plus ou moins strict du décalogue chrétien.
Pour ma part, né dans la religion catholique, dans une famille pratiquante, j’ai toujours évité de me poser trop de questions : si ma religion n’est pas la bonne, c’est une escroquerie qui perdure depuis 2000 ans. J’aimerais avoir la foi du charbonnier. Hélas non ! Je suis catholique… par confort.
Un drôle de paroissien, en bisbille avec la hiérarchie catholique que j’avoue, humblement, ne plus comprendre depuis des décennies.
Depuis la révolution, le catholicisme a été malmené en France. Il le doit à la haine des Francs- maçons, c’est indéniable. Ce n’est pas un hasard si notre pays a adopté pour devise celle de la Franc-maçonnerie, avant de confisquer les biens du clergé et d’adorer la « déesse Raison ».
Mais la France doit aussi sa déchristianisation à la démission voire la trahison de ses clercs. Le peuple de Dieu, les fidèles, la base, a souvent suivi de façon moutonnière, bêtement obéissante, un clergé « progressiste » prêt à faire allégeance aux loges (quand il n’en faisait pas lui-même partie).
Que des laïcards, « saucissonneurs du vendredi saint » et autres adorateurs du GADLU (Grand Architecte De L’Univers) s’attaquent à l’église est, somme toute, de bonne guerre. Ce qui l’est moins c’est cette propension d’une partie de l’épiscopat français à scier la branche sur laquelle elle était assise. Bien aidée, il faut le dire, par le souverain pontife en personne.
Citons, pour mémoire, la condamnation de l’« Action Française » par Pie XI, le 25 décembre 1926 et l’interdiction faite aux adhérents de l’AF, de recevoir les sacrements de l’église. Ce drame va déchirer des familles et troubler les consciences mais il était parfaitement orchestré puisque, en dissociant le Trône de l’Autel, il interdisait toute possibilité d’un retour de la monarchie « de droit divin » en France. Cette condamnation sera levée par SS.Pie XII en 1939, mais le mal était fait et la blessure profonde; elle ne cicatrisera jamais totalement.
Citons aussi le concile Vatican II, commencé sous Jean XXIII en 1962 et clôturé sous Paul VI en 1965, qui va prôner l’œcuménisme, abandonner le rite tridentin et le latin – langue universelle de l’église – provoquant une crise des vocations et, en corollaire, une désertification des séminaires, des couvents et des églises.
Vatican II voulait moderniser l’église
Ce sont les abus, les excès, les abandons liturgiques d’après Vatican II, qui vont amener la rupture entre les « traditionalistes », sous l’égide de Monseigneur Marcel Lefebvre, et le courant progressiste de l’église. Ce prélat, fondateur de la Fraternité Saint Pie X, sera d’abord « suspens a divinis » en 1976, avant d’être excommunié le 30 juin 1988. Cette excommunication, scandaleuse, a été tardivement levée (le 21 janvier 2009) par SS. Benoît XVI. Qu’il en soit remercié !
L’église a excommunié Monseigneur Lefebvre, alors que, dans le même temps, elle tolérait les pantalonnades médiatiques de Gaillot, ex-évêque d’Évreux, surnommé « le pape des Gays » par la presse de droite. A peine élu, « le pape François » Bergoglio, recevrait Gaillot au Vatican et annonçait qu’il fallait débattre de la place des « gays » dans l’Eglise. Comme s’il y avait urgence !
Mais ceci n’est jamais que la suite logique d’un très long cheminement !
Quand l’ordre moral n’a plus été chrétien, quand la tolérance et la permissivité ont supplanté les contraintes imposées par les dix commandements, les idéaux maçonniques débattus en loges sont arrivés au Parlement : ainsi de la « loi Veil », en 1975, autorisant l’Interruption Volontaire de Grossesse (IVG). On s’autorisait à tuer l’« infans conceptus », qui a des droits depuis l’antiquité mais que les féministes, au cri de « notre ventre nous appartient », condamnaient à mort.
Depuis, on tue légalement 220 000 petits Français par an. La France arrive à s’émouvoir du sort des bébés phoques, des baleines, des veaux, des porcs ou des volailles élevés en batterie mais pas du massacre légalisé de SES enfants. En 1981, la France abolissait la peine de mort et nous arrivions à cette aberration: chez nous, on n’a plus le droit de tuer que …des innocents.
