« Le P’tit Branleur »
(Texte librement inspiré de la chanson de Felix Leclerc « Le p’tit bonheur »)
C’était un galopin
Qui avait épousé
Une vieille catin
Qui l’avait déniaisé.
Et puis, au fil des ans,
Ses chevilles ont enflé,
Car il avait des dents
A rayer le parquet.
Français, votez pour moi, j’suis Jupiter, j’suis un génie,
J’suis l’plus intelligent, je suis beau gosse et bon mari.
J’vous promets la belle vie, de l’argent et des jours meilleurs :
Français comptez sur moi, je vous apporte de bonheur ! »
Et certains électeurs
Votèrent pour ce pédant,
Et pour notre malheur,
En firent un président.
Alors le p’tit branleur
Tout heureux d’être élu,
Leur fit un bras d’honneur :
Ils se virent cocus.
Gaulois et Franchouillards, je vous emmerde, je vous le dis,
Et j’ai tous les pouvoirs que confère la « démo-crassie ».
J’suis l’président des riches, des parvenus et des banquiers.
Votre pouvoir d’achat, j’en ai vraiment rien à cirer ! »
La race des cocus,
A ceci d’amusant,
Que toute honte bue,
Elle sait montrer les dents.
Et le petit merdeux
Arrogant, fanfaron,
Déclencha chez les gueux
Une révolution.
Car le Français froussard et abruti par la télé
Sait aussi défendre son porte-monnaie.
Et le petit branleur, ses affidés et sa rombière
Ont transformé la France en une vaste pétaudière…
Notre pauvre nation
Est à feu et à sang,
Mais le petit morpion
En est assez content :
Il joue la division,
Certain qu’il va gagner,
Car les Français sont cons
Et facile à berner.
Il manie les promesses, et les discours filandreux.
Il est parfois trivial car il sait que ça plaît aux gueux.
Il dit qu’il a compris et qu’on va tout remettre à plat
Sachant bien qu’au final, on l’aura tous …dans le baba !
Cédric de Valfrancisque
5 mars 2019
ci-dessous bande-son (artisanale)
Drôle de type en effet, lui qui perd son temps et notre argent en bla bla sans fin avec les sous fifres en écharpes tricolores de cette république pour le coup décadente. Il travaille quand ce gars là ? est-ce que il sait seulement ce que travailler veut dire ? si oui, ce qui m’étonnerait grandement, qu’est-ce qu’il produit, qu’est-ce qu’il produisit jamais qui fut bon pour le pays ? Rien, excepté des taxes. A-t-il seulement la moindre idée de ce que la république impose comme contraintes toujours plus insupportables aux véritables producteurs de la richesse nationale que sont les entrepreneurs et surtout les petits ? Non, il ne sait pas, ou, alternative, s’il sait les tortures que lui et ses prédécesseurs démoniaques imposèrent à nos malheureux entrepreneurs, alors nous avons affaire non pas à un branleur mais bien à un salaud. Quoi qu’il en soit et qui qu’il soit, branleur, salaud, raté, psychopathe dément, il faut en finir avec ce genre d’individus toujours plus vils, toujours plus inutiles, toujours plus cupides, toujours plus pharisaïques et menteurs. Ca suffit, l’humiliation a assez duré, dehors l’hyper-classe dégénérée, dehors cette bande de vampires socialistes, à la poubelle de l’histoire ces arrogants qui ravagent le pays à coups de taxes diverses, avariées, innombrables et vicieuses. Baste à la fin! tirons la chasse et envoyons tous ces étrons dorés sur tranche au diable : c’est eux ou nous, et comme ca ne sera pas nous, il faut bien que ce soit eux. Révolution ? oui, révolution! Et vous profiteurs, vous exploiteurs qui portez aux nues votre révolution soi-disant française pour mieux piller le petit peuple au nom de votre égalité à la con, au nom de votre fraternité à la con, au nom de votre liberté à la con, tremblez et achetez vous des couches-culottes XXL car le temps qui vous fut alloué jadis est maintenant révolu.