Le PACS et le « mariage gay », n’ont pas suscité beaucoup d’émoi dans l’épiscopat français qui aura été, au mieux suiveur, mais de loin.
Le massacre des Chrétiens d’Orient par l’Islam intégriste ne provoque pas ou peu de prises de position courageuses de nos évêques. On peut en dire autant des actes blasphématoires imputables à une gauche laïcarde et haineuse : la « christianophobie » est à la mode et elle indigne rarement la hiérarchie catholique. Qu’on se souvienne du scandale de « Piss Christ » en 2011. En Avignon, des chrétiens, outrés de voir exposer une photo montrant un crucifix dans un urinoir, avaient tenté de détruire cette « œuvre » sacrilège. Et l’évêque du coin, j’ai oublié son nom, avait demandé qu’on respecte « l’artiste et son art ». Plus récemment, Di Falco, évêque de Gap, a autorisé l’exposition dans sa cathédrale d’une grande toile montrant le Christ sur une chaise électrique. Pour ne pas être en reste, son homologue de Rennes ouvrait les locaux de l’évêché à une autre œuvre artistique représentant SS Jean-Paul II écrasé par une météorite. Ne parlons pas des « Femens », ces harpies aux seins nus, qui viennent régulièrement profaner des lieux saints sans s’attirer les foudres de la hiérarchie catholique.
Par veulerie, les prélats de l’église ne dénoncent pas les attaques contre la religion catholique mais sont toujours prêts à monter au créneau contre les discriminations, à l’égard de l’Islam, des Roms, des clandestins, des minorités…
Aucun ne s’indigne que les « Libres penseurs » intentent des recours devant les juridictions administratives pour faire interdire – au nom de la laïcité – les crèches dans des lieux publics.
Quand les curés ont abandonné la soutane, mon père avait coutume de dire « un soldat qui abandonne son uniforme est déjà un déserteur » et il avait raison : depuis Vatican II, c’est par milliers qu’on compte les prêtres défroqués. Il reste à peine 15000 prêtres – souvent âgés – en France et certains desservent une vingtaine de paroisses.
Les cathos de gauche, adeptes d’une religion permissive et d’une liturgie simpliste, suggèrent qu’on ordonne des femmes et/ou des hommes mariés pour pallier le manque de vocation.
A chaque fois, je leur fais remarquer que ce mode de fonctionnement existe depuis la nuit des temps, depuis cinq siècles, depuis Calvin et Luther : ça s’appelle le Protestantisme. Et puis, est-ce le célibat des prêtres qui explique que certains soient pédérastes ou pédophiles ?
En revanche, dans cette religion « œcuménique », laxiste, fourre-tout, dans laquelle Dieu pardonne tout, où la pénitence est facultative, où l’enfer n’existe pas… Cette église moderne qui ne nous demande plus d’aimer notre prochain mais « d’accueillir notre lointain » (même s’il rejette nos croyances), certains clercs se comportent comme les pires des profanes puisqu’ils sont, après tout, « des hommes comme tout le monde ».
Vatican II a vidé les églises de leurs ors et lustres pour les rendre tristes comme des temples protestants. Les prêtres ont cessé d’officier vers Dieu pour se tourner vers leurs ouailles, comme chez les évangélistes américains. On a remplacé le chant grégorien par des chansonnettes débiles à la gloire de « Christ »(1) qu’on s’autorise à tutoyer comme si c’était un copain de bistrot.
Les imbéciles qui ont permis ce délitement n’ont pas compris que l’œcuménisme religieux produit en gros les mêmes effets que le centrisme en politique : dans l’espoir de rassembler tous les courants, on fabrique une bouillie-pour-chat dont finalement plus personne ne veut.
Pendant des siècles, l’église catholique a été forte parce qu’elle fonctionnait sur un triptyque qui a fait ses preuves : un homme (un Dieu fait homme), un idéal (la vie éternelle), une doctrine (le Nouveau Testament). Elle est encore solide dans les pays où elle est quasi-religion d’état (Pologne, Hongrie etc…). Chez nous, la pratique religieuse (catholique) représente…3% de la population et l’Islam est devenu la première religion pratiquée du pays.
Charles Baudelaire a écrit : « Il n’existe que trois êtres respectables : le prêtre, le guerrier, le poète ». Les poètes ont disparu, les guerriers sont fatigués et les prêtres sont accusés de pédophilie.
Faut-il s’alarmer de cette situation? Oui, mais faut-il désespérer ? Assurément non !
L’Eglise a connu bien des avanies dans sa longue histoire : des papes hérétiques (Honorius 1er en l’an 632), des papes empoisonneurs (Alexandre VI Borgia et son fils César), des papes sodomites et idolâtres (Boniface VIII en 1303) etc… L’épiscopat catholique actuel illustre la véracité de l’adage chinois : « Le poisson pourrit par la tête », mais je fonde encore des espoirs sur la base ; celle qui s’est mobilisée contre le « mariage gay » et pour le maintien des crèches dans les édifices publics.
Ne pas subir !
Et puis, ne nous laissons pas accuser de tous les maux. Loin de moi l’idée de nier ces affaires de pédophilie mais à qui veut-on faire croire qu’il n’y a pas de rabbins pédophiles, d’imams pédophiles, de pasteurs pédophiles, et, dans l’éducation nationale, de profs pédophiles ?
Il reste encore 15000 prêtres en France et …7 sont mis en examen pour des soupçons de pédophilie, (soit moins de 0,05%) ce qui revient à dire qu’il y a, hélas, dans l’église, autant de salopards attirés par les enfants que dans le reste de la population…
Un livre intitulé « Sodoma » publié – comme par hasard ? – dans une vingtaine de pays en même temps, nous apprend que l’entourage du pape au Vatican compterait 80% d’homosexuels. Et, dans la même semaine nous apprenions que le « numéro trois » de la curie romaine, était accusé de pédophilie. L’église post-conciliaire n’a-t-elle retenu de l’évangile que « Laissez venir à moi les petits enfants » ou « Aimez-vous les uns (dans) les autres » ? Je n’en sais rien !
Certains se réjouissent de cette situation qui affaiblit encore une église déjà bien mal en point. Ils ont tort ! Car, même si l’on est totalement athée, ce qui se passe est gravissime : mettre à bas l’église catholique, c’est tuer notre civilisation et faire le jeu de l’islam.
Chateaubriand disait déjà en son temps : « Chassez le Catholicisme et vous aurez l’Islam ».
Nous y sommes, enfin… presque !
Eric de Verdelhan
3 mars 2019
1)- Car on ne dit plus LE Christ, on se demande bien pourquoi ?
2)- Vatican II n’est pas responsable de tout, pas plus que mai 68. Le mouvement des prêtres-ouvriers, presque tous communistes, a commencé bien avant.
Ce sont les musulmans qui se marrent bien quand on les traitent de pédophiles parce qu’ils ont tendance à suivre l’exemple de Mahommet qui s’est marié à une gamine de 9 ans…
Merci ! Un vrai bonheur de ne pas se sentir isolée dans ses pensées …
« …avant de confisquer les biens du clergé… » C’est la plus grosse connerie de la République laïque puisque qu’elle a pris alors à sa charge l’entretien des biens de l’Église qui coûte un bras aux municipalités. Le seul intérêt actuel de l’Église est d’occuper une place que n’occupe pas l’islam. Pour l’instant. Car avec la manie du rapprochement catho/muzz prônée par Ben Oît XVI, on ne devrait pas tarder à voir les clochers des églises désertées remplacées par des minarets. N’a-t-il pas déjà accueilli les migrants muzz à bras ouverts au Vatican quand il a ignoré le martyre des Yézidis…
Ce que ne voient pas ou ne veulent pas voir les ennemis de l’église catholique c’est qu’une fois qu’elle sera tombée ou disparue, ce sera leur tour. Ils n’imaginent pas que cela soit et cela sera !
Triste Vérité votre analyse , L’histoire de l’humanité fourmille hélas de situations au cours desquelles des peuples ont été anéantis à la suite de la destruction de leur culture. La plupart des invasions ont donné lieu à la destruction des lieux de culte et à la suppression de la langue et de la culture indigène au profit de celles de l’envahisseur.
nous connaissons peu de peuples qui se sont autodétruits en sabordant leur propre culture. Aujourd’hui, il apparaît que certains peuples européens aient choisi aussi, peut-être inconsciemment, de disparaître ! là, ils interdisent la célébration de Noël dans ce qu’ils dénomment le domaine public, ils font détruire les crèches et tout symbole qui pourrait faire référence à la nativité ! Pourtant, la célébration de Noël fait partie des fondements de la culture européenne. Il s’agit donc d’un véritable travail délibéré de destruction de la culture.
Ne vous faites pas d’illusions, les chiens de garde de la laïcité interdiront bientôt de choisir un prénom chrétien à vos enfants. Il n’est pas nécessaire d’être un fervent religieux pour comprendre que de telles attaques, savamment orchestrées par les politiques et les média, constituent un sabotage délibéré d’une culture ancestrale, critiquable certes, mais néanmoins le ciment de tout un peuple.
Le christianisme n’est pas seulement une religion, c’est tout un environnement culturel qui nous a nourri. Ce sont des siècles d’art, d’architecture, d’enseignement, de rites et de lois qui portent l’empreinte de la chrétienté et qui se sont transmis de génération en génération. Qu’ils le veulent ou non, les européens sont non seulement les héritiers de cette culture, mais ils se sont construit grâce à elle. Que nous soyons croyants ou pas, le christianisme fait partie de notre intégrité. Nous ne pouvons pas renier qui nous sommes.
Le cardinal Ratzinger fut un des principaux artisans du concile Vatican II et surtout un de ceux qui en étendra la portée et l’influence. Un bâtisseur du libéralisme destructeur. Cependant, Ratzinger, une fois élu pape, se rendra compte progressivement de son erreur, car le Saint Esprit veille. Au lieu d’une continuation de l’œuvre de son prédécesseur, à laquelle il a pourtant largement contribué, Ratzinger freine les réformes et enclenche même le processus inverse. Le motu proprio du 7 juillet 2007, en faveur de la messe tridentine, fut une véritable déclaration de guerre à ses commanditaires francs-maçons. D’où sa description dans la Salette : « il souffrira beaucoup« . Notre Ratzinger destructeur est devenu Benoît XVI le repenti.
Pour finir , la Fille Aînée de l’Eglise ira au tombeau quelques temps , mais elle ressuscitera .
Extrait d’un message de la Sainte Vierge lors des apparitions de Kerizinen (France 1948)
Je descends pour relever et sauver la France. Dans quelques temps je lui donnerai un grand chef, un Roi. Elle connaîtra alors un tel redressement que son influence spirituelle sera prépondérante dans l’Univers. Je veux rechristianiser la France qui, revenue au Christ, revêtira un caractère tellement religieux qu’elle redeviendra lumière des peuples païens.
Les prophéties de la Fraudais de Marie Julie Jahenny ont été écrites à la fin du XIXe siècle :
Pour elle, l’Eglise doit connaître 3 étapes : L’Eglise militante, celle qui prêche la foi, comme Jésus l’a fait pendant sa vie publique. L’Eglise souffrante, celle qui va subir la passion, et mourir comme le Christ sur la Croix. Mais avant la fin du monde, elle ressuscitera, ce sera l’Eglise triomphante.
Elle voit la France d’une laideur épouvantable. Cette société secrète qui l’a séduite, l’a souillée, lui a demandé de persécuter Dieu, va de plus en plus se réjouir mais elle touchera au terme de son espérance. Elle sera ensuite réduite en poussière. Tout ce qu’il y a dedans ne vaut rien. Il n’y faut fonder aucun espoir. C’est le déluge de l’iniquité ! Les familles qui voudront se protéger de cette souillure devront fuir, comme la Vierge dut fuir en Egypte. Et pour la France, l’Egypte sera la Bretagne. Cette province sera comme séparée de la France, alors que celle-ci s’appellera le champ des tombeaux. Elle deviendra un jour puissante. Ce sera une terre de grâce et de privilèges.
Dans la salle de l’enfer (le parlement) on travaille à tous les métiers. Il y en a de toutes races, de toutes manières (honteuses). Ils attendent l’heure où le mal sera à son comble, l’heure où les justes seront chassés de leur emploi ; l’heure où la foi ne sera apparemment que faiblesse dégénérée ; l’heure où le peuple ne sera gouverné que par des hommes qui, par leur vie abominable, auront pratiquement renié le Sauveur. Ils ont déjà la corde en main, ceux qui vont conduire des milliers de Français à la mort la plus affreuse. La France devient le repaire d’un grand nombre d’étrangers qui écoutent si l’horloge de la sentence ne va pas bientôt sonner. Et elle va sonner le jour où elle entrera dans son déclin. D’abord en France, puis ailleurs.
.Aujourd’hui, n’attendez rien de celui qui règne comme roi.